Titulaire dans l'entrejeu après avoir été sur le départ, l'international centrafricain dépanne souvent en défense centrale depuis l'arrivée de Rabiot, un secteur où il ne renvoie pas toutes les garanties de fiabilité. Même si De Zerbi l'apprécie.
Roberto De Zerbi y tient, et ne semble pas décidé à changer d'avis, conforté par certaines voix en interne quand d'autres se montrent plutôt sceptiques. Dimanche, à Nantes, le technicien italien a de nouveau reconduit une option qui ne fait pas totalement l'unanimité et que beaucoup imaginaient temporaire, avec la titularisation en défense centrale de Geoffrey Kondogbia. Un choix logique pour les plus optimistes, une rustine pour le court terme pour les autres.
Ce n'était pas la première fois que l'ancien stratège de Sassuolo faisait descendre d'un cran le natif de Nemours mais la troisième, après les sorties à Lyon et contre le PSG. Si la première a souri à l'équipe et au milieu formé à Lens, la deuxième s'est révélée extrêmement décevante et ratée, à l'image de la prestation globale, lorsque la troisième a souligné plusieurs lacunes, surtout individuelles. Qu'aurait-on dit si jamais Tino Kadewere avait converti l'offrande de "Kondo", coupable d'un contrôle américain propulsant l'attaquant nantais sur orbite avant que celui-ci ne gâche l'aubaine ? Sur l'égalisation signée du Zimbabwéen, déjà, son placement a interpellé.
Une baisse de salaire évoquée cet été
Confronté aux difficultés d'adaptation d'un Lilian Brassier, De Zerbi préfère interpréter les choses via un autre prisme, lui qui attache tellement d'importance à la première relance. "Il nous apporte de la qualité et de la personnalité, et sa qualité dans la relance. C'est pour cela qu'il a joué. Il n'est pas défenseur central de métier, mais milieu de terrain, et c'est cette qualité qu'il nous apporte. Brassier arrivera à le faire, mais il peut encore progresser dans ce domaine", insistait "Roby" avant de quitter la Beaujoire.
Roberto De Zerbi y tient, et ne semble pas décidé à changer d'avis, conforté par certaines voix en interne quand d'autres se montrent plutôt sceptiques. Dimanche, à Nantes, le technicien italien a de nouveau reconduit une option qui ne fait pas totalement l'unanimité et que beaucoup imaginaient temporaire, avec la titularisation en défense centrale de Geoffrey Kondogbia. Un choix logique pour les plus optimistes, une rustine pour le court terme pour les autres.
Ce n'était pas la première fois que l'ancien stratège de Sassuolo faisait descendre d'un cran le natif de Nemours mais la troisième, après les sorties à Lyon et contre le PSG. Si la première a souri à l'équipe et au milieu formé à Lens, la deuxième s'est révélée extrêmement décevante et ratée, à l'image de la prestation globale, lorsque la troisième a souligné plusieurs lacunes, surtout individuelles. Qu'aurait-on dit si jamais Tino Kadewere avait converti l'offrande de "Kondo", coupable d'un contrôle américain propulsant l'attaquant nantais sur orbite avant que celui-ci ne gâche l'aubaine ? Sur l'égalisation signée du Zimbabwéen, déjà, son placement a interpellé.
Une baisse de salaire évoquée cet été
Confronté aux difficultés d'adaptation d'un Lilian Brassier, De Zerbi préfère interpréter les choses via un autre prisme, lui qui attache tellement d'importance à la première relance. "Il nous apporte de la qualité et de la personnalité, et sa qualité dans la relance. C'est pour cela qu'il a joué. Il n'est pas défenseur central de métier, mais milieu de terrain, et c'est cette qualité qu'il nous apporte. Brassier arrivera à le faire, mais il peut encore progresser dans ce domaine", insistait "Roby" avant de quitter la Beaujoire.
Category
🥇
SportTranscription
01:01Avec le soutien de
01:07Merci à
01:13Merci à
01:19Merci à
01:25Merci à
01:30Merci à
01:36Merci à
01:42Merci à
01:48Merci à