"Notre préoccupation principale demeure l'angoisse de retrouver des difficultés comme celles que nous avons traversées en 2020, 2021 et 2022" lors de la crise sanitaire, déclare François Crémieux, directeur général de l'Assistance publique-hôpitaux de Marseille (AP-HM), lors d'une interview.
## Une alternative au coût des retraites ?
François Crémieux a exprimé l'espoir que le gouvernement et les parlementaires identifient une solution autre qu'une augmentation d'environ un milliard d'euros sur l'ensemble des hôpitaux, en lien avec une hausse envisagée des cotisations de retraite du personnel hospitalier. Ce surcoût serait imposé aux hôpitaux publics dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2025, créant ainsi une "très grande incertitude" selon lui.
## Une année 2025 sous tension
Il a ajouté que si l'augmentation de 3,1 % des dépenses pour les établissements publics devait effectivement tenir compte de la nécessité de réajuster les régimes de retraite des agents hospitaliers, l'année 2025 pourrait être particulièrement difficile. La Fédération hospitalière de France estime qu'en tenant compte des besoins d'un milliard d'euros pour les retraites, la hausse réelle des budgets ne serait que de 0,2 %.
## La post-crise et ses conséquences
L'inquiétude de Crémieux s'articule autour de la peur de retomber dans les difficultés passées, alors que le secteur espère un retour à une situation plus stable après la période perturbante liée au Covid. Selon lui, la sortie de cette crise reste encore délicate et il souligne la persistance d'une situation financière compliquée au sein des hôpitaux.
## Des finances hospitalières précaires
Le directeur de l'AP-HM a aussi souligné que la situation financière de son établissement est difficile, un constat partagé par d'autres hôpitaux et centres hospitaliers universitaires. Il a précisé que ces établissements, y compris les grands CHU, cumulent un déficit d'environ un milliard d'euros. Pour l'AP-HM, le déficit prévu pour 2024 est estimé entre 75 et 80 millions d'euros, similaire à celui de l'année précédente, impacté par l'inflation et des charges de dette élevées datant des années 2000.
## Une alternative au coût des retraites ?
François Crémieux a exprimé l'espoir que le gouvernement et les parlementaires identifient une solution autre qu'une augmentation d'environ un milliard d'euros sur l'ensemble des hôpitaux, en lien avec une hausse envisagée des cotisations de retraite du personnel hospitalier. Ce surcoût serait imposé aux hôpitaux publics dans le cadre du projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2025, créant ainsi une "très grande incertitude" selon lui.
## Une année 2025 sous tension
Il a ajouté que si l'augmentation de 3,1 % des dépenses pour les établissements publics devait effectivement tenir compte de la nécessité de réajuster les régimes de retraite des agents hospitaliers, l'année 2025 pourrait être particulièrement difficile. La Fédération hospitalière de France estime qu'en tenant compte des besoins d'un milliard d'euros pour les retraites, la hausse réelle des budgets ne serait que de 0,2 %.
## La post-crise et ses conséquences
L'inquiétude de Crémieux s'articule autour de la peur de retomber dans les difficultés passées, alors que le secteur espère un retour à une situation plus stable après la période perturbante liée au Covid. Selon lui, la sortie de cette crise reste encore délicate et il souligne la persistance d'une situation financière compliquée au sein des hôpitaux.
## Des finances hospitalières précaires
Le directeur de l'AP-HM a aussi souligné que la situation financière de son établissement est difficile, un constat partagé par d'autres hôpitaux et centres hospitaliers universitaires. Il a précisé que ces établissements, y compris les grands CHU, cumulent un déficit d'environ un milliard d'euros. Pour l'AP-HM, le déficit prévu pour 2024 est estimé entre 75 et 80 millions d'euros, similaire à celui de l'année précédente, impacté par l'inflation et des charges de dette élevées datant des années 2000.
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00:00« Notre préoccupation principale demeure l'angoisse de retrouver des difficultés comme celles que
00:05nous avons traversées en 2020, 2021 et 2022 lors de la crise sanitaire », déclare François Crémieux.
00:12Directeur général de l'Assistance publique hôpitaux de Marseille à Pétirer-Chemes lors d'une interview
00:17« Une alternative au coût des retraites », François Crémieux a exprimé l'espoir que le gouvernement et les parlementaires identifient.
00:24Solution autre qu'une augmentation d'environ un milliard d'euros sur l'ensemble des hôpitaux.
00:28En lien avec une hausse envisagée des cotisations de retraite du personnel hospitalier, ce surcoût serait imposé aux hôpitaux publics dans le cadre du projet de loi de financement de la
00:38Sécurité sociale PLFSS pour 2025, créant ainsi une très grande incertitude selon lui.
00:44Une année 2025 sous tension, il a ajouté que si l'augmentation de 3,1% des dépenses pour les établissements publics devait
00:52effectivement tenir compte de la nécessité de réajuster les régimes de retraite des agents
00:57hospitaliers, l'année 2025 pourrait être particulièrement difficile.
01:02La Fédération hospitalière de France estime qu'en tenant compte des besoins d'un milliard d'euros pour les retraites, la hausse réelle des buts ne serait que de 0,2%.
01:11La post-crise et ses conséquences.
01:13L'inquiétude de Crémieux s'articule autour de la peur de retomber dans les difficultés passées.
01:18Alors que le secteur espère un retour à une situation plus stable après la période perturbante liée au Covid, selon lui.
01:25La sortie de cette crise reste encore délicate et il souligne la persistance d'une situation financière compliquée au sein des hôpitaux.
01:32Des finances hospitalières précaires.
01:34Le directeur d'LAP-RCHM a aussi souligné que la situation financière de son établissement est difficile, un constat partagé par d'autres hôpitaux et centres hospitaliers universitaires.
01:45Il a précisé que ses établissements, y compris les grands CHU, cumulent un déficit d'environ un milliard d'euros.
01:51Pour LAP-RCHM, le déficit prévu pour 2000 est estimé entre 75 et 80 millions d'euros.
01:58Similaire à celui de l'année précédente.
02:00Impacté par l'inflation et des charges de dette élevées datant des années 2000.
02:06Je vous remercie d'avoir regardé cette vidéo.
02:09N'oubliez pas que je lis maintenant tous vos commentaires.
02:12Abonnez-vous et à bientôt pour de nouvelles vidéos.