Aujourd'hui dans "On marche sur la tête", Cyril Hanouna et ses invités débattent de l'inaction de François Hollande.
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00:00Allez, François Hollande n'a voté qu'une seule fois depuis la rentrée parlementaire.
00:04L'ancien président de la République, désormais député de Corrèze, n'a voté qu'une seule fois.
00:08La seule fois qu'il a voté, c'est lors de la motion de censure déposée par l'ANFP après le discours de politique générale de Michel Barnier.
00:14Depuis, pfff, plus rien.
00:15À titre de comparaison, Mathilde Pannot a voté 107 fois en 3 semaines.
00:19C'est-à-dire, Mathilde Pannot, elle vote même pour des trucs...
00:21Elle est présidente de groupe.
00:22Exactement, oui. Mais bon, quand même, elle vote beaucoup.
00:24Et il faut dire quand c'est bien, quand c'est pas bien, les gars.
00:25Je suis désolé, Mathilde Pannot.
00:27Moi, je peux dire du bien de la France insoumise. J'ai une idée pour dire du bien de la France insoumise.
00:29Alors allez-y, faites-le.
00:30Je trouve que Clémence Guettet, qui est vice-présidente de l'Assemblée Nationale,
00:34donc elle est amenée à présider les séances,
00:36et elle préside formidablement les séances, parce que j'ai regardé un peu ce qui se passe autour du budget.
00:41Oui, elle est capable de retoquer, y compris dans son camp, quand ça ne respecte pas les règles.
00:46Et elle est très bien dans cette fonction-là et à ce poste-là, voilà.
00:50C'est vrai.
00:51Donc quand c'est bien, il faut le dire.
00:52Moi aussi, je l'ai guetté ce week-end, c'est pas malin.
00:55Et c'est vrai que Clémence Guettet, elle ne tombe jamais dans la polémique facile,
00:58dans le coup de buzz, ou quoi que ce soit.
01:00Elle est évidemment sur une ligne, celle de Jean-Luc Mélenchon,
01:03elle est très fidèle à Jean-Luc Mélenchon,
01:04mais elle n'est jamais dans l'outrance ou les buzz médiatiques et autres.
01:10Sur François Hollande, il a aussi fait très peu de propositions de loi ou de résolution par rapport à ses collègues.
01:15Il en est seulement à neuf.
01:16Voilà, il n'est pas...
01:19Voilà, ce n'est pas une bête de travail, on ne va pas se mentir.
01:24Voilà, c'est ce qui ressort.
01:25Alors, sachez qu'il était dans une sauce terrible ce week-end,
01:27parce que sur les réseaux, ça a été un déferlement.
01:29Mais c'est normal, parce que ce n'est pas acceptable.
01:30Mais il était dans une béarnaise, les mecs.
01:32Merci pour le béarnaise.
01:34C'est pas acceptable, parce que bien sûr,
01:37il va harguer de son statut d'ancien Président de la République avec un agenda,
01:41mais il n'y a plus d'agenda d'ancien Président de la République qui compte.
01:44Il est député de la Corrèze,
01:47et il vient donc de se faire porter pâle sur toute la séquence du budget.
01:52Qui est le moment le plus politique, le plus important à l'Assemblée nationale,
01:57en n'ayant participé à aucun vote sur les recettes,
02:02avec bien sûr le tumulte politique qu'on a suivi ?
02:04Il n'est pas là.
02:06Donc, c'est scandaleux.
02:07On le parait qu'à l'Assemblée, ils cherchaient François Hollande et ils ont fait
02:09« Mais tu n'es pas là ! »
02:12Et si je rêve, tant pis.
02:13Il n'est pas là, François Hollande, mais il est où ?
02:14Non, mais il a raison, Olivier, pardon.
02:16Non, mais c'est incroyable.
02:17Il a voulu revenir au centre du jeu,
02:19parce qu'on a dit qu'il avait été galvanisé par les sondages qui disaient qu'il était formidable
02:25et qu'il le remettait dans le centre du jeu.
02:27On a dit qu'il avait une ambition de revenir également pour 2027,
02:31et là, tout à coup, on ne le voit plus.
02:33Il n'est pas là, il n'est pas présent.
02:35Je vous dis, petite info, en tout cas, je discute avec pas mal de monde en ce moment,
02:38petite info, je pense que Gauthier, elle a même que moi,
02:41il compte quand même y aller en 2027, François Hollande.
02:44Mais il n'est là que pour ça.
02:45C'est ça, il est là que pour ça.
02:46Il faut le redire quand même, François Hollande compte se représenter en 2027.
02:50Rien n'est définitif, parce qu'il comptait aussi se représenter la dernière fois
02:53et il a renoncé au dernier moment.
02:55Julien Dray a activé tous les réseaux hollandistes pour que ce soit le cas,
03:00et ça n'a pas été le cas.
03:01Mais il n'est là que pour une raison,
03:03son ambition en vue de la prochaine présidentielle,
03:06pour sa petite vengeance personnelle avec Emmanuel Macron
03:09et pouvoir, dans un rêve fou, lui serrer la main sur le tapis rouge.
03:13Est-ce que vous pensez que François Hollande pourrait être président ?
03:16Non.
03:17J'ai envie qu'on fasse un petit jeu à 17h14.
03:19J'ai envie qu'on fasse un petit jeu aujourd'hui à 17h14, voilà.
03:21Mais que vous vous prononciez vraiment,
03:23c'est-à-dire que vous ayez un petit peu de cran, de courage.
03:27Il ne faut jamais dire jamais en politique que Mitterrand était donné mort politiquement avant...
03:34Je vous pose une question, laissez-moi finir,
03:35parce que depuis qu'il a mangé un tagine, il est parti comme une balle.
03:39On est le 28 octobre 2024.
03:43Il est 17h14, on est en direct.
03:46Si aujourd'hui, vous deviez prendre un risque et dire
03:49on fera ça tous les mois, le prochain président 2027, vous diriez qui ?
03:54Moi, je vais dire le mien, mais allez-y, vous.
03:56Vous mettez qui sur la ligne de départ, parce qu'il y en a beaucoup, là.
03:58Mais les mecs, c'est Bélaïm, arrêtez, on vous pose une question,
04:01c'est tout le monde, on ne sait pas, c'est votre intuition.
04:04Valéry Gauthier-Lebré, je suis sûr qu'il a une réponse,
04:06je pense qu'il a la même que moi, d'ailleurs.
04:07Aujourd'hui, pour différentes raisons, Édouard Philippe.
04:10Édouard Philippe, d'accord.
04:11Fabien Lequeuvre ?
04:13Moi, je dirais, j'hésite, entre deux noms...
04:15Non mais il faut en donner un, merci.
04:17Darmanin, d'accord, Gérald Darmanin.
04:20Valéry Benaym ?
04:20Édouard Philippe.
04:21Édouard Philippe, Gauthier-Lebré ?
04:23C'est compliqué, Marine Le Pen.
04:25Marine Le Pen, très bien.
04:27Très bien.
04:28Oui, bien sûr.
04:28Marine Le Pen.
04:29Très bien.
04:29Et vous ?
04:30Fabien Lequeuvre.
04:32Il faut un petit président pour une grosse bourse.
04:34Je peux faire la liste de tous ceux auxquels je ne crois pas
04:37et qui sont déjà sur la ligne de départ,
04:39mais affirmer avec certitude lequel finira à l'Élysée, oui, c'est un pari.
04:43Mais bien sûr, c'est un pari, dans un mois, peut-être, ça va bouger.
04:46Mais voilà, vous avez dit qu'il y a deux Édouard Philippe,
04:48un Marine Le Pen et un Édouard Darmanin.
04:50Édouard Philippe, je prends un pari,
04:51je dis qu'Édouard Philippe ne sera jamais président de la République.
04:53D'accord, très bien.
04:54Parce que c'est un jupéiste, que ça va se dégonfler,
04:57que je ne sens pas de lien charnel qu'il est en train de tisser avec les Français.
05:01Je ne sens pas une envie, une rage de conquérir le pouvoir.
05:05Et je me souviendrai toute ma vie de cette phrase de Nicolas Sarkozy qui dit
05:08« Une présidentielle est toujours remportée par celui qui veut le plus le pouvoir. »
05:12Alors que le téléphone de Valéry sonne et que...
05:15T'as une balle en soi ?
05:16Je l'ai vu, Valéry Benhaim, votre téléphone sonne.
05:20Qui c'est ?
05:21Je ne sais pas.
05:22C'est qui ?
05:23C'est un zéro aussi.
05:24C'est Édouard Philippe.
05:25C'est Édouard Philippe, c'est sûr.
05:26Merci de son intervention.
05:27Merci, c'est sûr.
05:28C'est Édouard Philippe, c'est sûr.
05:29Donc voilà, vous vous dites, c'était un petit jeu comme ça.
05:31Oui.
05:32Le chemin est long.
05:33Exactement.
05:34On va parler de François Hollande.
05:35Moi, j'ai une idée, mais je ne la dirai pas.
05:37Ah bah non !
05:38Vous ne pouvez pas...
05:39Vous êtes nécité ou pas ?
05:40Non, ça n'a pas été dit.
05:41Il faut jouer au jeu, Cyril.
05:42Vous même, vous créez un jeu et vous n'y participez pas ?
05:44Moi, je reste quand même un petit peu le chef.
05:46Oui, pardon.
05:47Je m'en bats.
05:48Est-ce que c'est un outsider ?
05:49Qu'est-ce que vous voulez, Fabien Leclerc ?
05:50Non, je voudrais juste rappeler que dans les élections présidentielles, on ne vote
05:53jamais pour un président, mais on vote contre quelqu'un.
05:55D'accord.
05:56On en a fait souvent l'expérience.
05:59Ce n'est pas toujours vrai.
06:00Le vote de Sarkozy en 2007 est un vote d'adhésion.
06:02Sarkozy en 2007, c'est un vote d'adhésion.
06:04Le vote d'Hollande en 2012 est contre Nicolas Sarkozy, mais le vote Sarko en 2007, Sarkozy
06:09est un vote d'adhésion.
06:10Et le vote Macron, c'est un vote d'adhésion, le premier.
06:12Je suis désolé.
06:13Pas le deuxième.
06:14Oui, le premier.
06:15Donc, vous dites n'importe quoi.
06:16Il y a débat.
06:17Sur le second tour, beaucoup ont voté Macron contre Marine Le Pen.
06:18Oui, mais quand même, c'était un vote d'adhésion quand même.
06:21Il y avait quand même beaucoup d'espoir.
06:22Il y a un phénomène.
06:23Arrêtez.
06:24Arrêtez.
06:25Moi, je n'aime pas les mecs qui salissent tout.
06:27Arrêtez.
06:28Emmanuel Macron, il faut dire la vérité.
06:31Moi, j'aime l'honnêteté.
06:32Arrêtez de dire des bêtises.
06:332017, Emmanuel Macron.
06:34Arrêtez.
06:35Il y avait un élan.
06:36Il y avait un élan.
06:37Arrêtez un peu.
06:38Il y avait un élan parce qu'il y avait François Fillon qui était en grande difficulté.
06:41Mais non, mais non.
06:42Arrêtez de dire des bêtises.
06:43Même quand il a été élu.
06:44Ne dites pas de bêtises.
06:45Quand il marque.
06:46Bien sûr.
06:47Il fait ça.
06:48La pyramide de Louvre.
06:49Mais bien sûr, c'était incroyable.
06:50Arrêtez.
06:51Tout le monde y croit.
06:52Beaucoup ont voté contre Marine Le Pen déjà en 2017.
06:53A gauche notamment.
06:55Il y a quand même une adhésion à Emmanuel Macron.
06:57À plus France 2022, ça c'est certain.
06:58Mais même.
06:59Il y a une adhésion à Nicolas Sarkozy.
07:00Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:01Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:02Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:03Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:04Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:05Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:06Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:07Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:08Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:09Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:10Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:11Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:12Il y a une adhésion à Emmanuel Macron.
07:14On a René qui voulait réagir à François Hollande.
07:17François Hollande qui n'a voté qu'une seule fois depuis la rentrée parlementaire.
07:20Oui René, merci d'être avec nous.
07:21René, bonjour.
07:22Oui, bonsoir Thierry, et bonsoir à notre équipe, à tout le monde.
07:26René, vous nous appelez, tiens, tous.
07:280180 20 39 21.
07:29Je voudrais avoir des auditeurs.
07:30Je voudrais qu'on fasse le jeu avec eux aussi.
07:32Ça va durer.
07:33Il faut que ça soit très rapide.
07:34À l'instant T pour vous, qui va être président en 2027.
07:37On va en parler dans un instant.
07:38C'est comme ça.
07:39C'est un petit jeu comme ça qu'on lance à 17h du midi.
07:42René, vous vouliez réagir sur François Hollande.
07:44Oui, je voulais réagir pour simplement dire que le ridicule ne tue pas.
07:49Le ridicule ne tue pas.
07:50Il a fait un quinquennat qui a été une parenthèse ridicule pour la France,
07:55pour notre pays, pour tout le monde.
07:57Ça a été une catastrophe.
07:59Et voilà, il veut jouer à quoi ?
08:01Il veut jouer à Giscard qui s'était représenté en 84 après sa défaite de 81.
08:07Voilà, je veux dire, c'est ridicule.
08:10Ça n'agrandit pas le pays.
08:14Vous voteriez pour François Hollande en 2027, René ?
08:17Jamais de la vie, jamais de la vie.
08:21Écoutez, j'ai 70 et 10 ans.
08:23J'ai 70 et 10 ans, je suis retraité.
08:25Je suis marseillais.
08:27Et à l'époque, c'était Gaston Buffer qui était socialiste.
08:29J'adore.
08:30Et on votait parce que tout le monde nous disait
08:32il faut voter Gaston Buffer, il est socialiste.
08:34Et puis après, il y a eu Mitterrand.
08:36Et puis à partir de 88, j'ai commencé à me dire
08:38ça parait un peu un sucette.
08:40Et puis après, c'est parti, vraiment, un sucette, voilà.
08:43Vous avez dit qu'il y avait une concouillette dans le potage, oui, c'est ça.
08:45Voilà.
08:46René, je ne vous demande pas pour qui vous voteriez,
08:50mais je vous demande votre pronostic.
08:52C'est un petit jeu comme ça qu'on fera tous les mois.
08:54Votre pronostic comme ça.
08:55Moi, il n'y a pas de soucis.
08:56Je n'ai aucun problème avec ça.
08:57Moi, ce sera Marine Le Pen.
08:58Moi, c'est tout.
08:59Je suis avec Marine Le Pen depuis qu'elle était au Côte d'Ivoire.
09:03Et puis voilà, c'est tout.
09:04Et je vais vous dire une chose.
09:06Finalement, j'ai été déçu au législatif quand ils n'ont pas eu la majorité.
09:11Finalement, je me dis que c'est bien.
09:13Vous pensez que c'est reculé pour mieux sauter ?
09:16Voilà, c'est reculé pour mieux sauter.
09:18Parce que je vais vous dire, il y aurait eu,
09:19bien entendu, la levée de boucliers de tout le monde, etc.
09:22On le voit, très bien, et tout.
09:25Notre Charleau de Macron,
09:27il se serait mis en première ligne en disant
09:30je vais vous protéger, ne vous inquiétez pas, etc.
09:33Ils auraient eu des batons dans les roues,
09:35mais ça n'aurait pas été bon.
09:36Voilà.
09:37Pour que ça soit le bon, il faut qu'il y ait une présidence.
09:40De la République, soit par Marine Le Pen,
09:43peut-être, on ne sait jamais,
09:44d'ici là, ça peut changer.
09:45Il faut qu'il y ait une présidence.
09:47Il faut qu'il y ait une présidence
09:48plutôt que d'avoir uniquement l'Assemblée nationale.
09:50Quand on voit ce qui se passe à l'Assemblée nationale,
09:53mais au moins...
09:54C'est compliqué, oui.
09:55Merci, René, d'avoir été avec nous sur Europe 1.
09:57Merci beaucoup.
09:58Il y a Sylvie qui voudrait réagir avec nous à 17h21 sur Europe 1.
10:01Sylvie, qui nous appelle de Gironde.
10:03Bonjour.
10:04Bonjour, Sylvie.
10:05Bonjour, je suis super contente d'être avec vous, Cyril.
10:09Merci, Sylvie.
10:10Avec les médias, avec tout le monde,
10:12parce que vous êtes vraiment exceptionnel.
10:14Ça me fait plaisir.
10:15Vous parlez pour nous,
10:17vous êtes notre voix à tous.
10:20Merci, Sylvie.
10:21Ce qu'on dit, ce qu'on pense,
10:24vous le dites publiquement.
10:26Bien sûr, malheureusement,
10:30vous avez beaucoup de détracteurs,
10:32mais vous êtes notre voix.
10:34Continuez comme ça.
10:35Vous voulez que je vous dise, Sylvie,
10:37j'ai beaucoup de détracteurs,
10:38parce que je pense aussi que
10:40l'immobilisme dans tous les domaines en France
10:43arrange énormément de monde.
10:45Et tous ceux qui veulent faire un peu bouger les choses
10:47et qui donnent une voix différente,
10:48on essaie bien entendu de les mettre sous un éteignoir.
10:52Et on essaie...
10:53C'est vrai, je vous le dis.
10:55On l'a vu,
10:56il y a beaucoup de gens qui ne veulent pas que ça change
10:58et qui ne veulent pas qu'on parle des vrais problèmes des Français.
11:01Et après, vous savez,
11:03on vous traite de démago,
11:04on dit les démago, etc.
11:05Mais voilà.
11:06En tout cas, on essaie de faire le maximum, Sylvie.
11:09Merci en tout cas d'être avec nous sur En Rempart, Sylvie.
11:11Ah mais vraiment,
11:12il y en a plus qu'assez de toujours entendre dire
11:14qu'on est complotiste, que ceci, que cela.
11:16Il y a toujours quelque chose pour dire
11:18qu'on n'a pas la bonne pensée, quoi.
11:21Enfin...
11:22Sylvie, sur François Hollande, c'est incroyable, hein ?
11:26Oui, c'est incroyable.
11:28Oui, c'est un champion.
11:29C'est vraiment un champion, lui.
11:30Ah non, mais complètement.
11:32Complètement.
11:33Après la catastrophe de son quinquennat,
11:37qu'il arrive, qu'il revienne,
11:39qu'il remette de ses cendres.
11:41C'est un phénix, quoi.
11:42Et qu'il arrive,
11:44mine de rien, à être un nouveau député.
11:47En plus, fier de lui.
11:49Et il ne met même pas les pieds à l'Assemblée nationale
11:52pour voter le budget.
11:53Comme ça, au moins, il ne risque rien.
11:56Et puis, il ne prend aucune position.
11:58Donc, du coup, il ne risque pas d'avoir
12:01quoi que ce soit comme problème plus tard.
12:04C'est sûr.
12:05Et puis, moi, je pense que les gens,
12:09quand ils...
12:12Je pense qu'ils devraient...
12:15Comment dire ?
12:20Je vous entends très mal, Sylvie.
12:23Ça va mieux ?
12:25Je reprends.
12:26Est-ce que vous m'entendez mieux, là ?
12:27Oui, Sylvie, juste.
12:28Est-ce que, pour notre petit jeu,
12:30vous pronostiquez ?
12:31Est-ce que vous m'entendez mieux, là ?
12:32Oui, je vous entends mieux, Sylvie.
12:33Pour notre petit jeu, vous pronostiquez qui, vous,
12:352027 ?
12:36Comme ça, pour rigoler.
12:382027 ?
12:40J'en ai absolument aucune idée.
12:43François Hollande !
12:45Non, surtout pas !
12:47Mes amis !
12:48Ni lui, ni Macron.
12:50Après...
12:51Moi, je...
12:52Franchement, j'aurais bien aimé que ça soit Marine.
12:55D'accord.
12:56Mais ça passera jamais.
12:58Jamais, jamais, jamais.
12:59Parce qu'il y aura toujours un front populaire
13:02contre la droite.
13:05Donc, j'en ai aucune idée.
13:07Moi, je vais vous dire,
13:09j'ai une idée,
13:11mais je ne vous l'ai pas encore donnée.
13:12J'ai une idée.
13:13Donnez-la nous.
13:14Non, je ne peux pas la donner.
13:15Je la donnerai peut-être tout à l'heure.
13:17Par contre, Fabien,
13:19ça serait excellent !
13:21Ça serait parfait.
13:23En plus, on n'aura pas besoin de l'Élysée.
13:25On fera juste une petite cabane pour lui.
13:26C'est un F8.
13:27Merci.
13:28Merci Sylvie d'avoir été avec nous sur Rampage.
13:30Je vous fais de gros bisous.
13:31Allez, merci.
13:32Appelez-nous 01 80 20 39 21.
13:35On va parler justement de la publicité
13:37pour le livre de Jordan Bardella
13:38qui ne sera finalement pas diffusée dans les gares.
13:40Dites-nous ce que vous en pensez.
13:4101 80 20 39 21.
13:42Et puis, continuez à nous appeler aussi
13:44pour notre petit jeu comme ça.
13:45On le fera tous les mois.
13:46Pour l'instant, on a deux Édouard Philippe,
13:48un Marine Le Pen,
13:49et on a un Gérald Darmanin.
13:51Exactement.
13:52Vous nous appelez 01 80 20 39 21.
13:54On a Marie Odile,
13:55on a Alain qui nous appelle dans un instant,
13:57on a Héloïse,
13:58et vous, Gauthier Lebray,
14:00vous avez donné votre pronostic, bien entendu.
14:02Mais vous, vous avez une idée de quel est mon pronostic ?
14:04Ne le dites pas, mais vous avez une idée.
14:06A tout de suite sur Rampage.