• il y a 2 mois
Le ministre a alors tenu un discours autoritaire : "je suis aujourd’hui à Cavaillon pour réaffirmer tout mon soutien aux policiers. Chaque fois que l’on mettra une cible sur le dos des forces de l’ordre, nous le chercherons sans relâche jusqu’à ce qu’il soit le plus sévèrement puni par la justice. L’État est là, l’État n’a pas peur."
Après l’incendie des voitures de police devant le commissariat de Cavaillon, mercredi matin, 80 CRS sont arrivés en renfort pour une durée de 3 jours. À leurs côtés, le nouveau ministre de la Sécurité du quotidien, Nicolas Daragon, a investi la cité du Dr Ayme en fin d'après-midi. Pour rappel, depuis 10 jours, plusieurs opérations dans ce quartier ont été menées et les interpellations ont été nombreuses. "On a mis un grand coup de pied dans la fourmilière et on pense qu’il y a un lien entre les trafiquants et ces voitures visées", soulignait notamment le préfet de Vaucluse, Thierry Suquet.

De son côté, le ministre a alors tenu un discours autoritaire : "je suis aujourd’hui à Cavaillon pour réaffirmer tout mon soutien aux policiers. Chaque fois que l’on mettra une cible sur le dos des forces de l’ordre, nous le chercherons sans relâche jusqu’à ce qu’il soit le plus sévèrement puni par la justice. L’État est là, l’État n’a pas peur." Quant aux auteurs de l'incendie, l'enquête est toujours en cours, mais "les recherches avancent bien", nous confiait un policier.

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