La fin des Jeux olympiques a sonné la fin de la "trêve politique" désirée par Emmanuel Macron avec un premier dossier à gérer pour le président de la République: la désignation d'un Premier ministre
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00:00En tout cas, sur l'efficacité du travail qui a été fait autour des Jeux,
00:03on parle de 9 ans de travail, de collaboration avec un président qui, à l'époque, n'était pas président de la République,
00:11quand on a commencé à travailler sur le sujet, mais effectivement, on a su dépasser l'éclivage
00:16pour un intérêt général qui était celui de livrer des Jeux Olympiques et Paralympiques qui sont à venir, exceptionnels,
00:22et pour les Jeux Olympiques, c'est une mission réussie.
00:25– Ça a été reconnu internationalement, d'ailleurs, il faut plutôt s'en féliciter.
00:27– Absolument.
00:28– Qu'est-ce qu'il veut dire, puisque vous étiez présent, vous l'avez entendu,
00:31qu'est-ce qu'il veut dire en disant c'est le vrai visage de la France qu'on a vu, Alain ?
00:34– Je ne vais pas répondre à la place d'Emmanuel Macron.
00:36– Non, mais vous avez votre propre interprétation, et c'est celle-là que je vous demande.
00:39– Oui, je pense qu'il veut dire qu'il y a un intérêt supérieur, parfois, qui nécessite de savoir s'entendre.
00:48Voilà, c'est comme ça que moi je l'ai interprété.
00:50Évidemment, ça a une dissonance, une consonance plutôt politique,
00:56dans le contexte actuel, qui revient dans l'actualité maintenant que les Jeux Olympiques sont finis,
01:01puisqu'il avait donné un calendrier, je crois, d'annonce d'un Premier ministre dans les jours qui viennent,
01:07mais je n'en sais pas plus que vous.
01:08– Il sera un peu retardé.
01:09– Non, il ne se passera probablement rien cette semaine en termes d'annonce.