• il y a 5 mois
Avec :
Emmanuel MANDON "Ensemble"
Angelina La Marca "Rassemblement National"

Loire circonscription 3 / Cantons de :
La Grand-Croix,
Rive-de-Gier,
Saint-Chamond Nord,
Saint-Chamond Sud,
Saint-Héand

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Transcription
00:00Bienvenue sur TL7, place au débat des candidats de la troisième circonscription,
00:10celle qui couvre essentiellement la vallée du Gier,
00:12donc en vue du second tour des élections qui auront lieu ce dimanche 7 juillet.
00:19Bonsoir Sylvain, merci d'être à mes côtés pour animer ce débat.
00:22Bonsoir Alice, bonsoir à toutes et tous.
00:25Effectivement, alors deux candidats en lice pour ce second tour.
00:29Résultat du premier tour, c'est Angelina Lamarcka
00:31qui est passée en tête pour le Rassemblement National, 40,89%.
00:35Bonsoir et bienvenue sur ce plateau.
00:37Emmanuel Mandon, député sortant élu en 2022 pour l'Ensemble, pour la République.
00:44Vous êtes arrivé en deuxième position, 29,11% des voix.
00:47Bonsoir et bienvenue à vous.
00:48Et puis Vincent Bonny était aussi qualifié pour le second tour,
00:51pour le Nouveau Front Populaire, arrivé avec 27,34% des voix,
00:55mais le maire de Rives-de-Gilles a choisi de se désister pour le second tour.
01:00Et justement, j'aimerais commencer par ça.
01:02Qu'est-ce que vous retenez des résultats de ce premier tour, Angelina Lamarcka ?
01:06Ce désistement de Vincent Bonny également.
01:09Alors déjà, je vous remercie pour votre invitation
01:10et je remercie tous les électeurs qui se sont déplacés pour voter,
01:13que ce soit pour M. Mandon, pour moi, M. Bonny.
01:18Ce que j'en retiens du désistement de M. Bonny, je trouve ça dommage.
01:22Je compare toujours une élection à une compétition sportive.
01:26Pour moi, on n'abandonne pas en demi-finale, on continue de se battre,
01:28ne serait-ce que pour ces électeurs qui se déplacent.
01:30C'est un respect. Les gens ont pris de leur temps pour aller voter.
01:34Certains ont fait des procurations.
01:36J'aurais aimé aussi affronter M. Bonny,
01:38parce que je n'ai pas eu cette chance il y a deux ans,
01:40lors des premières législatives où j'ai été éliminée au premier tour.
01:44Voilà, j'aurais aimé affronter mes deux opposants
01:46parce que nous avons trois programmes différents.
01:48Donc voilà, j'aurais aimé qu'on s'affronte sur nos programmes.
01:50Est-ce que ce désistement change un peu la stratégie pour vous d'entre deux tours ?
01:53Non, ma stratégie reste la même. Je fais confiance aux électeurs.
01:56Après, M. Bonny a appelé à voter pour M. Mandon.
02:00C'est son choix. Voilà, c'est son choix.
02:01Nous, Rassemblement national, nous n'avons pas fait de choix stratégiques
02:06en cas de deuxième tour.
02:09Et nous maintenons le même cap.
02:10Emmanuel Mandon, vous avez clairement remercié Vincent Bonny de se désister.
02:15Je l'ai remercié pour son attitude responsable et digne.
02:19Et je sais que c'est toujours compliqué.
02:20Il m'est arrivé moi-même de me retirer dans une élection.
02:24Je pense qu'on agit en son âme et conscience.
02:27Et je trouve que c'est la liberté d'un candidat.
02:32Vous savez, quand on fait règle de candidature, on met beaucoup de soi-même.
02:36Mais aussi, on n'est pas déconnecté des enjeux majeurs.
02:41Parce que là, c'est une élection nationale.
02:43Ce n'est pas que des enjeux locaux,
02:45même si on doit être bien implanté dans son territoire.
02:48Et donc, c'est pour ça que je retiens, je respecte la position.
02:52Je n'ai pas eu de discussion de tractation à mener.
02:55Et je dis simplement, je prends acte.
02:57Et c'est vrai que cette décision, je la trouve très responsable.
03:01Et elle permet de bien poser le cadre.
03:03Nous avons aujourd'hui un vrai enjeu de société.
03:07Je suis désolé, le projet du Rassemblement national n'est pas le rassemblement
03:12qu'on veut pour les Républicains, pour les Démocrates,
03:16pour celles et ceux qui sont les héritiers de valeurs,
03:19celles qui ont fait la République.
03:21Et ça, c'est très important de souligner.
03:24Génial, Marc, on va peut-être apprendre à vous connaître un peu mieux.
03:26Vous étiez déjà candidate en 2022.
03:29Trois mots pour définir votre engagement politique.
03:32Je suis quelqu'un de très déterminé, de local.
03:35Et je tiens à avoir une proximité avec les gens de ma circonscription.
03:38Comprenez ce que vient de dire Emmanuel Mandon sur le fait que
03:40tous s'allient pour faire barrage au Rassemblement national ?
03:43Je comprends, c'est le jeu de la politique.
03:45Voilà, c'est le jeu de la politique.
03:46Aujourd'hui, ce que je trouve dommage, c'est d'en arriver à ce qu'on appelle
03:50des tambouilles politiciennes pour faire barrage au Rassemblement national.
03:53Aujourd'hui, si le Rassemblement national fait de si hauts scores,
03:56alors certes, il y a la vague Jordane Bardella qui représente
03:59ce nouveau visage politique, j'ai envie de dire,
04:01cette jeunesse qui s'engage en politique.
04:04Mais je pense qu'il y a aussi un vote de ras-le-bol et qu'il faut écouter nos électeurs.
04:08Et quand moi, je vois que j'ai 28 000 personnes,
04:10plus de 28 000 personnes qui ont voté Rassemblement national,
04:13ils n'ont pas voté qu'Angeline Alamarka, ils ont voté le parti.
04:17Alors, il y a le vote des valeurs, des idées, du programme,
04:20mais il y a aussi ce vote de ras-le-bol et je l'entends et je l'écoute.
04:24Emmanuel Mondon, la majorité présidentielle, Emmanuel Macron,
04:26n'a pas su entendre le ras-le-bol pour qu'on soit là aujourd'hui ?
04:30Non, le problème, il se pose autrement.
04:31Vous avez, c'est vrai, des difficultés internationales, nationales.
04:36Il y a un vote sanction, c'est classique.
04:38Malheureusement, dès qu'un gouvernement est en place,
04:40on sait très bien que derrière, il y a la sanction.
04:44C'est notre pays qui fonctionne ainsi.
04:46Moi, je déplore, c'est vrai, un principe institutionnel
04:49qui est trop vertical, trop descendant.
04:52Je crois beaucoup au parlementarisme.
04:54Je sais que le pouvoir du gouvernement,
04:57il se tire de l'Assemblée nationale et du Sénat.
05:01Donc, il faut qu'on en tienne compte.
05:02C'est ce qui va se passer dès demain.
05:04Par contre, il faut affronter la crise, la crise sous toutes ses formes.
05:08Et là, il faut être responsable.
05:09Je pense qu'il faut, d'ailleurs,
05:12c'est là que l'expérience peut jouer.
05:14Et parce qu'on aura besoin d'arbitrer et de gérer des situations très difficiles.
05:20Après, l'ancrage local, c'est pas dire qu'on a une identité locale.
05:25C'est surtout une façon de travailler avec les gens.
05:28Moi, j'ai travaillé pendant deux ans avec tous les maires,
05:31quelle que soit leur sensibilité.
05:33Je l'ai fait avec tous les agriculteurs, les acteurs économiques.
05:38Et voilà, c'est ça, l'ancrage local.
05:40Et ça nourrit une réflexion pour une action politique
05:44où on n'est pas dans la rupture,
05:45où on ne va pas ostraciser un certain nombre de Français.
05:49Et je crois que c'est là où il y a un problème
05:51dans notre façon de faire de la politique.
05:53Ce n'est pas que de la communication.
05:54On n'est pas que dans l'origine de la séduction.
05:57Il faut qu'on assume nos responsabilités.
05:59Justement, Angelina Lamarcka, comment vous comptez concilier
06:05justement ces intérêts divergents sur votre territoire ?
06:08Déjà, oui, il y a un ancrage local, pour répondre à M. Mandon.
06:12Avec les élus, c'est sûr.
06:13Mais moi, j'écoute la voix des élus,
06:15mais j'écoute notamment la voix du peuple.
06:17Et quand je vois que dans les urnes, le peuple se prononce,
06:19je ne peux pas compter que sur le soutien des élus.
06:22On a besoin du peuple.
06:23Enfin, pour moi, c'est certes.
06:24Il y a un travail à l'Assemblée nationale à faire.
06:27Mais leurs problématiques, c'est eux qui nous les font remonter.
06:29On ne peut pas juste se rendre dans les mairies.
06:32On doit se rendre auprès de tous et de tout le monde.
06:35Aujourd'hui, moi, je suis là, je suis prête à entendre leur voix
06:37et à faire remonter leurs problématiques.
06:38Et justement, si vous êtes élue députée,
06:40comment vous ferez sur le terrain ensuite
06:42pour concilier tous ces avis, tous ces intérêts ?
06:46Tout le monde n'aura pas voté pour vous.
06:48Il faut écouter tout le monde.
06:49J'irai écouter tout le monde, même des gens qui ne votent pas pour moi
06:51et qui, je pense, n'aiment pas le Rassemblement national.
06:53C'est normal. Aujourd'hui, il faut tout pour faire un monde, comme je dis.
06:56Mais je serai à l'écoute de tous.
06:57J'irai, je continuerai d'aller sur les marchés.
06:59J'irai voir nos agriculteurs, j'irai voir nos grosses entreprises,
07:01j'irai voir nos élus, parce que nos élus aussi sont là
07:03pour nous faire remonter les problématiques locales.
07:06Mais voilà, je serai à l'écoute vraiment de tout le monde.
07:08Emmanuel Mandon, on a choisi d'organiser des débats assez restreints.
07:11On ne pourra pas couvrir l'ensemble des problématiques.
07:13Mais s'il y avait une priorité, un vrai grand défi
07:16pour cette troisième circonscription de la loi, quel serait-il ?
07:20Et puis, comment compteriez-vous l'affronter, ce défi, le relever ?
07:25Le défi majeur, pour moi, bien sûr,
07:29c'est celui d'être porteur et défenseur de son territoire
07:33et d'agir et de prendre des décisions non sur des décisions partisanes.
07:38Comme je le vois, les injonctions d'un parti qui fracturent,
07:41c'est le cas de votre parti, et j'en suis désolé, il faut que vous l'assumiez.
07:45Et ce n'est pas simplement faire de l'attrape-tout comme on le voit,
07:49parce que ce qui caractérise finalement le vote que vous avez capitalisé,
07:52c'est un vote attrape-tout.
07:54Et simplement, ça fait beaucoup de déçus derrière.
07:56Ça, je le sais d'expérience.
07:58Donc, il faut assumer vos contradictions
08:01et le fait que vous avez changé votre discours sur beaucoup de choses.
08:05Et ça, ce n'est pas possible.
08:06Et deuxièmement, il y a des fondamentaux sur lesquels on ne peut pas renoncer.
08:11La République a été bâtie et c'est un héritage que nous avons en nous.
08:16Et je trouve qu'il y a une très grande légèreté dans votre manière de prendre les choses.
08:20Alors, non, je ne suis pas d'accord avec vous.
08:22Vous parlez de République,
08:24mais aujourd'hui, quand on voit que la majorité présidentielle s'allie à la gauche,
08:28la gauche qui brûle des drapeaux français,
08:30vous trouvez ça républicain, vous trouvez ça démocratique ?
08:33Aujourd'hui, on voit la majorité présidentielle appeler à voter l'extrême gauche.
08:39Et je rappelle qu'ils brûlent nos institutions,
08:42qu'ils brûlent nos drapeaux, crachent sur notre pays.
08:45Alors là, le Rassemblement national, nous, on s'impose.
08:48Et oui, nous sommes patriotiques et nous sommes fiers d'être patriotes.
08:51Nous sommes fiers de porter notre drapeau.
08:54Et je ne prends rien à la légèreté.
08:56Au contraire, j'entends toutes les problématiques.
08:58General Amarka, le défi pour vous, principal, sur cette troisième circonscription ?
09:02Pour moi, c'est le pouvoir d'achat.
09:04Concrètement, quand on fait les marchés,
09:06quand on parle avec les personnes qui sont présentes,
09:09on sent qu'il y a un réel problème, on le sent.
09:12Et on nous dit aujourd'hui, on ne nous apporte pas de solution.
09:14Alors, j'entends la majorité présidentielle qui nous dit,
09:17on a bloqué les prix sur l'énergie,
09:18on a appliqué le panier des 100 produits de première nécessité.
09:23C'est très bien tout ça, mais il va falloir continuer.
09:25Pourquoi on ne détaxe pas cette énergie ?
09:27Pourquoi on n'arrive pas à mettre un taux à 5,5% ?
09:30Alors, on nous parle d'un budget.
09:32Je suis entièrement d'accord.
09:33Je suis entièrement d'accord.
09:34Mais pourquoi d'autres pays l'ont fait ?
09:35Pourquoi la France n'est pas capable de se positionner ?
09:37Parce qu'on nous sort des chiffres.
09:38Il n'y a aucun problème.
09:39Mais aujourd'hui, le français...
09:42Moi, je le vois quand je fais mes comptes à la fin du mois.
09:45On a beau me dire, oui, mais la France étant détée de 3 000 milliards,
09:49c'est très bien, mais moi, c'est mon compte en banque.
09:52C'est mon compte en banque.
09:53Non, mais voilà, ce que je veux dire, c'est que c'est bien de nous sortir des chiffres.
09:57Mais aujourd'hui, nos citoyens ont besoin de savoir ce qu'il leur reste à la fin du mois.
10:02Et c'est là la vraie problématique.
10:04On ne peut pas leur dire, oui, on a mis des chèques énergie.
10:06Oui, on a fait ci. Oui, on a fait ça.
10:07Parce qu'au final, le problème n'est pas réglé et il est toujours présent.
10:10Il est même pire.
10:11Le pouvoir d'achat, donc, est très concrètement.
10:13En tant que député, comment vous allez y faire face ?
10:16Déjà, nous allons appliquer Jordan Bardella.
10:18Elle a dit tout de suite, s'il est élu Premier ministre,
10:21la première mention qu'il faudra voter, c'est la baisse de l'énergie.
10:24Voilà, détaxer, mettre à 5,5%.
10:27En tout cas, on n'a pas d'autre choix.
10:29Il va falloir agir sur ce pouvoir d'achat.
10:31C'est dommage que vous n'utilisiez pas tous les leviers.
10:35Une politique économique, ça se gère avec la question fiscale.
10:40Vous jouez que sur la TVA, mais vous avez d'autres indicateurs.
10:44On peut inciter les entreprises à déverrouiller, notamment la rémunération.
10:49Jusqu'à 1 600 euros sur le SMIC.
10:51Si c'est prévu, c'est bien.
10:53On veut augmenter de 10% les salaires en enlevant ces 10%
10:56des charges patronales, en bloquant les cotisations patronales.
10:59Oui, je dis simplement qu'on a plusieurs leviers sur une politique économique,
11:03de même que la revalorisation des retraites, etc.
11:06Et il ne faut pas faire le procès d'intention,
11:09à dire que les choses vont s'arrêter.
11:10Pas du tout. Qui a dit ça ?
11:12Il y a des mesures qui ont été annoncées.
11:14J'ai entendu Gabriel Attal de manière très précise.
11:18Et aussi, il y a des choses qui ont été faites et qui ne s'arrêtent pas.
11:21C'est pas parce qu'il y a une dissolution de l'Assemblée nationale
11:23que les dispositifs ne fonctionnent plus.
11:25Et quant à l'énergie, il y a une remise à plat au niveau européen.
11:28Vous l'avez vu, c'est une décision qui va bénéficier à tout le monde.
11:32C'est une baisse assurée du prix de l'électricité de 15%.
11:37Donc là, je crois qu'il ne faut pas non plus faire campagne
11:40en ne tenant pas compte des fondamentaux.
11:42Il y a des choses qui ont été décidées,
11:43il y a des choses qui seront appliquées et vous verrez les résultats.
11:46Emmanuel Mandon, qui pour vous doit être Premier ministre au lendemain du 7 ?
11:51Eh bien, je vous répondrai que ce Premier ministre,
11:53il doit être le fruit de ce qui se passera dans les urnes.
11:57On sait déjà que l'Assemblée nationale sera...
11:59Vous savez, moi, je constaterai quelle est la composition de l'Assemblée nationale.
12:04Vous savez, ça se fait tout de suite.
12:06Lorsqu'il y a plein de choses qu'on vous demande quand vous êtes député,
12:09on vous demande à quel groupe vous adhérez.
12:11Et c'est à ce moment-là que nous constaterons
12:13la composition de l'Assemblée nationale.
12:14C'est très important de tenir compte de ce panel que nous aurons,
12:18qui est le fruit de la représentation et du vote des Français.
12:21Est-ce qu'il y a quand même une personne providentielle qui pourrait réunir...
12:23Ah non, je ne crois pas à la personne providentielle.
12:25Vous savez, l'homme providentiel, c'est le grand défaut que nous avons dans ce pays.
12:29L'intelligence est collective et je crois au contraire qu'on doit travailler autrement.
12:33C'est notre gros défaut dans ce pays,
12:36à tout attendre d'en haut et d'un homme providentiel.
12:38Angelina Lamarcka, qui doit être Premier ministre ?
12:41Si le Rassemblement national obtient la majorité, sans hésiter, Jordan Bardella.
12:46Aujourd'hui, il propose un programme de Premier ministre.
12:48Quelle députée vous serez si vous êtes élue ?
12:50Une députée de proximité.
12:52Merci beaucoup. Il va être temps de conclure à présent.
12:55Vous avez une cinquantaine de secondes chacun pour vous adresser au téléspectateur face caméra.
12:58Nous avons tiré au sort juste avant.
13:00Et c'est Angelina Lamarcka qui va commencer, conclure en premier, avant Emmanuel Mondeau.
13:05Très bien. Alors, chers électeurs, dimanche aura lieu le deuxième tour de l'élection législative.
13:12Ce deuxième tour est un enjeu national qui aura des répercussions locales.
13:16Je sais que mon opposant a appelé à voter la majorité présidentielle.
13:21Aujourd'hui, nous sommes dans sept ans de chaos.
13:24Aujourd'hui, pour moi, j'incarne concrètement ce grand remplacement.
13:28J'espère avoir vos voix.
13:30En tout cas, sachez-le, je serai une députée de proximité et je serai là pour tous vous écouter.
13:35Merci beaucoup. Emmanuel Mondeau, vous pouvez conclure.
13:39Oui, je vous remercie. D'ailleurs, je trouve que ce débat est intéressant
13:42et j'ai eu à cœur, dans cette campagne très rapide, peut-être trop rapide, de marquer...
13:48Vous pouvez vous adresser à vos téléspectateurs, à vos électeurs, juste ici.
13:51Je tiens vraiment à dire que je serai un élu assidu, d'abord,
13:56dans ma mission de député à l'Assemblée nationale, en commission, dans l'hémicycle.
14:02Je serai également un député présent sur le terrain, à l'écoute de tous,
14:06comme je l'ai toujours fait, et de tous les acteurs, toutes les forces vives.
14:10Et je crois que c'est cette alchimie particulière qui permet d'avoir son indépendance d'esprit
14:16et en même temps son sens des responsabilités, parce que la situation que nous aurons à gérer
14:22va demander beaucoup d'enjeux, beaucoup d'expérience, beaucoup d'implications personnelles,
14:26mais aussi d'humilité. La politique, ce n'est pas simplement de l'image ou de la séduction.
14:32Merci beaucoup. Merci à tous les deux d'avoir participé à ce débat.
14:36Merci Sylvain de m'avoir accompagné pour ce débat de la troisième circonscription.
14:40Bonne soirée sur TL7 et merci de votre fidélité.

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