Divine Kinkela a été victime d'insultes racistes par des sympathisants du Rassemblement national. La scène a été filmée et diffusée dans le cadre d'un reportage de l'émission Envoyé spécial. Ce jeudi soir sur notre antenne, il a affirmé que "les postes ministériels" devaient être détenus par des "franco-français", ciblant notamment Najat Vallaud-Belkacem et sa double-nationalité franco-marocaine. Gabriel Attal a réagit à ces polémiques.
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00:00On a vu Divine, on a vu récemment un jeune, fils d'un cadre du Front National, interpellé pour agression homophobe et qui a déclaré, je cite,
00:07vivement dans trois semaines, sous-entendu après les élections législatives, on pourra, je cite, casser du PD comme on veut. Voilà, c'est ça qui
00:14est malheureusement libéré par ces parties qui tolèrent grâce à des discours, avec des discours de stigmatisation,
00:21ces propos et ces actes. Moi je pense que notre responsabilité c'est de se dresser contre ça. Et on l'a encore vu malheureusement hier sur la question
00:27des binationaux,
00:28le Rassemblement National reste un parti qui veut trier nos concitoyens selon
00:33leurs origines ou leurs races. On voit bien que depuis quelques jours ou quelques semaines, effectivement, il y a une forme de
00:38libération d'actes, de propos et malheureusement parfois d'agressions qui, je crois, est liée aux discours qui sont véhiculés par le Rassemblement National.