La scène ne pouvait pas échapper aux caméras qui filment en permanence le Premier Ministre et se retrouver sur les réseaux sociaux où elle fait le buzz depuis quelques heures. En déplacement hier au Perreux-sur-Marne dans le Val-de-Marne, Gabriel Attal a été interpellé dans la rue par un homme qui lui a expliqué, à sa façon et avec ses mots, qu'il n'en pouvait plus d'Emmanuel Macron !
Alors que un des passants s'arrête pour lui serrer la main, cette personne lance ainsi au Premier Ministre :
"Vous, vous êtes bien ! Mais il faudra dire au président qu'il ferme sa gueule!" Loin de s'émouvoir de la réaction de ce passant, Gabriel Attal lui a répondu : "Vous savez, là, c'est une élection législative, on vote pour le Premier ministre. On compte sur vous pour le 30 juin"."
Mais l'homme qui a interpellé ainsi le Premier Ministre, ne souhaite pas en rester là, et souhaite préciser sa pensée:
"Comprenez-moi, vous, vous êtes bien! Vous étiez même très bien dans l'Éducation nationale. Mais alors, le président, c'est lui qui nous fout dans la merde! Bon courage !" Et de préciser dans une dernière phrase : "C'est à vous que je dis bon courage!"
Alors que un des passants s'arrête pour lui serrer la main, cette personne lance ainsi au Premier Ministre :
"Vous, vous êtes bien ! Mais il faudra dire au président qu'il ferme sa gueule!" Loin de s'émouvoir de la réaction de ce passant, Gabriel Attal lui a répondu : "Vous savez, là, c'est une élection législative, on vote pour le Premier ministre. On compte sur vous pour le 30 juin"."
Mais l'homme qui a interpellé ainsi le Premier Ministre, ne souhaite pas en rester là, et souhaite préciser sa pensée:
"Comprenez-moi, vous, vous êtes bien! Vous étiez même très bien dans l'Éducation nationale. Mais alors, le président, c'est lui qui nous fout dans la merde! Bon courage !" Et de préciser dans une dernière phrase : "C'est à vous que je dis bon courage!"
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00:00— Bonjour. Je vous serais d'avance parce que vous, vous êtes bien. Mais il faudra que je reprise. Donc on ferme ça. — C'est ça.
00:06— Bon. Vous avez compris ? — Oui. Vous savez, là, c'est une élection... Là, c'est... C'est une élection législative qu'on prend du vote pour le Premier ministre.
00:14— Non. Comprenez-moi. Vous, vous êtes bien. Vous êtes très bien dans l'éducation nationale. Pour l'instant, ça va bien. Mais alors le Président, c'est lui qui nous fait dans la merde. C'est tout.
00:25— Allez. Bon courage. C'est à vous que je dis bon courage. D'accord ? Mais c'est une élection législative. On prend du vote pour le Premier ministre.
00:34— Voilà. OK. Allez. Au revoir. — Merci beaucoup. — Au revoir, monsieur.