C'est l'événement ! Dès ce lundi 17 juin et pour deux semaines, Cyril Hanouna fait son retour sur Europe 1 avec sa nouvelle émission "On marche sur la tête". Entouré de ses chroniqueurs, il revient sur l'actualité politique. Avec Manuel Valls, ancien première ministre, ils reviennent sur la candidature de François Hollande pour les élections législatives en Corrèze.
Mais avec Cyril Hanouna, les auditeurs ont également la parole ! Pour réagir, n'hésitez pas : 01.80.20.39.21
Retrouvez "On marche sur la tête" sur : http://www.europe1.fr/emissions/on-marche-sur-la-tete
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00:00François Hollande, bien sûr, qui a été président. On se rappelle plus de son premier ministre, qui est avec nous aujourd'hui, que de lui président.
00:06C'est ça qui est fort. Bah oui, je vous le dis, c'est vrai. Vous avez eu la chance d'être le premier ministre de François Hollande.
00:10Merci Manuel Valls d'être avec nous, c'est un bonheur de vous avoir.
00:12Ça commence bien.
00:13Bah oui, je suis très heureux de vous avoir. Et je le dis, François Hollande, c'est incroyable.
00:18C'était une des grandes annonces du week-end. Samedi matin, il était à Tulle, donc il était chez lui, tranquillement, il n'a pas pris son scooter et ses croissants.
00:25L'ancien président de la République, François Hollande, a annoncé au journal La Montagne
00:30On espère qu'il ne va pas l'aggravir, sa candidature aux législatives sur la première circonscription de la Corrèze pour le Parti Socialiste, soutenue par le nouveau Front Populaire.
00:38Voici ce qu'il a déclaré.
00:39« Si j'ai pris cette décision, c'est parce que j'ai estimé que la situation était grave, plus qu'elle ne l'a jamais été grave, parce que le danger représenté par l'extrême droite est aujourd'hui avéré.
00:48Jamais l'extrême droite n'a été aussi proche du pouvoir depuis la libération. »
00:52Le Front Populaire, ça ne le dérange pas, bien sûr. On vient d'en parler à NPA, à Philippe Poutou, ça ne lui dérange pas tout ce qu'a dit la France Insoumise après le 7 octobre.
01:00Tout ça, François Hollande, ça, il n'en parle pas, il s'en fiche totalement.
01:04Juste, Manuel Valls, quand vous avez appris ça, franchement, est-ce que vous vous êtes dit « ce n'est pas le François Hollande que j'ai connu, ça n'est pas possible » ?
01:11Je n'ai pas été très étonné, au fond, parce que le fait qu'il ait déclaré deux jours avant, au journal de TF1, son soutien au Nouveau Front Populaire, témoignait sans doute, ce que je peux comprendre d'ailleurs, d'une certaine manière, de l'envie de s'impliquer davantage.
01:30Et il le fait en étant candidat.
01:33Nous sommes dans un moment très particulier, en écoutant vos commentaires ou l'auditeur qui vient d'appeler, on sent bien qu'on est peut-être à la fin d'un cycle, dans un moment de basculement.
01:43Je ne sais pas d'ailleurs très bien comment le qualifier.
01:46Je crains d'ailleurs les tensions, les pulsions qui peuvent sortir de toute cette période.
01:51Bien sûr, le peuple français est un grand peuple, nos institutions sont solides, nous sommes un pays démocratique,
01:57mais on sent bien qu'on est dans quelque chose de totalement nouveau, qu'on fond le président de la République par sa décision.
02:03Le peuple va voter, mais a ouvert aussi une boîte de Pandore.
02:07On ne sait pas très bien comment tout cela va se terminer.
02:10Je ne parle pas seulement des élections législatives, mais des conséquences de ces élections.
02:14Donc, que chacun s'engage à sa manière, ça me paraît logique, mais pour répondre très franchement à votre question, ce qui ne va pas, c'est la cohérence.
02:24C'est moi que j'ai à la fois respect et affection pour François Hollande, j'ai été son ministre et son premier ministre,
02:31et j'essaie là de ne pas disqualifier les gens.
02:34Il a le droit d'être candidat, qui plus est en Corrèze.
02:37En plus, l'élection n'est pas faite, donc il y a aussi une part de risque.
02:40Donc ça, je le respecte parfaitement.
02:42Mais ce qui ne va pas, c'est de le faire sous la bannière du nouveau...
02:46On n'a pas compris l'air.
02:47Non, moi je crois que c'est une erreur, c'est une faute.
02:51D'abord celle du Parti Socialiste, bien évidemment, mais aussi de sa part,
02:56parce qu'il se retrouve avec des gens qui ont brisé en partie son quinquennat,
03:03qui se sont opposés à sa politique, avec un programme, c'est ça le plus important,
03:08qui est totalement contraire à ce qu'il pense sur l'économie, sur la sécurité,
03:13sur la meilleure manière de lutter contre l'antisémitisme, etc.
03:18Puis avec des personnages qui me paraissent extrêmement dangereux,
03:21qui ont la même bannière que vous.
03:23J'étais l'un des premiers à dénoncer le fait que Philippe Poutou,
03:27le leader du NPA, cette organisation qui considère que le 7 octobre
03:30est un acte de résistance, ou que la police tue,
03:33soit candidat au nom de ce conglomérat dans la circonscription de Trèbes.
03:39Alors justement, François Hollande, on s'est un petit peu documenté,
03:42et on a vu un truc sur l'Huffington Post, où François Hollande,
03:45en fait, il n'a fait que fracasser la DUPES depuis 2022.
03:49Écoutez, on vous a fait une petite compile, regardez.
03:52Pour qu'elle soit conquérante, pour qu'elle soit victorieuse cette union,
03:56il faut qu'elle soit équilibrée.
03:58On oblige des candidatures uniques, mais les électeurs, ils ont quand même le choix.
04:01Ils peuvent se dire, si je ne veux pas de la France insoumise,
04:04je peux peut-être avoir du socialiste, ou du communiste, ou de l'écologiste.
04:07Là, on les prive de ce choix-là.
04:08L'union, il faut toujours la chercher.
04:10Mais ça doit être une union pour gagner et gouverner.
04:14Ce qui n'est pas le cas aujourd'hui.
04:16Le programme de la DUPES est un programme que j'estime infaisable,
04:20inapplicable, au sens où, si on prend chaque mesure en particulier,
04:25aucune ne me gêne, mais toutes, globalement, elles rendent impossibles.
04:29Ce n'est pas possible, compte tenu de ce qu'est le niveau de la gauche,
04:31d'accéder à la majorité.
04:33Vous ne leur donnez pas très longtemps à vivre ensemble ?
04:35Je pense qu'à ce niveau-là de la querelle, il vaudrait mieux vivre séparés.
04:40Je suis venu ici pour vous annoncer ma candidature
04:43pour la première circonscription de la Corrèze.
04:46Si j'ai pris cette décision, c'est parce que j'ai estimé que la situation était grave.
04:50La clarté est toujours la meilleure ligne.
04:53Si j'ai pris cette décision, c'est que j'avais besoin de remontrer ma ganache.
04:57Et de revenir sur le devant de la scène.
04:59Il est 16h45, on est sur Europe 1.
05:01Réagissez 0-1-80-20-39-21.
05:04Si on marche sur la tête, on est sur Europe 1.
05:07On marche sur la tête de ce week-end avec François Hollande
05:10qui va investir Corrèze en tant que candidat
05:14avec la bannière Front populaire
05:16auprès de gens peu recommandables.
05:19Mais François Hollande, ça ne le dérange pas.
05:21Il y a aussi Raphaël Arnaud, l'antifa lyonnais
05:24qui est très violent.
05:27François Hollande va concourir.
05:31Mais c'est vrai que les frondeurs ont percuté son quinquennat.
05:33Notamment au moment de la loi Travail
05:35sur laquelle il s'était opposé.
05:38Et aujourd'hui, François Hollande se retrouve avec
05:41ce programme anti-libéral au dernier degré
05:44alors que des frondeurs sont venus percuter son quinquennat
05:47et qu'il les a toujours critiqués.
05:49C'est ça qui est hallucinant d'un point de vue de la cohérence.
05:51Géraldine Meunier, est-ce que François Hollande va revenir dîner chez vous ?
05:53Franchement, c'est impossible.
05:55C'est impossible.
05:57Même pas un petit tour de dos ?
05:59Franchement, j'ai entendu Manuel Valls avec attention.
06:02Invitez Manuel Valls, il viendra avec plaisir.
06:05C'est l'endroit où il faut être, j'ai l'impression.
06:08Il n'y a que nous qui n'avons jamais été invités chez Géraldine Meunier.
06:11Je n'ose pas vous inviter, Cyril.
06:13Mais c'est une faute politique majeure, mais vraiment une faute morale.
06:16Moi, si j'étais socialiste, je serais honteuse.
06:19Je serais écœurée. Je trouve que c'est incroyable de faire ça.
06:22Pour une sorte de petit tambouille et petit destin personnel.
06:25Mais il vaut mieux faire 4% seul que 30% mal accompagné
06:28à des gens aussi sulfureux.
06:30On fait la liste de ce qui est dans le franc populaire.
06:33Il y a de l'antisémitisme, il y a de l'antifligue, il y a de l'anti-blanc,
06:36il y a de l'indigéniste, il y a de l'anti-français, il y a de l'anti-laïcité.
06:39C'est juste incroyable.
06:41Sans parler de la bordélisation pendant deux ans auxquelles on a assisté.
06:44Donc franchement, Manuel Valls, j'aimerais que vous me disiez.
06:47Le parti socialiste, est-ce que c'est un parti qui est définitivement malade ?
06:51Parce que finalement, la SFIO, ça a donné les collaborateurs.
06:54Mitterrand était ami de Bousquet.
06:56Comment on peut être socialiste aujourd'hui ? C'est juste indigne.
06:59Il y a une part aussi qui est de la responsabilité
07:02des conséquences de la dissolution.
07:04C'est-à-dire que ceux qui auraient pu,
07:06ce n'est pas pour les excuser, je dis ça,
07:08qui auraient pu sur la base du résultat de Glucksmann,
07:10reconstruire quelque chose,
07:12ont été pris de court.
07:14Je le dis en passant, ça n'excuse rien,
07:16mais en tout cas, c'est ce constat.
07:18Ce qui moi me choque le plus, c'est qu'on ment.
07:22D'abord on ment parce que
07:24le Nouveau Front Populaire ne va pas gagner, ne peut pas gagner.
07:27Donc du coup, on accepte qu'ils disent n'importe quoi
07:30dans la démagogie.
07:32Vous êtes sûr que le Front Populaire ne peut pas gagner ?
07:34Je crois qu'ils ne le pensent pas, eux.
07:36300 milliards de dépenses qui ruineraient la France.
07:40En matière de sécurité et d'immigration,
07:45on assiste à une régression totale.
07:47On désarmerait aujourd'hui les forces de sécurité
07:50et on ouvre les vannes du pays.
07:52Rien sur le nucléaire, sur l'énergie nucléaire.
07:55Rien sur la défense.
07:58On a trouvé des mots, des phrases
08:02pour définir ce qu'est le Hamas
08:04ou la lutte contre l'antisémitisme.
08:06On a repris le mot d'islamophobie
08:09qui est quand même très connoté.
08:11Bref, des concessions qui sur le fond,
08:14les propositions et les valeurs
08:16me paraissent extrêmement dangereuses.
08:18J'avais parlé à l'époque des gauches irréconciliables.
08:22Non pas qu'elles ne pouvaient pas se réconcilier
08:24sur des accords d'appareil, la preuve.
08:26C'était le cas il y a deux ans avec le NUPES
08:28et aujourd'hui avec le Nouveau Front Populaire.
08:30Mais sur le fond, je pense que les Français...
08:32Il y a une aspiration à l'unité à gauche
08:36et c'est ainsi qu'il y a une peur
08:38par rapport au Rassemblement National.
08:40Ça c'est incontestable.
08:41Il faut le respecter.
08:43Mais on ne peut pas le faire en se désarmant
08:47et en acceptant ce pacte politique
08:51qui est une faute morale profonde.
08:53Et moi je pense que au cours de cette campagne,
08:55les Français vont le dénoncer.
08:57Manuel Valls est avec nous, on est sur Europe.
08:59Il est 16h48 et on a un d'éditeur en ligne,
09:01c'est Julien qui habite à Marseille.
09:03Bonjour Julien !
09:04Bonjour Cyril, bonjour tout le monde,
09:06bonjour Monsieur Valls.
09:07Merci Julien d'être avec nous.
09:09Vous faites quoi dans la vie ?
09:11Je suis avocat à Marseille.
09:12Très bien.
09:13Bon ça se passe bien, il fait beau à Marseille ?
09:15Il fait très très beau.
09:16Hélas, on n'a que ça pour nous réjouir.
09:19Vous avez ça parce que nous à Paris,
09:21on a Anne Hidalgo.
09:22Merci.
09:23Et puis on va se baigner dans la Seine bientôt.
09:25Vous allez voir dans quel état on va être.
09:27Attention, il y a des requins.
09:29Oui je sais, j'ai vu ça.
09:30Merci.
09:31Julien, vous en pensez quoi de François Hollande ?
09:33C'est incroyable cette affaire.
09:34Je suis scandalisé,
09:35mais vous savez où très,
09:37j'ai 47 ans,
09:38je suis dans un dégoût non seulement à la politique
09:40de manière générale depuis le 7 octobre.
09:42Je précise, je ne suis pas juif,
09:43mais je suis quand même citoyen du monde.
09:45Et surtout, non seulement occidental,
09:47je suis un peu tolérant,
09:49le minimum,
09:50c'est-à-dire on croit en l'être humain,
09:52mais quand on voit qu'un ancien président de la République
09:55n'a même pas été à la hauteur,
09:57alors que je n'avais aucun problème avec lui,
09:59même si je n'avais pas voté pour lui,
10:01mais dans tous les cas,
10:03réussir à non seulement ne même pas
10:05respecter ses propres paroles
10:07et trahir sa propre politique
10:09quand il était président de la République,
10:11d'abord et surtout,
10:13pourquoi les journalistes ne posent pas la question ?
10:15Je vous pose une question,
10:17M. le Président ou M. l'ancien Président,
10:19que pensez-vous justement de siéger
10:21ou alors de faire partie d'un même front
10:23avec quelqu'un
10:25qui parle de résistance quand il parle du Hamas ?
10:27Je vais vous dire, Julien,
10:29j'ai vu la réponse de Lionel Jospin,
10:31ancien Premier ministre,
10:33elle m'a laissé bouche bée.
10:35Alors déjà, il a dit non, non, mais
10:37c'est vraiment une minorité, donc ça va,
10:39ils peuvent siéger avec eux,
10:41c'est pas grave, c'est vraiment une minorité.
10:43C'est incroyable de dire ça.
10:45Franchement, j'ai vu ça, j'ai dit Lionel Jospin,
10:47c'est un naufrage, excusez-moi.
10:49D'autant plus que les élus de la France Insoumise,
10:51quoi qu'il arrive, sont très nombreux,
10:53probablement plus nombreux que ceux du PS,
10:55en tout cas, ils sont une force.
10:57Donc du coup, même la théorie
10:59de Jospin et de Hollande, que je connais bien,
11:01qui était de dire qu'il faut que le Parti Socialiste
11:03pour gagner soit la force
11:05propulsive, la force majeure,
11:07ça ne marche pas.
11:09Ils seront prisonniers et d'un projet.
11:11Il faut faire attention avec les Français,
11:13on leur propose un projet, ils vont regarder
11:15le bilan, le Rassemblement National,
11:17le projet, ils vont regarder.
11:19Et si on leur propose n'importe quoi, et qu'en plus
11:21on est incapable de pouvoir l'appliquer, ça va être
11:23terrible.
11:24Justement, dans un instant, sur Europe 1,
11:26demandez le programme, on va revenir sur
11:28le programme de la France Insoumise
11:30avec Gauthier Lebray qui va nous dire s'il y a des choses
11:32possibles ou pas. Pour le moment, Julien, vous voulez rajouter
11:34quelque chose sur François Hollande ?
11:35Oui, moi je pose une question,
11:37excusez-moi François Hollande, d'ailleurs on vous donnait à Jospin parce que vous venez de parler de lui.
11:39Rappelons-nous,
11:41pour ceux qui ne savent pas, Mme Magasin-Ski
11:43est la compagne ou la femme de Léonard Jospin.
11:45Rappelons-nous ce que la gauche,
11:47les islamo-gauchistes, on va dire,
11:49peu importe, c'est-à-dire le Parti de la Fille,
11:51a fait pour interdire
11:53une conférence de Mme Magasin-Ski
11:55qui était, on va dire, un peu
11:57dissonante de leur propre parti.
11:59Voilà ce qui nous attend.
12:01Et ça, le problème c'est que, est-ce que les journalistes
12:03leur posent véritablement la question, parce que
12:05que soit Mbappé avant, sur votre précédent
12:07débat,
12:09ou alors maintenant Hollande et Jospin,
12:11mais pourquoi personne ne leur pose des questions, quand Mbappé
12:13va se dire... Je suis complètement d'accord, je suis complètement d'accord avec vous,
12:15c'est incroyable.
12:17Ils se mêlent de choses qui,
12:19on va dire, les concernent. Mais je comprends,
12:21liberté d'expression, ça va être moi le dernier au monde
12:23à m'en ajuster,
12:25mais il n'en reste pas moins que liberté d'expression
12:27s'exprime aussi, que ce soit
12:29après le 7 octobre, où personne n'a entendu
12:31personne, Noah tout d'un coup nous parle maintenant
12:33de nous donner des noms, alors que lui,
12:35voilà, il reprenait tout simplement
12:37les chiffres du Hamas,
12:39quand ça l'intéressait,
12:41c'est-à-dire qu'on est, comme vous le dit d'ailleurs,
12:43votre émission qui...
12:45On marche sur la tête.
12:47En tout cas, j'en profite, pour dire à M. Valls
12:49que j'ai énormément de respect pour lui, pour ce qu'il a fait,
12:51hélas, la France n'a pas eu la chance
12:53de l'avoir plus longtemps.
12:55Merci, merci Julien d'avoir été avec nous.
12:57Je voudrais remercier Emmanuel Valls d'avoir été
12:59avec nous également, on est sur Europe 1, merci Emmanuel Valls.
13:01Merci à toi.
13:03Bon courage pour cette...
13:05Merci, vous êtes un amour, ça me fait bien plaisir de vous avoir
13:07dès le premier jour. Il est 16h53,
13:09on va se retrouver dans un instant sur Europe 1
13:11avec Demandez le programme, la France insoumise
13:13a dévoilé son programme, on va voir,
13:15il y a notamment une loi qui veut abroger la loi anti-squat,
13:17alors ça on va revenir dessus, vous savez que ça me rend fou,
13:19on se retrouve dans un instant sur Europe 1
13:21avec Cyril Hallouna et toute son équipe, à tout de suite.