Frédéric Péchenard, ancien directeur général de la police nationale et élu Les Républicains au Conseil de Paris, sur l’affaire du petit Emile : «Il y a des moyens très importants qui ont été mis en œuvre et 9 mois après on en sait pas beaucoup plus».
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00:00 La première chose qu'on peut dire, c'est que c'est une affaire qui est particulièrement horrible,
00:03 puisque c'est un petit garçon qui a disparu et qui finalement, comme on pouvait le craindre, est mort.
00:09 Et chacun, chaque père, chaque mère, chaque grand-père, chaque grand-mère peut se sentir directement concerné.
00:16 C'est une des raisons pour lesquelles cette affaire est emblématique,
00:19 c'est qu'elle touche un enfant et un enfant, ça ne devrait pas mourir.
00:22 Et effectivement, vous avez raison.
00:24 La deuxième question qu'on se pose, c'est, il y a des moyens qui semblent-ils très importants,
00:28 quand on est mis en œuvre, et finalement, neuf mois après le début de l'enquête,
00:32 on n'en sait pas plus ou pas beaucoup plus qu'au premier jour.
00:35 On ne sait toujours pas si c'est un meurtre, si c'est un homicide involontaire ou si c'est un accident.
00:41 Et c'est assez préoccupant que l'enquête n'arrive pas à établir ce nombre de choses.
00:46 Et c'est ce mystère qui finalement inquiète un petit peu les gens.
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