Le seizième de finale de la coupe Gambardella a souri aux Olympiens, qui ont éliminé le PSG à l'issue de la séance des tirs au but (1-1, 5 t.a.b. à 4).
Au bout du suspense, la libération. Une explosion de joie sortie du pied droit de Kelyann Bezahaf, le dernier tireur marseillais, ce dimanche après-midi, lors qu'une séance fatidique irrespirable. En convertissant son tir au but, l'ancien gamin du Burel a envoyé les siens au septième ciel et enterré les espoirs de leur rival du jour, leur meilleur ennemi, le Paris SG (1-1, 5 t.a.b. à 4).Les quelques 500 supporters massés dans la tribune de l'OM Campus hurlaient leur plaisir, après avoir copieusement houspiller leurs victimes parisiennes. Après deux heures d'une lutte acharnée, leurs protégés venaient de décrocher leur billet pour les 8es de finale de la coupe Gambardella... une compétition que l'Olympique n'a plus inscrite à son palmarès depuis 1979.Tout avait pourtant mal commencé avec l'ouverture du score précoce de Kouakou Gadoue, seul à la retombée d'un corner (10). Galvanisés par l'événement, les partenaires de Yanis Sellami n'ont jamais renoncé et plutôt dominé la rencontre, jusqu'à égaliser logiquement sur un penalty (généreusement accordé) d'Enzo Sternal (28).Malgré quelques opportunités de chaque côté, le score est resté inchangé. Fin du match, place aux tirs au but, tous transformé par les Olympiens, tandis que Aboubaka Dosso, leur dernier rempart, assurait en détournant une tentative parisienne.
Au bout du suspense, la libération. Une explosion de joie sortie du pied droit de Kelyann Bezahaf, le dernier tireur marseillais, ce dimanche après-midi, lors qu'une séance fatidique irrespirable. En convertissant son tir au but, l'ancien gamin du Burel a envoyé les siens au septième ciel et enterré les espoirs de leur rival du jour, leur meilleur ennemi, le Paris SG (1-1, 5 t.a.b. à 4).Les quelques 500 supporters massés dans la tribune de l'OM Campus hurlaient leur plaisir, après avoir copieusement houspiller leurs victimes parisiennes. Après deux heures d'une lutte acharnée, leurs protégés venaient de décrocher leur billet pour les 8es de finale de la coupe Gambardella... une compétition que l'Olympique n'a plus inscrite à son palmarès depuis 1979.Tout avait pourtant mal commencé avec l'ouverture du score précoce de Kouakou Gadoue, seul à la retombée d'un corner (10). Galvanisés par l'événement, les partenaires de Yanis Sellami n'ont jamais renoncé et plutôt dominé la rencontre, jusqu'à égaliser logiquement sur un penalty (généreusement accordé) d'Enzo Sternal (28).Malgré quelques opportunités de chaque côté, le score est resté inchangé. Fin du match, place aux tirs au but, tous transformé par les Olympiens, tandis que Aboubaka Dosso, leur dernier rempart, assurait en détournant une tentative parisienne.
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00:00 C'est fini !
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00:33 C'est fini !
00:35 Il n'y aura rien pour toi !
00:37 Ibé, insiste là, insiste sur lui !
00:42 C'est pas mal, c'était un match engagé, dans des conditions un peu exceptionnelles, on dira, pour rester poli.
00:54 En venant ici, on savait qu'on allait être reçus, mais c'est du folklore, donc c'est pas un problème, c'est rien.
01:01 Ouais, ouais.
01:02 Ouais, Europe, ça vient, Europe !
01:13 Ouais, Europe !
01:14 Les émotions, il fallait les gérer, parce qu'elles allaient être très fortes, on a été sur un ascenseur émotionnel, c'est ce qui s'est passé.
01:41 Ensuite, on savait qu'on pouvait bénéficier aussi de l'apport de notre public, et ce qui a été le cas, donc c'était pour nous un atout supplémentaire.
01:47 Et puis la débauche d'énergie aussi, on avait dit qu'on allait souffrir dans ce match-là, qu'il fallait aller au bout de soi-même, de nous-mêmes, pour pouvoir espérer gagner, même si c'était au tir au but.
01:56 Donc, je pense, au niveau de tous les ingrédients qu'on a mis, on a été vraiment dans ce qu'il fallait faire, on n'a rien lâché, on s'est battus, on a été solidaires quand il fallait l'être.
02:04 On les a piqués aussi plusieurs fois, et puis on est revenus dans le match sur un pénalty, et puis je pense que ça s'est équilibré par moments.
02:11 Il y a eu plusieurs matchs, en fait, où ils ont un peu dominé, on a dominé, et après ça s'est rééquilibré.
02:15 Ça fait quatre ans qu'on ne perds pas de jeu à Matissi, ils ont encore prouvé que c'était meilleur, c'est tout.
02:19 C'est le Parisien, c'est normal de les chambrer.
02:21 C'est eux qui ont chanté, il y a un an qu'on a perdu de chanter, donc bon, il faudrait qu'on chante nous aussi.