Aleksandar Nikolic : «L'augmentation des impôts, quand monsieur Attal était ministre des Comptes publics, c'est 7,9% encore et malgré les annonces. Avant il a dit qu'il allait baisser la fiscalité, on a jamais eu des impôts qui représentaient une part du PIB aussi importante».
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00:00 En réalité, ce qu'on constate, et c'est aussi le coeur du problème,
00:02 je l'ai dit tout à l'heure, je parlais du déficit de la balance commerciale,
00:05 mais ça, c'est un vrai problème pour la richesse du pays.
00:09 Et ce qui nous pénalise, justement, je parlais de l'augmentation des impôts
00:12 tout à l'heure, c'est 7,9% quand Atal, M. Atal, était ministre des comptes publics,
00:17 7,9% d'augmentation encore malgré les annonces.
00:19 Là, il le dit, mais il l'avait déjà fait avant.
00:22 Il avait dit qu'il allait baisser la fiscalité.
00:23 On n'a jamais eu une part des impôts qui représentait une part du PIB aussi importante.
00:28 Et ça, ça pèse sur nos entreprises qui, du coup, sont moins concurrentielles.
00:30 Ça pèse sur les gens qui n'arrivent tout simplement plus à payer
00:34 ses impôts, mais d'autres taxes qui se rajoutent.
00:37 On peut penser à la taxe foncière qui augmente encore,
00:39 donc notamment pour les classes moyennes, les propriétaires.
00:42 Et si je peux parler de mesures qui pourraient être très concrètes,
00:45 j'espère que j'ai parlé tout à l'heure de baisse de TVA.
00:48 Mais par exemple, écoutez-nous quand on vous dit, par exemple,
00:51 qu'une augmentation des salaires de l'ordre de 10% non chargé
00:54 avec donc pas de cotisation patronale, ça pourrait permettre
00:58 à des Français ensuite de gagner un peu mieux leur vie, de mieux consommer,
01:00 sans que ça pénalise plus les entreprises.
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