À 27 ans, Louis Sarkozy se lance en politique avec ambition, tout en affirmant ses différences et ses propos font énormément réagir, en particulier depuis hier, à propos de l'immigration Le fils de Nicolas Sarkozy semble avoir la politique dans le sang et il a même été reçu par le Ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau.
Hier, il s'est donc exprime sur l'immigration, avec une prise de position qui a hérissé les poils de nombreux politiques du Rassemblement National par exemple, en particulier quand il affirme que l'immigration est dans l'ADN des Français :
"Moi j'aime la ligne de Mr Retailleau, d'ailleurs sa courbe de popularité s'envole, c'est par une courbe c'est un mur. Mais, quand on dit qu'on peut couper l'immigration complétement ce n'est pas vrai.
L'immigration est en train dans notre ADN. Bien sûr qu’il faut réduire les flux, appliquer les OQTF, mais il y a aussi un défi d’assimilation ! C'est fondamentale La défaite c’est de voir des gens là depuis trois générations qui ne se sentent pas français ! Il faut attaquer ça. On a une culture sublime, on a une histoire. L'immigration, ce n'est qu'une partie du problème.
Depuis ce matin, je me fais taper dessus par l'extrême droite parce que je dis ça, hier c'était l'extrême gauche..."
Hier, il s'est donc exprime sur l'immigration, avec une prise de position qui a hérissé les poils de nombreux politiques du Rassemblement National par exemple, en particulier quand il affirme que l'immigration est dans l'ADN des Français :
"Moi j'aime la ligne de Mr Retailleau, d'ailleurs sa courbe de popularité s'envole, c'est par une courbe c'est un mur. Mais, quand on dit qu'on peut couper l'immigration complétement ce n'est pas vrai.
L'immigration est en train dans notre ADN. Bien sûr qu’il faut réduire les flux, appliquer les OQTF, mais il y a aussi un défi d’assimilation ! C'est fondamentale La défaite c’est de voir des gens là depuis trois générations qui ne se sentent pas français ! Il faut attaquer ça. On a une culture sublime, on a une histoire. L'immigration, ce n'est qu'une partie du problème.
Depuis ce matin, je me fais taper dessus par l'extrême droite parce que je dis ça, hier c'était l'extrême gauche..."
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00:00Si vous voulez, mais je ne suis pas là pour parler de ça. Je me suis beaucoup expliqué sur le sujet.
00:08Moi, j'aime la ligne de M. Retailleau. Et d'ailleurs, sa courbe de popularité le manque.
00:12Vous avez tous vu le sondage IFOP. Ce n'est pas une courbe, c'est un mur. C'est un truc qui explose.
00:17Ça manque qui tout juste. Et après, je pense qu'on est en français.
00:20Quand on dit qu'on peut couper les ponts complètement, ce n'est pas vrai.
00:22L'immigration, elle est ancrée dans notre ADN. Et donc bien sûr qu'il faut réduire les flux,
00:26qu'il faut se battre contre l'immigration, qu'il faut exécuter les OQTF.
00:29Tout ça, c'est devenu une évidence. Mais il y a un challenge d'assimilation fondamentale.
00:36La vraie défaite de la République, ce n'est pas qu'il y ait des gens qui viennent.
00:39La vraie défaite de la République, c'est qu'il y a des jeunes qui sont ici depuis trois générations
00:42qui ne se considèrent pas français. Et ça, il faut attaquer ça.
00:45On a une culture sublime, on a une histoire longue. Il n'y a aucune raison que ça ne marche pas.
00:50Donc pour moi, l'immigration, qui est le défi existentiel fondamental, n'est qu'une partie de l'équation.
00:55Le reste, c'est l'assimilation. Je me fais taper dessus par l'extrême droite depuis ce matin.
00:59Avant-hier, c'était l'extrême gauche. Ça veut dire la droite, aux dernières nouvelles.