Les affiches avec le visage de Thomas, tué à Crépol semblent déranger plusieurs personnes qui ont décidé de les arracher, rappelant ainsi les scènes que l'on a pu voir lorsque des photos avec les visages otages du Hamas avaient été affichées dans plusieurs rues de France.
Deux exemples. D'une part avec cet homme et une femme qui arrachent les photos de Thomas dans la vidéo ci-dessus alors qu'une jeune femme tente de s'y opposer seule et en silence.
Autre exemple, Science PO Paris avec là encore des affiches pour Thomas qui ont été arrachées de façon systématique. Disposées sur les murs du campus par l’UNI en réaction à l’assassinat de Thomas, les photos du jeune garçon ont été arrachées et jetées à la poubelle selon Le Figaro Etudiants. Des militants UNI avaient entrepris de coller sur les différents campus de Sciences Po Paris des affiches sur lesquelles figurent le portrait de Thomas, accompagné des inscriptions : « Le laxisme tue », ou encore « Ensauvagement ».
Il n’en fallait pas plus pour agacer l’un des étudiants de l’IEP, qui s’est attelé à arracher ces affiches.
« Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées », a témoigné le président de l’UNI Sciences Po.
Deux exemples. D'une part avec cet homme et une femme qui arrachent les photos de Thomas dans la vidéo ci-dessus alors qu'une jeune femme tente de s'y opposer seule et en silence.
Autre exemple, Science PO Paris avec là encore des affiches pour Thomas qui ont été arrachées de façon systématique. Disposées sur les murs du campus par l’UNI en réaction à l’assassinat de Thomas, les photos du jeune garçon ont été arrachées et jetées à la poubelle selon Le Figaro Etudiants. Des militants UNI avaient entrepris de coller sur les différents campus de Sciences Po Paris des affiches sur lesquelles figurent le portrait de Thomas, accompagné des inscriptions : « Le laxisme tue », ou encore « Ensauvagement ».
Il n’en fallait pas plus pour agacer l’un des étudiants de l’IEP, qui s’est attelé à arracher ces affiches.
« Nous avons commencé les collages sur les différents campus de Sciences Po Paris vers 8 heures. Le temps d’en faire le tour et de venir voir si tout était bien en place, nous avons compris qu’elles avaient été arrachées », a témoigné le président de l’UNI Sciences Po.
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00:00 Tu veux que je te parle à la poubelle mec ? Paul !
00:07 Je sais pas ce que je vais faire avec ma poche là, je vais la mettre dans la poubelle.
00:15 Bon, je vais la coucher.
00:18 Je vais pas te le faire, je vais pas te le faire.
00:21 [Bruit de la voiture qui démarre]