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NewsTranscription
00:00 Émotionnelle, psychologique ou spirituelle, bien qu'elle ne soit pas physique, ces blessures
00:10 affectent le bien-être, voire la santé mentale de plus d'une personne.
00:14 Mais comme pour toute affection, des solutions existent.
00:17 Et c'est justement ces solutions que notre invité du jour propose à travers son livre
00:22 La Force cachée, derrière les blessures de l'âme.
00:25 Madame Virginie Coffey, bienvenue.
00:27 Merci beaucoup.
00:28 Merci d'avoir répondu à notre invitation.
00:30 C'est moi qui vous remercie.
00:31 Pouvez-vous brièvement vous présenter à nos téléspectateurs ?
00:34 Bien entendu.
00:35 Je suis Virginie Coffey, je suis business coach et coach en mission de vie.
00:39 Donc j'accompagne les individus, c'est-à-dire mes clients, à se découvrir eux-mêmes,
00:45 à découvrir ou à développer leur talent et s'ils le désirent, à se positionner
00:50 sur les réseaux sociaux.
00:51 En plus de cela, je suis conférencière et auteur, comme vous pouvez le voir.
00:55 Effectivement, vous êtes autrice, même je dirais en langage inclusif, d'un livre
00:59 sur les blessures de l'âme.
01:00 Pourquoi vous penchez spécifiquement sur ce sujet alors que des travaux ont déjà
01:05 été publiés ? Je pense notamment à John Pierrakos, qui est psychiatre américain,
01:11 ou encore Liz Bourbeau qui a publié Les 5 blessures de l'âme qui empêchent d'être
01:17 soi-même.
01:18 Oui, vous savez, pour les blessures, on n'en dira jamais assez.
01:21 Premièrement, j'ai écrit ce livre parce que moi-même, je suis une personne qui a
01:27 vécu beaucoup de blessures, qui a vécu beaucoup de choses, des coups durs et tout ça.
01:32 Et donc je me suis dit, si j'ai réussi, par la grâce de Dieu, à en sortir, pourquoi
01:37 ne pas partager tout ce que j'ai pu, comment j'ai pu m'en sortir et tout ça.
01:42 Donc voilà la première raison pour laquelle j'ai écrit ce livre.
01:45 Et la deuxième raison, c'est ce que je voulais dire au début, c'est qu'on est
01:49 dans un système où aujourd'hui, les blessures, surtout en Afrique, ne sont pas vraiment comprises
01:54 et on n'en parle pas beaucoup.
01:55 Les gens ne sont pas forcément enseignés là-dessus.
01:57 Et donc je me suis dit qu'il fallait faire lumière là-dessus, par rapport aux blessures,
02:02 par rapport au fait que quand une personne agit d'une manière, elle ne le fait pas
02:05 forcément parce qu'elle le veut, mais elle le fait peut-être pour se protéger et pour
02:09 peut-être d'autres raisons.
02:10 Il y a toujours de quoi dire sur un comportement qu'une personne peut afficher.
02:14 Donc c'est un peu ça.
02:16 Pourquoi parler de la force qui est derrière les blessures de l'âme ?
02:20 Justement, c'est pour faire référence à la destinée de tout un chacun.
02:24 Derrière chaque blessure, en fait, il y a quelque chose, il y a un message.
02:28 Et quand on guérit, on finit par se rendre compte que ce que j'ai vécu, si je ne l'avais
02:32 pas vécu, je ne serais pas peut-être à ce résultat ou à tel résultat.
02:35 Mais on aura l'occasion de revenir là-dessus dans la suite.
02:38 - Alors, en quoi se distingue votre œuvre du cours ?
02:41 - C'est-à-dire en quoi se distingue ?
02:43 - En quoi se distingue votre œuvre par rapport aux travaux ?
02:46 Comme vous avez dit, on n'a jamais fini de parler des blessures de l'âme.
02:49 Qu'est-ce qui fait la pâte Virginie Coffey dans le traitement des blessures de l'âme ?
02:54 - Déjà, il y a mon empreinte dans ce livre parce que je parle un peu de moi.
02:57 Et aussi, il n'y a pas que… c'est vrai qu'il y a déjà des personnes qui ont écrit.
03:03 Mais les blessures, en fait, il y a la spiritualité.
03:08 Moi, je suis chrétienne.
03:09 Et dans ce livre-là, dès que vous commencez, vous verrez que je l'illustre avec des versets bibliques.
03:15 Donc, moi, c'est la partie spirituelle aussi, en plus de mon empreinte que j'ai donnée à ce livre-là.
03:22 - Selon certaines opinions, nous naissons tous avec des blessures.
03:27 Est-ce que vous partagez cette assertion ?
03:29 - Je dirais oui et non.
03:30 Oui et non.
03:32 Oui, on naît avec des blessures.
03:34 Par exemple, une personne qui est née d'une mère qui a souffert durant la grossesse de la relation dans laquelle elle était.
03:43 Donc, une personne qui était dans le ventre de sa mère, dont la mère était pleine d'amertume pendant qu'elle était enceinte,
03:50 dont le père est parti, cette mère s'est rémémorée, peut-être même qu'elle a regretté d'être enceinte.
03:56 L'enfant, forcément, connecté à sa mère puisque ce que sa mère mange, c'est ce que l'enfant reçoit.
04:02 Toutes les vitamines que la mère prend, l'enfant les reçoit également.
04:05 Donc, les coups, les amertumes, les chagrins, tout ça.
04:08 - Les émotions. - Exactement.
04:09 Donc, parfois, un enfant peut naître et avoir un comportement, on ne comprend pas parce que l'enfant lui-même n'a pas forcément vécu quelque chose qui l'explique.
04:16 Mais quand on remonte à sa jeunesse, on se rend compte qu'il y a des aspects de la vie de ses parents qui ont peut-être affecté sa croissance.
04:27 - Est-ce que, brièvement, sans pour autant entrer dans les détails, est-ce qu'on peut juste énumérer quelles sont les blessures de l'âme ?
04:34 - Les blessures de l'âme, je ne vais pas les énumérer parce qu'il y en a beaucoup.
04:39 Il y a beaucoup de blessures, mais déjà, on peut dire qu'il y a des personnes qui sont blessées.
04:43 Par exemple, il y a le rejet.
04:45 Il y a des gens qui vivent le rejet.
04:46 Moi, j'ai vécu le rejet, par exemple.
04:48 Donc, il y a le rejet, il y a le manque d'amour, il y a le manque de pardon.
04:54 Il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup.
04:57 Déjà, pour ne citer que ceux-là, ils sont beaucoup plus communs qu'on ne le croit.
05:03 - Alors, c'était ma prochaine question, justement.
05:04 Est-ce que vous en avez souffert ?
05:06 Et quel a été l'impact de ces blessures sur vous d'abord, mais aussi sur votre entourage ?
05:11 - Ah, madame ! Qui ne souffrirait pas d'une blessure ?
05:15 J'en ai beaucoup souffert.
05:16 J'ai beaucoup souffert de blessures.
05:18 Et tout le monde, même une simple aiguille qui te pique, c'est une blessure.
05:22 À plus forte raison, quand on parle de ton cœur, de ton organe vital,
05:26 ah non, ça fait souffrir.
05:28 Voilà.
05:29 Et la question, c'était après ?
05:31 - Comment ça a eu un impact sur vous et sur votre entourage ?
05:36 - Voilà.
05:36 Bon, moi, déjà, adolescente, on va dire à 11 ans, j'ai perdu mon père.
05:41 Il est décédé la veille du jour.
05:43 Il m'a dit de rentrer.
05:44 Donc, j'ai préparé sa chambre et tout ça, et il n'est jamais rentré à la maison.
05:48 Et son décès n'a pas juste été un décès de mon père qui est parti.
05:52 Quand j'avais trois ans, mon père et ma mère se sont séparés.
05:54 Et donc, j'avais que mon père.
05:56 Et voilà.
05:57 Et chaque année, mon père, il essayait comme il pouvait.
06:00 Je bénis Dieu pour sa vie, pour le père qu'il a été, parce que je l'aime beaucoup.
06:03 Et donc, on avait une nouvelle maman à la maison.
06:06 Donc, chaque rentrée scolaire, je la faisais avec une nouvelle maman.
06:10 Donc, déjà, quand je regardais la vie de mes amis à la rentrée,
06:13 de voir leurs amis qui venaient les accompagner avec les mêmes parents,
06:17 et moi, à chaque fois, c'était une nouvelle figure,
06:19 une dernière maternelle qui m'accompagnait.
06:22 C'était difficile.
06:23 À l'époque, je ne le vivais pas forcément comme ça,
06:26 mais c'était difficile pour moi.
06:27 Je me sentais un peu à l'écart.
06:30 Je me sentais différente.
06:31 J'ai commencé à me sentir différente.
06:33 Et à 11 ans, quand il est décédé, j'étais un peu perdue.
06:36 Parce que c'est vrai qu'il avait ce côté, à chaque fois qu'on avait une nouvelle maman,
06:39 mais il était très doux avec moi.
06:41 Tout le monde disait que j'étais sa préférée.
06:42 Donc, son départ a été chaotique pour moi.
06:45 Pourquoi ? Parce qu'après, je me retrouve maintenant dans une famille recomposée,
06:48 puisque ma mère est mariée.
06:50 Donc, une famille recomposée.
06:51 Je bénis également Dieu pour tout ce que j'ai pu vivre là-bas.
06:54 Ils ont été des parents formidables.
06:55 Même pour un enfant de 11 ans qui vient de perdre son père,
06:57 qui n'était pas héros, ce n'est pas évident.
07:01 Même quand tu lui expliques que tu donnes tout ce que tu peux,
07:04 parce qu'ils ont fait tout ce qu'ils pouvaient,
07:05 mais je n'arrivais pas à recevoir tout ce qu'ils pouvaient faire.
07:09 Donc, je ne peux ne citer que ça, déjà.
07:12 Voilà un peu ce que je peux dire.
07:14 - On vous sent très reconnaissante et je dirais apaisée.
07:20 - Oui.
07:21 - C'est parce que vous êtes guérie aujourd'hui ?
07:23 - Oui, je suis guérie de beaucoup.
07:25 Quoique, il y a des aspects sur lesquels je travaille encore.
07:27 Parce que vous savez, les blessures, c'est quand on est confronté parfois à une situation ou à une personne,
07:31 quand on se rend compte que c'est moi qui ai réagi comme ça,
07:34 c'est pourquoi ça me fait aussi mal.
07:36 Mais pourquoi je ressens peut-être un peu de jalousie ou un peu d'envie par rapport à ça ?
07:38 C'est nous-mêmes, on se connaît.
07:40 Donc, on sait ce qu'on peut ressentir qui n'est pas très normal.
07:43 Et là, on peut se dire que ça doit venir de quelque chose.
07:46 Il faut que je réfléchisse à ça.
07:48 Il faut que je sache d'où est-ce que ça vient pour que je puisse travailler là-dessus,
07:51 parce que ce n'est pas normal.
07:52 Voilà.
07:53 - Et comment vous avez fait de ces blessures une force ?
07:58 - Là, aujourd'hui, on est là, on parle d'un livre que j'ai écrit.
08:01 Mais je vous dis sincèrement, moi, quand j'allais à l'école,
08:05 il y avait des problèmes financiers.
08:06 Moi, vous savez, en Afrique, papa est parti.
08:09 Les problèmes d'héritage, les problèmes… voilà, la famille s'est déchirée.
08:14 Même pour aller à l'école, c'est comme ça devenu compliqué.
08:16 Moi, qui avais un chauffeur, je me retrouve là maintenant.
08:19 Je vois mes amis aller à l'école parfois.
08:21 Il faut… surtout, arriver à l'université, c'était compliqué.
08:23 J'étais à l'étranger et à l'étranger, je n'arrivais pas à aller à l'école.
08:26 Pendant que mes amis allaient à l'école, moi, je devais aller chercher du travail.
08:29 Donc, ça a été un peu difficile pour moi.
08:32 Voilà, donc, c'est un peu ça, en fait, que je peux citer encore.
08:40 - Vous êtes résiliente. - Voilà.
08:42 - Vous êtes résiliente et c'est important, surtout en ces temps de santé mentale.
08:47 Pourquoi est-ce si important d'aller, selon vous, à la découverte de nos blessures,
08:52 alors que, vous l'avez dit vous-même, vous l'avez dit en introduction,
08:57 en Afrique, on a tendance à ignorer notre santé mentale.
09:01 Pour certaines personnes, d'une certaine manière,
09:04 ignorer ce qui nous fait mal, c'est mieux.
09:08 - Mais non, c'est ce qu'on se dit et on se trompe beaucoup.
09:11 Parce que si tout de suite, je reviens à l'exemple de l'aiguille,
09:14 si vous êtes blessé, si une lame vous déchire tout à l'heure,
09:16 vous allez chercher à la…
09:18 normalement, vous êtes censé chercher… - Normalement, à la poser.
09:20 - Voilà, à la nettoyer, à la désinfecter, à prendre soin jusqu'à ce que votre peau revienne normale.
09:26 Mais si vous prenez juste un sparadrap et que vous collez là-dessus, la plaie va pourrir.
09:32 Et non seulement elle va pourrir, après elle va se sentir.
09:34 Donc, c'est ce qui se passe avec les blessures qu'on ignore.
09:38 Quand on les ignore, elles finissent par se sentir et elles créent en nous de l'amertume.
09:42 Et elles influencent nos comportements, elles influencent nos décisions.
09:45 Et elles peuvent influencer beaucoup de choses dans notre vie,
09:48 comme ce que ce soit le choix de notre conjoint,
09:50 peut-être même la décision de se marier.
09:51 Il y en a qui sont tellement blessés qu'ils refusent même de se marier.
09:54 Il y en a qui sont tellement blessés qu'ils refusent de laisser vivre leurs rêves,
09:58 leurs projets et tout ça.
10:00 Ils abandonnent tout ça et ils préfèrent avoir une vie tranquille,
10:04 sans problèmes, sans tracas, alors qu'ils pourraient justement aller bien plus loin que ça.
10:09 - Quelles sont les différentes étapes à suivre pour parvenir à la guérison ?
10:14 Donc, je ne peux pas citer tout.
10:16 - Ce que vous pouvez citer ?
10:17 - Ce que je peux citer déjà, c'est l'acceptation.
10:20 Il faut déjà accepter, reconnaître déjà qu'on est blessé.
10:24 Ensuite, accepter que…
10:26 Par exemple, en coaching, il y a un outil qui s'appelle l'outil du deuil,
10:29 qu'on utilise pour aider les gens à passer outre des situations compliquées,
10:34 voilà, émotionnellement.
10:35 Donc, cet outil-là, on l'utilise pour pouvoir aider les clients
10:37 à pouvoir vraiment dépasser les histoires tragiques et tout ça qu'ils ont pu vivre,
10:42 les décès, les ruptures et tout ça.
10:45 Donc, il y a le coaching.
10:46 Se faire accompagner également peut aider à guérir.
10:51 Donc, voilà un peu.
10:53 - Une fois nos blessures guéries,
10:54 c'est-à-dire lorsque nous parvenons à nous défaire en quelque sorte de nos masques,
10:58 quelle est la prochaine étape ?
11:00 - Les blessures, ce n'est pas des masques, en fait.
11:02 Les blessures peuvent créer des masques.
11:04 Par exemple, une personne qui est de nature joviale,
11:08 qui se cache dans le corps d'une personne timide,
11:11 elle porte un masque.
11:12 Mais son masque, ce n'est pas sa blessure, en fait.
11:14 Donc, la blessure crée le masque.
11:16 Donc, c'est la question, voilà.
11:18 Mais si je peux dire, une fois qu'on est guéri,
11:22 il faut regarder, s'ouvrir à de nouvelles perspectives.
11:26 Déjà, essayer de comprendre,
11:27 "OK, j'ai vécu ça.
11:29 C'est quoi la prochaine étape ?
11:30 Qu'est-ce que je fais, puisque je suis à ce niveau ?
11:33 Par exemple, j'ai divorcé, j'ai perdu telle chose,
11:36 j'ai subi telle chose."
11:37 Et il ne faut pas oublier que nous-mêmes aussi,
11:39 en tant que personnes blessées, on blesse.
11:41 Voilà, on blesse.
11:42 Donc, il ne faudrait pas rester dans un perpétuel
11:45 "on est trop victime".
11:47 Exactement, il ne faut pas trop victimiser.
11:48 Il faut prendre ses responsabilités aussi.
11:50 Dans tout ce qu'on peut vivre, il y a forcément
11:52 une part de responsabilité qu'on a à supporter également.
11:55 Donc, voilà un peu.
11:56 - Vous diriez qu'il y a un travail de remise en question
12:01 qui doit être fait...
12:02 - Un travail de remise en question,
12:03 exactement, tous les jours de notre vie.
12:05 Pas un travail de remise en question,
12:06 ce n'est pas de la culpabilité.
12:08 Ce n'est pas de la culpabilité.
12:09 - Non, le travail de remise en question,
12:10 c'est vraiment la transpection.
12:11 - Exactement, voilà.
12:12 Vous faites de la transpection, vous voyez.
12:15 "Ça, si je l'ai vécu, qu'est-ce que je fais ?"
12:17 Et moi, ce livre-là, comme je l'ai dit,
12:20 je l'ai écrit pour que les gens puissent arriver
12:22 à réaliser leurs rêves, atteindre leur destinée.
12:26 Donc, regarder, moi, je me dis,
12:27 "Bon, tiens, durant tout mon parcours,
12:29 voilà tout ce que j'ai vécu.
12:30 Qu'est-ce que je fais de cette histoire que j'ai vécue ?
12:32 Est-ce que je vais me cacher ?
12:34 Ou bien est-ce que je vais chercher à aider des personnes
12:37 au travers de mes talents ?"
12:38 Et quand je vais...
12:39 Puisque quand on arrive à travailler sur ses talents,
12:42 Dieu nous envoie des personnes qui nous ressemblent un peu.
12:44 Les gens se reconnaissent.
12:45 Toutes les personnes qui ont impacté ce monde
12:47 ont une histoire un peu triste quelque part.
12:50 Voilà.
12:50 Donc, il faudrait arriver à assumer son histoire aussi.
12:54 Il faut assumer son histoire et aider les gens
12:57 à travailler chaque jour, à atteindre sa destinée,
13:00 à travailler sur soi.
13:02 Et puis voilà.
13:02 Parce que les blessés, on va encore les rencontrer.
13:05 C'est vrai qu'on en a connu de tragiques, de douloureux,
13:07 mais on va encore les rencontrer.
13:08 Et chaque jour, on est susceptible d'être blessé ou de blesser.
13:12 - C'est sur ces mots que nous terminons cet entretien.
13:15 Virginie Coffey, vous êtes auteur
13:17 et coach éthique.
13:19 Merci d'avoir répondu à nos questions.
13:20 - Merci à vous.
13:21 - Votre livre, "La force cachée derrière les blessures de l'âme"
13:24 est disponible en ligne sur votre site www.virginiecoffey.com
13:28 si je ne me trompe pas.
13:29 - C'est ça.
13:30 - Merci à vous, cher téléspectateur,
13:32 d'avoir suivi ce nouveau numéro de C'est à dire.
13:35 L'actualité se poursuit sur cette info et cette info.ci.
13:38 ♪ ♪ ♪