Avec deux millions et demi de visiteurs cette année et un chiffre d'affaires de 170 millions d'euros en 2022, le Puy du Fou est devenu un géant du divertissement en France et au-delà. Ce parc à thème unique en son genre, situé en Vendée, est célèbre pour ses spectacles grandioses retraçant l'histoire de la France à travers les âges.
L'enquête diffusée jeudi soir par France 2 dans le cadre de Complément d'Enquête et largement relayée sur France Info par exemple affirme que le Puy du Fou, qui "appartenait aux bénévoles, appartient maintenant à une seule famille, selon Christine Chamard. On est passé d'une propriété collective à une propriété familiale". Yves Gonnord se désole "de voir qu'une partie de ce que les bénévoles, qui ont consacré du temps, de leur argent personnel, etc., ont produit est passé dans les mains de Philippe de Villiers"... sans qu'ils en soient informés, selon lui.
Autant d'accusation qui ne sont que le début d'une violente charge contre le Parc mais également contre la famille de Villiers.
L’avocat de Philippe de Villiers, Gilles-William Goldnadel, annonce d'ailleurs dans le JDD, son intention de porter plainte contre la chaîne publique pour des propos niant le génocide vendéen.
Premier point les sommes touchées par Philippe de Villiers, et une grosse colère de Me Gilles-William Goldnadel :
"Dans le cadre d’un véritable réquisitoire à charge, empilant les contre-vérités, ses responsables ont laissé dire par une personne prévenue contre lui et sans aucunement mettre en doute ses accusations, que mon client aurait touché la somme de 15 millions d’euros en contrepartie des scénarios qu’il a écrits pour le Puy du Fou.
Or, à plusieurs reprises, Philippe de Villiers a indiqué solennellement que, jamais et d’aucune manière en quarante ans, ni directement ni indirectement, il n’avait touché ni voulu toucher le moindre centime de rémunération à titre de droit d’auteur ou pour toute autre raison, en contrepartie de ces scénarios. Je mets au défi les réalisateurs de l’émission de prouver le contraire."
Mais ce n'est pas tout car l'avocat est également vent debout contre l'émission de France 2 qui aurait nié le génocide Vendéen dans son reportage :
"S'abritrant derrière un pseudo consensus d'historien, France 2 en a choisi un à sa guise qui conteste la réalité du génocide. Selon France 2, il n’y aurait eu au maximum « que » 200 000 victimes vendéennes, ça n’en ferait pas un génocide. Même certains révolutionnaires comme Babeuf ont hurlé contre ce massacre programmé de femmes et d’enfants.
On peut parler d’un génocide de centaines de musulmans par les Serbes à Sarajevo, mais, dans l’inconscient gauchisant, défense d’évoquer un génocide de centaines de milliers de chrétiens blancs par la Terreur révolutionnaire."
L'enquête diffusée jeudi soir par France 2 dans le cadre de Complément d'Enquête et largement relayée sur France Info par exemple affirme que le Puy du Fou, qui "appartenait aux bénévoles, appartient maintenant à une seule famille, selon Christine Chamard. On est passé d'une propriété collective à une propriété familiale". Yves Gonnord se désole "de voir qu'une partie de ce que les bénévoles, qui ont consacré du temps, de leur argent personnel, etc., ont produit est passé dans les mains de Philippe de Villiers"... sans qu'ils en soient informés, selon lui.
Autant d'accusation qui ne sont que le début d'une violente charge contre le Parc mais également contre la famille de Villiers.
L’avocat de Philippe de Villiers, Gilles-William Goldnadel, annonce d'ailleurs dans le JDD, son intention de porter plainte contre la chaîne publique pour des propos niant le génocide vendéen.
Premier point les sommes touchées par Philippe de Villiers, et une grosse colère de Me Gilles-William Goldnadel :
"Dans le cadre d’un véritable réquisitoire à charge, empilant les contre-vérités, ses responsables ont laissé dire par une personne prévenue contre lui et sans aucunement mettre en doute ses accusations, que mon client aurait touché la somme de 15 millions d’euros en contrepartie des scénarios qu’il a écrits pour le Puy du Fou.
Or, à plusieurs reprises, Philippe de Villiers a indiqué solennellement que, jamais et d’aucune manière en quarante ans, ni directement ni indirectement, il n’avait touché ni voulu toucher le moindre centime de rémunération à titre de droit d’auteur ou pour toute autre raison, en contrepartie de ces scénarios. Je mets au défi les réalisateurs de l’émission de prouver le contraire."
Mais ce n'est pas tout car l'avocat est également vent debout contre l'émission de France 2 qui aurait nié le génocide Vendéen dans son reportage :
"S'abritrant derrière un pseudo consensus d'historien, France 2 en a choisi un à sa guise qui conteste la réalité du génocide. Selon France 2, il n’y aurait eu au maximum « que » 200 000 victimes vendéennes, ça n’en ferait pas un génocide. Même certains révolutionnaires comme Babeuf ont hurlé contre ce massacre programmé de femmes et d’enfants.
On peut parler d’un génocide de centaines de musulmans par les Serbes à Sarajevo, mais, dans l’inconscient gauchisant, défense d’évoquer un génocide de centaines de milliers de chrétiens blancs par la Terreur révolutionnaire."
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00:00 Ici, tout le monde l'appelle le créateur.
00:04 Cela fait plusieurs mois que nous lui proposons une interview.
00:08 12 appels, 3 messages, aucune réponse.
00:12 Si Philippe Devillers aime bien les caméras,
00:23 ses bons mots, il les réserve aux émissions qu'il choisit.
00:27 - Bonsoir, M. Devillers. Comment allez-vous ?
00:30 Ca va ? Je peux vous poser une question ?
00:33 Apparemment, nous n'en faisons pas partie.
00:36 - Vous me foutez la paix.
00:38 Vous savez, moi, je suis la première.
00:41 Donc, je suis très heureux.
00:43 - On entend bien, mais vous voulez pas répondre à une question ?
00:46 - Je sais que vous êtes...
00:48 Mais vous me prenez pour un zozo, non ?
00:51 - Pourquoi ?
00:53 - Je suis un zozo.
00:55 - Je sais.
00:57 - Je connais votre émission. Je la connais.
01:00 Les secrets sont bien gardés.
01:09 Égare à ceux qui tenteraient de les dévoiler.
01:12 C'est l'histoire d'un petit spectacle de campagne
01:20 devenu l'un des fleurons du tourisme français.
01:24 - Le Puy-du-Fou, c'est avant tout une formidable machine à cash.
01:28 Une aventure collective qui cache une saga familiale
01:32 où le pouvoir se transmet en héritage.
01:35 - Le Puy-du-Fou appartenait aux bénévoles
01:38 et appartient maintenant à une seule famille.
01:41 Un parc d'attractions qui, derrière le divertissement,
01:44 impulse sa vision de l'histoire de France.
01:47 - L'idée du Puy-du-Fou, c'est de rappeler à tous les Français
01:50 que la France est catholique et royale.
01:53 Un domaine avec ses propres règles,
01:57 ses milliers de fidèles et des méthodes qui interrogent.
02:00 - À tous les 4, tout le monde est bénévole ?
02:03 - Oui, c'est pour le parc.
02:05 - C'est peut-être une nouvelle forme de capitalisme.
02:08 Pendant plusieurs mois, nous avons tenté de comprendre
02:12 ce qui se passe derrière les remparts du château.
02:15 - On n'est pas dans la cachoterie, pas dans cette maison.
02:18 sur le parc d'attractions le plus politique.