Jean-Christophe Couvy, secrétaire national Unité SGP, s'exprime à propos de la haine anti-macron : «On est les premières victimes du mécontentement et de la haine d'une politique».
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00:00 les gens font un transfert pour atteindre l'État.
00:02 Ils atteignent...
00:03 La première ligne, c'est les policiers,
00:05 parce qu'on représente l'État, on représente l'ordre,
00:07 on représente la République.
00:08 Et effectivement, souvent, on est les premières victimes
00:10 du mécontentement, de la haine,
00:12 d'une politique ou d'un exécutif.
00:15 - De la rage.
00:16 - Et là, de la rage.
00:17 Mais là, ce que je note quand même,
00:18 c'est qu'en fait, il y a des attaques ad nominem,
00:20 c'est-à-dire qu'on attaque M. Macron.
00:22 Moi, je dis monsieur parce que j'ai du respect
00:24 pour toutes les personnes qui ont des...
00:27 Voilà, enfin, qui sont politiques.
00:29 Et le respect, justement, on peut ne pas être d'accord,
00:33 mais on peut respecter les gens.
00:34 Et en fait, effectivement, ces attaques-là,
00:37 c'est des attaques sur la personne.
00:39 Et la différence, par exemple, avec les syndicats,
00:41 quand nous, on a critiqué les réformes de la retraite
00:44 qui n'allaient pas, oui, c'était brutal,
00:46 oui, on a utilisé des mots comme ça,
00:48 mais on n'a jamais attaqué la personne.
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