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Vous êtes-vous déjà mis en colère ? Nos émotions nous influencent de bien des manières, pour le meilleur et pour le pire. En comprenant leur fonctionnement, nous pouvons en déduire des moyens conscients de profiter davantage du meilleur, et de limiter le pire.

0:00 • Introduction / Précédemment
0:54 • Début de l'épisode
1:19 • Fonctionnement général de nos émotions
2:29 • Marge de manoeuvre sur nos émotions
3:36 • Méthode d'approche de nos émotions
11:03 • L'objectivisation
12:00 • Connaissance de nos émotions
13:55 • Ecran de fin / Citations

Musique par Jean-Michou : https://soundcloud.com/jean-michou
Texte original : https://amzn.to/3wnTUxP
Ca m'vénère - Palmashow : https://youtu.be/AfiINIrFMRM

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Transcription
00:00 Vous êtes-vous déjà vraiment mis en colère ?
00:03 Je vous croirais pas si vous me répondiez non, ça arrive à tout le monde.
00:07 Tenez petite confidence, j'ai beau toujours faire attention à mes affaires,
00:10 y'a au moins un objet derrière moi dans le décor qui a un jour appris à voler à travers la pièce.
00:15 N'empêche, ça défoule pas tant que ça, et on se sent vraiment bête après.
00:20 Bref, on va en parler.
00:23 Précédemment dans Théorie du Bonheur
00:27 les émotions peuvent influencer notre jugement, notre métabolisme, notre énergie et nos sensations.
00:34 Entre supprimer nos émotions et les suivre passivement au point de les laisser complètement nous diriger,
00:40 il y a quand même un juste milieu.
00:42 Ce juste milieu consiste à étudier objectivement nos émotions,
00:45 à en comprendre les influences et à nous en servir intelligemment selon le contexte.
00:51 [Musique]
00:53 Quelles que soient nos émotions, que ce soit de la colère, de la joie, de la tristesse, de la peur, etc.
01:09 elles obéissent toutes à un même fonctionnement.
01:12 Ce fonctionnement, je vais vous le présenter,
01:14 et je vais vous proposer ensuite de quelle manière on peut le tourner à notre avantage.
01:18 [Musique]
01:20 Nos émotions sont causées par les circonstances auxquelles nous sommes confrontés.
01:26 Elles exercent sur nous diverses influences, certaines désirables, d'autres non.
01:32 Par exemple, imaginons, vous vous levez un matin, il fait beau et ça vous réjouit.
01:37 Il en résulte votre sensation de plaisir et votre motivation pour aborder la belle journée qui s'annonce.
01:43 Autre exemple, vous menez un gros projet à son terme dont dépend votre carrière.
01:47 Assez naturellement, vous ressentez une certaine anxiété.
01:50 En résulte des symptômes de stress, ça vous connaissez, hein, la boule au ventre,
01:55 les troubles du sommeil, de l'alimentation, la fatigue, l'irritabilité, tout ça, tout ça.
02:01 Du fait de ces symptômes, vous allez ressentir un certain déplaisir.
02:05 Vous pouvez aussi avoir une hausse d'énergie parce que ça y est, après plusieurs mois d'efforts,
02:09 vous voyez le bout du tunnel et ça vous donne du courage.
02:12 Mais ça peut aussi impacter votre jugement.
02:15 Peut-être parce que vous allez favoriser des décisions qui vont expédier la fin de ce projet,
02:19 ou parce que vous allez ne focaliser votre attention que sur ce projet,
02:23 au point de négliger d'autres aspects de votre vie, ce qui aura un impact néfaste par la suite.
02:28 La question est de savoir si nous avons un contrôle conscient sur le mécanisme que je viens de décrire.
02:36 Si oui, alors on peut l'employer à tirer profit des influences désirables de nos émotions
02:41 et à atténuer leurs influences indésirables.
02:44 Alors, en réalité, nous n'avons pas de contrôle direct sur nos émotions elles-mêmes,
02:49 parce que les mécanismes dont elles dépendent sont inconscients.
02:52 Si vous cherchez à réprimer une émotion de force, ça peut marcher pendant un temps,
02:57 mais ça va vous demander beaucoup d'énergie.
02:59 Et lorsque vous n'en aurez plus, l'émotion que vous avez réprimée n'aura pas disparu, elle va ressurgir.
03:05 En fait, vous aurez employé toute votre énergie à planquer votre émotion sous le tapis, mais elle sera toujours là.
03:11 Et lorsque vous n'aurez plus d'énergie pour la planquer,
03:14 vous n'en aurez plus non plus pour travailler sur les circonstances qui ont causé l'émotion,
03:18 ni sur les influences que ces émotions ont sur vous, en particulier sur votre jugement.
03:24 Or, justement, c'est sur ces circonstances et sur cette influence que nous pouvons agir efficacement.
03:30 Et c'est ce que je recommande de faire, au moyen d'une méthode que je vais vous expliquer maintenant.
03:38 La méthode que je propose s'applique dès que nous ressentons une émotion, quelle qu'elle soit.
03:43 Première étape, prendre conscience de l'émotion.
03:47 Alors, ça peut paraître évident, mais ça l'est pas tant que ça.
03:50 Il peut arriver qu'on fasse l'expérience de symptômes pendant un moment,
03:54 avant d'arriver à se dire, par exemple,
03:56 "Bah en fait, si je me sens pas bien, c'est parce que je suis triste."
04:00 Ou alors, "Si je suis agressif, c'est parce que je me suis vexé."
04:05 Quand on ressent des symptômes d'une maladie qu'on ne connaît pas,
04:09 le plus pénible, c'est de ne pas savoir ce qu'on a.
04:12 On se sent déjà mieux dès lors qu'on a vu le médecin et qu'il a formulé un diagnostic,
04:16 à condition, bien sûr, que ce diagnostic ne soit pas trop fâcheux.
04:20 Avec nos émotions, c'est pareil.
04:22 Mettre un nom sur notre émotion nous permet déjà de prendre un peu de recul par rapport à elle.
04:26 Et clarifions ce point, il n'y a aucune honte à ressentir des émotions, quelle qu'elles soient,
04:30 parce que nous ne les contrôlons pas.
04:32 Si une situation vous fout la trouille, elle vous fout la trouille.
04:35 La peur est une réaction naturelle.
04:37 Et à ce propos, il y a d'ailleurs plus de courage chez quelqu'un qui brave sa peur
04:41 que chez quelqu'un qui n'en ressent aucune.
04:43 Deuxième étape, comprendre les causes réelles de l'émotion.
04:47 Vous avez peut-être déjà vu quelqu'un exploser de colère pour un truc en apparence insignifiant,
04:51 genre se taper le doigt de pied contre le coin du lit, recevoir un ennui administratif,
04:56 quand l'ordi plante alors qu'on est en train de travailler dessus,
04:59 quand on se mord la langue, quand on se fait couper la route dans le trafic,
05:03 quand on marche sur un tout petit Lego...
05:05 Quand mes écouteurs sont tout temps en blé-né,
05:07 oh, quand j'ai un Kinder, je sais pas construire le jouet,
05:09 quand il fait chaud avec mes lunettes, on pleine de blé,
05:12 oh, ça m'énerve !
05:13 Bref, c'est des petites choses pénibles,
05:15 mais qui ne justifient pas individuellement qu'on explose de colère.
05:19 Mais quand on dit "c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase",
05:22 le problème, c'est pas la goutte d'eau, c'est le contenu du vase.
05:25 C'est ça qu'il nous faut identifier.
05:27 L'explication n'est pas toujours hyper compliquée, d'ailleurs.
05:30 Un exemple typique et dont je me rends personnellement très bien compte,
05:33 c'est que souvent, si je suis irritable, ça veut juste dire que je suis fatigué.
05:37 Et donc, j'ai besoin de faire une pause ou de dormir un peu.
05:40 Et ça va mieux après.
05:42 Bon, parfois, les causes de nos émotions sont beaucoup plus complexes et multiples.
05:46 À ce moment-là, elles nécessitent un examen beaucoup plus minutieux de notre part.
05:50 Troisième étape, comprendre et qualifier les influences de l'émotion.
05:55 Le but de cette étape est d'identifier chaque influence qu'une émotion exerce sur nous
06:01 et de dire si on la juge désirable ou indésirable.
06:05 Si je reprends mes exemples de tout à l'heure,
06:07 je peux assez clairement mettre en évidence les influences qui sont désirables et celles qui sont indésirables.
06:13 Alors évidemment, là, ce sont des exemples relativement simples.
06:16 Dans la vraie vie, il faut bien faire cette différenciation au cas par cas
06:20 et en tenant bien compte du contexte.
06:23 Ce qu'on peut déjà se dire, c'est que ce qui favorise notre plaisir, notre énergie et notre métabolisme gratuitement,
06:29 c'est-à-dire sans qu'il nous en coûte par ailleurs, est désirable.
06:33 À l'inverse, ce qui nous fait souffrir, draine notre énergie, endommage notre métabolisme
06:38 ou biaise notre jugement inutilement, est indésirable.
06:42 Mais là, j'insiste particulièrement sur "gratuitement" et "inutilement".
06:47 Parce que tous les plaisirs ne sont pas désirables.
06:50 Beaucoup de drogues stimulent nos émotions et nous donnent du plaisir.
06:53 Mais au prix de notre addiction et de conséquences sur notre métabolisme
06:56 qui rendent très largement préférable que l'on s'en passe.
06:59 À l'inverse, beaucoup de choses font souffrir et nous prennent de l'énergie,
07:03 mais valent la peine qu'on se les impose.
07:05 L'anxiété causée par votre gros projet de tout à l'heure ne devrait pas vous en détourner
07:10 s'il vous permet d'accomplir quelque chose d'important pour vous.
07:14 Quatrième étape, choisir de rechercher ou éviter l'émotion selon le contexte.
07:20 Alors là, il s'agit de travailler sur les circonstances qui occasionnent nos émotions.
07:25 On peut tout à fait chercher à comprendre quelle situation nous cause telle ou telle émotion.
07:30 Si on juge qu'une émotion a des influences sur nous qu'on juge majoritairement indésirables,
07:35 on peut très bien envisager de ne pas s'exposer aux situations qui la provoquent.
07:40 Un exemple tout bête, supposons que faire la queue au supermarché me provoque de l'anxiété
07:44 parce que je n'aime pas perdre mon temps.
07:46 Bon bah dans ce cas, je vais essayer de me débrouiller pour pas faire les courses aux heures de pointe.
07:51 Et au contraire, on peut chercher des situations qui provoquent des émotions dont les influences sont désirables.
07:58 Si j'observe que je suis plus détendu après avoir marché dehors 5 minutes
08:02 et que ça me rend plus efficace dans mon travail,
08:04 à ce moment là je vais m'aménager des petites pauses régulières qui me permettront de le faire.
08:08 Alors attention par contre, ce ne sont pas nos émotions qui en elles-mêmes sont désirables ou indésirables.
08:15 On parle bien de leurs influences et encore en fonction du contexte.
08:19 La peur par exemple n'est généralement pas une sensation plaisante.
08:22 Pour autant elle nous alerte d'un danger et peut même parfois nous conférer la force nécessaire
08:26 pour nous sortir de bien mauvaises situations.
08:30 Et enfin cinquième étape, réagir aux influences de l'émotion.
08:34 Donc là à l'inverse, on cherche à agir sur les influences de nos émotions.
08:38 Alors deux cas de figure, soit on parle d'une influence désirable, soit on parle d'une influence indésirable.
08:44 Si l'influence est désirable, aucun problème, on peut s'autoriser à la vivre pleinement,
08:49 à savourer les plaisirs qui en découlent, à mettre à profit l'énergie qu'elle nous confère, etc.
08:54 Le tout en pleine conscience.
08:56 En revanche dans le cas d'une influence indésirable,
08:59 on va essayer de se raccrocher à notre connaissance de cette influence pour essayer de la contrer
09:03 et d'empêcher qu'elle n'occasionne trop de dommages.
09:06 Pour expliquer comment ça marche, je reprends l'exemple de la colère.
09:09 Lorsque je constate que je suis en colère, j'essaye de me rappeler que la colère impacte notre jugement.
09:15 Elle nous pousse à répondre de manière disproportionnée à la situation qu'il a causée,
09:19 au risque de l'aggraver inutilement.
09:21 Imaginons j'effectue une démarche administrative et mon interlocuteur m'informe par email qu'il y a une erreur dans mon dossier.
09:27 Si je m'énerve contre lui, il ne va plus avoir envie de m'aider et surtout je vais passer pour un sale con.
09:34 Donc il est plus sûr d'attendre d'avoir retrouvé notre calme,
09:37 avant de prendre des décisions ou de réagir à la situation qui nous irrite.
09:42 On a aussi tendance à ressasser la cause de notre colère en boucle dans notre tête,
09:47 ce qui limite la concentration que nous pouvons allouer aux tâches que nous entreprenons.
09:51 Donc il est préférable de reporter ou de déléguer l'exécution de tâches délicates.
09:56 Notre agressivité peut paraître dans nos interactions sociales et endommager nos relations avec notre entourage,
10:02 même avec les personnes qui n'ont rien à voir avec la situation qui nous a énervés.
10:06 Donc on peut préférer éviter les interactions sociales pendant un temps.
10:11 Tant pis, on prend un moment pour bouder dans notre coin,
10:14 mais au moins on ne va pas risquer de passer nos nerfs sur une pauvre victime innocente.
10:18 Certaines colères très violentes peuvent provoquer le tremblement de nos muscles,
10:22 voire même avoir un impact néfaste sur notre santé.
10:25 Donc il est plus sage de reporter toute manipulation délicate,
10:29 d'éviter de conduire et de chercher à nous apaiser,
10:32 par exemple en nous éloignant un instant du contexte à l'origine de notre énervement.
10:36 Et enfin la colère peut nous inciter à des manifestations de rage,
10:40 qui n'apportent rien de constructif et qui au contraire aggravent notre émotion.
10:44 Donc il faut essayer de résister à ces pulsions.
10:47 Pour ça, on peut se raccrocher à des souvenirs de colère précédentes,
10:50 au cours desquels on a laissé libre cours à notre rage,
10:53 et après lesquels on s'est senti un peu ridicule.
10:56 Je vous assure qu'on se sent vraiment très bête
10:59 quand on doit remettre toutes les touches de son clavier en place une par une.
11:02 Raisonner sous le coup de l'émotion comme je le propose de le faire,
11:10 n'est évidemment pas toujours facile.
11:12 Il existe une béquille qui peut nous y aider,
11:14 et qui s'appelle l'objectivisation.
11:16 Le principe, c'est que lorsqu'on rencontre une situation qui nous provoque une émotion,
11:21 on va essayer de s'imaginer la même situation, mais vécue par quelqu'un d'autre.
11:25 L'idée en faisant ça, c'est d'annuler notre biais subjectif
11:29 et de mettre notre émotion entre parenthèses,
11:31 pour que notre raison reprenne la main sur le jugement de la situation.
11:34 Une variante de ce truc-là, c'est d'imaginer que quelqu'un pour qui on a beaucoup d'estime
11:39 nous observe, et peut nous juger en fonction de notre réaction.
11:42 Et une autre variante encore, cette fois lorsque la situation implique d'autres personnes que nous,
11:48 consiste à nous imaginer le point de vue des autres interlocuteurs.
11:51 Typiquement, si on est en conflit avec quelqu'un,
11:54 notre réaction sera plus judicieuse si on comprend les raisons pour lesquelles cette personne s'oppose à nous.
11:59 La méthode que je décris présente encore une autre difficulté.
12:05 Il s'avère qu'on ne réagit pas tous pareil aux mêmes situations,
12:10 et que nos émotions ne nous influencent pas tous de la même manière.
12:15 Ça dépend de notre vécu, de notre caractère, de nos goûts, de nos sensibilités, etc.
12:20 Par exemple, personnellement, j'aime beaucoup le mauvais temps et la pluie.
12:23 Je trouve ça très beau.
12:25 Mais je sais que la plupart des gens n'aiment pas ça.
12:27 Du coup, il n'existe pas de recette magique qui fonctionne pour tout le monde.
12:31 Il faut que chacun adapte la méthode à sa sauce,
12:34 en étudiant individuellement le fonctionnement de ses propres émotions.
12:37 Et mieux on se connaît de ce point de vue-là,
12:40 mieux la méthode que j'ai proposée aura de chance de marcher.
12:44 C'est plutôt logique.
12:45 Mieux je connais les influences qu'une émotion a sur moi,
12:47 mieux je peux réfléchir à des moyens de tirer profit des désirables,
12:50 tout en atténuant les indésirables.
12:52 Et de même, mieux je connais les circonstances qui déclenchent chez moi telle ou telle émotion,
12:57 mieux je vais être en mesure de les rechercher ou de les éviter.
13:00 L'avantage, c'est que nous ne partons pas de zéro pour construire cette connaissance.
13:04 Nous pouvons nous baser sur nos expériences passées,
13:07 puis au fur et à mesure que nous en faisons des nouvelles.
13:11 Typiquement, les situations passées où nous avons mal réagi valent la peine d'être étudiées,
13:15 pour que l'on comprenne ce qui a causé notre erreur,
13:18 et pour nous aider à progresser.
13:20 Et enfin, même si on ne réagit pas tous pareil,
13:22 plus on en apprend sur le fonctionnement de nos émotions,
13:25 plus on parvient à comprendre et à anticiper celle des autres.
13:28 En d'autres termes, nous développons notre empathie.
13:32 On va en reparler de l'empathie, mais pas tout de suite.
13:35 Pour l'instant, j'ai encore des trucs à raconter à propos de notre raison,
13:38 et surtout ce qui peut impacter son fonctionnement.
13:40 On va parler d'erreurs de raisonnement, de biais de confirmation, d'aversion au risque,
13:45 et de plein d'autres joyeusetés du genre qui vont nous pousser à prendre des décisions erronées.
13:49 Et ça, ce sera au prochain épisode.
13:53 Merci à toutes et à tous d'avoir suivi ce quatrième épisode,
13:58 un peu plus long que la moyenne, j'en conviens, j'espère néanmoins qu'il vous a plu.
14:01 On m'a fait une remarque très juste,
14:04 qui est que vous n'avez à ce stade aucune idée de l'ordre des sujets que j'aborde dans mes vidéos.
14:09 Pour y remédier, je publierai bientôt une vidéo bonus
14:11 qui expliquera le programme que je me suis fixé et pourquoi.
14:15 En revanche, s'il y a des thèmes en particulier ou des questions que vous voudriez que j'aborde dans de futures vidéos,
14:20 n'hésitez pas à m'en faire part dans la section commentaires.
14:23 Je pourrai éventuellement adapter mon plan,
14:25 ou vous proposer des vidéos additionnelles hors programme, ou je les traiterai.
14:29 Bienvenue à tous ceux qui découvrent la chaîne avec cet épisode,
14:32 vous pouvez si vous le souhaitez vous abonner et cliquer sur la petite cloche pour rester informé des prochaines vidéos.
14:37 Vos remarques me sont très utiles et m'aident à progresser,
14:40 en plus de me faire très plaisir et d'aider au référencement des vidéos.
14:43 N'hésitez pas à vous exprimer dans la section commentaires.
14:46 Et comme toujours, je vous invite à cliquer sur le fantastique pouce en l'air
14:49 et à partager l'épisode autour de vous afin de faire connaître la série,
14:53 je vous en serai très reconnaissant.
14:55 Voilà, c'est tout pour moi, je vous dis à la prochaine,
14:57 et d'ici là, prenez soin de vous !
15:00 ♪ ♪ ♪

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