• l’année dernière
Comme très souvent dans le secteur des nouvelles technologies, pour ne pas dire la majorité du temps, il y a plus de ratés que de succès. Metavers, Crypto, Stadia, Elon Musk... Voici un récapitulatif des Flops de l’année 2022 !
Transcription
00:00 Ça y est, l'année 2022 est terminée.
00:02 Il y a eu quelques trucs cools niveau technologie.
00:03 Je pense à ChatsGPT, je pense à BeReal, l'application française qui a tout exposé.
00:07 Des jeux vidéo, God of War Ragnarok, Elden Ring.
00:09 Il y a eu plein de trucs super bien en 2022, mais il y a eu aussi plein de ratés.
00:14 Ce qu'on va faire dans cette vidéo, c'est pas taper sur ce qui n'a pas fonctionné,
00:16 parce que la tech, vous connaissez, il y a toujours plus de ratés que de réussites.
00:20 Mais c'est plutôt revenir sur les échecs, essayer de les comprendre
00:23 et discuter de 2023 et de ce qu'on va avoir dans les prochains mois.
00:27 Allez, on a sélectionné 5 flops et on commence par le numéro 5.
00:31 Le flop numéro 5 qu'on a sélectionné sur Numérama, c'est le streaming.
00:34 Eh bien, vous vous demandez peut-être ce qu'on appelle streaming.
00:36 Eh bien, c'est en effet toutes les plateformes comme Netflix, Disney+, Amazon Prime Vidéo,
00:40 Apple TV+, Paramount+, Liongate+, vous l'avez compris.
00:44 Parce qu'en effet, ce qui s'est passé en 2022, c'est qu'on a vu la limite de ce modèle.
00:47 Jusqu'à maintenant, on avait tous les studios qui voulaient lancer leur plateforme,
00:51 tous les studios qui étaient convaincus qu'on allait tous payer 10 euros par mois
00:54 pour accéder à leur contenu.
00:55 Et la réalité, c'est que les gens en 2022, ils ont dit stop.
00:58 Dès le début de l'année, il y a eu plusieurs signes de cet échec du streaming
01:01 qui allait survenir en 2022 avec Netflix qui est le premier à avoir perdu des abonnés
01:06 pour la première fois de son histoire.
01:07 Netflix, ils ont rapidement paniqué.
01:09 Déjà, ils sont tombés en bourse, ce qui n'est forcément pas très rassurant
01:11 au niveau des investisseurs.
01:13 Reed Hassing, le patron, il a compris qu'il était menacé
01:15 et il a promis de faire des changements qu'il avait toujours refusé de faire,
01:18 comme l'arrivée de la publicité sur Netflix.
01:20 Maintenant, il y a une offre moins chère, Netflix essentielle,
01:22 avec de la publicité pour gagner les abonnés à un peu petit prix.
01:25 Mais Netflix, c'est pas vraiment l'échec de 2022 en streaming.
01:28 Au contraire, ils sont bien remontés.
01:30 Ils ont plein de séries et de films qui cartonnent.
01:32 Ils battent des records d'audience tous les mois.
01:34 Donc Netflix, ça marche bien.
01:36 Par contre, les autres petites plateformes, il est temps de se remettre en question.
01:40 Il y en a un que vous connaissez peut-être, c'était Starzplay.
01:42 Ils ont été renommés, ils sont devenus Lionsgate+.
01:44 Et ils ont fait des publicités dans toutes les grandes villes de France
01:47 à base de gros panneaux publicitaires.
01:49 Et malgré ça, un mois après l'arrivée des publicités et ce changement de nom,
01:53 ils ont fermé et ils ont abandonné le marché européen
01:56 parce que personne ne s'est abonné à Lionsgate+.
01:58 Il y a d'autres services qui se sont lancés dans l'année.
02:00 On pense à Paramount+, un des derniers.
02:02 Et si on observe sa stratégie, c'est pas de se lancer en indépendant.
02:05 C'est pas de vous convaincre de vous abonner à lui.
02:07 C'est de s'intégrer aux offres de Canal+,
02:09 s'intégrer aux offres d'Orange pour vendre ses services
02:13 sans se risquer à un échec comme Lionsgate.
02:16 Et en 2023, il devrait y avoir d'autres échecs comme ça.
02:19 On sait par exemple que Salto, ça risque de fermer
02:21 ou ça risque d'être revendu.
02:23 On sait qu'au CS, ils ont perdu les droits des séries HBO.
02:25 Au moment où on enregistre cette vidéo,
02:27 on n'a aucune idée d'où vont atterrir les contenus HBO.
02:30 Il y a des rumeurs, c'est Canal+ ou Amazon.
02:32 Le problème de toute cette situation, c'est qu'il y avait trop de plateformes de streaming,
02:35 que les gens n'ont pas l'argent pour payer pour 5, 6, 7 services.
02:38 Ils en choisissent 2 ou 3 ou alors ils s'abonnent et ils se désabonnent.
02:41 Et il ne peut pas y avoir autant de plateformes qui cohabitent.
02:43 Et ça provoque cette catastrophe.
02:45 L'échec numéro 4, c'est le secteur des crypto-monnaies en général.
02:48 Il y a un an, le bitcoin, ça valait plus de 40 000 euros.
02:51 Aujourd'hui, ça en vaut 15 000.
02:53 L'action du bitcoin s'est vraiment effondrée
02:55 et c'est le cas de toutes les autres crypto-monnaies.
02:57 On a aussi vu toute la vague NFT tomber.
02:59 Il y a quelques mois, on disait que les NFT, c'était le futur.
03:02 Les NFT, ça s'arrachait à prix d'or.
03:03 Il y a des gens qui vendaient des NFT pour plusieurs milliers d'euros.
03:06 Et aujourd'hui, ces mêmes NFT, ça ne vaut que quelques dizaines d'euros.
03:09 L'année 2022, c'est vraiment une année noire pour le secteur des crypto-monnaies.
03:12 On ne va pas dire que c'est fini.
03:13 On ne va pas faire une projection sur Numérama
03:15 en vous disant que les crypto-monnaies, ça ne marchera jamais
03:17 et que c'était une arnaque.
03:18 Mais ce qu'on a constaté, c'est qu'il y a plein de limites à ce modèle
03:20 et que leur croissance fulgurante, qui ne s'arrêtait pas depuis plusieurs années,
03:24 elle ne peut pas fonctionner éternellement.
03:26 Maintenant, ce qui n'a pas aidé, c'est qu'il y a plein de personnes
03:27 qui se posent la question de leur intérêt réel dans le futur.
03:30 Surtout quand on voit que des projets sont stoppés par les gouvernements.
03:32 Je pense au Diem de Facebook, par exemple.
03:34 C'était censé être la crypto-monnaie qui allait remplacer le dollar, l'euro, le livre
03:38 dans tous les pays du monde entier.
03:39 Finalement, ça a été arrêté et freiné par tous les gouvernements du monde entier.
03:43 En fin d'année, il y a eu un dernier coup de massue sur la tête des crypto-monnaies.
03:46 C'est la chute de FTX qui était en fait une vaste fraude,
03:48 au moins dans sa gestion financière.
03:50 La plateforme s'est effondrée du jour au lendemain.
03:52 Son fondateur a été inculpé et ça ne rassure pas vraiment sur l'avenir des crypto-monnaies.
03:57 Mais d'ici 2023, ça ne peut que remonter.
03:59 L'échec numéro 3, c'est celui qui me rend le plus triste.
04:02 L'échec numéro 3 qu'on a choisi sur Numérama, c'est Stadia,
04:05 qui a été lancé en 2019, vous le connaissez sans doute.
04:08 C'était le service de cloud gaming de Google.
04:10 À l'époque, quand Google est arrivé, ils ont vendu un service révolutionnaire
04:13 censé réduire à néant les consoles, le jeu sur PC
04:17 et rendre le jeu vidéo vraiment plus moderne.
04:19 Et si je suis triste à titre personnel, c'est parce que je les ai cru.
04:22 Au début, je n'étais pas convaincu comme beaucoup de personnes.
04:24 Mais après avoir essayé Stadia, après m'être habitué à Stadia,
04:27 je me suis rendu compte que la plateforme était géniale
04:29 parce que c'est vraiment du jeu vidéo en streaming.
04:31 Ça permet de jouer sur mobile, ça permet de jouer en vacances sur son ordinateur,
04:35 ça permet de jouer avec n'importe quelle manette,
04:36 ça permet de jouer quasiment sans latence.
04:38 La qualité de Stadia, elle était vraiment top pour un service de cloud gaming.
04:41 Franchement, j'ai été bluffé par ce service,
04:44 mais j'avais un petit peu peur que Google fasse n'importe quoi avec.
04:46 Trois ans après, Google a fait n'importe quoi.
04:48 Ce n'est pas surprenant, quand on connaît Google, il lance des services
04:51 et après, il passe à autre chose, il se lance sur d'autres projets.
04:53 Le problème avec Stadia, c'est qu'ils l'ont lancé alors qu'il n'était pas fini.
04:56 Il y a plein de choses qui ont été montrées au lancement,
04:58 comme la possibilité de résoudre un niveau quand vous ne savez pas,
05:00 en demandant l'aide à Google Assistant, qui ne sont jamais arrivées en trois ans.
05:04 Il y a plein de jeux qui ne sont jamais arrivés sur Stadia.
05:06 Bref, Google a réuni toutes les cartes pour se rater.
05:08 Le plus incroyable, c'est que Google proposait un catalogue
05:10 avec une centaine de jeux dans Stadia,
05:12 mais que personne ne le savait parce qu'ils n'ont jamais fait de pub là-dessus.
05:15 Les gens sont convaincus que sur Stadia, il fallait seulement acheter les jeux,
05:18 alors que ce n'était pas le cas.
05:19 Tout ça à cause d'une erreur de communication.
05:21 Stadia, c'est vraiment le plus gros raté du monde du jeu vidéo en 2022,
05:24 voire de ces dernières années.
05:26 Ce qui est encore plus triste, c'est qu'avec le confinement,
05:28 les gens étaient à la maison.
05:29 Ils avaient besoin de ce genre de services pour jouer
05:30 et Google n'en a même pas profité pour communiquer là-dessus
05:33 et que le cloud gaming est en train d'exploser avec Xbox, avec Shadow, avec Nvidia
05:37 et que Google a complètement raté ce train.
05:40 Bref, Stadia va beaucoup nous manquer, au moins un titre personnel.
05:43 Et on espère que Google va arrêter de détruire ses projets
05:46 avant même d'avoir vraiment investi dedans.
05:48 Le numéro 2...
05:51 Il est compliqué, celui-là.
05:52 Ah, le numéro 2, on en a parlé toute l'année.
05:54 J'ai l'impression que depuis le début de l'année 2022,
05:56 je ne parle que de ça tous les jours.
05:59 C'est évidemment Elon Musk.
06:00 Bon, pas Elon Musk en tant que lui-même.
06:01 On ne va pas dire qu'Elon Musk est un flop.
06:03 C'est l'homme ou le deuxième homme le plus riche du monde.
06:05 Il a Tesla, il a SpaceX, il a plein de projets.
06:08 L'homme est partout.
06:09 C'est vraiment la personnalité de l'année 2022.
06:11 Et sur cet aspect-là, c'est une grosse réussite.
06:13 Elon Musk, on ne parle que de lui et c'est son doute mérité.
06:16 Non, par contre, ce qui ne va pas, c'est Twitter.
06:18 Parce que même si plusieurs personnes pensent que quand on a réussi Tesla et SpaceX,
06:21 on ne peut que réussir à gérer Twitter,
06:24 la réalité, c'est que ce ne sont pas les mêmes métiers.
06:25 Ce n'est pas parce qu'on vend des voitures qu'on est capable de vendre des chaussures.
06:29 Ce ne sont vraiment pas les mêmes secteurs.
06:30 Et le problème, c'est qu'Elon Musk est en train de se confronter à ça
06:33 et qu'il fait un peu n'importe quoi.
06:34 Déjà, il y a eu tout le chaos autour du rachat de Twitter.
06:36 Le fait qu'Elon Musk rejoigne le conseil d'administration,
06:39 dit qu'il ne veut plus être dans le conseil d'administration,
06:41 propose de les racheter.
06:42 Twitter ne veut pas.
06:43 Puis Elon Musk ne veut plus.
06:44 Puis Elon Musk va au procès.
06:45 Puis Twitter veut forcer le rachat.
06:47 Puis Elon Musk accuse Twitter d'avoir menti sur tous ses chiffres.
06:50 C'était n'importe quoi.
06:52 Et tout ça, le pire, c'est que ça finit par Elon Musk qui dit
06:54 "Bon, finalement, je veux bien racheter Twitter."
06:56 Quand il est arrivé chez Twitter, je faisais partie des gens
06:58 qui pensaient que ça n'allait pas trop mal se passer.
07:00 Je ne croyais pas trop en sa liberté d'expression absolue.
07:02 Je ne croyais pas trop en certains de ses projets.
07:04 Mais je me disais qu'Elon Musk n'allait pas non plus tout casser.
07:07 Ça n'avait aucun sens de faire ça.
07:08 Je me suis bien trompé.
07:10 Il fait vraiment tout et n'importe quoi depuis qu'il a Twitter.
07:12 Il y a eu du bon, mais il y a aussi du très mauvais.
07:14 C'est ça qui est très inquiétant et qui met Elon Musk dans les flops de l'année 2022.
07:18 Par exemple, quand Elon Musk dit qu'au nom de la liberté d'expression absolue,
07:21 il faut remettre tous les comptes qui ont été fermés,
07:23 c'est bizarre parce qu'il remet des comptes qui ont été fermés
07:26 alors qu'ils enfreignent la loi dans beaucoup de pays,
07:28 comme ceux qui incitent à la haine.
07:29 On peut dire que sa liberté d'expression absolue,
07:31 c'est une valeur, notamment aux États-Unis,
07:34 et que s'il veut faire ça, c'est sa plateforme, il fait ce qu'il veut.
07:37 Le problème, c'est qu'Elon Musk, il applique cette liberté d'expression absolue
07:40 seulement au sujet qui l'intéresse.
07:42 Quand il y a des comptes qui partagent la localisation de son avion en temps réel,
07:45 ce qui n'enfreint aucune loi, au contraire, c'est des données publiques,
07:47 quand il y a des comptes de journalistes qui le critiquent,
07:49 Elon Musk, il les ferme parce qu'il dit qu'il nuise à ses conditions d'utilisation.
07:54 Quand il y a Mastodon, le réseau social allemand qui essaye de naître
07:57 et qui essaye de contrer Twitter,
07:59 Elon Musk interdit les liens vers Mastodon
08:01 et il ferme le compte de Mastodon de Twitter.
08:03 Ça, c'est pas de la liberté d'expression absolue,
08:05 et ça pose beaucoup de questions sur la responsabilité qu'on a donnée à un seul homme.
08:08 Et enfin, le flop numéro 1, c'est pas Elon Musk,
08:11 c'est le métavers.
08:12 Ah le métavers !
08:13 On l'a pas mal testé sur Numérama en 2022.
08:16 On a des vidéos, on a des articles.
08:18 On a passé notamment une semaine avec un casque sur la tête.
08:20 C'est une vidéo qu'on va vous mettre dans la description si vous voulez la voir.
08:23 On a aussi passé beaucoup de temps avec le casque Quest Pro.
08:26 Là, le test, il arrive bientôt.
08:27 Bref, c'était vraiment un des sujets les plus importants de la tech en 2022,
08:32 et pour l'instant, ça se passe pas comme prévu.
08:34 Ça se passe pas comme prévu parce que le constat,
08:36 après un an de métavers à tout va,
08:38 c'est que personne ne sait ce qu'est le métavers,
08:40 et c'est pas moi qui le dis,
08:41 c'est un rapport gouvernemental qui avait été commandé par la France il y a quelques mois,
08:44 et qui dit en fait que le terme métavers englobe plein de choses,
08:46 le cinéma notamment, le jeu vidéo,
08:48 mais que personne n'a vraiment une idée précise de ce qu'est le métavers.
08:52 Et c'est ce qu'on a vu en 2022,
08:53 il y a une confusion entre réalité virtuelle, réalité mixte, réalité augmentée,
08:56 métavers, casque, Internet, jeu vidéo, 3D.
09:00 Tout ça, ça s'englobe dans un seul mot,
09:01 et serait ultra problématique pour Meta qui a dépensé plusieurs milliards de dollars là-dedans,
09:06 alors que le concept ne prend pas.
09:07 Aujourd'hui, ce qui se rapproche le plus du métavers façon Meta,
09:10 c'est une application qui s'appelle Horizon World,
09:11 c'est une sorte de jeu vidéo qu'on met en réalité virtuelle sur sa tête,
09:15 on rencontre des gens avec qui on peut discuter, avec qui on peut faire des activités,
09:19 et Horizon World, passé la tentation d'essayer ce jeu,
09:22 eh bien on se rend compte que personne n'est dedans.
09:24 Le nom de l'utilisateur est en chute libre,
09:26 les employés de Facebook ne l'utilisent pas eux-mêmes,
09:28 et ça c'est un gros problème, ça veut dire que le métavers ça ne prend pas du tout.
09:31 Juste je veux clarifier une seule chose,
09:33 on n'est pas en train de taper sur la réalité virtuelle, la réalité mixte ou les casques.
09:37 Ça c'est des produits très intéressants et notre test du Quest Pro vous le montre très bien.
09:41 Le problème c'est le concept du métavers,
09:43 la stratégie de Meta qui consiste à mettre des choses du monde réel en réalité virtuelle,
09:47 elle n'est pas bonne parce que les gens n'ont pas envie de faire des courses dans des rayons virtualisés,
09:51 ils n'ont pas envie de caresser des animaux virtuels,
09:53 ils ont envie de faire des expériences nouvelles
09:54 qu'on ne peut pas faire dans le vrai monde avec un casque sur la tête,
09:57 sinon ça n'aurait aucun intérêt.
09:58 L'enjeu pour Meta en 2023, c'est d'arriver à se relancer là-dessus.
10:01 Il y a deux possibilités, soit rendre le métavers plus intéressant,
10:05 soit réaliser que ce n'était pas le bon nom, que ce n'était pas la bonne communication
10:08 et vraiment miser sur des expériences de réalité virtuelle et de réalité mixte.
10:12 On espère qu'ils vont réussir,
10:13 mais pour l'instant quand on voit leur pub sur le métavers, on est un peu inquiet
10:16 parce que là ils sont en train de nous vendre un truc qui n'est pas du tout ce qui est montré à l'écran.
10:19 On nous montre par exemple une opération d'un chirurgien en réalité virtuelle,
10:22 ils appellent ça le métavers,
10:24 ça n'a rien à voir, c'est de la réalité virtuelle ou de la réalité augmentée.
10:27 Voilà pour notre sélection des 5 échecs de 2022 en tech.
10:30 Il y en a d'autres qui auraient pu être là,
10:31 comme les graphismes de la Nintendo Switch qui commencent à être un petit peu bof pour 2022,
10:36 comme l'abonnement PlayStation Plus pour rivaliser avec le Xbox Game Pass,
10:39 qui n'est pas vraiment très intéressant et qui ne prend pas trop au niveau des abonnés,
10:42 ils ont même perdu des abonnés.
10:43 Bref, on ne va pas parler de ça, on a dit qu'on n'en sélectionnait que 5.
10:46 Et on se retrouve sans doute dans un an pour un nouveau bilan des flops de 2023.

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