• il y a 3 ans
Les mères inscrites à la formation de Guillaume Guérid ce vendredi 1er octobre sont unanimes : le portage de bébés, c’est la liberté. Liberté de pouvoir cuisiner. Liberté de pouvoir danser. Liberté de pouvoir travailler… Tout en nouant une relation privilégiée avec son nouveau-né. Porter son enfant contre soit, c’est développer « la complicité entre le bébé et le porteur », approuve Ancolie, mère de deux enfants. Elles sont cinq ce jour-là à embarquer à bord d’une péniche de Bray-sur-Seine pour trois jours de formation, accompagnées de Guillaume et d’Aurore, sage-femme déjà bien rodée aux techniques de portage.

Écharpe, Slings, tubes, porte-bébé traditionnel ou « occidentalisé »… Les possibilités sont multiples et Guillaume est là pour aider les parents et professionnels de la petite enfance à y voir plus clair et à sélectionner les supports qui leur conviendront le mieux. Pour l’instructeur, passer par une étape de formation est avant tout une nécessité, car ne s’improvise pas porteur qui veut. Les techniques de nouage des écharpes doivent être bien maîtrisées et la formation débute par un volet « sécurité ». « Je fais toujours le parallèle avec les écoles de conduite. Pour conduire une voiture, il faut apprendre, parce qu’il y a des règles de sécurité, des choses qui sont importantes à savoir. Pour le portage, c’est pareil », insiste le formateur.

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