Préparé à partir vers les "portails royaux" pour avancer vers la position de monarque véritable, je me permets quand-même à vérifier des choses au sujet de la présentation des couronnes des contenus additionnels à Vendrick - le fait que je savais d'avance que ces symboles du pouvoir doivent être montrés à celui qui anciennement régnait sur Drangleic me fait me sentir de plus en plus inquiet que je rate quelque chose et aussi légèrement mécontent qu'après tous mes efforts pour obtenir ce qui est essentiellement que du "métal de tête", je trouve le seul individu, théoriquement capable à reconnaître la signifiance de possession de ces objets n'est qu'un mort-vivant privé de raisonnement qui se promène tout nu dans une salle sombre, indifférent aux évènements ayant lieu autour de soi. Pendant ma recherche des informations hors du contexte du jeu, je tombe sur de la preuve que si Vendrick prend - en effet - suffisamment de dégâts, il révélera qu'il peut être tué et - de là - je pourrais communiquer avec cet ancien monarque...
Pour ça, je décide à utiliser l'espadon du Roi d'Ivoire - je me fais le chemin vers le compartiment au fond de la Crypte et après - sans exagérer - une vingtaine d'attaques sur la surface de la chair pourri du vieux gouverneur suprême, il est affiché comme un patron, de la lumière blanche apparaissant à l'entrée et la santé de la Carcasse toute puissante étant à peine brisée. Les simples coups horizontaux et verticaux de l’épée large de Vendrick blessent le jambon énormément beaucoup, pendant que - même avec ma lame qui cause du saignement, j'ai l’impression d'à peine gratter la surface de sa peau. Après ma mort, ne croyant pas que je pourrais être forcé à battre en retraite d'une confrontation avec quelqu'un qui est visiblement incapable d'utiliser même la moitié des ses capacités comme il faut, j'équipe la gaufrette aussi, sacrifiant le pantalon et me préparant pour m'ennuyer...
Ma perte de patience continue à jouer un grand rôle dans mes morts - me disant que si je veux gagner, il faut que je trouve une façon de faire ça "durer moins que dix siècles", j'utilise mes connaissances de sorts différents, grâce au caractère "entièrement offensif" du jambon - les sorcelleries ne peuvent pas pénétrer l’âme du Roi, le miracle "Apaisement d’Âme" de la fille du forgeron à Majula qui est censé à "faire des dégâts lourds aux carcasses" ne prend plus qu'un point de la santé de l'adversaire par utilisation, le maléfice "Murmure Désespérant" réduit la défense du vieillard autant peu que le seul que ça désespère - c'est moi et l'intensité de la pyromancie "Immolation" incinère le jambon, en chauffant un tout petit peu les articulations du cadavre marchant...je me rends de plus en plus compte qu'il faudra que j'applique quelque méthode particulière - je recours aux vérifications à nouveau.
Je comprends que d'avoir les âmes de ceux qui menaçaient Drangleic - les géants - affaiblit le Roi - comme celle du Ravin Noir que j'ai bêtement consommé...
Pour ça, je décide à utiliser l'espadon du Roi d'Ivoire - je me fais le chemin vers le compartiment au fond de la Crypte et après - sans exagérer - une vingtaine d'attaques sur la surface de la chair pourri du vieux gouverneur suprême, il est affiché comme un patron, de la lumière blanche apparaissant à l'entrée et la santé de la Carcasse toute puissante étant à peine brisée. Les simples coups horizontaux et verticaux de l’épée large de Vendrick blessent le jambon énormément beaucoup, pendant que - même avec ma lame qui cause du saignement, j'ai l’impression d'à peine gratter la surface de sa peau. Après ma mort, ne croyant pas que je pourrais être forcé à battre en retraite d'une confrontation avec quelqu'un qui est visiblement incapable d'utiliser même la moitié des ses capacités comme il faut, j'équipe la gaufrette aussi, sacrifiant le pantalon et me préparant pour m'ennuyer...
Ma perte de patience continue à jouer un grand rôle dans mes morts - me disant que si je veux gagner, il faut que je trouve une façon de faire ça "durer moins que dix siècles", j'utilise mes connaissances de sorts différents, grâce au caractère "entièrement offensif" du jambon - les sorcelleries ne peuvent pas pénétrer l’âme du Roi, le miracle "Apaisement d’Âme" de la fille du forgeron à Majula qui est censé à "faire des dégâts lourds aux carcasses" ne prend plus qu'un point de la santé de l'adversaire par utilisation, le maléfice "Murmure Désespérant" réduit la défense du vieillard autant peu que le seul que ça désespère - c'est moi et l'intensité de la pyromancie "Immolation" incinère le jambon, en chauffant un tout petit peu les articulations du cadavre marchant...je me rends de plus en plus compte qu'il faudra que j'applique quelque méthode particulière - je recours aux vérifications à nouveau.
Je comprends que d'avoir les âmes de ceux qui menaçaient Drangleic - les géants - affaiblit le Roi - comme celle du Ravin Noir que j'ai bêtement consommé...
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