Présidente du réseau SNCF au féminin, Francesca Aceto explique : «Notre but, c’est de défendre une cause commune ! Nous sommes 7 000 membres dont l’objectif est de promouvoir la mixité à tous les niveaux de l’entreprise et dans tous les métiers. C’est une communauté très agissante».
La SNCF est une communauté très masculine : «Oui, c’est l’histoire peut-être qui veut ça, assure notre invitée. On est dans un monde industriel à la base, physique (…) Historiquement aussi, le monde des ingénieurs était un monde d’hommes mais cela fait quelques années que la SNCF est mieux-disante sur le recrutement des femmes ingénieurs (…) La politique volontariste a quelques résultats !».
Elle ajoute : «Je pense que l’entreprise a besoin de diversité, de profils différents, les femmes sont la moitié de l’humanité, un peu plus même, cela serait dommage de se priver de cette moitié de talents ! Il y a de la place pour tout le monde à la SNCF, les métiers sont quand même de moins en moins physiques (…) Il n’y a donc pas de raison que les femmes se bloquent elles-mêmes l’accès à certains métiers !».
Le conducteur de TGV reste un poste iconique, emblématique, à la SNCF. Y a-t-il des femmes qui conduisent des TGV ? «Il y en a quelques-unes, la première date des années 80. On arrive à conduire les TGV en fin de carrière (…) Des conductrices, il n’y en a pas assez mais c’est un métier sur lequel on recrute et ma conviction c’est que n’importe qui peut tenir ce type de métiers !».
La SNCF est une communauté très masculine : «Oui, c’est l’histoire peut-être qui veut ça, assure notre invitée. On est dans un monde industriel à la base, physique (…) Historiquement aussi, le monde des ingénieurs était un monde d’hommes mais cela fait quelques années que la SNCF est mieux-disante sur le recrutement des femmes ingénieurs (…) La politique volontariste a quelques résultats !».
Elle ajoute : «Je pense que l’entreprise a besoin de diversité, de profils différents, les femmes sont la moitié de l’humanité, un peu plus même, cela serait dommage de se priver de cette moitié de talents ! Il y a de la place pour tout le monde à la SNCF, les métiers sont quand même de moins en moins physiques (…) Il n’y a donc pas de raison que les femmes se bloquent elles-mêmes l’accès à certains métiers !».
Le conducteur de TGV reste un poste iconique, emblématique, à la SNCF. Y a-t-il des femmes qui conduisent des TGV ? «Il y en a quelques-unes, la première date des années 80. On arrive à conduire les TGV en fin de carrière (…) Des conductrices, il n’y en a pas assez mais c’est un métier sur lequel on recrute et ma conviction c’est que n’importe qui peut tenir ce type de métiers !».
Category
🗞
News