Laureline Galliot se dit peintre et designer industrielle. Sa pratique intuitive du dessin sur Ipad alimente et contamine sa production plastique.
Elle réalise ici un autoportrait, exercice qui lui est familier. En effet, elle ne cesse d’explorer, recouvrir, déformer, travestir sa propre image, empruntant comme accessoire tantôt le chapeau ou le manteau d’un tableau de Picasso ou de Klimt, tantôt une paire de baskets vainement convoitées. À l’heure des selfies et de la mise-en-scène de soi sur les réseaux sociaux, pratiques que Laureline Galliot maîtrise par ailleurs savamment, son œuvre semble affirmer l’irréductible opacité du moi face au règne de la transparence.
L’impression numérique, réalisée en collaboration avec le Studio Franck Bordas, traduit quant à elle l’intensité lumineuse et la surface contrastée de l’écran.
Cette œuvre a été présentée dans l'exposition « Nouvelles vagues, une commande d’art imprimé du Centre national des arts plastiques » au Carré d’art à Nîmes du 11 novembre 2016 au 22 janvier 2017.
Elle réalise ici un autoportrait, exercice qui lui est familier. En effet, elle ne cesse d’explorer, recouvrir, déformer, travestir sa propre image, empruntant comme accessoire tantôt le chapeau ou le manteau d’un tableau de Picasso ou de Klimt, tantôt une paire de baskets vainement convoitées. À l’heure des selfies et de la mise-en-scène de soi sur les réseaux sociaux, pratiques que Laureline Galliot maîtrise par ailleurs savamment, son œuvre semble affirmer l’irréductible opacité du moi face au règne de la transparence.
L’impression numérique, réalisée en collaboration avec le Studio Franck Bordas, traduit quant à elle l’intensité lumineuse et la surface contrastée de l’écran.
Cette œuvre a été présentée dans l'exposition « Nouvelles vagues, une commande d’art imprimé du Centre national des arts plastiques » au Carré d’art à Nîmes du 11 novembre 2016 au 22 janvier 2017.
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Art et design