Après le musée des Beaux-Arts de Nancy et avant le musée des Beaux-Arts de Quimper, le MARQ a l’honneur d’avoir été retenu en deuxième étape de cette première exposition itinérante du musée d’Orsay. Si l’on connaît les visages de ceux qui, comme Gustave Courbet, Vincent Van Gogh, Claude Monet ou encore Paul Gauguin, sont devenus les icônes de l’art au XIXe siècle, bien d’autres furent appréciés en leur temps, mais moins célèbres aujourd’hui, comme Alexis Axilette, Ernest Meissonier ou encore Clémentine-Hélène Dufau, qui se sont aussi livrés à cet exercice face au miroir.
Cette galerie, d’une quarantaine d’autoportraits, est une invitation à nous interroger sur ce genre si particulier et de longue tradition, à laquelle ne dérogèrent pas les peintres de la seconde moitié du XIXe siècle et début du XXe siècle. L’exposition pose la question de la succession et de la concomitance de styles et d’écoles qui s’opposent et se répondent, dans une dynamique beaucoup moins linéaire que ne le laissent penser les grands mouvements picturaux du réalisme au synthétisme, en passant par l’impressionnisme, le naturalisme, le symbolisme.
En illustrant l’évolution d’un genre entre 1848 et 1914, elle offre une compréhension de la diversité des courants qui remettent en cause ou renouvellent la tradition de la peinture, et créent, par avant-gardes successives, le contexte d’émergence de la peinture moderne.Retour ligne automatique
Au Musée d’art Roger-Quilliot,Retour ligne automatique
Du 4 mars au 5 juin 2016.
Cette galerie, d’une quarantaine d’autoportraits, est une invitation à nous interroger sur ce genre si particulier et de longue tradition, à laquelle ne dérogèrent pas les peintres de la seconde moitié du XIXe siècle et début du XXe siècle. L’exposition pose la question de la succession et de la concomitance de styles et d’écoles qui s’opposent et se répondent, dans une dynamique beaucoup moins linéaire que ne le laissent penser les grands mouvements picturaux du réalisme au synthétisme, en passant par l’impressionnisme, le naturalisme, le symbolisme.
En illustrant l’évolution d’un genre entre 1848 et 1914, elle offre une compréhension de la diversité des courants qui remettent en cause ou renouvellent la tradition de la peinture, et créent, par avant-gardes successives, le contexte d’émergence de la peinture moderne.Retour ligne automatique
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Du 4 mars au 5 juin 2016.
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Art et design