La raison d’être de l’État juif est inséparable de l’existence du peuple juif, qui ne peut lui-même se comprendre sans évoquer l’existence de Dieu (Gn 12.1-2 ; 17.1-2). Dieu, en effet, a voulu créer une société exempte de culte rendu au Démon où Son Messie pourrait S’incarner et saintement Se développer. Si donc l’existence du peuple juif est fonction de la venue du Messie, le Sauveur du monde (Jn 4.22 ; Ga 3.16+), alors le rejet de Jésus, le Christ, le Messie, préfiguré par celui des Prophètes, ne peut qu’avoir des conséquences dramatiques tant pour Israël que pour le monde entier. Jésus n’a-t-Il pas annoncé la destruction du Temple de Jérusalem et la dispersion des Juifs en châtiment de leur incrédulité, de leur refus de L’accueillir, Lui, le Fils de Dieu (Lc 13.34 ; 19.41-44 ; 21.20-24 ; Jn 5.23,42-47 ; 8.24,42-47), et cela « jusqu’à ce que soit accompli le temps des païens » (Lc 21.24 ; 1 Th 2.14+) ? Le « temps des païens » a donc vu sa fin avec la création de l’État d’Israël en 1948. La connaissance du Christ ayant désormais atteint les extrémités du monde (signe d’ailleurs de sa fin imminente, Mt 24.14), il n’est plus désormais possible d’être païen : on ne peut plus être que chrétien ou antichrétien. « Qui n’est pas avec Moi est contre Moi. » dit Jésus (Mt 12.30).
De son côté, le peuple palestinien, quoiqu’originairement et encore en faible part, chrétien, est devenu l’emblème de la cause musulmane. Or comme le judaïsme rabbinique d’où il est issu, l’islam justifie sa raison d’être par le refus d’accueillir la foi chrétienne (1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3 ; Ap 13.1+ ; Coran 9.28-30). Israël peut donc voir dans ce rejeton révolté contre son père (1 Ch 29.10 ; Is 63.16, 64.8) le témoin de ce qu’il est, le miroir de sa propre révolte contre Dieu, et l’islam reconnaître en Israël sa propre nature d’Antichrist… et s’attendre au même châtiment qu’Israël.
Si les musulmans réalisaient qu’Allah ne donne la Palestine qu’aux Juifs (Coran 5.21), et même l’Égypte (Coran 28.4-6 ; 26.52-59), parce qu’Allah aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre » (Coran 2.47,121,122 ; 7.140), et sachant que « les coutumes d’Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23), continueraient-ils à croire au Coran, ou bien comprendraient-ils que l’islam n’est que du Judaïsme rabbinique, bien adapté aux bédouins primitifs, violents et sensuels, sous-produit talmudique inoculé aux Arabes pour faire d’eux d’autres Antichrists ?
Il n’y a donc pas d’autre solution au conflit israélo-palestinien que la conversion des Juifs et des Musulmans au Christ, Lui « qui, des deux peuples, n'en a fait qu'un, détruisant la barrière qui les séparait, en supprimant en Sa chair la haine ». Il est la Paix (Ep 2.14). Il enseigne la Miséricorde sans la pratique de laquelle personne ne pourra demander à la recevoir de Dieu (Lc 6.36-38)…
De son côté, le peuple palestinien, quoiqu’originairement et encore en faible part, chrétien, est devenu l’emblème de la cause musulmane. Or comme le judaïsme rabbinique d’où il est issu, l’islam justifie sa raison d’être par le refus d’accueillir la foi chrétienne (1 Jn 2.22-23 ; 4.2-3 ; Ap 13.1+ ; Coran 9.28-30). Israël peut donc voir dans ce rejeton révolté contre son père (1 Ch 29.10 ; Is 63.16, 64.8) le témoin de ce qu’il est, le miroir de sa propre révolte contre Dieu, et l’islam reconnaître en Israël sa propre nature d’Antichrist… et s’attendre au même châtiment qu’Israël.
Si les musulmans réalisaient qu’Allah ne donne la Palestine qu’aux Juifs (Coran 5.21), et même l’Égypte (Coran 28.4-6 ; 26.52-59), parce qu’Allah aime les Juifs « plus que tous les peuples de la terre » (Coran 2.47,121,122 ; 7.140), et sachant que « les coutumes d’Allah ne changent pas » (Coran 33.62 ; 35.43 ; 48.23), continueraient-ils à croire au Coran, ou bien comprendraient-ils que l’islam n’est que du Judaïsme rabbinique, bien adapté aux bédouins primitifs, violents et sensuels, sous-produit talmudique inoculé aux Arabes pour faire d’eux d’autres Antichrists ?
Il n’y a donc pas d’autre solution au conflit israélo-palestinien que la conversion des Juifs et des Musulmans au Christ, Lui « qui, des deux peuples, n'en a fait qu'un, détruisant la barrière qui les séparait, en supprimant en Sa chair la haine ». Il est la Paix (Ep 2.14). Il enseigne la Miséricorde sans la pratique de laquelle personne ne pourra demander à la recevoir de Dieu (Lc 6.36-38)…
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