Dans le Coran, pour déterminer la culpabilité des présumés violeurs, Allah a établi une procédure basée sur des témoignages choisis (Coran 4.15).
Les "témoignages choisis " sont en principe destinés à établir la justice. Or, le début du verset met tout de suite les femmes en cause, alors que, dénoncées, elles peuvent avoir été victimes de viol... et dans ce cas, elles ne pourront être innocentées étant donné l'obligation de recourir à pas moins de quatre témoins !
Comme l'a illustré pour sa part la condamnation pour viol de l'imam anglais Abdul Makin, la procédure d'Allah s'est révélée aujourd'hui heureusement dépassée par le progrès des sciences.
Mais si le Coran est aujourd'hui dépassé, c'est la preuve qu'il n'est pas la Parole de Dieu, parce que la Parole de Dieu ne saurait, elle, être dépassée.
Le test de l'ADN relève aussi le défi lancé par Allah (17.88 ; 11.13-14) de la prétendue impossibilité à présenter une sourate meilleure que les siennes.
Les "témoignages choisis " sont en principe destinés à établir la justice. Or, le début du verset met tout de suite les femmes en cause, alors que, dénoncées, elles peuvent avoir été victimes de viol... et dans ce cas, elles ne pourront être innocentées étant donné l'obligation de recourir à pas moins de quatre témoins !
Comme l'a illustré pour sa part la condamnation pour viol de l'imam anglais Abdul Makin, la procédure d'Allah s'est révélée aujourd'hui heureusement dépassée par le progrès des sciences.
Mais si le Coran est aujourd'hui dépassé, c'est la preuve qu'il n'est pas la Parole de Dieu, parce que la Parole de Dieu ne saurait, elle, être dépassée.
Le test de l'ADN relève aussi le défi lancé par Allah (17.88 ; 11.13-14) de la prétendue impossibilité à présenter une sourate meilleure que les siennes.
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