Texte de Joâo Marques http://www.dailymotion.com/jomusic
tiré de son jardinet clos***dernieres volontés avant la vie***que j'avais mis y a longtemps en musique.Une version 2010 avec piano et rythmique.
Sur la croix et le glaive
Et les foules mouvantes
Les amours ancillaires
Les passions dévorante
Les cris qui hurlent en moi
De ta bouche écorchée
Sur l'argent ce grand roi
Reignant sur la pauvreté
Sur les charniers de l'histoire
Où se mirent les hommes
Les immondes bourbiers
Où nos vies se consomment
Les pleurs inachevés
Des mères pour leur s enfants
Sur les bougainvilliers
Qui s'accrochent au temps
Refrain:
Sur les frêles moucherons
Avides de grands espaces
Un sanglot de prison
Ou la vie s'achève lasse
Le plus grand des foutoirs
Nommé humanité
Sur tout ce je jure de croire
En l'homme et sa bonté
Sur la fange et la plèbe
Le luxe , la misère
Le pu que j'ai en sève
Dans ma vie éphémère
Mais plaies en vain curées
Saingnantes comme tes blessures
Sur les guerres achevées
Sur des grands tas d'ordures
Sur le ciel d'un orage
Chantant l'hymne nouveau
Les vertus ,les images
Vêtues de simples oripeaux
Les fous sourds qui jubilent
Quand les aveugles tombent
Sur les ruines des villes
Repoussants de nos tombes
refrain sur les frêles moucherons
Avides de grands espaces
Un sanglot de prison
Où la vie s'achève lasse
Le plus grand des foutoirs
Nommé humanité
Sur tout cela je jure de croire
En l'homme et sa bonté
tiré de son jardinet clos***dernieres volontés avant la vie***que j'avais mis y a longtemps en musique.Une version 2010 avec piano et rythmique.
Sur la croix et le glaive
Et les foules mouvantes
Les amours ancillaires
Les passions dévorante
Les cris qui hurlent en moi
De ta bouche écorchée
Sur l'argent ce grand roi
Reignant sur la pauvreté
Sur les charniers de l'histoire
Où se mirent les hommes
Les immondes bourbiers
Où nos vies se consomment
Les pleurs inachevés
Des mères pour leur s enfants
Sur les bougainvilliers
Qui s'accrochent au temps
Refrain:
Sur les frêles moucherons
Avides de grands espaces
Un sanglot de prison
Ou la vie s'achève lasse
Le plus grand des foutoirs
Nommé humanité
Sur tout ce je jure de croire
En l'homme et sa bonté
Sur la fange et la plèbe
Le luxe , la misère
Le pu que j'ai en sève
Dans ma vie éphémère
Mais plaies en vain curées
Saingnantes comme tes blessures
Sur les guerres achevées
Sur des grands tas d'ordures
Sur le ciel d'un orage
Chantant l'hymne nouveau
Les vertus ,les images
Vêtues de simples oripeaux
Les fous sourds qui jubilent
Quand les aveugles tombent
Sur les ruines des villes
Repoussants de nos tombes
refrain sur les frêles moucherons
Avides de grands espaces
Un sanglot de prison
Où la vie s'achève lasse
Le plus grand des foutoirs
Nommé humanité
Sur tout cela je jure de croire
En l'homme et sa bonté
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