Voici un vieux texte que j'me suis enfin décidé à mettre en musique
Chercher ses maux
Un texte dépourvu de sens et sans issues
Conçu sans début ni fin, confus
Avec peine reprendre le stylo
Fatigué, perdu, deux trois pensées en trop
Ne chanter que des textes à l'eau de rose
Choisir les vers plutôt que la prose
Pour parler de ses douces névroses
Effeuiller ses peines pour qu'éclosent les causes
Se perdre entre réalité et folie
Ressentir le doute du sens de sa vie
Ne plus croire, ne plus vouloir
Des hauts et des bas, que du contradictoire
Se voir étranger dans le miroir
Ne trouver aucun exutoire
Se raisonner, chercher ses propres secrets
Mettre à jour, les obscures vérités
S'écraser plus bas que l'on ne pensait
Se découvrir plus perdu que jamais
Tomber, se relever, retomber
Tout se mélange et rien ne se crée
Putréfié, dépassé, la face voilée
J'ai vu en plein vol, mes ailes brûler
Des yeux humides à essuyer d'un revers de main
Des sourires repoussés en soupirant au lendemain
Un esprit fragile, aux espoirs volatiles
Sa vie, son coeur et son âme sur un fil,
Se jeter coeur et âme dans le passé
Prêt à tomber, autant qu'à s'envoler
Les pensées s'empilent, les sentiments défilent
Ils apparaissent, disparaissent, réapparaissent
Sans cesse, seul, jamais ne me laissent
Comment faire pleurer sous la mine
Et dégorger par la rime
Les mots des ces maux qui s'étalent
Et traduire l'intraduisible mal ?
Se forcer à fixer la lumière au bout du couloir
Encaisser les coups sans plier, ne pas décevoir
Ne pas reculer, avancer, l'air déterminé
Terminer, en vain, en pointillés...
Chercher ses maux
Un texte dépourvu de sens et sans issues
Conçu sans début ni fin, confus
Avec peine reprendre le stylo
Fatigué, perdu, deux trois pensées en trop
Ne chanter que des textes à l'eau de rose
Choisir les vers plutôt que la prose
Pour parler de ses douces névroses
Effeuiller ses peines pour qu'éclosent les causes
Se perdre entre réalité et folie
Ressentir le doute du sens de sa vie
Ne plus croire, ne plus vouloir
Des hauts et des bas, que du contradictoire
Se voir étranger dans le miroir
Ne trouver aucun exutoire
Se raisonner, chercher ses propres secrets
Mettre à jour, les obscures vérités
S'écraser plus bas que l'on ne pensait
Se découvrir plus perdu que jamais
Tomber, se relever, retomber
Tout se mélange et rien ne se crée
Putréfié, dépassé, la face voilée
J'ai vu en plein vol, mes ailes brûler
Des yeux humides à essuyer d'un revers de main
Des sourires repoussés en soupirant au lendemain
Un esprit fragile, aux espoirs volatiles
Sa vie, son coeur et son âme sur un fil,
Se jeter coeur et âme dans le passé
Prêt à tomber, autant qu'à s'envoler
Les pensées s'empilent, les sentiments défilent
Ils apparaissent, disparaissent, réapparaissent
Sans cesse, seul, jamais ne me laissent
Comment faire pleurer sous la mine
Et dégorger par la rime
Les mots des ces maux qui s'étalent
Et traduire l'intraduisible mal ?
Se forcer à fixer la lumière au bout du couloir
Encaisser les coups sans plier, ne pas décevoir
Ne pas reculer, avancer, l'air déterminé
Terminer, en vain, en pointillés...
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Musique