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[#Journal] Le 19H30 du 15 Mai 2025

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00:00Mesdames et Messieurs, bonsoir, ravis de vous retrouver sur GMT TV pour votre édition d'information du soir.
00:22Dans l'actualité de ce jeudi 15 mai 2025, la cité Mébiam, un quartier du deuxième arrondissement de Libreville, a été le théâtre d'un accident qui a occasionné comme dégâts la destruction du mur de l'école publique du dit quartier.
00:39Nous débutons ce 19h30 avec « À quand l'institutionnalisation du juge de la détention ? »
00:47C'est la question qui taraude les esprits face au constat de plus en plus alarmant du prolongement récurrent des détentions provisoires au mépris des droits humains.
00:56Au Gabon, la justice semble souvent légitimer des détentions préventives abusives marquées par une inertie administrative et l'omnipotence des juges d'instruction.
01:08Face à cette situation, l'instauration d'un juge des libertés et de la détention apparaît comme une nécessité pour garantir un contrôle effectif sur les atteintes à la liberté individuelle.
01:21Il n'est pas rare de voir des individus jugés après des années de détention provisoire, parfois 8 ou 9 ans.
01:30Lors de la première session criminelle de 2025, ces détenus incarcérés depuis 7 ans à la prison de Gros-Bouquet à Libreville ont été acquittés, révélant l'ampleur de ces pratiques arbitraires et illégales.
01:45Cette situation résulte souvent d'un suivi négligent par les juges d'instruction qui ordonnent des mandats de dépôt sans suivi rigoureux de la détention.
01:57La détention préventive, mesure exceptionnelle, ne devrait être prononcée que pour préserver des preuves, empêcher des pressions sur les témoins, garantir l'ordre public ou assurer la comparution de l'inculpé.
02:13Selon le Code de procédure pénale gabonais, en ses articles 133 et suivant sa durée, est limité à 6 mois en matière correctionnelle et 1 an en matière criminelle avec une prolongation maximale de 6 mois.
02:29Pourtant, ces délais sont fréquemment dépassés sans que cela ne suscite de réelles réactions.
02:35Membre du Conseil des droits de l'homme de l'ONU depuis janvier 2021, le Gabon se doit de combattre ces détentions abusives.
02:44L'instauration d'un juge des libertés et la détention magistrat expérimentée chargée de superviser les décisions de détention provisoire permettraient de contrebalancer le pouvoir des juges d'instruction.
03:00Ce juge aurait le pouvoir exclusif d'ordonner ou de prolonger une détention par une décision motivée prise après un débat contradictoire public.
03:12Il pourrait également statuer sur les demandes de mise en liberté ou contester un contrôle judiciaire en cas de non-respect des obligations.
03:22Il va sans dire que l'instauration du juge des libertés et de la détention représente une avancée cruciale pour aligner la pratique judiciaire gabonaise sur les standards d'un État de droit.
03:38Elle garantirait un meilleur respect des libertés individuelles et mettrait fin à l'arbitraire qui caractérise trop souvent les détentions préventives dans le pays.
03:49Les autorités publiques, au nombre desquelles le nouveau ministre de la Justice, Séraphin Akour et Davin, sont désormais appelés à agir pour reformer un système judiciaire en décalage avec ses propres lois.
04:06Un grumier sans signalisation à l'origine d'un accident mortel ce mercredi 14 mai au PK9.
04:12Un drame qui vient une fois de plus mettre en lumière le laxisme des services publics responsables de la sécurité routière.
04:19Un reportage.
04:20La capitale gabonaise s'est réveillée sous le choc ce mercredi 15 mai 2025.
04:27Aux alentours de 4 heures du matin, un véhicule de marque K.I. X7 a violemment percuté l'arrière d'un grumier en panne stationné depuis la veille en face de la brigade de gendarmerie de Mélène au PK9.
04:38Au volant, Martelly Dangobam, chauffeur particulier du président-directeur général de BG Fibank, n'a pas survécu au choc extrêmement violent.
04:48Il est mort sur le coup.
04:50A ses côtés, trois passagers blessés ont été evacués en urgence vers l'hôpital militaire Omar Bongo.
04:57Ce drame relance la question de la sécurité routière à Libreville.
04:59Comment un grumier en panne, transportant des billes de bois, a-t-il pu rester stationné sur une voie très fréquentée sans aucun dispositif de signalisation visible ?
05:09Et ce, à proximité immédiate d'une brigade de gendarmerie, sans qu'aucune mesure de protection n'ait été mise en place.
05:16Le ministre des Transports, Ulrich Mafumbi Mafumbi, est directement interpellé.
05:21Militaire de formation, il est connu pour sa rigueur, mais cette situation met en lumière un dysfonctionnement chronique au sein de son département.
05:28Que fait la Direction générale de la sécurité routière ?
05:32Où est la préfecture de police de Libreville pour sécuriser ses axes majeurs ?
05:37Ce n'est malheureusement pas un cas isolé.
05:39Les poids lourds abandonnés sur les routes sont fréquents, parfois sans signalisation, et restent des jours sur place sans intervention.
05:46Un laxisme des autorités qui met en danger la vie des citoyens.
05:49Aujourd'hui, les Gabonais attendent des réponses concrètes.
05:53Quelles mesures seront prises pour garantir la sécurité sur les routes ?
05:56Il est temps que les services concernés se mobilisent pour éviter que ce drame ne se répète.
06:04Les peuples homiennés à Kélé menacent de riposte contre les auteurs de rituels clandestins ou irrespectueux le long des côtes de l'Est-Uière.
06:14L'information a été publiée dans le quotidien L'Union de ce mercredi 14 mai 2025.
06:19C'est par le biais d'un communiqué publié dans le quotidien L'Union ce mercredi 14 mai 2025 que les peuples autochtones gardiens légitimes des traditions spirituelles ont mis en garde les auteurs de rituels clandestins ou irrespectueux le long des côtes de l'Est-Uière.
06:42A cet effet, les représentants des peuples Pongwe, Benga, Sekiani et Akele, originaires de la dite province, ont lancé un avertissement à quiconque outrepassent cet appel à la prudence.
06:55Soucieux du respect de la préservation des lieux sacrés qui représentent un gage de paix et d'équilibre spirituel, ces sociétés traditionnelles ont tiré la sonnette d'alarme à l'endroit des auteurs de rituels individuels ou collectifs sur les rivages de l'Est-Uière.
07:15Il s'agit notamment des zones de Bolokobwe et Bendje, Cap-Esterias jusqu'à Ovando qui sont des sites côtiers sacrés.
07:24Toute action visant à profaner ces lieux sera désormais considérée comme un acte de provocation spirituelle.
07:33Pour les peuples omienais et aquelais, aucun Gabonais ni ressortissant étranger n'est autorisé à invoquer ou solliciter les puissances côtières en versant du sang quels qu'ils soient.
07:44Ce rappel à l'ordre marque une position ferme des sociétés pangouais, Benga, Sekiani et Akele, qui exigent le respect de l'ordre ancestral établi.
07:55Tout contrevenant prévienne-t-elle sera exposé à des sanctions aussi bien spirituelles que sociales.
08:03Cette interpellation est la preuve tangible que les traditions et les lois coutumières conservent toute leur autorité et leur pertinence dans notre société contemporaine.
08:13Les peuples autochtones entendent rappeler qu'on ne joue pas avec les interdits ni avec la sacralité des terres transmises par les ancêtres.
08:23Le patrimoine spirituel de ces sociétés n'est pas un folklore, mais un système vivant de valeurs, de règles et de protections communautaires.
08:32La préservation de ces équilibres est essentielle à la stabilité culturelle et spirituelle du pays.
08:38Toute violation constitue non seulement une atteinte aux croyances des peuples riverains, mais aussi une menace pour la cohésion sociale.
08:48Le message est clair, la paix spirituelle des lieux sacrés ne se négocie pas.
08:53Je l'annonçais en titre, un chauffard a foncé dans l'enceinte de l'école publique de la cité Mébiam.
09:01Nos reporters étaient sur les lieux constatés.
09:05Les dégâts, regardons.
09:06La sécurité aux abords des établissements scolaires s'invitent à nouveau dans le débat public.
09:14Dans la nuit du mercredi 14 au jeudi 15 mai, un chauffard a foncé dans l'enceinte de l'école publique de la cité Mébiam,
09:22dans le deuxième arrondissement de Libreville, causant quelques dégâts matériels.
09:25Si les quatre occupants du véhicule ont pris la fuite tout juste après l'accident,
09:54la scène a quant à elle ameuté du monde.
09:57Aux premières heures de la matinée, les responsables de l'établissement ont sécurisé les lieux
10:02afin de faciliter l'accueil des élèves.
10:04Nous avons constaté que le véhicule avait évidemment brisé la barrière
10:08et forcé l'entrée pour se retrouver en face de la direction de l'école d'Angela-Chart.
10:14Comme vous pouvez le voir, nous avons tout de suite mis un dispositif de sécurité
10:18empêchant que les élèves ou les apprenants passent par le lieu où l'accident a eu lieu.
10:22Il faut dire que l'école publique cité Mébiam, qui se trouve au croisement de trois rues,
10:27est particulièrement exposée.
10:29De quoi inquiéter les parents d'élèves qui se sont présentés sur les lieux
10:32dès la matinée de l'accident avec des revendications à la clé.
10:36On constate que cette école est située à un carrefour
10:39et il n'y a pas de laudan, ce que nous déplorons.
10:43Je pense que ce sera peut-être l'une des solutions envisageables
10:46pour la sécurité de nos enfants dans cet établissement,
10:49pour éviter de tels drames encore.
10:52Informée de la situation, la ministre de l'Éducation nationale s'est rendue sur les lieux
10:56afin de rassurer le personnel enseignant et les jeunes apprenants.
11:00Après avoir effectué le tour du propriétaire,
11:03le membre du gouvernement a annoncé un certain nombre de mesures urgentes.
11:07La première chose d'abord c'est de rassurer les parents et les enfants
11:10en disant que l'autre bâtiment qui a été atteint par l'accident sera sécurisé,
11:17que les cours se déroulent normalement
11:19et nous ne pouvons pas comprendre qu'il peut y avoir un petit traumatisme de la part des enfants.
11:23Je pense qu'il y a la nécessité également d'envoyer des psychologues scolaires ici
11:26pour accompagner les enfants pour les deux prochains jours.
11:31La DGPE qui m'accompagne, qui s'occupe du patrimoine et des équipements,
11:35a déjà contacté des entreprises partenaires.
11:38ont très rapidement sécurisé le bâtiment qui a été touché.
11:42Afin d'assurer une sécurité pérenne de l'établissement,
11:45Caméliane Toutombe-le-Claire a rassuré les parents d'élèves
11:48quant à la sécurisation des alentours de l'établissement.
11:52Dans l'urgence, c'est une mesure envisagée.
11:54Après ici, je vais m'entretenir avec mon collègue ministre DTP
11:58qui devait être justement avec moi pour que nous fissions sécuriser
12:02parce que c'est une zone d'abord, c'est un lieu de croisement,
12:06mais ensuite, ça peut être accidentogène du fait de la proximité avec l'établissement.
12:12Donc, nous allons travailler d'arrache-pied avec les équipes des travaux publics
12:16pour qu'on puisse mettre les dos d'âne en urgence et un panneau de signalisation
12:19pour qu'on sache bien qu'il y a une école ici.
12:22Et dans le cadre de la police scolaire,
12:24il y a lieu aussi d'affecter du personnel ici pour faciliter la traversée des enfants.
12:28Selon les riverains avec qui nous avons pu échanger,
12:32cet accident est loin d'être isolé, eu égard à la configuration des lieux.
12:38Aujourd'hui, 15 mai, le Gabon, à l'instar de la communauté internationale,
12:42célèbre la journée internationale de la famille.
12:45Pour l'occasion, nous avons au téléphone Muriel Nseng,
12:49qui est psychologue en développement de l'éducation.
12:52Avec elle, nous allons succinctement aborder la question des liens familiaux
12:56face à la montée du numérique dans la société.
13:00Bonsoir, Madame Muriel. Merci de nous accorder de votre temps.
13:05Alors, dites-nous, quelle lecture faites-vous aujourd'hui de la cellule familiale gabonaise ?
13:11Parler de la cellule familiale gabonaise aujourd'hui,
13:13c'est d'abord commencer à définir ce qu'on entend par famille.
13:18Alors, selon le dictionnaire Larousse,
13:21la famille est un ensemble ou un groupe de personnes
13:24vivant sous le même toit,
13:25ayant des liens de parenté ou d'affinité,
13:29ou alors par alliance.
13:30C'est un lieu de protection,
13:32c'est un lieu d'affection et d'amour
13:35dans lequel vivent des individus
13:38qui ont un même but, un même intérêt.
13:43Alors, aujourd'hui, parler de la famille gabonaise,
13:47c'est se référer aux différents types de familles que nous avons.
13:50Nous avons d'abord notre famille biologique,
13:53dans laquelle aujourd'hui,
13:55on se rend compte qu'elle devient beaucoup plus une famille
13:58dans laquelle les individus, parfois, ne s'accordent pas
14:04et ne convergent plus, on va dire, vers les mêmes objectifs.
14:10Dans nos familles biologiques actuelles,
14:12beaucoup ne s'asseillent pas avec les occupations professionnelles
14:17et tout ce qui peut en dériver des relations entre les uns et les autres,
14:23beaucoup ne s'asseillent plus pour pouvoir parler.
14:26Donc, c'est une famille que l'on subit,
14:28c'est une famille qui nous est imposée.
14:30Et de l'autre côté, nous avons des familles
14:32que nous choisissons personnellement de construire
14:35et c'est celle-là qui prend de l'ampleur aujourd'hui,
14:39notamment une famille professionnelle,
14:41une famille spirituelle,
14:42une famille que nous décidons nous-mêmes de créer.
14:45Ça peut être en association
14:46ou peu importe le groupe que nous décidons
14:48auquel nous appartenons
14:51pour pouvoir chercher, on va dire,
14:54un épanouissement personnel.
14:56Donc, aujourd'hui, la famille gabonaise,
15:00la cellule familiale gabonaise
15:02a pris réellement un coup
15:04parce que beaucoup de familles ne communiquent plus,
15:07beaucoup de familles ne s'asseillent plus
15:09et les enfants sont pratiquement abandonnés
15:12à leur propre sort.
15:15Donc, décrire la famille familiale aujourd'hui au Gabon,
15:20c'est de parler des différents types de familles.
15:24Et aujourd'hui, nous avons la famille monoparentale
15:27qui prend de l'ampleur.
15:29Et dans ces familles monoparentales,
15:31la plupart des chefs de famille sont des femmes.
15:35Or, autrefois, il était question d'avoir dans une famille
15:38un chef de famille qui était un homme
15:40accompagné de sa femme
15:42et ensuite les enfants
15:44qui pouvaient plus ou moins cadrer
15:48ou recadrer certaines situations au sein de la famille.
15:51Or, aujourd'hui, avec ce phénomène de famille monoparentale,
15:54beaucoup de mères sont désarmées
15:57pour pouvoir accompagner et inculquer
16:00les bonnes valeurs à leurs enfants.
16:02Peut-on dire que face à l'ère du numérique
16:04qui prend de plus en plus de place dans la société,
16:08les liens familiaux disparaîtront ?
16:10Oui, aujourd'hui, on peut dire que face à l'ère du numérique
16:15qui prend de plus en plus de place dans la société,
16:19les liens familiaux disparaîtront.
16:21Pourquoi ?
16:22Parce que bien évidemment, il devient difficile aujourd'hui
16:24à un membre d'une famille de rendre visite,
16:28surtout à la famille biologique,
16:29de se fréquenter,
16:31à la famille biologique de pouvoir se retrouver.
16:33Les rares moments pendant lesquels
16:36les familles biologiques se retrouvent aujourd'hui,
16:38c'est lorsqu'il y a des situations,
16:40des situations de décès,
16:41des situations de mariage.
16:43Mais pour parler proprement des relations
16:46et de renforcement des liens familiaux,
16:50il est très difficile et très rare aujourd'hui
16:52que la famille biologique,
16:54qui est la base de toutes les familles,
16:57se retrouve pour pouvoir communiquer.
16:58Aujourd'hui, nous créons des forums
17:01sur WhatsApp, sur Instagram, sur Facebook
17:04pour pouvoir parler.
17:06Il y a beaucoup de familles qui ont mis en place,
17:09qui se sont laissées influencer par ce numérique
17:13pour pouvoir rester en contact.
17:15On préfère communiquer facilement de façon virtuelle
17:19que de se rendre visite.
17:21Donc le numérique, bien évidemment,
17:24risque de faire en sorte que les sociétés,
17:26sinon les liens familiaux disparaissent.
17:28Madame Muriel, quelles sont les propositions
17:30que vous pouvez faire afin de permettre
17:33à la famille d'être toujours consolidée aujourd'hui ?
17:36Alors, la proposition que je peux faire,
17:40que nous pouvons faire afin de permettre
17:42à la famille d'être toujours consolidée,
17:45c'est bien évidemment inviter réellement
17:48les chefs de famille à communiquer,
17:49à communiquer avec leur progéniture,
17:52à communiquer entre frères et sœurs,
17:54à trouver, à créer des occasions
17:57pour pouvoir renforcer ces liens,
18:00à présenter quels sont les critères
18:04qui font en sorte que nous appartenons
18:06à telle ou telle famille.
18:08Donc, il faudrait que ce travail soit fait,
18:11un travail d'écoute, un travail de disponibilité
18:13et surtout un travail de patience
18:16parce qu'avec les influences extérieures,
18:20les influences numériques,
18:22beaucoup, beaucoup, beaucoup de familles
18:25préfèrent garder des distances.
18:30Or, on peut être issu d'une famille,
18:32on peut être de même père, de même mère,
18:35si nos enfants ne se fréquentent pas.
18:37Comment allons-nous préserver cette famille-là
18:43à laquelle nous appartenons ?
18:46Comment allons-nous conserver nos liens ?
18:48Comment allons-nous conserver les valeurs
18:50qui nous ont été inculquées par nos parents,
18:52nos grands-parents ?
18:53Donc, il est vraiment important
18:55que les familles s'assertent et communiquent.
18:58Merci, Mme Muriel Nseng, pour cet échange.
19:00Je rappelle que vous êtes psychologue
19:02en développement de l'éducation.
19:05Dans la suite de ce journal,
19:074,7 milliards de francs CFA,
19:09c'est la somme dédiée à l'urbanisation
19:11du Grand Libre-Ville
19:12dans le cadre du projet GEF 8
19:15financé par le Fonds pour l'environnement mondial.
19:18La source est Facebook.
19:20Et le verbatim,
19:21ce gouvernement est celui de la transformation.
19:24Il doit démontrer par sa discipline
19:26son efficacité et sa capacité
19:27à produire des résultats concrets
19:29qui l'incarnent bien.
19:31« La rupture attendue ».
19:33L'auteur de ce verbatim est pris,
19:35Clotaire Oligin-Gema,
19:36président de la République.
19:37La source est circulaire
19:39du 8 mai 2025.
19:42C'est la fin de ce 19h30.
19:44Merci pour votre attention.
19:46N'oubliez pas les gestes simples.
19:47Likez, commentez, partagez.
19:49Bonne soirée à vous.
19:50À demain. Au revoir.
19:50Retrouvez GNT TV
19:56sur vos différents réseaux sociaux.
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