Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • hier
Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 14/05/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00:00Musique
00:00:00C'est l'équipe du soir, bonsoir, rendez-vous vendredi soir sur la chaîne Neki, 20h45, le match 3 pour le titre de champion de France, dame du basket, basketland a égalisé ce soir face à Tarbes.
00:00:26La partie se déroulera à basketland, 20h45, donc rendez-vous pour le titre national en basket, dame du soir, bonsoir, présentation express de tous nos chroniqueurs, non, présentation longue de tous nos chroniqueurs, le président et le chef chaudard de l'équipe du soir, bonsoir Sébastien Tarego.
00:00:43Bonsoir, bonsoir à tous, bonsoir à tous.
00:00:46Ça va Sébastien ?
00:00:48Ça va très bien.
00:00:49Je vous présente votre casting ?
00:00:51Pourquoi pas, écoutez, si on est obligé.
00:00:53Bah, on est obligé, c'est contractuel, le rire de l'équipe du soir dans la place. Bonsoir, Olivier.
00:00:58J'ai pas aimé les propos du président.
00:01:00Ça y est, il y a une tension entre...
00:01:03Bonsoir, Mémé.
00:01:03Bonsoir, monsieur Rouillet.
00:01:05Et le proverbe extra, mais malheureusement la mauvaise caméra.
00:01:08C'est le docteur Leuf. Bonsoir, docteur, comment ça va ?
00:01:11Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer.
00:01:13Il y a une jeu proverbe breton, bah, en attendant, c'est Guingamp qui s'est fait virer de la course à l'accession de la Ligue 1.
00:01:19Bonsoir.
00:01:20Ouais, et c'est Dunkerque qui aura le privilège de rencontrer samedi à Metz, au stade Saint-Symphorien.
00:01:25Donc, le droit de rencontrer le 16e, évidemment, le 16e de Ligue 2, le Baragis, qui est pour l'or et le Havre.
00:01:32Et puis, on se rend direct avec le petit Courtet.
00:01:36Ouais, le petit Courtet, ouais, la petite mascotte de Dunkerque dans quelques minutes.
00:01:40Et Giflon, notre 3e chroniqueur, c'est parti.
00:01:43Le Parisien.
00:01:44Paf, là !
00:01:45Je trouve que c'était Eric Cantona, le proverbe, mais...
00:01:47Oui, les mouettes.
00:01:48Bah oui.
00:01:48Ouais, les mouettes, moi aussi, ouais, ouais, ouais.
00:01:50Parce qu'on va parler de Sir Alex Ferguson.
00:01:52Seagulls.
00:01:52Hein, le Seagulls.
00:01:53Seagulls.
00:01:53Seagulls.
00:01:54Il est à la place de Guillaume Dufy, donc c'est normal qu'il prenne la parole, alors qu'on ne l'a pas encore présenté.
00:01:58C'est pas Guy Stéphane, c'est Stéphane Guy.
00:02:01Bonsoir, Stéphane Gaille.
00:02:03Pardonnez-moi, M. Benard.
00:02:04Ça va, Général ?
00:02:05Un pégal.
00:02:06Et citoyens, citoyens, citoyennes, là, bonsoir.
00:02:09Citoyens, bonsoir, citoyennes, bonsoir.
00:02:10Quand même, franchement.
00:02:12Non, mais alors...
00:02:13Virginie Saint-Célie, citoyenne, bonsoir.
00:02:16Bonsoir, mémé, bonsoir tout le monde.
00:02:17C'est un plateau très agréable ce soir.
00:02:19Ah !
00:02:20Je le valide.
00:02:21C'est vrai ?
00:02:21Oui.
00:02:22C'est gentil.
00:02:22C'était des cons, là.
00:02:24C'est pas ce que j'ai dit.
00:02:26C'est pas du tout.
00:02:28C'est pas du tout cet avis.
00:02:29Là, les chroniqueurs d'Hierforce vont prendre comme ça.
00:02:32Ils les embrassent, mais ce n'est pas du tout ce que j'ai dit.
00:02:34D'accord.
00:02:35D'accord.
00:02:36Vélombre numéro 1, voici tout de suite la une de l'équipe.
00:02:39Le titre de notre classement des stades de Ligue 1.
00:02:44Alors, je vous explique.
00:02:44Pendant un mois et demi, entre mars et avril,
00:02:46huit journalistes de l'équipe ont sillonné vos enceintes
00:02:49que vous fréquentez, chers téléspectateurs,
00:02:51sillonné incognito.
00:02:52La feuille de route, jauger l'accessibilité,
00:02:55la facilité des accès, le confort, la propreté,
00:02:58la restauration, l'ambiance dans le stade,
00:03:00puis également faire les comptes.
00:03:02Alors, combien coûte une petite soirée
00:03:03passer au vélodrome, à Geoffroy Guichard, au Parc des Princes ?
00:03:05Voici le podium à présent.
00:03:08Premier, le stade Vélodrome de Marseille.
00:03:10Deuxième, le Parc des Princes du Paris Saint-Germain.
00:03:12Troisième, Geoffroy Guichard, évidemment.
00:03:14Les Verts de Saint-Etienne.
00:03:15Une question sur la magie du vélodrome.
00:03:18Est-elle une force ou une faiblesse pour l'OM ?
00:03:21Dans votre ville-peuple, mon cher Sébastien,
00:03:24ils ont tous dit une force.
00:03:26Qui veut nous expliquer la force de l'OM ?
00:03:28Parce que moi, j'ai un doute sur votre lecture,
00:03:31mais j'aimerais vous donner la main.
00:03:32Ça peut se renverser, ça peut se retourner,
00:03:34mais ça, c'est à l'équipe qui joue d'entraîner le public.
00:03:38Ça, c'est évident, si c'est 11 chèvres, ça va mal se passer.
00:03:42Mais quel joueur ne rêverait pas de Ligue 1
00:03:45de jouer dans un stade comme Marseille ?
00:03:46Ah oui.
00:03:47Bah oui, mais c'est ça.
00:03:48C'est une force.
00:03:49C'est une force de jouer quand il y a du public,
00:03:51que c'est toujours plein,
00:03:52et que vous savez que si vous êtes plutôt
00:03:54dans le premier tiers du classement,
00:03:55ce qui est quand même assez souvent pour l'OM,
00:03:57vous allez avoir un entraînement...
00:03:59Excusez-moi, vous n'avez que ça en magasin, les copains, ou pas ?
00:04:01Non, mais le stade Vélodrome a aussi beaucoup évolué.
00:04:03Non, mais le stade Vélodrome a beaucoup évolué
00:04:05par rapport à ma jeunesse quand j'étais dans les virages.
00:04:08Aujourd'hui, c'est un stade ultra moderne,
00:04:10qui est magnifique, qui est tout en plein,
00:04:12ce qui n'a pas souvent été le cas aussi par le passé.
00:04:15Et tu as une dynamique positive, tu as une âme dans ce stade.
00:04:18Mais vous ne trouvez pas que Monaco fait perdre des points à son équipe ?
00:04:20Non, mais...
00:04:20Vous pensez que jouer contre Brest en décembre...
00:04:23Ça ne t'intéresse pas à ce que je dis...
00:04:24Non, mais...
00:04:25Alors, vous me posez une question.
00:04:27Cette saison, l'OM est deuxième au classement général,
00:04:29mais huitième au classement à domicile.
00:04:32Continuez.
00:04:33Monaco, deuxième à domicile.
00:04:36Allez, à vous de jouer mes petits.
00:04:37Ça, c'est cette saison.
00:04:38C'est-à-dire que la Ligue 1 n'a pas commencé cette saison.
00:04:40Alors, excusez-moi, le nombre de points que Monaco a perdus.
00:04:44Nicolas Barcan, journaliste qui ne s'est intéressé qu'au troisième,
00:04:47s'est intéressé au résultat de l'OM depuis dix ans.
00:04:49C'est-à-dire depuis la rénovation, pour l'Euro 2016, du Vélodrome.
00:04:53Le classement moyen de l'OM sur ces dix dernières saisons,
00:04:57cinquième au général.
00:04:59Le classement moyen à domicile, septième.
00:05:02À vous de jouer mes petits.
00:05:02Donc, il faut qu'il y ait joué à Martigues, en fait, si on suit le truc.
00:05:05Non, non, mais je...
00:05:06Non, mais vous me dites, vous me parlez de l'architecture, vous me parlez...
00:05:09Non, tu vas couper, je ne vais pas parler de l'architecture.
00:05:11J'ai tout un chapelet d'explications, mais M. Sèvrac n'a pas d'éléments que je termine.
00:05:16Elle est vexée, Bernard.
00:05:18Continuez, alors.
00:05:18Il y a une histoire, il y a une âme.
00:05:20Après, tu me parles, il y a le corollaire quand même,
00:05:22que tu ne peux pas enlever du stade, c'est les joueurs.
00:05:26Je veux dire, à un moment, si tu as des joueurs de haut niveau,
00:05:28dans un stade de haut niveau, ça fonctionne.
00:05:30Ou ça n'a pas fonctionné à Marseille, c'est parce qu'il n'y avait pas des joueurs de haut niveau.
00:05:32On a toujours dit que souvent, les joueurs, quand ils venaient dans des clubs comme Marseille,
00:05:36le maillot, il était un petit peu trop grand pour eux.
00:05:37Mais je suis désolé, quand tu as la possibilité et le bonheur de jouer dans un stade
00:05:42comme le stade de Vélodrome, tu dois être porté.
00:05:44Et un joueur comme Adrien Rabiot, il a été porté toute la saison.
00:05:47D'autres joueurs ont été le plus en difficulté parce que ce ne sont pas des grands joueurs.
00:05:50Marseille, c'est un grand club avec un grand stade qui doit avoir une grande équipe.
00:05:53Et je suis désolé, c'est la dernière décennie, tu n'as que voir l'éventail,
00:05:56notamment de ton grand attaquant.
00:05:58Les mecs, oui, effectivement, ça se joue contre toi quand tu n'as pas le niveau.
00:06:02Mais ce n'était pas le procédé de Vélodrome.
00:06:03Est-ce que c'est Rabiot qui a été porté par Vélodrome ou est-ce que c'est Rabiot qui a porté le Vélodrome ?
00:06:07Les deux, les deux, c'est une symbiose.
00:06:09Je pense que Rabiot, il est très au-dessus de tout ça.
00:06:13Non, mais tu lui poses la question en termes de motivation, de dépassement de soi.
00:06:17Il préfère à 100 fois jouer au stade Vélodrome qu'au stade de Louis II.
00:06:20Ce qui est sûr, c'est qu'il y a un niveau d'exigence.
00:06:22C'est un public fervent, mais c'est un public exigeant et connaisseur.
00:06:25Il ne se fait pas bluffer par des pseudo-joueurs.
00:06:28Et ça a effectivement souvent le problème des équipes constituées par l'Olympique de Marseille.
00:06:32Alors donc, comment vous expliquez que cette saison et sur les dix dernières saisons, finalement, le Vélodrome, soutien, ferveur, choses comme ça,
00:06:39mais ça ne fonctionne pas en termes de points ?
00:06:41Avec Bielsa, il y avait une harmonie, une fusion absolue.
00:06:44C'était un cratère.
00:06:462013-2014.
00:06:47Ben oui, je ne sais pas.
00:06:49Quand ça marche, quand il y a un truc, soit ils aiment l'entraîneur, soit ils aiment l'équipe.
00:06:53J'aime un certain football.
00:06:54On se rappelle quand même que l'année où ils sont champions avec Deschamps, l'année d'après en Ligue des Champions, quart de finale,
00:06:59ils sifflent leur équipe.
00:06:59Il y avait des événements un peu en coulisses, politiques.
00:07:06Oui, mais c'est quand même un public particulier.
00:07:08Ce n'est pas un public de béni-oui-oui.
00:07:11Je ne suis pas tellement satisfait de vos réponses, parce que là, vous nous mettez le petit truc,
00:07:16c'est un tas de magnifiques, choses comme ça.
00:07:17Mais moi, sur les résultats, ça gagne moins au Vélodrome qu'avec ça ailleurs.
00:07:23Parce qu'il y manque quelque chose.
00:07:25Il manque une chose, à mon avis, qui est importante, à de la passion.
00:07:27Il manque une équipe, quoi, de temps en temps.
00:07:30Je veux dire que la passion marseillaise, elle est présente dans les tribunes, elle est présente au niveau des supporters.
00:07:37Elle n'est pas suffisamment présente au niveau des joueurs.
00:07:39Alors, on revient toujours sur les joueurs, parce que ce sont eux qui mettent en route ce système.
00:07:43Ce sont eux.
00:07:44Alors, effectivement, à un moment donné, lorsque cette passion, les supporters de Marseille ne la ressemblent pas,
00:07:51ça se retournent automatiquement contre les joueurs.
00:07:54Parce qu'ils sont exigeants.
00:07:55Mais je ne pense pas que Marseille soit plus exigeant qu'à Angers, qu'à Nancy, qu'à Metz.
00:08:00Tous les supporters de leur équipe ont une exigence hyper importante.
00:08:06Alors, c'est sûr qu'on parle de Marseille parce que c'est le Vélodrome, pardon,
00:08:10et qu'il y a toujours quelque chose qui se passe à Marseille.
00:08:12Mais faut-il encore que la passion qui unit, qui devrait unir les joueurs et les spectateurs, passe ?
00:08:21Et moi, c'est ce que je ressens.
00:08:24Moi, je peux vous dire que quand nous, on allait à Marseille à notre époque, on n'avait pas trop peur.
00:08:29On n'avait pas trop peur.
00:08:30Parce qu'à Marseille, il ne se passait pas grand-chose.
00:08:32D'ailleurs, parce que le stade n'était pas du tout de la forme où on allait.
00:08:35Nous, quand on y allait à Nancy, par exemple, on gagnait systématiquement à Marseille.
00:08:39Et on n'avait pas peur.
00:08:39Alors, je pense que normalement, si la passion était telle entre l'équipe et les joueurs,
00:08:45l'équipe d'en face, elle devra avoir...
00:08:46Il y a un truc que je ne comprends pas.
00:08:47Qu'est-ce qui ne vous plaît pas ?
00:08:48Parce que, par exemple, Nice, quand je regarde Nice, je vois des tribunes dégarnies.
00:08:51Je ne vois aucune passion.
00:08:52Alors, peut-être d'un cop.
00:08:54Mais je trouve que...
00:08:55Mais Dominique, mais vous...
00:08:56Ce n'est pas un débat sur le...
00:08:57Tu réponds à la question sur est-ce que le stade Vélodrome est un stade merveilleux ?
00:09:00Bah oui.
00:09:00La réponse est oui.
00:09:02Et puis, on passe à autre chose.
00:09:03C'est un stade merveilleux avec une audience extraordinaire.
00:09:05Mais la question, c'est est-ce que c'est une force ou une faiblesse ?
00:09:08Le fait est que ce n'est pas une force, à minima.
00:09:11Ce n'est pas une faiblesse, mais ce n'est pas une force.
00:09:12C'est peut-être même une faiblesse.
00:09:14Tu ne sais pas, le nombre de l'effet parle de même.
00:09:16Tu ne sais pas s'ils auraient peut-être moins de points s'ils jouaient dans un stade vide.
00:09:19Bah écoute, le fait est qu'ils prennent plus de points à l'extérieur qu'à domicile.
00:09:22Ce n'est pas le public qui marque des buts, mais ça peut t'aider, en raison.
00:09:25Ça peut être aussi le style de jeu de l'équipe.
00:09:26Pourquoi ?
00:09:27Parce que tu peux avoir une équipe qui est beaucoup plus performante à l'extérieur qu'à domicile en fonction de...
00:09:31Sur dix ans ?
00:09:33C'est dix ans, c'est dix ans.
00:09:34Non mais dix ans, j'avais une autre explication, c'est la faiblesse des effectifs aussi.
00:09:37Est-ce qu'une seule fois depuis dix ans, les Marseillais ont pensé gagner de deux champions ?
00:09:41Jamais.
00:09:41Donc il n'y a pas ce petit supplément.
00:09:44Cette année, ils ont cru.
00:09:45Au début de saison, ils ont cru trois matchs.
00:09:47Ils ont cru cinq matchs, ils ont pris une leçon en vingt minutes.
00:09:49Ils n'ont pas existé, ça a été terminé la fin.
00:09:50C'est ce qu'ils disaient.
00:09:51Oui, mais c'est tous les ans pareil.
00:09:53Jouer à domicile ou savoir gagner à domicile, c'est savoir, on va dire, je schématise,
00:09:58mais attaquer des blocs bas et bien défendre à sa profondeur si on joue haut.
00:10:02En fait, est-ce que ça résume la capacité de Marseille à jouer et à gagner à domicile ?
00:10:07C'est-à-dire attaquer sur un demi-terrain, essayer de ne pas avoir des courants dans le dos.
00:10:12Est-ce que c'est ça en fait ?
00:10:13Est-ce que ça résume la saison de Zerby ?
00:10:15Est-ce que ça résume, on va dire...
00:10:16C'est tellement...
00:10:16C'est un club depuis...
00:10:19Vous prenez 10 ans, c'est intéressant d'ailleurs, parce qu'en 10 ans, il y a eu tellement...
00:10:23Il y a 10 ans, il y a Bielsa.
00:10:25On parle de Bielsa.
00:10:26Il y a eu tellement d'entraîneurs, de systèmes, de joueurs.
00:10:29C'est un tel mécano, l'OM, permanent, que c'est compliqué de trouver des lignes de conduite.
00:10:36Moi, je voudrais bien voir l'OM stable 2-3 ans et voir ce que ça peut donner dans ce stade-là avec un peu de stabilité.
00:10:42On en parlera du projet de l'Olympique de Marseille de Zerby.
00:10:44Il a raison, parce que quand tu prends les 4 dernières années, depuis que Langoria est président de ce club,
00:10:50quand vous voyez les mouvements perpétuels qu'il y a dans l'ordre de 10 à 12 joueurs, ça te perturbe.
00:10:56Pour arriver quand même, au bas mot, pour arriver à avoir une fusion, pour arriver à avoir la passion dont je parlais tout à l'heure,
00:11:07il faut quand même qu'il y ait une continuité dans la stabilité du groupe.
00:11:11À la grande époque de l'OM, à la fin des années 80, début des années 90, l'équipe changeait tout le temps.
00:11:17– Alors, certes, il y avait deux troupes.
00:11:18– Il y avait quand même des éléments stables.
00:11:20– Là, on n'est pas parlé, parce que le problème, c'est comme si vous me disiez, le Qatar fait n'importe quoi,
00:11:24ils prennent Emry, puis après Tourelle, puis après Pochettino, il n'y a pas de ligne de conduite,
00:11:28et donc le PSG ne gagne jamais rien, ou en tout cas jamais rien en Europe.
00:11:31Et puis le jour où il donne les clés à un entraîneur qui a des idées un peu arrêtées,
00:11:35ça marche, mais ça n'a rien à voir avec le public en fait.
00:11:37Qu'est-ce qu'on fait de l'OM ? Qu'est-ce qu'on fait du PSG ? Qu'est-ce que l'actionnaire ? Qu'est-ce que le président ?
00:11:41Là, ça n'a rien à voir, le rapport public-équipe n'a rien à voir avec ce que vous dites.
00:11:46– Là, on est en train de parler…
00:11:46– Non, on va essayer de faire un rapport avec le public, mais je vois que ça ne prend pas tellement…
00:11:49– Non, mais c'est d'abord le président, là, si on parle du dernier…
00:11:52– Non, mais vos chiffres, ça montre que le public ne gagne pas de match.
00:11:54– Ben voilà.
00:11:55– C'est ça, la grande leçon.
00:11:56– Et Monaco…
00:11:57– C'est-à-dire, si le public gagnait des matchs, l'OM ne serait pas huitième à domicile, ça c'est sûr.
00:12:00– Monaco, deuxième du classement à domicile, a vaincu à Louis II en 2025.
00:12:04– Peut-être qu'il te fait arracher des nuls ?
00:12:11– Le vélodrome, donc, numérant des stades, on peut refaire le classement, le hit parade en ajoutant peut-être un critère sur la qualité de jeu que vous voyez.
00:12:21J'ai pas entendu, là, quand je disais l'équipe, je disais, tiens, et la qualité de jeu dans ce truc-là, ça m'aurait intéressé aussi d'avoir ce truc-là.
00:12:26Parce qu'il y a le spectacle, il y a le prix du hot-dog, la propreté des toilettes et tout ça.
00:12:30Si on rajoute ce critère-là par rapport à ce que vous avez vu cette saison, est-ce que l'Olympique de Marseille demeure premier au classement ?
00:12:37– Bah non. Ah non, la qualité de jeu numéro un en France, elle est indiscutablement à Paris.
00:12:44Là, il n'y a même plus de débat.
00:12:46– Je préfère Strasbourg, je préfère Lille.
00:12:48– À Marseille.
00:12:50– Ah bah oui.
00:12:50– Après, il y a la qualité, il y a le spectacle, c'est deux choses parfois différentes.
00:12:53– Oui, c'est exactement.
00:12:55– En termes de spectacle, je ne trouve pas que l'Olympique de Marseille ait donné une grande satisfaction cette saison, en tout cas pas pour moi.
00:13:01– Et vous trouvez qu'il y a la qualité de jeu aussi ?
00:13:03– Il y a encore moins à Marseille.
00:13:05– Le deuxième du championnat, c'est que ça a un sens quand même. Forcément, ça a du sens. Ils ne sont pas là par hasard. Ils ont eu des trous d'air parce que c'est une équipe moyenne, mais elle demeure supérieure aux autres.
00:13:17– Oui, mais ils ont presque fait leur meilleur perf. Je déroule rapidement leur saison dans ma tête, mais justement à l'extérieur.
00:13:23– Quand ils vont gagner à Lyon, même si c'est un match un peu UBS, quand ils vont faire le nul à Lille, qui est un très bon match de l'OM, etc. Il y a pas mal de perfs à l'extérieur.
00:13:33– Je les avais joués trois, quatre fois en fin d'année, civile. À l'extérieur, Marseille était une équipe vraiment impressionnante. La façon dont ils s'articulaient, ils se repliaient, ils sortaient, etc.
00:13:44À l'extérieur, c'était un rouleau compresseur. Là, ça n'a pas duré sur la saison, mais là, c'était impressionnant. Au Vélodrome, on l'a moins vu. C'est une réalité aussi.
00:13:55– C'est un public, Olivier, qui mériterait d'avoir autre chose à disposition que ce qu'on leur offre depuis… – Depuis Maccourt, au moins.
00:14:04– 15 ans, quoi. Oui, il ne faut pas même dépasser Maccourt.
00:14:08– Les dernières équipes très excitantes de l'OM. Oui, il y a eu l'année Bielsa, c'est vrai, qui a fini en haut de boudin, mais qui a été une année extrêmement excitante.
00:14:16– Fin de cette discussion sur l'Olympique de Marseille, mais on reviendra, chers amoureux de l'Olympique de Marseille, dans quelques minutes, sur une confidence comme ça,
00:14:23recueillie par Rudi Garcia en Saint-Coach de l'OM, à propos de Roberto de Zerbi.
00:14:27Dunkerque peut toujours rêver de la Ligue 1, plus guingant, Virginie.
00:14:31– Le stade Marcel-Tribut, en fait, forcément, le compte de fait se poursuit pour les Dunkerquois.
00:14:36Le rêve de monter en Ligue 1 aussi, oui, il n'y a pas eu de but en première période, c'est à la reprise qu'ils ont trouvé la faille.
00:14:42Dès le retour des vestiaires, il y a eu un premier centre, repoussé vers Maxence Riviera, qui tente une première fois, une deuxième fois,
00:14:49la troisième est la bonne et le public peut exulter.
00:14:511-0, c'est le score final, direction le deuxième tour de ces barrages, ce sera contre Metz, ce samedi, à Saint-Saint-Faurier.
00:14:57– Exactement.
00:14:58– Ces barrages seront Stéphanois.
00:15:00– C'est un beau but, là, quand même.
00:15:01– Ah, vous, vous commencez par la fin ?
00:15:03– Non, je commence par le début, parce que le début, c'est Maxence Riviera qui formait où ?
00:15:06– Oui, en effet.
00:15:08– Ok, très bien.
00:15:09Sur le match, victoire méritée, qu'est-ce qu'on peut dire sur le scénario de l'armée ?
00:15:14– Il y a quand même un but qui est refusé à Guingamp sur un hors-jeu, bon…
00:15:20– 70e minute ?
00:15:21– C'était assez limite, toujours pareil.
00:15:23– Il y a un truc que j'ai…
00:15:23– Presque aussi beau que celui qui a marqué Dunkerque.
00:15:25– Le recours…
00:15:26– Le but refusé à Guingamp.
00:15:28– Oui, c'est un joli…
00:15:29– C'est pour ça que je blague.
00:15:30– Pardon, les gars, mais il y a un truc que je n'ai pas compris.
00:15:33– Oui.
00:15:33– Le Var est absent cette saison en Ligue 2, dans la saison régulière, absent l'an prochain,
00:15:38mais présent pour les barrages.
00:15:39– C'était une décision de dernière minute.
00:15:42Et qui change tout, quand même.
00:15:43Ça change tout, parce que là, on ne sait pas comment ça serait terminé.
00:15:47Mais au départ, l'arbitre avait validé l'égalisation de Guingamp,
00:15:50et c'est le Var qui s'est fait rattraper par la police du Var, et le but a été annulé.
00:15:54– Une nouvelle injustice a été réparée.
00:15:56– Moi, je n'arrive pas à comprendre.
00:15:58– Non, non, moi non plus, je suis d'accord avec vous, Olivier,
00:16:00mais c'est parce que là, on arrive dans les moments…
00:16:02peut-être plus importants que le reste de la saison, allez savoir.
00:16:06– Et moins cher.
00:16:07– Et peut-être moins cher aussi, parce qu'il n'y a qu'un match.
00:16:09Mais à noter quand même que Dunkerque reste sur sa continuité
00:16:14d'essayer de jouer au football, d'essayer de produire du jeu.
00:16:18Alors, on se moque un peu sur le but, mais il y a quand même de l'engagement,
00:16:25il y a quand même de la détermination, et c'est agréable à voir.
00:16:28Parce que moi, je me rappelle de cette équipe qu'elle a jouée,
00:16:30notamment contre le PSG, et qu'elle menait à la mi-temps.
00:16:34Et à un moment, ils mènent 2-0, je ne sais pas si vous vous rappelez.
00:16:36Et cette équipe, moi, elle m'avait surprise,
00:16:39parce qu'elle avait déjà éliminé Brest, je crois, le jour d'avant.
00:16:42– L'île.
00:16:42– Et Lille.
00:16:43Et là, tout d'un coup, contre Paris, donc c'est une équipe,
00:16:45en tout cas sur cette mi-temps-là, elle nous a offert du spectacle.
00:16:48Et je trouve que ce soir, alors tout n'est pas parfait, ça c'est clair,
00:16:51mais il y a du jeu, mais il y a une équipe qui a une idée,
00:16:54et c'est rare, en Ligue 2.
00:16:56– Oui, c'est l'une des équipes les plus plaisantes de cette saison, en Ligue 2.
00:17:00– C'est la belle histoire, chaque année, il y a une belle histoire,
00:17:02l'année dernière c'était Brest, cette année c'est Dunkerque,
00:17:04c'est une histoire extraordinaire, une équipe qui s'est sauvée,
00:17:06dernière seconde l'année dernière, en Ligue 2,
00:17:09qui fait effectivement ce parcours de Coupe de France,
00:17:11qui fait ce championnat, qui va encore là surprendre en barrage.
00:17:15On ne doit pas être très serein avant d'affronter Dunkerque,
00:17:18là, pour du côté de Metz, ou peut-être après de Saint-Étienne ou du Havre.
00:17:21– C'est quelqu'un frileux, moi, quand même.
00:17:23– Comment ?
00:17:23– C'est quelqu'un frileux qui ne jouait pas sa vie, quoi.
00:17:26On sait que c'est très compliqué pour arriver en Ligue 1,
00:17:29parce que c'est le parcours du combattant.
00:17:31– Oui, pour ces deux équipes, oui.
00:17:32– C'est un enfer.
00:17:33– Quatre matchs, oui.
00:17:34– Et je n'ai pas eu le sentiment qu'il y avait un espoir,
00:17:39au bout du bout, du bout, de jouer éventuellement pour monter en Ligue 1.
00:17:44Donc j'étais surpris, frilosité, on reste un peu derrière,
00:17:48on est attentiste et on se réveille dans les 20 dernières minutes.
00:17:51Je suis très déçu du système Repol.
00:17:53– Nous parlons et nous avons très certainement Gaëtan Courtet,
00:17:56la petite mascotte de Dunkerque, qui nous attend pour un direct.
00:18:00Gaëtan, les tests sont, peut-être, ont été faits,
00:18:02ou je force un petit peu la main.
00:18:04Gaëtan, m'entendez-vous ?
00:18:06– Bonjour, moi, très bien.
00:18:08– Bonsoir, Gaëtan.
00:18:09– Bonsoir.
00:18:11– Bon, vous sortez du match, Dunkerque est qualifié, continue sa route.
00:18:16Vous dites quoi ?
00:18:16C'est mérité, c'est heureux ?
00:18:19Opinion sur cette rencontre et sur cette qualification, cher Gaëtan ?
00:18:22– Évidemment, très heureux.
00:18:25On était à la maison, donc c'était, je pense, un petit avantage.
00:18:29On a mis en place ce qu'on fait depuis le début de saison
00:18:33et ça a très bien marché.
00:18:35et je pense que, malgré tout, la victoire est méritée.
00:18:38– À la pause, Luis Castro, votre coach, qu'est-ce qu'il vous dit ?
00:18:41Parce que vous avez une action à la cinquième minute transversale.
00:18:44Skita oublie donc, Rivera vous sert à la quatorzième.
00:18:48Vingt-huitième minute, Rivera rate son face-à-face.
00:18:50Qu'est-ce qu'il a dit, Luis Castro ?
00:18:51Continuez les gars, ça va payer ?
00:18:53– Ouais, on n'a même pas parlé de ces occasions.
00:18:56En fait, on a fait ce qu'on devait faire.
00:19:00Après, évidemment, on se met en danger parce qu'on ne marque pas
00:19:04et du coup, on s'expose à un réveil de l'adversaire.
00:19:10Mais voilà, en tout cas, on s'est tout simplement dit
00:19:13de rester dans la continuité de cette première mi-temps.
00:19:16Et eux allaient sûrement changer des choses.
00:19:18Mais on a voulu continuer d'appuyer,
00:19:20continuer d'aller chercher et de leur faire mal le plus possible.
00:19:23– Samedi, match à Metz pour la suite du barrage.
00:19:26Puis après, en cas de victoire,
00:19:27il y aura une double confrontation contre le 16ème.
00:19:29Dans les vestiaires, on parle de la Ligue 1
00:19:31ou c'est encore un peu tabou, c'est encore un peu loin ?
00:19:34– Non, forcément, on en parle.
00:19:37Après, on sait qu'il y a une première étape de passer.
00:19:40Il y en a une deuxième et il y en aura sûrement…
00:19:43Enfin, il en faudra encore deux derrière.
00:19:45Donc, évidemment, ce sera très, très compliqué.
00:19:49Mais on a monté la première marche.
00:19:54Et évidemment, dans ce cas-là, on n'y va pas et on ne le joue pas.
00:19:58Non, non, on va y croire jusqu'au bout.
00:20:00On a envie de le faire et ce sera d'autant plus beau pour ce club.
00:20:03– Gaëtan, c'est qui le jeune qui est arrivé dans l'angle de votre portable ?
00:20:07Je sens qu'il y a du monde autour de vous.
00:20:09– Oui, j'ai simé à signe.
00:20:11Il avait besoin de montrer sa tête.
00:20:13– Voilà, bonjour.
00:20:14Dites bonjour à la télé.
00:20:15Bonjour, monsieur.
00:20:16Gaëtan, on vous a en direct.
00:20:18Il y a une question de Bernard Lyon qui voulait vous poser une question.
00:20:21– Oui, Gaëtan, bonsoir.
00:20:22Je voulais juste savoir comment vous vous sentez physiquement.
00:20:25On sait quand même que pour des équipes comme vous,
00:20:26c'est le parcours de combattants pour monter en Ligue 1.
00:20:30Ce match-là, il resterait trois pour vous.
00:20:33Comment vous êtes ?
00:20:34Alors, ce match-là, on a mis d'énergie, on avait les cannes,
00:20:40on avait, voilà, ce qui nous a permis aussi d'être dans notre match
00:20:45et de faire ce qu'on voulait.
00:20:47Évidemment, là, les directives, c'est de se reposer, se reposer,
00:20:52se reposer avec les protocoles Récup parce qu'on sait très bien
00:20:55que ça va aller très vite.
00:20:57Le plus dur sera, je pense, ce deuxième match
00:21:00et si on arrive à passer, ça sera avec…
00:21:05On aura peut-être un peu plus de temps pour les matchs d'après,
00:21:07mais évidemment, il va falloir être très, très sérieux là-dessus
00:21:11parce que sinon, ça va être compliqué.
00:21:13– Gaëtan, vous avez du mal à garder votre calme
00:21:15qui fait le zozo derrière la caméra.
00:21:16Balancé.
00:21:16– Non, non, c'est parce qu'il soit par l'à-côté, c'est pour ça.
00:21:23– Ok, très bien.
00:21:26– Vous êtes monté deux fois en Ligue 1 avec Reims et Ajaccio,
00:21:31ça vous sert ou alors chaque expérience est inédite
00:21:33et puis ça ne sert à rien, le passé, c'est lui passé comme dirait les gens ?
00:21:36– Non, non, ça sert évidemment parce que c'est des petites expériences,
00:21:42enfin des petites ou des grandes expériences qui…
00:21:44voilà, c'est des scénarios qu'on a pu connaître,
00:21:47des tensions de match qu'on peut revivre
00:21:50et forcément, ça sert.
00:21:52Peut-être pas tout le match, mais en tout cas, ça aide forcément.
00:21:55– Gaëtan, vous nous montrez un peu le vestiaire là
00:21:56parce que j'ai l'impression qu'il y a beaucoup d'agitation,
00:21:58comme ça, une petite visite là.
00:22:00– Le petit peu, c'est que là, il y a un guignol à côté,
00:22:04mais sinon, tout le reste, ils sont tous partis.
00:22:07– On avait l'impression qu'il y avait du passage.
00:22:12– Stéphane Guen, question pour vous, Gaëtan.
00:22:15– Gaëtan, c'est normal, ils sont tous couchés.
00:22:17Moi, je ne comprends pas qu'à 23h28, à trois jours de jouer messe,
00:22:20vous soyez encore au micro d'Olivier Ménard.
00:22:22– Ça y est, d'accord.
00:22:23Bon, on va conclure l'interview.
00:22:24Gaëtan, il paraît que j'ai une petite confidence.
00:22:26– C'est une protocole.
00:22:27– C'est Pierre Bouby qui nous dit,
00:22:29il paraît que son meilleur pied, c'est son crâne chaud.
00:22:31C'est une saloperie ou c'est vrai ?
00:22:33– Il en loupe une, il en loupe pas une.
00:22:35C'est le petit chambrage qui va bien,
00:22:41mais c'est de bonne guerre.
00:22:43Il aime bien chambrer, mais bon,
00:22:45que je ne le croise pas trop vite.
00:22:47– Bon, on le dira, on le dira.
00:22:49Merci beaucoup Gaëtan, on vous souhaite bon courage.
00:22:51– Merci de merde.
00:22:52Et merci d'avoir joué le jeu,
00:22:54d'être venu un peu vous exprimer.
00:22:56Sur la qualif de Dunkerque,
00:22:57ce sera samedi, stade Saint-Symphorien,
00:22:59puis après, il y aura un match aller-retour,
00:23:00si Dunkerque passe,
00:23:01contre le 16e de Ligue 1.
00:23:03Bon voie à vous et très bonne montée.
00:23:05– Merci beaucoup.
00:23:06– C'est en tout cas ce qu'on vous souhaite.
00:23:07– Merci beaucoup, merci.
00:23:07– Au revoir Gaëtan.
00:23:09Les images du Real, à peu de jour ?
00:23:10Un partout, Bappé a marqué ?
00:23:12– Oui, alors ce n'est pas un partout,
00:23:13mais attendez Mémé, on va découvrir,
00:23:16vous allez voir ce qui s'est passé.
00:23:17Maillorque a ouvert le score à la 11e minute
00:23:19sur un ballon mal intercepté par Sebaïos.
00:23:23Le défenseur Martin Valjean récupère
00:23:24étend sa chance du gauche sans contrôler ses deux dents.
00:23:28Kylian Mbappé, oui, a marqué.
00:23:30Il surgit pour égaliser à la 68e service de Modric
00:23:32pour le français qui accélère avant de fermer son pied.
00:23:35La spéciale.
00:23:37Et victoire madrilène dans le temps additionnel.
00:23:40Hop là, ça c'est Kiki.
00:23:43But de Jacobo Ramon marqué à la 95e.
00:23:47Donc le sacre du Marseille retardé à la toute dernière seconde.
00:23:51– Jacobo Ramon ?
00:23:52– Ramon.
00:23:53– Jacobo Ramon.
00:23:54– Oui, monsieur Jacob Jambon.
00:23:55– Oui, c'est vrai que Ramon, ce joueur.
00:23:58La famille de caisson.
00:23:59– Et on a enfin des nouvelles de Jean Valjean qui a marqué le premier but.
00:24:02– Chabie Alonzo-Réal, ça s'accélère.
00:24:04Le coach devrait prendre ses fonctions,
00:24:06ou devait prendre ses fonctions après le Mondial des Clubs.
00:24:09Les médias confirment aujourd'hui que ça pourrait être beaucoup plus rapide que prévu
00:24:13et confirment la une d'hier de Haas quand Chabie Almondial,
00:24:16c'est-à-dire Chabie Alonzo, devrait entrer en fonction avant le Mondial des Clubs.
00:24:20Donc avant le début, le 14 juin.
00:24:23Chabie Alonzo est un coach qui donne une griffe au jeu, à ses équipes, une signature.
00:24:28Il nous dit ceci, on a retrouvé une de ses interviews.
00:24:31En tant qu'entraîneur, vous devez vous adapter aux compétences de vos joueurs
00:24:34tout en gardant vos propres idées et principes.
00:24:38Je recherche un pressing haut et de récupération immédiate du ballon,
00:24:41mais ma priorité absolue est le contrôle.
00:24:42Son Bayard Leverkusen court cette saison beaucoup en C1.
00:24:46On a eu les chiffres, 120,1 kilomètres par match.
00:24:50Le Real d'Angeletti court moins cette saison en Léa, 108,1 kilomètres par match.
00:24:54Chabie Alonzo est-il Real compatible ?
00:24:57Là ce soir, vous me tenez à me rassurer parce que vous m'avez tous dit oui.
00:25:00Qui veut me dire pourquoi le Real est compatible ?
00:25:04Mais l'interview que vous montrez parle d'elle-même.
00:25:09Elle parle d'elle-même, les premières paroles qu'il dit.
00:25:11Il dit qu'un entraîneur doit s'adapter à son compétence des joueurs tout en gardant les principes de jeu.
00:25:19Qu'est-ce qui empêchera le Real de jouer haut et de récupérer le ballon rapidement ?
00:25:24Rien du tout.
00:25:25Non.
00:25:25Rien du tout.
00:25:27Comment ?
00:25:28Le problème du Real cette saison, ce n'est pas carrément Michelotti.
00:25:30Je ne parle pas du...
00:25:32Oui mais le problème du Real, c'est l'équilibre.
00:25:35Donc si demain, Chabie Alonzo se retrouve avec les quatre offensifs qu'il y a eu cette saison,
00:25:40il aura les mêmes problèmes que Carlo Ancelotti.
00:25:43Donc c'est d'abord une question de dirigeant.
00:25:45Mais Chabie Alonzo, évidemment, qui peut entraîner le Real Madrid.
00:25:48On est d'accord.
00:25:48Non mais on est d'accord.
00:25:49Mais moi, je...
00:25:49Mais si on...
00:25:50Je n'ai pas envie de...
00:25:51Oui, non mais...
00:25:52Ce que tu me dis là, moi, ça m'agace.
00:25:55Non, non mais je te le dis.
00:25:56Parce que je...
00:25:57Mais non.
00:25:57Reste avec tout quand même.
00:25:58Non mais il n'y a aucun problème.
00:25:59De toute façon, je pense, à mon avis, qu'il n'aura pas le même effectif.
00:26:01Non mais c'est ça aussi.
00:26:03On peut en être...
00:26:03Non mais il n'aura pas le même effectif.
00:26:05Tu n'auras pas trois, ton âge, c'est pas bon.
00:26:07On peut en être certains.
00:26:08Notamment, je pense, devant.
00:26:10Je pense qu'il va y avoir des changements.
00:26:12Parce qu'on a tous compris qu'il y avait quelque chose qui clochait.
00:26:16Il y avait quelque chose qui déconnait.
00:26:17Mais au milieu, surtout.
00:26:18Et que...
00:26:19Non mais déjà devant, on constate quand même qu'il y a des choses qui ne vont pas bien.
00:26:23Je pense que Vinicius va partir ?
00:26:24Mais ça, vous le verrez bien.
00:26:26Moi, j'en sais rien.
00:26:26Je n'ai pas des informations.
00:26:27Mais il y a automatiquement du mouvement qui va se passer dans cette équipe.
00:26:31Au milieu, c'est sûr que ça va être renforcé.
00:26:34Et derrière, ça va être renforcé.
00:26:35C'est inévidence.
00:26:36Mais après, que l'entraîneur qui va arriver, qui a un style de jeu qui, moi, personnellement, j'apprécie beaucoup.
00:26:42Eh bien, il n'aura aucun mal à le mettre en place au Real.
00:26:47Et d'autant...
00:26:47Mais si, d'autant...
00:26:48Mais si tu récupères ton ballon haut, mémé...
00:26:52Mais ce qu'on est en train de parler, justement, du déséquilibre et tout ça...
00:26:56Mais tu vas le compenser.
00:26:58Tu vas le grignoter, plus ou moins.
00:27:01Et ton équipe, elle aura belle allure.
00:27:02Il ne faut pas courir.
00:27:04Non, mais il ne faut pas courir.
00:27:05Je recherche un pressing haut et une récupération médiane du ballon.
00:27:07C'est les principes de jeu.
00:27:09Je ne l'ai pas vu cette année.
00:27:10Ce harcèlement.
00:27:11La carte de ballon, la pressing...
00:27:13Il faut rappeler deux choses.
00:27:14C'est que le déséquilibre vers l'avant du Real, ça fait partie de l'ADN de cette équipe.
00:27:19C'est une donnée que Chabé Alonso a parfaitement intégrée.
00:27:21C'est un ancien de la maison Méringue.
00:27:23Donc, il ne va pas débarquer dans un truc en découvrant un club avec une philosophie de jeu qui remonte à Matusalem.
00:27:29Ça, il l'a.
00:27:30Maintenant, moi, c'est surtout...
00:27:32Ce jeu-là, c'est des sécurités au milieu.
00:27:34Quand le Real avait les Galactiques, tu avais des joueurs comme Makelele, au milieu, c'est quand même une équipe qui est orpheline.
00:27:41Donc, elle était déséquilibrée, mais finalement équilibrée.
00:27:43Et elle ne gagnait pas.
00:27:44On rappelle qu'elle a gagné un titre de champion, l'équipe des Galactiques.
00:27:48Un titre de champion.
00:27:49Regarde ce qui s'est passé sur les deux, trois dernières saisons.
00:27:52Qu'ils ont perdu au milieu.
00:27:53Ils ont perdu tout le monde au milieu.
00:27:55Ils ont perdu Casemiro.
00:27:57Ils ont...
00:27:57Modric.
00:27:58Bon, ben, c'est...
00:27:59Il a son âge.
00:28:00Et ces joueurs...
00:28:01Et...
00:28:01J'oublie...
00:28:02Tony Kroos.
00:28:03Très, très important.
00:28:04Ces joueurs-là, ils n'ont pas été totalement remplacés.
00:28:06Et que, de toute façon, s'il vient, Xabi Alonso, ils vont reconstruire son autre cycle.
00:28:11Et derrière, ils vont prendre des défenseurs d'un tout autre niveau.
00:28:14Je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce que tu dis par rapport à l'équilibre offensif du Real Madrid.
00:28:19Parce que les derniers titres majeurs, en tout cas ceux qui ont marqué les esprits, avec notamment Karim Benzema,
00:28:26c'était Valverde qui jouait les droits.
00:28:28La plupart du temps, dans les gros matchs, c'était Valverde.
00:28:30Rodrigo restait sur le banc.
00:28:32Il était décisif.
00:28:33Parce qu'il l'entrait en cours de match.
00:28:35Mais l'équilibre, il était très défensif.
00:28:38Valverde, des fois, il joue arrière-droit.
00:28:40C'est un milieu de terrain, mais des fois, il joue arrière-droit.
00:28:42Et ces saisons-là, sur les gros matchs, il était élié droit.
00:28:46Donc, il n'y avait que deux.
00:28:47Il y avait Benzema et il y avait Vinicius.
00:28:50Et Vinicius courait beaucoup, d'ailleurs, à l'époque.
00:28:52Donc, pour moi, c'était une équipe très défensive.
00:28:55Qu'est-ce qui se passe, Virginie ? Ça va ?
00:28:56J'ai laissé tomber mon stylo, voilà.
00:28:59Si vous voulez tout savoir.
00:29:01Et je rappelle...
00:29:03L'année dernière, quand le Real gagne la Ligue des Champions
00:29:06en Dortmund, c'était une des équipes
00:29:08qui courait le moins en Europe, déjà.
00:29:10Donc, ça n'empêche pas de gagner la Ligue des Champions.
00:29:13Ben oui.
00:29:14Ils l'ont gagné.
00:29:16Et dans la phase de poule,
00:29:18ils étaient 28e
00:29:20dans les équipes en kilomètres.
00:29:23Mais là, il arrive dans un autre contexte.
00:29:25Parce que, d'abord,
00:29:26je pense qu'il a dû demander quelques garanties.
00:29:28Il n'accepte pas le poste en l'état.
00:29:30Et puis, surtout, le Real sort d'une saison d'échec.
00:29:33L'année dernière,
00:29:35ils avaient tout gagné.
00:29:36C'est-à-dire, ils n'ont rien gagné.
00:29:36Donc, il va y avoir forcément remise
00:29:39globale en compte, en cause.
00:29:42Au Real, le pouvoir est-il partagé
00:29:44entre le président et les joueurs ?
00:29:46Mais l'entraîneur, j'ai l'impression
00:29:47qu'il n'est pas souvent écouté.
00:29:50Il n'est pas... Voilà.
00:29:51J'ai l'impression que les joueurs
00:29:52sont les stars du Real.
00:29:53Il y a un président qui est omnipotent.
00:29:55Évidemment.
00:29:55Mais Ancelotti, à l'inter-saison,
00:29:58a demandé...
00:29:58Non, mais le recrutement,
00:29:59ça a toujours été Florent Teno-Pérez.
00:30:01Oui.
00:30:01Et Ancelotti, c'est l'entraîneur parfait.
00:30:02Et c'est son environnement.
00:30:03Il ne ferait jamais de vague.
00:30:04Il ne proteste jamais contre l'actionnaire.
00:30:05Oui, mais c'est une façon d'être.
00:30:07Ça ne veut pas dire que...
00:30:08Je pense qu'il n'est pas du tout.
00:30:09Non, mais quand vous dites
00:30:09que Xabi Alonso doit avoir des garanties,
00:30:11des choses comme ça...
00:30:12J'ai pas dit ça.
00:30:13Non, non, mais...
00:30:13Moi, je pense qu'il est très content
00:30:15d'entraîner le Real,
00:30:16mais qu'il ne sait pas le recrutement.
00:30:17Et que pour moi,
00:30:18le problème fondamental de ce club-là,
00:30:20c'est que s'il n'y a pas de recrut,
00:30:22mais moi, c'est six joueurs.
00:30:24C'est deux en défense,
00:30:25c'est deux au milieu.
00:30:27Déjà, on t'annonce Saliba
00:30:28et Alexander Ardol.
00:30:29On en a déjà deux.
00:30:30Oui, oui.
00:30:31Alexander Ardol, OK.
00:30:32Mais Saliba, je ne sais pas si...
00:30:33C'est à partir de...
00:30:34Non, je ne sais pas si...
00:30:35...Arsenal.
00:30:36Trent Alexander Ardol.
00:30:37Le grand défenseur.
00:30:38Il faut quand même imaginer
00:30:38le défenseur de fer.
00:30:40Ça a un contre-attaque.
00:30:40Dans le style,
00:30:42dans la façon dont Xavi Alonso
00:30:43jouait à l'Ivercousen,
00:30:45c'était Frimpong,
00:30:46le côté droit,
00:30:47il adorait Alexander Ardol.
00:30:48Bien sûr, complètement.
00:30:49Mais en plus,
00:30:50tu peux imaginer quand même
00:30:51que vu la saison catastrophique
00:30:53que vient de vivre le Real,
00:30:55notamment dans l'expression de son jeu,
00:30:58alors je pense que le président
00:31:00est quand même à l'écoute
00:31:02de gens qui l'entourent
00:31:03et certainement,
00:31:04même si ça ne se voit pas trop,
00:31:06de l'entraîneur principal
00:31:08qui était Ancelotti.
00:31:09Et je pense qu'il y a quand même
00:31:10des choses qui ont été remarquées.
00:31:12Et il y a des choses
00:31:12qui vont être corrigées.
00:31:13Si ce n'est pas le cas,
00:31:15je me demanderais
00:31:16ce que le président du Real
00:31:17essaye de nous démontrer.
00:31:19C'est pas...
00:31:20Arriver que le président du Real
00:31:22puisse empiler les stars.
00:31:23Sans avoir une grande
00:31:24grande équipe, c'est arrivé.
00:31:25En plus, il y a quand même
00:31:25un élément à prendre en compte
00:31:27aujourd'hui,
00:31:28c'est que s'il arrive
00:31:29avant la Coupe du Monde des Clubs,
00:31:31il faut quand même se rappeler
00:31:31que Florentino Pérez
00:31:32a érigé cette compétition,
00:31:34qu'on le veuille ou non,
00:31:35comme une priorité absolue.
00:31:37Il y a notamment
00:31:38150 millions d'euros
00:31:39à les gagner.
00:31:40Et si jamais Xavi Alonso
00:31:42mène cette équipe
00:31:43pendant cette compétition
00:31:44et que ça se passe très mal,
00:31:46il sera déjà,
00:31:47qu'on le veuille ou non,
00:31:47parce que c'est le Real Madrid,
00:31:49fragilisé.
00:31:50C'est comme ça.
00:31:52Donc, dans le recrutement...
00:31:53C'est quand même
00:31:53assez particulier.
00:31:55C'est très particulier.
00:31:56Parce que non,
00:31:56en plus,
00:31:57t'as même pas le temps
00:31:57de préparer.
00:31:58T'as même pas le temps
00:31:59de faire quelque chose.
00:31:59Est-ce qu'on peut lier
00:32:00les recrues
00:32:00à la Coupe du Monde des Clubs ?
00:32:01Oui.
00:32:02En tout cas,
00:32:03le mercato démarre en juin,
00:32:04le 1er juin.
00:32:05Oui, donc tu peux avoir...
00:32:05Le mec arrive le 1er juin
00:32:08et il joue le 14 juin.
00:32:10Oui, oui, oui.
00:32:11Et en fin de saison...
00:32:12Ils n'ont pas tout changé.
00:32:13Mais moi,
00:32:13je trouve que là,
00:32:14moi, là où je suis confiant
00:32:15pour lui,
00:32:16c'est la façon
00:32:16dont il a mené
00:32:17sa carrière d'entraîneur.
00:32:18Parce que c'est un énorme,
00:32:19c'est une énorme carte d'identité,
00:32:21Xabi Alonso.
00:32:22Je ne sais pas si tout le monde
00:32:24se rend compte
00:32:24du joueur qu'il était.
00:32:26C'est énorme,
00:32:27Xabi Alonso.
00:32:28Et qu'est-ce qu'il a fait ?
00:32:30L'équipe réserve
00:32:31de la Real Sociedad
00:32:32pendant 3 ans.
00:32:33Après,
00:32:33il a fait 2 ans
00:32:33dans un club moyen
00:32:35qui l'a emmené,
00:32:36qui a fait un truc unique.
00:32:37Ils ont fait une saison
00:32:38invaincu
00:32:39avec Bayard Leverkusen.
00:32:40Personne n'aurait misé dessus.
00:32:42Il aurait pu partir flamber.
00:32:43Non,
00:32:43il est resté une deuxième année
00:32:44pour confirmer au Falich.
00:32:46Donc,
00:32:46je ne crois pas
00:32:47que ce garçon,
00:32:48par rapport à l'intelligence
00:32:49qu'il a montrée
00:32:49sur le terrain
00:32:50dans sa carrière
00:32:50et aussi dans sa gestion
00:32:52de son parcours d'entraîneur
00:32:53depuis qu'il s'est lancé
00:32:54dans la carrière,
00:32:55arrive au Real Madrid
00:32:56comme ça
00:32:56en subissant
00:32:58la contrainte de ceci
00:32:59et la contrainte de cela.
00:32:59Après,
00:33:00il n'y arrivera pas à faire
00:33:01mais c'est d'empêcher
00:33:02le Barça d'être plus fort.
00:33:03Parce que le Barça
00:33:04va peut-être aussi
00:33:04recruter des défenseurs.
00:33:06L'Emily Yamal
00:33:06ne sera pas moins fort
00:33:07l'année prochaine.
00:33:08On ne pense pas.
00:33:08A priori.
00:33:09Donc,
00:33:09je pense que cette équipe-là
00:33:11qui est beaucoup plus jeune
00:33:12à part Lewandowski,
00:33:14je pense qu'elle va très difficile
00:33:15à déloger de son piédestal.
00:33:16En étant catastrophique.
00:33:17C'est le mot
00:33:19qu'on a envie de sortir.
00:33:20Le Real,
00:33:20on se dit
00:33:20c'est catastrophique.
00:33:22Virginie vient de nous dire
00:33:23qu'il faudra quand même
00:33:24attendre la dernière journée
00:33:25pour que le Barça soit champion.
00:33:26Donc,
00:33:26ils sont dans le catastrophe.
00:33:28Chabialonso en tout cas
00:33:31pourrait prendre ses fonctions
00:33:32beaucoup plus rapidement
00:33:33que prévu.
00:33:33Donc,
00:33:33avant la Coupe du Monde des Clubs,
00:33:34la date de cette compétition
00:33:36c'est le 14 juin.
00:33:37Aujourd'hui en Espagne
00:33:37on a beaucoup parlé
00:33:38mais beaucoup parlé
00:33:39du futur ex-entraîneur
00:33:41c'est Carlo Ancelotti.
00:33:42Oui,
00:33:42ses pairs lui rendent hommage.
00:33:43Je lui rende hommage.
00:33:44Je vous propose d'écouter
00:33:45Diego Simeone,
00:33:46le coach de l'Atletico
00:33:47et puis Antiflick,
00:33:48son grand rival du Barça.
00:33:52Nous admirons tous
00:33:53Carlo Ancelotti
00:33:54pour l'ensemble de son travail,
00:33:57pour ce qu'il a représenté
00:33:58ici,
00:33:59la façon dont il a géré le club,
00:34:01tout ce qu'il a accompli
00:34:02dans sa carrière sportive.
00:34:05Je l'admire,
00:34:06il le sait.
00:34:07Je lui ai dit.
00:34:08Je l'ai dit.
00:34:08Je l'ai dit.
00:34:08il a fait un travail fantastique
00:34:17à Madrid
00:34:17avec beaucoup de succès.
00:34:19C'est un gentleman
00:34:20et c'est l'un des meilleurs
00:34:21entraîneurs au monde.
00:34:24Je lui souhaite le meilleur
00:34:25pour son nouveau travail
00:34:26et je pense qu'il dirigera
00:34:27une très belle équipe.
00:34:30C'est évident que le succès
00:34:31va le suivre au Brésil.
00:34:32C'est sûr qu'il peut
00:34:34suivre le succès.
00:34:36C'est un commentaire.
00:34:38Ça va être difficile
00:34:39de succéder
00:34:40ou de passer
00:34:40derrière Ancelotti ?
00:34:41Souvent,
00:34:42parfois,
00:34:42il y a des postes
00:34:43qu'on ne doit pas prendre.
00:34:44Non.
00:34:45Là,
00:34:45c'était le moment.
00:34:47Non,
00:34:47mais là,
00:34:47il vient après une saison
00:34:49qui est considérée,
00:34:50qu'on le veut ou non,
00:34:51comme catastrophique
00:34:53par l'environnement
00:34:54du Real Madrid.
00:34:56Donc,
00:34:56par la force des choses,
00:34:58on oublie tout
00:34:59en trois mois
00:34:59au Real Madrid.
00:35:00Tout le monde le sait,
00:35:01c'est comme ça.
00:35:02On est amené-y.
00:35:02Nouveau coche,
00:35:03nouveau projet.
00:35:04OK.
00:35:05Sir Alex,
00:35:06en prison.
00:35:08Ah.
00:35:08Si Ferguson était
00:35:09entraîneur actuellement,
00:35:10il finirait probablement
00:35:11en prison.
00:35:12Il était méchant.
00:35:13Les propos,
00:35:14cette confidence
00:35:14sont de Patrice Evra,
00:35:168 ans à Manchester United
00:35:17et qui vénère en général
00:35:19Sir Alex Ferguson
00:35:20et qui l'adore
00:35:21tout le temps d'ailleurs.
00:35:23Dans ce podcast,
00:35:24Patrice Evra évoque
00:35:25quelques règlements
00:35:25dictés par l'implacable
00:35:27Sir Alex Ferguson.
00:35:28Tu ne peux pas échanger
00:35:29ton maillot
00:35:30avec l'adversaire,
00:35:31sinon il te détruit.
00:35:32Voilà.
00:35:33Pas l'échange de maillot.
00:35:34Anani qui venait
00:35:35de se faire ouvrir
00:35:36le tibia par Carragher
00:35:37lors d'un Liverpool
00:35:37Manchester United.
00:35:39Nani arrive dans le vestiaire,
00:35:42il est en larmes
00:35:43et là,
00:35:44Sir Alex Ferguson
00:35:45lui lance.
00:35:46J'espère que ta jambe est cassée,
00:35:47un joueur de United
00:35:48ne peut pas pleurer en field.
00:35:50Voilà.
00:35:50Sir Alex Ferguson
00:35:51avait-il un management
00:35:52d'un autre temps ?
00:35:54Oui,
00:35:54mais il gagnait.
00:35:56Stéphane Guy,
00:35:57on vous a donné une minute
00:35:58pour convaincre,
00:35:58pour défendre votre propos.
00:36:00pour convaincre qui de quoi ?
00:36:02Que c'était le meilleur ?
00:36:04Sir Alex Ferguson
00:36:05avait-il un management
00:36:06d'un autre temps ?
00:36:06Vous avez dit oui.
00:36:07Il avait le management
00:36:08de son temps.
00:36:09De son temps.
00:36:10Voilà,
00:36:10peut-être que c'est un management.
00:36:11Je ne crois pas
00:36:12que son management
00:36:12serait inopérationnel aujourd'hui.
00:36:14On vous laisse la main
00:36:14pour nous raconter
00:36:15votre Sir Alex Ferguson.
00:36:16C'est juste incroyable.
00:36:19On vient de parler
00:36:20de Carlo Ancelotti
00:36:21que tout le monde vénère
00:36:22à juste titre.
00:36:23Mais Sir Alex Ferguson,
00:36:24pour moi,
00:36:25c'est encore le niveau supérieur.
00:36:26Le type,
00:36:26il a été 13 fois champion
00:36:28d'Angleterre.
00:36:29Entre 92,
00:36:31date de son premier titre,
00:36:3193, pardon,
00:36:33à 2013,
00:36:34date de son départ.
00:36:34Donc,
00:36:35en 20 ans,
00:36:35il a été 13 fois champion
00:36:36dans le championnat
00:36:37le plus compétitif du monde.
00:36:39Il a vu arriver Wenger
00:36:40qui l'a battu,
00:36:41il l'a rebattu.
00:36:42Il a vu arriver Mourinho
00:36:42qui l'a battu,
00:36:43il l'a rebattu.
00:36:44Il a vu arriver
00:36:44les milliardaires de City
00:36:46qui les ont battus
00:36:46et les a rebattus.
00:36:48C'est un phénomène.
00:36:49C'est quelqu'un
00:36:49qui a été capable
00:36:50de construire
00:36:51pendant des années
00:36:52et des années
00:36:52des équipes différentes,
00:36:54de renouveler les générations
00:36:55et d'inculquer un esprit.
00:36:57Parce que ce qui frappait
00:36:58dans les équipes
00:36:58de Sir Alex Ferguson,
00:36:59c'est ce qu'il y a
00:37:00de plus précieux finalement.
00:37:01C'est l'esprit.
00:37:02Et j'ai une anecdote
00:37:03à vous raconter,
00:37:04je ne sais pas si en 10 secondes
00:37:05elle va rentrer,
00:37:05justement,
00:37:06de Patrice Evra.
00:37:06Parce que j'ai eu le privilège
00:37:08évidemment de commenter
00:37:09le dernier match
00:37:09de Sir Alex Ferguson
00:37:10avec United
00:37:11et le moment
00:37:12où il annonce son départ.
00:37:13Il annonce son départ
00:37:14de United en février
00:37:15sans avoir rien prévu
00:37:17d'ailleurs pour la succession.
00:37:18C'est un autre débat.
00:37:19Et moi,
00:37:20je me souviens encore
00:37:21du témoignage
00:37:21de Patrice Evra
00:37:22qui était quasiment en larmes
00:37:24le dimanche suivant
00:37:25de cette annonce-là.
00:37:26Et je lui dis
00:37:27pourquoi ?
00:37:28Il me dit
00:37:29mais Stéphane,
00:37:29tu ne te rends pas compte ?
00:37:30Il me dit
00:37:30cet homme-là,
00:37:31quand on était sur le terrain,
00:37:33qu'on était mené 1-0,
00:37:34on regardait vers lui
00:37:36et ça nous donnait
00:37:38tout de suite
00:37:38une impulsion supplémentaire.
00:37:39On ne pouvait pas imaginer
00:37:40une seule seconde
00:37:41de ne pas dépasser
00:37:42ce moment-là
00:37:43pour renverser le score.
00:37:44C'était inimaginable
00:37:45tellement la force
00:37:46qu'il nous donnait.
00:37:47C'est ça,
00:37:47Sir Alex Ferguson.
00:37:48C'est ça,
00:37:48le management à la Ferguson.
00:37:50Je ne pense pas
00:37:50que ce soit un management
00:37:51d'un autre temps.
00:37:52OK.
00:37:54Fin de cette minute
00:37:55et quelques secondes en plus
00:37:56de Débourg.
00:37:58Il vous a convaincu,
00:37:59Stéphane ?
00:38:00Allez,
00:38:00on passe à travers les rangs.
00:38:01Vous avez écouté Stéphane.
00:38:03Ce n'est pas un management
00:38:04d'un autre temps en fait.
00:38:05Un management autoritaire.
00:38:08Oui ou non ?
00:38:08C'était un peu hors-sujet
00:38:10et puis à la fin
00:38:10il s'est recentré
00:38:11donc je dirais oui.
00:38:12Oui,
00:38:12OK,
00:38:13d'accord.
00:38:14Convaincu Olivier
00:38:14par la causerie
00:38:15de Stéphane ?
00:38:16Bernard,
00:38:17contrat ou pas contrat ?
00:38:18Contrat sur une phrase.
00:38:19Contrat sur une phrase.
00:38:20Sauvé sur une phrase.
00:38:21Et vous,
00:38:22vous lui balancez
00:38:23la chose sur un crampon
00:38:23à la Sœur Alex ?
00:38:24Non,
00:38:25c'était très bien
00:38:28et très convaincant
00:38:28mais je pense qu'aujourd'hui
00:38:32il ferait autrement.
00:38:34Il serait obligé
00:38:34de faire autrement.
00:38:36Il a fait autrement.
00:38:37Il a fait autrement.
00:38:38Entre le faire...
00:38:39Je peux me permettre de...
00:38:40Non.
00:38:41Tu peux refaire une minute.
00:38:42l'équipe de 93.
00:38:44Donc il y a l'équipe de 93
00:38:46avec Cantona.
00:38:48Donc en 96,
00:38:49il décide de liquider,
00:38:51enfin de liquider,
00:38:52pardonnez l'expression,
00:38:53mais enfin il envoie
00:38:54pas mal d'anciens
00:38:55à la retraite
00:38:55dont Pauline, etc.
00:38:57Et il repart
00:38:57avec des gamins,
00:38:59avec des Beckham,
00:38:59avec les Geeks,
00:39:00avec les frères des villes
00:39:01qui n'étaient rien,
00:39:02qui étaient des mômes.
00:39:03Premier match de la saison,
00:39:04Aston Villa,
00:39:05ils prennent une heure raclée.
00:39:07Le consultant phare anglais
00:39:09de la BBC,
00:39:09Alain Nansen,
00:39:10grand joueur de Liverpool,
00:39:11dit
00:39:12normal,
00:39:13il fait son job de consultant,
00:39:14il dit
00:39:14on ne gagne rien
00:39:15avec des mômes.
00:39:16Ça ne sert à rien.
00:39:17Onze mois après,
00:39:18avec ces mômes-là,
00:39:19il est à nouveau
00:39:19champion d'Angleterre.
00:39:20Il a fait toute sa vie,
00:39:21il n'a fait que
00:39:22de reconstruire les équipes,
00:39:23de s'adapter à son temps,
00:39:24de changer d'adjoint.
00:39:26Vous ne durez pas
00:39:2723 et 14,
00:39:3227 ans sur le monde
00:39:35du Lactin
00:39:35sans vous renouveler en permanence.
00:39:36Pardon, pardon, pardon.
00:39:38Et là, ce soir,
00:39:40le chausse-pied,
00:39:40le chausse-pied,
00:39:42on visite,
00:39:42on va dire,
00:39:43on visite l'institution
00:39:44sur Alex Ferguson,
00:39:45mais on va dire un peu
00:39:46par le petit bout,
00:39:47la lorgnette,
00:39:48sur ses méthodes,
00:39:49sur ses rapports,
00:39:50c'est un coach
00:39:50qui fait peur.
00:39:51Vous nous avez dit là,
00:39:52c'est un coach
00:39:53qui envoyait de l'énergie,
00:39:53mais c'est un coach,
00:39:55un maître d'école
00:39:56qui fait,
00:39:57qui terrorise ses élèves.
00:39:58D'après si on en croit
00:39:59Patrice Cerva,
00:40:00c'était psychologiquement,
00:40:02c'était dur,
00:40:02mais là où je ne suis pas
00:40:03d'accord avec toi,
00:40:04c'est que tu dis,
00:40:04c'était le management
00:40:05d'une époque,
00:40:06mais il y avait des gens
00:40:07en 93 qui ne manageaient
00:40:08pas comme ça.
00:40:09Donc il n'a pas,
00:40:10tous les managers
00:40:12n'étaient pas comme ça.
00:40:13C'est vrai.
00:40:13Donc sa façon de mettre
00:40:14la pression psychologique
00:40:15sur les joueurs,
00:40:16je trouve ça,
00:40:17ce n'est pas une question
00:40:18de...
00:40:19Tu n'as pas,
00:40:20entre Wenger,
00:40:21enfin moi j'ai bien connu
00:40:22Wenger et Ferguson,
00:40:23voilà,
00:40:23c'est deux types de management
00:40:24très différents
00:40:25et chacun dans leur rôle
00:40:27sont des maîtres.
00:40:27On reconnaît que quelque chose...
00:40:28Enfin il y en a un
00:40:28qui a gagné un peu plus
00:40:30de titres que l'autre.
00:40:30Mais reconnaît que
00:40:31dans n'importe quelle entreprise,
00:40:32on a envie de parler
00:40:32normalement à ses,
00:40:34je ne sais pas...
00:40:34Oui, mais ça,
00:40:36Evra,
00:40:37Evra,
00:40:37il faut en prendre,
00:40:38enfin celle-là
00:40:39connaît aussi bien que moi,
00:40:40Evra,
00:40:41j'ai même goûté le podcast,
00:40:42mais c'est quand même...
00:40:44C'est aussi quelqu'un
00:40:46qui était extrêmement paternel
00:40:48et c'est Raleigh-Sergusson.
00:40:49Olivier,
00:40:50dans votre cadre de joueur,
00:40:52des coachs qui faisaient peur,
00:40:53vous en avez eu souvent, non ?
00:40:53Moi je me souviens
00:40:54de l'expérience
00:40:54que vous avez vécu avec...
00:40:56Alors,
00:40:56il ne faisait peut-être pas peur
00:40:57mais c'était Robert Herbin,
00:40:59c'était à Lyon,
00:40:59saison 84-85,
00:41:00c'était le sphinx là,
00:41:01qu'il ne parlait pas.
00:41:02Il ne vous parlait pas ?
00:41:03Il était comment
00:41:04quand il était en colère ?
00:41:05Il ne disait rien ?
00:41:06Non, non,
00:41:06Robert Herbin n'est pas
00:41:07un entraîneur qui fait...
00:41:08Tu vois,
00:41:08moi quand je l'ai connu
00:41:09l'année que j'ai eu à Lyon,
00:41:10ce n'est pas du tout
00:41:11un entraîneur
00:41:12qui faisait peur,
00:41:12ce n'est pas un entraîneur
00:41:13qui terrorise.
00:41:14Moi,
00:41:14mon premier entraîneur
00:41:15qui s'appelait
00:41:16M. Rodin
00:41:16était quelqu'un...
00:41:18Antoine Rodin,
00:41:20celui qui a lancé Michel,
00:41:23etc.
00:41:24L'homme qui nous a fait...
00:41:26Michel,
00:41:26c'est Michel Patini.
00:41:27Pardon,
00:41:27excusez-moi.
00:41:28Mais l'homme qui nous a fait...
00:41:29Les relations étaient
00:41:31du même acabit
00:41:32que celles de Ferguson
00:41:33avec ses joueurs.
00:41:34Mais c'est...
00:41:36Je ne sais pas
00:41:36comment vous le décrire,
00:41:37ce n'est pas vous faire peur,
00:41:39c'est vous emmener
00:41:40plus haut
00:41:40que vous n'avez
00:41:41une seule fois
00:41:42à l'imaginer.
00:41:44Et vous le faites
00:41:44spontanément.
00:41:45Et vous le faites
00:41:46avec passion.
00:41:47Et vous le faites
00:41:48avec...
00:41:48Toutes les semaines.
00:41:49Mais tous les jours.
00:41:50Mais tous les jours
00:41:51à l'entraînement.
00:41:52J'espère que ta jambe
00:41:53est cassée
00:41:53parce que vous étiez lié.
00:41:55Vous nous confessez
00:41:56que vous faisiez
00:41:56souvent découper.
00:41:57Ah, complet, oui.
00:41:58Donc, Olivier,
00:41:59si vous étiez rentré,
00:42:00on va dire,
00:42:01en larmes...
00:42:01Non, il m'aurait pris
00:42:02dans ses bras.
00:42:03Il m'aurait pris
00:42:03dans ses bras.
00:42:04Il m'aurait cassé.
00:42:05Il faut connaître
00:42:06le contexte.
00:42:06s'ils sont emmenés
00:42:08à Anfield.
00:42:08Oui, un zéro.
00:42:09Voilà, un zéro.
00:42:10Et que...
00:42:11Voilà.
00:42:12Non, non, mais il y avait...
00:42:13Et c'est pas un monde
00:42:15de bisounours,
00:42:16le vestiaire de foot.
00:42:18C'est clair.
00:42:19Et puis,
00:42:19c'est pas les mêmes contextes.
00:42:20Mais il faut être
00:42:22extrêmement puissant
00:42:23pour avoir
00:42:24ce management-là.
00:42:26Et Alex Ferguson
00:42:26était extrêmement puissant.
00:42:28Parce qu'il a construit
00:42:29sa puissance.
00:42:30Parce qu'il n'était rien.
00:42:30Bien sûr.
00:42:31Il a mis 5 ans
00:42:32à gagner un 2 ans.
00:42:33Est-ce qu'aujourd'hui,
00:42:34tu ne disais pas comme ça ?
00:42:35Non.
00:42:35Toi, tu crois que oui ?
00:42:36Non, non, non.
00:42:37Moi, je crois que non.
00:42:37Non, non, justement.
00:42:38C'est là où je voulais...
00:42:40Le contexte,
00:42:42c'est que tu avais
00:42:43des groupes
00:42:44hyper resserrés.
00:42:45On était quoi ?
00:42:46On était maximum
00:42:4720 joueurs ?
00:42:48Non, et puis surtout,
00:42:49il choisit...
00:42:50L'avantage du manager anglais,
00:42:51c'est pas le Real Madrid.
00:42:52C'est-à-dire qu'il choisit
00:42:53tous ses hommes un par un.
00:42:54En plus...
00:42:55Ceux qui ne collent pas
00:42:55avec son management,
00:42:58il dégage rapidement.
00:42:59Il y en a eu plein.
00:43:00Il y a eu des dizaines
00:43:00d'exemples.
00:43:01Il y a des grands joueurs
00:43:02qui ont été transparents.
00:43:04Juan Sébastien de Véron,
00:43:04il arrive à United en héros.
00:43:07Je ne sais pas
00:43:07si après le management
00:43:08il fait que ça,
00:43:08mais il n'a rien donné.
00:43:10Les coachs
00:43:11auraient-ils pris le pouvoir
00:43:12aujourd'hui ?
00:43:13C'est une archive
00:43:14que je vous propose
00:43:15de découvrir et de redécouvrir.
00:43:16L'émission
00:43:17L'équipe enquête
00:43:18consacrée aux entraîneurs.
00:43:19C'est intitulé
00:43:20Intime confession.
00:43:21Très bonne émission.
00:43:22En septembre 2020,
00:43:24c'est Laurent Blanc
00:43:25qui est confessé
00:43:26par le président,
00:43:27oui, oui,
00:43:28en vestant d'un.
00:43:29Voilà, c'est ça,
00:43:30Sébastien Tarrago.
00:43:31Écoutez ce que nous disait
00:43:32Laurent Blanc
00:43:33dans le rapport
00:43:33entraîneur,
00:43:34joueur, c'est intéressant.
00:43:36Les joueurs
00:43:37sont devenus
00:43:38tellement importants.
00:43:40Sans
00:43:40les mettre
00:43:43sur un piédestal,
00:43:46il faut qu'ils soient
00:43:48avec toi les joueurs.
00:43:49Attention,
00:43:50tu ne vas pas
00:43:51te coucher devant eux.
00:43:53Mais si un entraîneur
00:43:54rentre,
00:43:56et j'ai connu ça,
00:43:57et dit
00:43:58lors de sa première,
00:44:00son premier contact
00:44:01avec son vestiaire
00:44:01en disant
00:44:02le patron,
00:44:03vous voyez le patron,
00:44:04c'est moi.
00:44:06C'est moi
00:44:07qui vais décider
00:44:07comment on va jouer.
00:44:08C'est moi
00:44:08qui vais décider
00:44:09comment on va faire.
00:44:10C'est moi
00:44:10qui vais décider.
00:44:11Ok,
00:44:12tout le monde va dire
00:44:13ouais,
00:44:15personnalité,
00:44:16grande personnalité.
00:44:17Ok,
00:44:19il va y avoir
00:44:19des problèmes,
00:44:20il va y avoir
00:44:20des problèmes
00:44:21parce que les choix
00:44:21sont les mêmes.
00:44:23Tout le monde
00:44:23ne va pas jouer.
00:44:24et là,
00:44:26quand il y aura
00:44:26un problème
00:44:26de turbulence,
00:44:28de turbulence
00:44:29qu'il faudra
00:44:29gagner un match,
00:44:32les joueurs,
00:44:33ils ne vont pas
00:44:33lui dire,
00:44:35mais ils vont
00:44:35le penser.
00:44:36Et ça,
00:44:36j'en suis sûr
00:44:37et certain de moi.
00:44:39Ils vont dire
00:44:39alors,
00:44:40qui c'est
00:44:40qui va décider
00:44:41aujourd'hui ?
00:44:42Qui va décider
00:44:43si tu restes
00:44:44ou pas ?
00:44:45Qui ?
00:44:46C'est nous.
00:44:46On t'apprécie ?
00:44:49Alors,
00:44:50on va faire
00:44:50le maximum.
00:44:51On t'apprécie
00:44:52moins ?
00:44:54On va voir.
00:44:56Est-ce que ça répond
00:44:57à la question
00:44:58qu'on s'est posée ?
00:44:58Le management
00:44:59d'un autre temps ?
00:45:00La position
00:45:00de l'entraîneur ?
00:45:00Non mais moi,
00:45:01je crois,
00:45:01c'est très intéressant
00:45:03et il était formidable.
00:45:04Là,
00:45:05je ne suis pas ironique
00:45:05du tout,
00:45:06c'était formidable
00:45:06ce document
00:45:07sur les entraîneurs
00:45:09à l'époque.
00:45:10Mais là,
00:45:10on ne parle pas
00:45:11d'un...
00:45:11Là,
00:45:12vous parlez
00:45:12d'un maître entraîneur.
00:45:14Ferguson,
00:45:14ça fait partie
00:45:15des 4-5 types
00:45:16dans l'histoire
00:45:17du foot
00:45:17sont des maîtres entraîneurs.
00:45:18Donc,
00:45:18eux,
00:45:19leur loi,
00:45:20c'est eux
00:45:20qui l'imposent.
00:45:23Personne ne lui a
00:45:24fait manger son chapeau.
00:45:25Parce qu'il était
00:45:26dans sa logique,
00:45:27il avait raison,
00:45:28il gagnait tout le temps.
00:45:29Il a passé sa vie
00:45:29à gagner.
00:45:30Stéphane,
00:45:31vous avez convaincu,
00:45:31c'était le côté
00:45:32père Castor,
00:45:32cette petite anecdote
00:45:33à la fin
00:45:33a convaincu l'ensemble,
00:45:34enfin en tout cas
00:45:35la majorité
00:45:35de nos téléspectateurs
00:45:37qui nous suivent.
00:45:38Dans quelques minutes,
00:45:38celui de l'équipe
00:45:39du soir,
00:45:39minuit info,
00:45:40elle est prête ?
00:45:40Enfin,
00:45:41elle est née prête.
00:45:45Quel boulard !
00:45:48Suite de l'équipe du soir,
00:45:55sur le plateau
00:45:56Stéphane Guy,
00:45:57Dominique Sévraque,
00:45:58Bernard Lyon,
00:45:58sur les viraux,
00:45:59et les présidents
00:45:59et Sébastien Taragou.
00:46:00Et pour les infos,
00:46:02c'est Virginie Saint-Cili,
00:46:03le minuit info commence,
00:46:04barrage ligue 1-2,
00:46:06Dunkerque,
00:46:06elle est mine ce soir,
00:46:07Guingamp.
00:46:08Oui,
00:46:08avec un stade
00:46:09Marseille-Tribut,
00:46:09en fait,
00:46:10forcément,
00:46:11puisque le rêve
00:46:12de monter en Ligue 1
00:46:13continue pour les Dunkerquois.
00:46:15Le compte de fait
00:46:15se poursuit,
00:46:16il n'y a pas eu de but
00:46:16en première période,
00:46:17c'est à la reprise
00:46:18qu'ils ont trouvé la faille
00:46:19dès le retour des vestiaires
00:46:20avec un centre repoussé
00:46:22vers Maxence Rivera
00:46:22qui tente une première fois,
00:46:24une deuxième fois,
00:46:25la troisième c'est la bonne.
00:46:26Le public peut exulter 1-0,
00:46:28c'est le score final.
00:46:29Direction le deuxième tour
00:46:30des barrages,
00:46:30ce sera ce samedi
00:46:31à Saint-Symphorien
00:46:32contre Metz.
00:46:33Amazon se positionne
00:46:34pour la future chaîne
00:46:35de Ligue 1.
00:46:35Alex Green,
00:46:36le patron des sports
00:46:37de Prem Vidéo
00:46:38a déclaré son intérêt
00:46:39pour le projet
00:46:40dans un entretien
00:46:41mené par Sacha Nocovitch.
00:46:42Il explique avoir discuté
00:46:43avec Nicolas de Taverneau
00:46:44et être toujours en contact
00:46:46régulier avec la Ligue.
00:46:47Nous pensons être
00:46:48un excellent partenaire
00:46:49pour ce projet.
00:46:50Nous pouvons grandement
00:46:51contribuer à sa large diffusion
00:46:52et à son succès.
00:46:53En trois saisons,
00:46:54nous avons développé
00:46:55une base d'abonnés
00:46:55très importante,
00:46:56largement au-dessus du million
00:46:58et nous avons réalisé
00:46:59un excellent travail
00:47:00de production
00:47:00autour de l'ensemble
00:47:02des rencontres.
00:47:03Les clubs,
00:47:03comme les supporters,
00:47:04ont apprécié notre travail.
00:47:05Nous possédons
00:47:06un système de distribution
00:47:07très important
00:47:08et très prospère
00:47:09avec un modèle bien établi
00:47:10basé sur le partage
00:47:11de revenus.
00:47:12C'est les anciens diviseurs
00:47:13qui ont échoué
00:47:14qui veulent être
00:47:15gratuits.
00:47:17Ils veulent bien diffuser.
00:47:17On se demande
00:47:18pourquoi ils ne sont pas restés.
00:47:19Ils étaient tellement heureux.
00:47:21Dans la même interview,
00:47:22il dit quand même
00:47:23que le modèle économique
00:47:24n'était pas viable.
00:47:25C'est-à-dire que
00:47:25tout ce qu'on a fait,
00:47:26c'est super.
00:47:27On avait un socle
00:47:28de 2 millions d'abonnés.
00:47:29C'était génial.
00:47:30La prodotte était super.
00:47:31Tout était super.
00:47:32Et puis au moment
00:47:33dans l'interview,
00:47:33il fait un petit pas de côté.
00:47:35il a mal maîtrisé ça.
00:47:36Comme il dit
00:47:37bon, le problème
00:47:37c'est que ce n'était pas rentable.
00:47:38Et pourtant,
00:47:38il ne payait que 250 millions.
00:47:41Ils n'ont jamais payé aussi peu.
00:47:42Personne n'a jamais payé
00:47:43aussi peu qu'eux.
00:47:44Pour autant.
00:47:45En Italie,
00:47:45c'était un soir de finale, Virginie.
00:47:47Oui, finale de la Coupe d'Italie
00:47:48entre l'AC Milan et Bologne.
00:47:50Match crucial
00:47:51pour les deux équipes
00:47:52pour une qualification
00:47:53en Ligue Europa
00:47:54puisque au niveau
00:47:55du classement
00:47:56dans le championnat,
00:47:57ce n'est pas le cas
00:47:59pour ces deux équipes.
00:48:00C'est le grand format
00:48:00commenté par Johan Rignan.
00:48:01Oh, super.
00:48:06Nous sommes à l'Olympico,
00:48:07à Rome.
00:48:08C'est un extraordinaire.
00:48:09Regardez ce show.
00:48:09La finale de la Coupe d'Italie
00:48:11entre le Milan,
00:48:12l'AC Milan et Bologne.
00:48:14Ça va être absolument extraordinaire.
00:48:16Est-ce que ça sera
00:48:16la sixième Coupe d'Italie
00:48:17pour le Milan
00:48:18ou la troisième pour Bologne ?
00:48:20Bologne attend cette Coupe d'Italie
00:48:21depuis maintenant 51 ans.
00:48:22La dernière fois,
00:48:23c'était en 1974.
00:48:25AC Milan contre Bologne.
00:48:27Extraordinaire finale
00:48:27de Coupe d'Italie.
00:48:28Poulicic pour Léao.
00:48:37On essaie de combiner
00:48:37pour le Milan
00:48:38qui veut marquer
00:48:38son territoire d'entrée.
00:48:39Léao encore.
00:48:40A droite.
00:48:41A gauche.
00:48:41C'est le casque
00:48:42que fait Léao.
00:48:42Le centre !
00:48:43Qui a l'occasion
00:48:44énormissime déjà
00:48:44avec Rimbéles.
00:48:46Piston à droite
00:48:47qui était dans la surface
00:48:48de réparation.
00:48:49C'est à Milan.
00:48:49Toute à l'offensive
00:48:50en ce début de match.
00:48:51On voit beaucoup l'erlandaise.
00:48:52On voit beaucoup Léao
00:48:52qui a fait souffrir
00:48:54mille morts en tout cas.
00:48:55Elle a coublié.
00:48:56La différence était faite
00:48:57du grabu sur la surface
00:48:58de réparation.
00:48:59On était tout près
00:48:59du 1-0.
00:49:12Le centre.
00:49:13La tête.
00:49:14Et Ménian décisif déjà.
00:49:15Mais quelle énorme occasion
00:49:16avec Ménian qui était là.
00:49:18Ce ballon
00:49:18qui a traversé
00:49:19toute la surface de réparation.
00:49:21Très bien ce qu'a fait Castro
00:49:22également dans cette surface
00:49:22de réparation.
00:49:23Et là Ménian.
00:49:23Mais quel sauvetage
00:49:24de Bac Ménian
00:49:24qui commence son festival.
00:49:26Ce coup de patte de Miranda
00:49:28Castro qui est là.
00:49:29Et Ménian absolument décisif.
00:49:31Et Fabian qui n'arrive pas
00:49:32à le mettre au fond.
00:49:33Quel coup de choix
00:49:34à l'Olympico.
00:49:34pour les situer
00:49:43en serrandaise.
00:49:46Le ballon qui est dégagé.
00:49:47Endoy encore.
00:49:48Avec Ribenes.
00:49:49C'est bien ce que fait Ribenes.
00:49:49qui a dit qu'on a sa base
00:49:50de réparation.
00:49:51L'arrêt.
00:49:52Double arrêt.
00:49:52Mais c'est trois arrêts.
00:49:53Quatre arrêts.
00:49:53Mais c'est fou.
00:49:54Quadruple occasion
00:49:55pour l'équipe de Milan.
00:49:56Mais qu'est-ce qu'il nous a fait
00:49:57le polonais Skorupski ?
00:49:59Des arrêts de dingue.
00:50:01Jovic était là également.
00:50:07Marco Divaio.
00:50:08Les gens d'absolu de Bologne
00:50:09évidemment.
00:50:10Gianni Ksiner.
00:50:13Le magicien du tennis.
00:50:15Invité par le Milan.
00:50:15Bologne qui m'a monté.
00:50:19Maintenant c'est Ferguson
00:50:21qui demande le ballon.
00:50:21C'est Freuler qui le reçoit.
00:50:23Miranda demande à gauche aussi.
00:50:24On passe par l'axe avec Fabian.
00:50:25Fabian en tente une-deux.
00:50:26L'occasion est une heure.
00:50:27Morcelini.
00:50:28Endoy.
00:50:28L'ouverture du score peut-être.
00:50:29Endoy qui a fouillé.
00:50:3353ème ville de le jeu.
00:50:35La pépite suisse.
00:50:36Il a fait des dégâts considérables
00:50:37en première mi-temps.
00:50:39Bologne.
00:50:3951 ans à l'attente pour Bologne.
00:50:41En tout cas ça fait un zéro loin.
00:50:43C'est très très loin d'être fini.
00:50:44Mais regardez le délit.
00:50:45Ici à l'Olympico.
00:50:47Plus de 30 000 supporters de Bologne
00:50:49qui sont là.
00:50:50Roberto Baggio lancé de Bologne.
00:50:51Cam de la Crutali sur la pelouse.
00:50:53Ce match est lancé.
00:50:54Cette finale est lancée.
00:50:56Délire absolu.
00:50:56Ici en tribunal Olympico.
00:50:58Délire total.
00:50:59Bologne mène 1-0.
00:51:01Bologne 1-0.
00:51:02Bologne.
00:51:0377ème milieu de jeu.
00:51:17Sur un fil.
00:51:18Sur un fil.
00:51:19Sur un fil.
00:51:19Ça se bat.
00:51:20Mais il y a en relancé la machine maintenant.
00:51:23On perd le ballon encore.
00:51:24Gabia.
00:51:25On n'y arrive pas.
00:51:25Kyle Walker qui est dépassé.
00:51:27Peut-être la touche qui est rapidement jouée dans sa phase de réparation avec Pomega.
00:51:29La frappe !
00:51:31A côté Endoy.
00:51:33Bologne qui mène toujours 1-0.
00:51:37Adriano Galliani.
00:51:39L'ancien patron avec Perlusconi.
00:51:41Ariadobraïda du très très grand Milan.
00:51:43Aujourd'hui patron de Monza.
00:51:45Ibrahimović.
00:51:46Il n'y croit pas.
00:51:50Haut de garde.
00:51:51On dégage.
00:51:53La ligne se la mène.
00:51:55On demande la fin du match.
00:51:56Évidemment côté Bologne.
00:51:57On est au-delà du traditionnel.
00:51:59Au-delà du traditionnel.
00:52:00Au-delà du traditionnel.
00:52:01Léao qui doit faire le rempli défensif parce que ça se barre sur le côté droit.
00:52:04Léao.
00:52:05Léao.
00:52:05Le ballon pour Maignan.
00:52:06Il faut remonter le terrain.
00:52:07C'est fini.
00:52:08C'est fini.
00:52:08C'est fini.
00:52:09Bologne.
00:52:12La sensation de la saison.
00:52:14La sensation de la saison.
00:52:16Bologne l'a fait.
00:52:17Bologne l'a fait.
00:52:181-0.
00:52:19La troisième coupe d'Italie de l'histoire de Bologne.
00:52:2270-74.
00:52:252025.
00:52:26Le triomphe de Vincenzo Italiano.
00:52:28Bologne jouera la Ligue Europa.
00:52:31La saison prochaine.
00:52:33Milan à terre.
00:52:39Avec De Silvestre.
00:52:40Les gens de ce club.
00:52:42Il n'est pas entré en jeu aujourd'hui.
00:52:44C'est lui qui va lever ce trophée.
00:52:46Avec Orsolini.
00:52:47Avec Sargusson.
00:52:48C'est fait.
00:53:04La victoire de Bologne en finale de la coupe d'Italie.
00:53:07Sur le plateau, quelqu'un des chroniqueurs qui est fan du Milan 1C.
00:53:10C'est vous qui êtes amoureux du Milan, Bernard.
00:53:12Vous avez une fascination pour ce club.
00:53:14Cette année, ça ne va pas du tout.
00:53:15C'est une sacrée claque.
00:53:17En plus, Bologne, c'est une équipe qui n'était pas très bien en ce moment.
00:53:20Il y avait l'enjeu sportif.
00:53:21Il y a aussi une question de prestige.
00:53:23De faire battre par Bologne en finale de la coupe d'Italie.
00:53:25L'année où ton grand adversaire historique, l'Inter, va disputer sa deuxième finale de Ligue des Champions en trois ans.
00:53:31C'est une grosse claque aussi, une grosse déception pour nos amis français.
00:53:36Les oreilles de Zlatan sifflent un peu ou pas ?
00:53:38Le directeur sportif ? Le conseiller du président ?
00:53:39Je ne suis pas dans le secret des lieux du Milan.
00:53:43Il est éreinté par les supporters cette année.
00:53:45Il a été un peu secoué.
00:53:46Oui, il a été un peu secoué.
00:53:48Mais là, ils sont dans un cycle qui est très négatif.
00:53:51Ils avaient construit avec Ivan Gazidis, qui est aujourd'hui le président de la Sainte-Étienne,
00:53:57un projet qui s'articulait à l'époque sous des anciens.
00:54:01avec Olivier Giroud et Zlatan Ibrahimovic.
00:54:05Ils avaient greffé autour, ce qui se fait pas trop en Italie,
00:54:08des jeunes pousses comme Léo qui est arrivé de Lille, Mac Ménian, etc.
00:54:11Ils avaient été finis deux ans ou trois ans après champion d'Italie.
00:54:15Et là, on voit que ce système est arrivé à bout.
00:54:17C'est vrai que quand tu vois la prestation du Milan ce soir,
00:54:21tu as ton petit cœur rouge et noir qui saigne.
00:54:24Parce que c'est affligeant.
00:54:25Tu peux perdre une finale, mais pas en jouant aussi mal et en montrant aussi peu.
00:54:29L'actualité du foot, la victoire du Real sur le buzzer.
00:54:34Mbappé a marqué, c'était ce soir, c'était contre Mallorque.
00:54:36Victoire sur le fil.
00:54:37Mallorque a ouvert le score d'abord à la 11ème minute.
00:54:40Sur un ballon mal intercepté par Sebaïos.
00:54:43Le défenseur Martin Valjean récupère et tente sa chance du gauche.
00:54:46Sans contrôler, c'est dedans.
00:54:48Kylian Mbappé en sauveur.
00:54:49Encore lui, surgit pour égaliser à la 68ème.
00:54:52Service de Modric pour le Français qui accélère avant de fermer son pied.
00:54:56C'est sa spéciale, victoire madrilène dans le temps additionnel.
00:55:01Grâce à un héros inattendu, un but de Jacobo Ramon marqué à la 95ème.
00:55:07Le sacre du Barça est retardé à la toute dernière seconde.
00:55:1040ème but pour Kylian Mbappé.
00:55:12Hier, on a fait un débat sur sa première saison.
00:55:15Elle a réussi, on s'est un petit peu fruité tout ça.
00:55:17Il y avait à la fois ses statistiques personnelles.
00:55:20Et puis, finalement, le zéro pointé dans les titres majeurs du Real Madrid,
00:55:25la Ligue des Champions, la Ligue 1 et la Coupe du Roi.
00:55:27Et surtout les défaites cinglantes contre le Barça.
00:55:29Pensez quoi ?
00:55:30C'est réussi pour une première saison ou pas ?
00:55:32Ah non !
00:55:32Non, pas possible.
00:55:34C'est impossible d'avoir réussi une saison.
00:55:34On peut réussir des stats personnelles, mais finalement, ça emporte tout.
00:55:38C'est un moindre mal.
00:55:39Vous arrivez au Real Madrid qui vient de tout gagner.
00:55:41et vous arrivez et la saison se passe mal.
00:55:44Non, ça ne peut pas être une réussite, évidemment.
00:55:47Après, sur le plan personnel, il n'y a pas beaucoup de choses à se reprocher, bien sûr.
00:55:51Mais c'est un échec, forcément.
00:55:52Je trouve que c'est la saison meilleure dans le jeu.
00:55:53Un échec, c'est dur.
00:55:54Non, non.
00:55:55C'est une saison meilleure que ce que j'ai vu à venir à Paris, quand même.
00:55:58Ce n'est pas un échec.
00:55:59Ce n'est pas du tout un échec.
00:56:00Si tu ne gagnes rien, c'est un échec.
00:56:02Alors après, encore une fois, on y revient toujours sur
00:56:04mais tu ne gagnes pas à cause de Kylian Mbappé.
00:56:08Alors, bien sûr, on peut revenir sur les discussions.
00:56:10Non, mais ce n'est pas lui qui le fait tout perdre.
00:56:12Ah, ben non.
00:56:13Alors, c'est pour ça que ce n'est pas un échec.
00:56:18Parce que lui, il remplit, pour moi, il remplit son...
00:56:23Ça part de contrat.
00:56:24Ça part de contrat.
00:56:25Il finit, puis Chichi, le meilleur buteur.
00:56:28Il en a marqué du pied gauche, de la tête, du pied droit.
00:56:31Il a fait des trucs.
00:56:32Alors, bien sûr, sa saison n'a pas été parfaite.
00:56:34Maintenant, ce qu'il faut regarder, c'est surtout la qualité technique collective du Real.
00:56:39Ça, on en a parlé avec Xavier, nous autres.
00:56:41Pour résumer ça.
00:56:42Non, non, mais j'ai parlé un peu de ça.
00:56:43Non, mais j'entends bien.
00:56:44Non, mais je veux dire, elle a été absolument catastrophique.
00:56:47Ça, ce n'est pas Mbappé.
00:56:48Selon moi, sa saison, à titre personnel, est réussie.
00:56:51Et la saison du Real est ratée.
00:56:52C'est ça.
00:56:53Ce qui n'est pas exactement la même chose.
00:56:55C'est sûr qu'il finit une saison sans trophée.
00:56:57Mais je veux dire, il aurait fait une saison à 10-15 buts.
00:57:01Il faut quand même se rappeler ce qu'a été sa saison.
00:57:04Son début de saison.
00:57:04Sa saison, oui, mais là, on est au mois de mai, on résume sa saison.
00:57:08Non, il faut dérouler et voir ce qui se passait quand il était hors forme,
00:57:14qu'il n'était pas bien, quand on se disait qu'il n'arrive pas à s'éclimater,
00:57:17son escapade dans les pays nordiques, etc.
00:57:19Et au final, il fait une saison qui, en termes de personnel, en termes de statistiques,
00:57:24c'est ce qu'on demande quand même aux attaquants de marquer,
00:57:25elle est supérieure à celle de Cristiano Ronaldo quand il est arrivé au Real.
00:57:36En plus de matchs.
00:57:36On peut comparer.
00:57:38En plus de matchs.
00:57:38Non, mais d'accord, il a été nul.
00:57:40Mais pas du tout.
00:57:41Je passe pour son premier défenseur.
00:57:43J'ai essayé d'être objectif.
00:57:45Non, mais sans aller jusqu'à la même totale, en moins de match, c'est tout, c'est défait.
00:57:50Non, mais lui, tu lui demandes là s'il est contre.
00:57:53La prochaine fois.
00:57:56Non, non, non, pardon, c'est vrai.
00:57:57Maintenant, il faut y aller, Stéphane.
00:57:58Allez-y.
00:57:59Non, mais je veux dire, si tu demandes à Kylian Mbappé s'il est satisfait de sa saison,
00:58:02il va te dire non.
00:58:03Non, mais c'est notre débat.
00:58:03Voilà, c'est un honnête homme, il va dire non.
00:58:05Parce qu'il ne peut pas se satisfaire d'avoir mis 40 buts et de rien gagner.
00:58:09Ça ne fait pas que sa saison à titre personnel, ça soit un échelle.
00:58:11Non, non, ok.
00:58:13Moi, je n'ai pas dit que c'était un échelle.
00:58:14Bernard, il mettra 40 buts par saison toute sa vie.
00:58:19S'il n'est pas blessé, il mettra des buts toute sa vie.
00:58:23Le PSG, il a mis des buts toute sa vie.
00:58:26Sébastien, pendant une bonne partie de la saison, au début de la saison, on était en train de se demander s'il allait pouvoir reverdir.
00:58:35Est-ce qu'aujourd'hui, après cette saison-là, vous dites, c'est bon, le mec, il est réactivé, il est enclenché.
00:58:41Mais très vite, il avait retrouvé ses jambes.
00:58:45Fin du mois de décembre ?
00:58:46Non, avant. Il avait déjà retrouvé ses jambes.
00:58:49Le match déclic, c'est la Talenta avec le Real en Ligue des Champions fin décembre.
00:58:53Non, mais avant, Stéphane, il était déjà en jambes, physiquement.
00:58:57Ce n'était plus le même joueur, déjà.
00:58:58Ça se voyait, franchement.
00:58:59Quand ?
00:59:00Non, très vite.
00:59:01Oui, très vite.
00:59:02Il y a un match après l'escapade en Suède.
00:59:05Je ne le rappelle plus le match.
00:59:06Physique.
00:59:07Il est catastrophique.
00:59:07Il ne peut pas être bon tout le temps.
00:59:09Non, non, non.
00:59:09Après la Suède, forcément.
00:59:11Mais il était déjà physiquement en forme.
00:59:13Il allait vite.
00:59:14Ce n'était pas le joueur qu'on avait vu à l'Euro, qui ne faisait plus de différence.
00:59:18Moi, très, très vite, j'étais rassuré par son état physique.
00:59:21Ça n'a rien à voir avec sa saison dernière à Paris, qui a sa plus mauvaise depuis qu'il est professionnel.
00:59:26Il a quand même 44 buts.
00:59:27Donc, ça rejoint ce que disait Sébastien.
00:59:28Il mettra toujours des buts, puisque même quand il est mauvais, il en est 44.
00:59:31Mais il est beaucoup plus connecté cette saison.
00:59:34Alors, ce qui ne va pas par rapport à ce que tu dis, Bama, pour moi, c'est qu'on l'attend aussi dans les grands matchs.
00:59:39Les matchs à bascule.
00:59:40Là, au Classico, il met un doublé.
00:59:41Pour moi, il est présent.
00:59:42Il fait un triplé.
00:59:44Voilà, mais dénigre-le, continue à le dénigre-le.
00:59:46L'histoire montre qu'il a marqué le tranguil.
00:59:49Mais M. Sébastien, qui est un ami de deux, on ne peut pas discuter.
00:59:52Il est réussi dans un exercice collectif raté.
00:59:55Il y a des matchs à Liverpool, les matchs contre l'Atlético de Madrid dans l'île des champions,
00:59:59les matchs contre Arsenal, en quart de finale de l'île des champions.
01:00:01Là, il est transparent et ça, c'est un problème.
01:00:04Quand tu n'es pas impactant dans les grands matchs, il y a un souci.
01:00:06Ce soir, Mbappé…
01:00:09Dans les grands matchs, il est plutôt impactant, Mbappé.
01:00:12Je ne pense pas.
01:00:13Alors, moi, je ne suis pas d'accord avec vous.
01:00:14Je trouve que…
01:00:15Ah ben non, je trouve qu'avec le PSG, par exemple, dans les grands matchs,
01:00:19excusez-moi les gars, je ne l'ai pas trouvé impactant dans les grands…
01:00:23C'est quand même Mbappé à son âge.
01:00:26Aucun joueur n'avait marqué plus de buts dans les matchs à élimination directe
01:00:30de l'île des champions que lui.
01:00:31Mais j'entends bien.
01:00:32Mais d'accord.
01:00:33Après, il faut qu'on prenne quelques critères objectifs quand même.
01:00:35Non, mais…
01:00:36Non, il y a des moments…
01:00:39Est-ce que le Classico de mercredi, de samedi dernier, c'est un grand match ?
01:00:42De dimanche, c'est un grand match quand même.
01:00:44Mais je n'ai pas dit le contraire.
01:00:46Il avait déjà fait le triplé au New Camp avec le PSG.
01:00:48Je t'ai parlé, oui, mais je trouve que dans les moments…
01:00:53Moi, ce que j'appelle un grand match, c'est les matchs décisifs.
01:00:57C'est les matchs où tu es comme certains, ou Ronaldo, ou Messi, et d'autres plus anciens
01:01:04comme Zidane, ils sont là.
01:01:06Et le jour-là, c'est son…
01:01:07Il en a fait 10 des matchs comme ça ?
01:01:08Non, non, non, je ne suis pas d'accord avec toi.
01:01:10Parce qu'ils ne sont pas arrivés au bout.
01:01:12Mais non, non, tu n'es pas au bout.
01:01:14Donc en quart de finale, ça ne compte pas ?
01:01:16Quand il met un doublé à Munich, contre le Bayern…
01:01:18Mais tu n'es pas au bout !
01:01:19Ronaldo, il n'a pas mis un but en finale de Coupe du Monde, ce que je sache.
01:01:22Je ne dis pas le contraire, mais quand même.
01:01:25Il a emmené son équipe jusque là-bas.
01:01:26On a des débats parfois un peu sur elle.
01:01:28Donc Michel, il a pris le Coupe du Monde.
01:01:30Attention, vous.
01:01:31Donc ce n'est pas un bon moment.
01:01:31Taisez-vous, vous.
01:01:32Mais Michel, il n'est pas allé au bout.
01:01:33Là, je vous interdis de parler, je ne vous aime, mais arrêtez.
01:01:37C'est un demi-finale au Mexique en 86, c'était moyen.
01:01:39Michel, c'est plus Robert.
01:01:41Mbappé a marqué ce soir et Robert Lewandowski pourrait faire son retour avec le Barça demain.
01:01:47Antiflick assure que le Polonais est prêt à jouer face à l'Espagnol-Barcelone.
01:01:51Lui qui n'a plus foulé la pelouse depuis trois matchs en championnat.
01:01:54Il y a de l'enjeu pour l'attaquant.
01:01:56Il est toujours en lice pour le titre de Pichichi que vous avez évoqué.
01:01:59Le trophée donné au meilleur buteur de Liga.
01:02:02Et puis les Blaugrana peuvent décrocher un 28e titre en quatre victoires.
01:02:06Donc c'est pas mal d'y être.
01:02:08C'est la course aussi.
01:02:08Le Pichichi, continuez avec vos histoires.
01:02:12Le meilleur joueur, il s'appelle Lamini Amal et c'est quand même ça le plus important.
01:02:15Parce qu'on a quand même eu cette année la chance d'assister à la consécration à 17 ans d'un joueur d'exception.
01:02:25Il était déjà fort avant, mais cette saison, c'est de la magie absolue.
01:02:29Et il marque moins de buts que tous les joueurs dont vous parlez.
01:02:32Sébastien Tarrago et Fabien Capello, même combat.
01:02:35Fabien Capello qui a donné ses pronostics pour le Ballon d'Or.
01:02:38Il a donné son top 3, très exactement, l'ancien entraîneur du Real sur une émission espagnole.
01:02:42Aucune hésitation pour lui concernant le vainqueur.
01:02:46Regardez.
01:02:46Je voterai pour Lamini Amal pour le Ballon d'Or.
01:02:52Mes votes seraient Vinicius, Mbappé et en premier lieu, Lamini Amal.
01:02:56Fabien Capello est fatigué, non ?
01:03:01Il est juste...
01:03:02Yamal joue bien.
01:03:03Il s'est parlé du Ballon d'Or, donc ce n'est pas sa saison.
01:03:05Les bookmakers donnent Dembélé favori devant Yamal et Rafinha.
01:03:09Il y a un air code du Ballon d'Or qui passionne Stéphane Guy qui me regarde.
01:03:11Je suis fasciné parce qu'effectivement, et je ne pense pas que ce soit lié au fait
01:03:17qu'on est dans la chaîne du groupe qui organise le Ballon d'Or.
01:03:20Ah bah oui !
01:03:20On en parle en Espagne un peu.
01:03:22C'est-à-dire que ça nourrit quand même.
01:03:24Le débat, là, on est en mai.
01:03:26Le Ballon d'Or, il sera décerné en novembre.
01:03:28Enfin, ça se joue maintenant, là.
01:03:31Ça se joue le 31.
01:03:31Ah, je joue le 31.
01:03:32Il n'y a pas la Coupe du Monde des Clubs qui va déterminer la Coupe du Monde des Clubs.
01:03:34Ah, alors là ?
01:03:35Enfin, tout à fait, mais presque, oui.
01:03:37Là, la Coupe du Monde des Clubs, on aura des débats, forcément,
01:03:40parce qu'on sera peut-être là pendant la Coupe du Monde des Clubs.
01:03:42Tu connais l'avenir, toi ?
01:03:43Moi, je me marre parce que c'est un peu comme les Jeux Olympiques en France.
01:03:47Personne n'y a...
01:03:48Et puis, maintenant, c'était une réussite extraordinaire.
01:03:50La Coupe du Monde des Clubs, on est tous en train de la dénigrer ou de la regarder.
01:03:53Mais je pense qu'on va peut-être se prendre de passion au mois de juillet
01:03:56quand on va s'emmerder sur la Coupe du Monde des Clubs.
01:03:58Et là, s'il réel va au bout avec Karim Mappé ?
01:04:01Voilà, et puis si on a Yamal, non, mais Yamal, il ne sera pas, malheureusement.
01:04:05Au Pays-Bas, Virginie a but qui coûte très cher à l'Ajax ce soir.
01:04:08C'était l'avant-dernière journée du championnat hollandais.
01:04:11L'Ajax, leader, avait l'occasion de prendre le titre en cas de victoire face à Groening,
01:04:16puisqu'avant le coup d'envoi, les hommes de Francesco Farioli
01:04:19avaient un point d'avance sur leur dauphin, le PSV Eindhoven.
01:04:22L'affaire semblait réglée puisqu'ils menaient 2-1 dans le temps additionnel,
01:04:25sauf qu'ils encaissent ce but à la 99e, score finale 2 partout.
01:04:30Et en face, le PSV de Peter Bosch a gagné son match, récupère donc la première place.
01:04:35Potentiellement le titre, même ce dimanche, en cas de victoire face au Sparta-Rotterdam.
01:04:40J'ai une petite vidéo à vous montrer, connexion tablette.
01:04:42Regardez, c'est la réaction des fans du PSV lorsqu'ils entendent qu'il y a eu ce but,
01:04:48lorsqu'ils apprennent ce but à la 99e.
01:04:51Attention.
01:04:58C'est génial.
01:04:59Pour le titre au Pays-Bas et au Portugal, c'est incroyable.
01:05:11Portugal aussi ?
01:05:12Ah ben oui, il y avait le match entre le Sporting et le Benfica et ça pouvait décider du vainqueur.
01:05:16Finalement, il y a eu match nul.
01:05:17Les deux équipes sont en qualité, il reste une journée.
01:05:20Là, pareil, ce soir, c'était un Mano à Mano, on peut être champion,
01:05:23puis finalement, il ne peut pas être champion, puis ça risque d'être le PSV, c'est incroyable.
01:05:27L'Ajac, ils jouaient à domicile dimanche, ils ont perdus.
01:05:30En trois jours, ils avaient deux balles de match qu'ils ont grillées.
01:05:35Incroyable.
01:05:36Même la mascotte du PSV s'y met.
01:05:37C'est génial.
01:05:41Tennis, on a le rhum, Alcaraz-Muzetti, on connaît la première divise finale de ce Masters 1000.
01:05:45Carlos Alcaraz a dominé Jacques Trapper.
01:05:47Pour se qualifier, la force de frappe du Britannique l'a déstabilisé,
01:05:50mais n'a pas réussi à le faire tomber.
01:05:52Il était mené 4-2 en première manche avant de réagir et d'aller la chercher.
01:05:55Trapper avait la balle de 5-3 dans le deuxième set,
01:05:58mais là encore, Alcaraz a musclé son jeu, il l'emporte 6-4-6-4.
01:06:02Il jouera sa place en finale contre Muzetti, lui aussi est passé.
01:06:05Il a battu Sacha Sverev en night session, c'était le dernier match du jour,
01:06:09et l'Italien s'impose à domicile en deux manches serrées, 7-6-6-4.
01:06:13Chez les filles, Coco Goff reste invaincue depuis sa finale à Madrid.
01:06:17Elle décroche son ticket pour le Final Four en faisant tomber la russe Mira Andréva.
01:06:21Victoire de l'Américaine, 6-4-7-6.
01:06:24L'autre demi-final opposera l'Italienne Jasmine Paolini à l'Américaine Peyton Steers.
01:06:29Déjà un forfait français à Roland-Garros.
01:06:32Point d'interrogation.
01:06:33Point d'interrogation, puisque Hugo Embert renonce au tournoi d'Ambourg après son abandon au deuxième tour à Rome.
01:06:39Tournoi d'Ambourg qui a lieu la semaine juste avant le grand chelème parisien.
01:06:42Il souffre de la main droite depuis le début du mois d'avril, après une chute dans sa chambre d'hôtel.
01:06:48Trop compliqué de jouer des matchs de haut niveau en n'étant pas à 100%.
01:06:52C'est ce qu'il déclarait récemment.
01:06:53Son équipe met tout en place pour qu'il puisse être à Roland,
01:06:56où il n'a franchi le premier tour qu'une seule fois.
01:06:58C'était en 2023.
01:07:03Il y aura un match 3 pour la finale du championne de la France de basket féminin,
01:07:06donc entre Basketland, c'est-à-dire Mont-Marsan, et Tarba.
01:07:09Oui, Tarba a gagné le match 1 et Basketland a pris sa revanche ce soir.
01:07:14Victoire sur le match 2 devant ses supporters.
01:07:17Zerla en range et prise.
01:07:18Victoire 51 à 44 grâce notamment à Lillard Laguerre, meilleure scoreuse de l'équipe avec 11 points.
01:07:26La belle aura lieu ce vendredi sur la chaîne L'Équipe dès 20h45.
01:07:29Matt Spedersen plus que jamais leader sur le Giro.
01:07:32Oui, parce que le maillot rose remporte la cinquième étape au sprint.
01:07:35C'est sa troisième victoire sur ce tour d'Italie.
01:07:38Et ça s'est joué à un poil de brosse à l'arrivée, à peine quelques centimètres.
01:07:43C'est par le Danois de Lidl Trek d'Edouardo Zambanini.
01:07:46Thomas Pitcock complète le podium.
01:07:48Immense succès grappillé au bout de l'effort et qui lui permet de consolider sa première place au général
01:07:54avec 17 secondes d'avance sur Primoz Roglic.
01:07:56Un poil de brosse.
01:07:57Un poil de brosse, oui, c'est une expression polie.
01:08:01Oui, je l'ai dit sous-entend.
01:08:02Ah, le poil de cul alors, d'accord.
01:08:04Je n'ai pas voulu le dire, mais ça y est, il l'a dit.
01:08:07Un poil de brosse.
01:08:09Le tour de France, le tour de France à présent, va s'inspirer des Giro de Paris.
01:08:15La suite vous est dévoilée par Virginie.
01:08:17Alors, est-ce que vous vous souvenez des scènes de l'IS l'été dernier autour des coureurs
01:08:20qui grimpaient les rues de Montmartre ?
01:08:22Eh bien, on va sans doute les revivre avec encore de belles images
01:08:25puisque les organisateurs de la Grande Boucle ont annoncé ce mercredi
01:08:28que le parcours de la dernière étape passera au pied du Sacré-Cœur.
01:08:32Parcours spécial pour célébrer le 50e anniversaire de la toute première arrivée du tour
01:08:37sur l'avenue des Champs-Elysées.
01:08:39Patience pour les détails.
01:08:41Ils seront dévoilés intégralement le 21 mai en conférence de presse.
01:08:44Alors, je ne sais pas, est-ce que vous aimez les arrivées sur les Champs-Elysées ?
01:08:48Est-ce que finalement, c'est devenu un peu rituel ?
01:08:50Est-ce que cette dernière étape avait besoin d'être réveillée ?
01:08:52Est-ce que le fait d'escalader, la butte de Montmartre ?
01:08:55Je trouve, parce que généralement, c'était la fête des familles, la fête des enfants,
01:08:58à part pour le vainqueur sur les champs, mais c'est presque une étape pour rien.
01:09:02Et là, il y a la magie, ne serait-ce que pour le décor.
01:09:07Entretenir la magie des JO, c'est magnifique.
01:09:09C'est une façon de le faire.
01:09:12Les sprinteurs ont-ils le droit d'exister sur les grands tours ?
01:09:15Parce qu'en général, cette étape comme ça était réservée pour les grands sprinteurs.
01:09:19Et souvent, sur les tours, les programmes changent, les profils changent.
01:09:22Et il n'y a plus beaucoup de...
01:09:23Mais l'arrivée ne sera pas de Marthe, non ?
01:09:24Non, l'arrivée ne sera pas de Marthe, mais avec Montmartre,
01:09:27il y a l'occasion peut-être de faire un éclat, de prendre un peu d'avance
01:09:30et de s'échapper pour qu'il y ait la victoire sur les champs, vous voyez ?
01:09:33Oui, peut-être.
01:09:33Non ?
01:09:34Non, je...
01:09:35Il faudra voir le parcours quand même, parce que ça dépend de combien de kilomètres
01:09:38il restera derrière, si ils font des...
01:09:39Je pense que sur la...
01:09:40Si ils font cinq tours des Champs-Élysées, après avoir monté Montmartre...
01:09:42Non, mais ça va être ça, à mon avis.
01:09:45Il y aura le côté paysage magnifique de Montmartre,
01:09:48et après il y aura l'explication sur les champs.
01:09:51Ok, donc vous voulez le changement, mais sans rien changer.
01:09:54C'est pas nous qui décidons.
01:09:57Si vous voulez qu'on décide...
01:09:57On va pas nous gronder en plus.
01:09:59C'est vous qui décidez.
01:10:00C'est l'équipe du soir qui ont...
01:10:01Très bien.
01:10:02Dans ce cas-là, on existe.
01:10:03C'est le président Macron qui a annoncé quand même hier...
01:10:06Dans son interview hier, il a annoncé que le tour de France passerait...
01:10:09C'est une petite tracée ?
01:10:10Il a quand même annoncé ça en exclusivité hier.
01:10:12Non, non, c'est pas ça qui sert, mais la préfecture n'était pas forcément favorable,
01:10:18parce qu'en fait, il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup d'intendance à mettre.
01:10:21On se dépasse à l'intérieur de Paris.
01:10:22Et c'est donc le président Macron qui a poussé pour cette...
01:10:25Qui a tranché ?
01:10:25Voilà, qui a tranché, qui a poussé.
01:10:27Qui a fait un lobbying forcé pour que cette dernière étape passe par la but de Montmartre.
01:10:31Il a du poids pour ça, donc.
01:10:33Adieu Jonathan David.
01:10:34Merci Virginie.
01:10:35Et adieu Virginie.
01:10:37Attends, adieu.
01:10:37Non.
01:10:38Je reste.
01:10:39Ah bon ?
01:10:40Adieu Jonathan David.
01:10:42Jonathan David annonce qu'il quittera Lille la saison prochaine.
01:10:44Il annonce peut-être sur ses réseaux sociaux.
01:10:46Est-ce qu'on a un extrait en région ?
01:10:48Un petit extrait, Jonathan David.
01:10:49Il me dit adieu.
01:10:50Allez, on y va.
01:10:51Je voulais vous annoncer moi-même qu'après tant d'années au club,
01:10:54il est temps pour moi de vous dire au revoir.
01:10:57J'ai passé cinq magnifiques saisons ici.
01:11:00Je sais que ça n'a pas toujours été facile.
01:11:03Merci beaucoup pour tout ce que vous avez amené,
01:11:05et moi personnellement, pendant toutes ces années.
01:11:07Le joueur part libre.
01:11:10Eh oui, et les grandes clubs se rendent sa lumière.
01:11:11Le prix t'a acheté bien cher.
01:11:12Oui.
01:11:13En Angleterre, Arsenal, Chelsea et Newcastle.
01:11:15Ce sont éventuellement intéressés.
01:11:16On sait vrai, il y a l'Inter, la Juve et Naples.
01:11:18Jonathan David, peut-il s'imposer dans un top club ?
01:11:22Vous étiez indécis Bernard ?
01:11:24Et puis finalement, vous dites ouais.
01:11:25J'étais indécis parce que c'est sur la question qu'on s'est posée sur cet attaquant
01:11:29qui marque quand même, parce qu'Ali, il a fait des saisons à chaque fois plus de 20 buts,
01:11:33donc c'est bien, mais qu'il avait beaucoup d'absence dans des matchs,
01:11:36il était capable de rater aussi beaucoup de choses.
01:11:38Et puis après, en marchant, j'y réfléchis, je me suis dit quand même,
01:11:42sur cette saison, tu vois ce qu'il a fait en Ligue des Champions,
01:11:45il fait 14 matchs, 9 buts, 4 passes décisives,
01:11:47et il a marqué, on parlait tout à l'heure d'être décisive dans les grands matchs,
01:11:51il a marqué dans les grands matchs, il a marqué contre le Real,
01:11:53l'Atletico de Madrid, Aliverpool, Dortmund.
01:11:57Je veux dire, donc c'est pas rien.
01:11:58Je me dis oui, c'est quelqu'un qui a progressé.
01:12:02Après, quand tu dis dans des...
01:12:03Mais ça ne vous semblait pas si évident que ça ?
01:12:05En général, on dit tout de suite, paf, dans un club, ouais, il n'a pas le niveau.
01:12:09Pas qu'à moi, tout le monde.
01:12:10Ouais, mais je trouve que cette année, il a franchi un palier.
01:12:12C'est quand même...
01:12:14Sur la Ligue des Champions, tu es dans une équipe comme Lid,
01:12:16où tu arrives à sortir déjà des qualifications,
01:12:19tu arrives à sortir de la phase de Ligue,
01:12:21et tu es régulier, et tu marques autant,
01:12:23et contre de gros adversaires, ça prouve quand même que...
01:12:26On ne dit pas que c'est Harry Kane, ou Lewandowski, ou Mbappé,
01:12:28mais il y a quand même...
01:12:29On parle de grands clubs, de grands clubs.
01:12:31Déjà, il n'est pas compatible pour tous les grands clubs.
01:12:34Arsenal, dans la liste, je ne vois pas comment Arteta l'utiliserait.
01:12:37Je pense que ce n'est pas du tout le jeu de Arteta.
01:12:39Moi, quand je vois le Arsenal qui a joué Paris,
01:12:41celui-ci, ils auraient eu le numéro 9, c'est l'Europe, c'est du bien quand même.
01:12:43Mais son numéro 9, c'est Kaya Vert.
01:12:44Oui, mais je ne le vois pas du tout compatible avec le jeu pratiqué par Arsenal.
01:12:52En revanche, à Naples, si c'est Comte qui reste,
01:12:54s'il veut faire souffler un peu Lukaku,
01:12:57pour moi, c'est possible.
01:12:58Donc, ça dépend quel grand club.
01:12:59La Juventus avec Tudor, ça ne marchera pas.
01:13:01Dans son histoire, David, il a souvent voulu quitter l'OSC,
01:13:04ça fait 5 ans.
01:13:05Chaque été, on attend la petite musique.
01:13:07Jonathan David, il va partir cet été.
01:13:09Et finalement, les grands clubs...
01:13:11S'il est libre, il va y avoir des tonnes de propositions.
01:13:16C'est comme l'a dit Bernard.
01:13:17C'est un début incroyable contre des grands clubs.
01:13:20Là, sa cote est le maximum.
01:13:22Mais ça dépend de ce que vous attendez.
01:13:23Si vous attendez à avoir le nouveau Haritien, ce n'est pas lui.
01:13:25C'est vrai ce que tu dis.
01:13:27Parce que je me souviens, il y a quelques années,
01:13:28j'étais allé à la Gantoise, puisqu'il vient de la Gantoise,
01:13:30pour un match de Ligue Europe 1 contre Saint-Etienne.
01:13:33Et j'avais croisé beaucoup de scouts, d'observateurs,
01:13:37notamment en français, je me souviens celui de Lyon.
01:13:40Et en fait, tout le monde me disait,
01:13:40tu vas voir le petit Canadien, tu vas voir demain.
01:13:43C'est un joueur incroyable.
01:13:44Toute l'Europe le veut.
01:13:46Et c'est vrai que je l'avais vu jouer.
01:13:47Ce soir-là, il ne m'avait pas mis par terre.
01:13:50Mais j'avais suivi,
01:13:52et j'avais été un peu surpris qu'il vienne à Lille.
01:13:54Mais Lille l'avait payé très très cher.
01:13:56C'était 37 millions d'euros de mémoire.
01:13:58C'était le remplaçant d'Ozymen ?
01:14:00Oui, mais 37 millions d'euros.
01:14:02Oui, mais ils avaient...
01:14:03Mais c'est énorme.
01:14:03Même si Ozymen, on ne sait pas où trouver le passé d'argent.
01:14:05Aujourd'hui, c'était un énorme investissement.
01:14:07Et il est venu à Lille.
01:14:08C'est Lille qui a arraché le morceau.
01:14:10Et il est resté 5 ans.
01:14:11Moi, je trouve que c'est un joueur sous-coté.
01:14:13Et quand vous faites ton éloge, vous avez...
01:14:1527, mais c'est beaucoup, pardon.
01:14:1627 millions Lille.
01:14:17Oui, mais il y avait des bonus.
01:14:18Oui.
01:14:19Et 5 de bonus.
01:14:2032.
01:14:21Là, vous en dites du bien.
01:14:23Et Dominique, et toi, Bernard.
01:14:24Et puis, il y a toujours un petit mais.
01:14:25Oui, c'est un petit plus.
01:14:27Et moi, je n'ai pas de mais.
01:14:28Moi, je trouve que c'est un joueur sous-coté.
01:14:29Et je suis très curieux de voir où il va rebondir.
01:14:32Moi, je pense qu'il peut jouer dans un top club.
01:14:35Et qu'il montre des qualités.
01:14:37D'ailleurs, la saison de...
01:14:40La saison de Lille,
01:14:44elle est totalement dépendante de la forme de David.
01:14:47C'est-à-dire que tant qu'il a été bon,
01:14:48ils ont été là.
01:14:48Et puis, quand il a commencé à piquer du nez
01:14:50ou est-ce qu'il avait déjà l'esprit un peu ailleurs,
01:14:51ils ont...
01:14:52Mais c'est ça.
01:14:52Mais comment t'expliques que jamais un club
01:14:55ne soit venu le chercher ?
01:14:57Je le compare un peu.
01:15:00Mais c'est pas tout à fait le même type de joueur.
01:15:01Mais un peu comme Giroud.
01:15:03C'est-à-dire que c'est toujours des joueurs
01:15:03oui, mais, oui, mais.
01:15:05Puis finalement...
01:15:06Mais Giroud, tout le monde est venu le chercher.
01:15:08À Barcelona.
01:15:09Il y a joué à Chelsea.
01:15:12Il y a joué à Milan.
01:15:13Son problème, pour moi, à David,
01:15:17c'est son manque de régularité.
01:15:19Il n'est absolument pas régulier sur tout le juge.
01:15:22Il a des trous noirs, mais c'est hallucinant.
01:15:25Et notamment, ce qui est assez surprenant,
01:15:28c'est lorsqu'il va en sélection.
01:15:30Quand il revient de sélection,
01:15:32il y a toujours une période de 15 jours, 3 semaines,
01:15:35où tu ne le vois absolument plus.
01:15:37Il ne fait plus partie du jeu.
01:15:38Donc ça, ça interroge aussi.
01:15:39Après, il a 25 ans.
01:15:40Il a encore le temps de...
01:15:41Oui, non mais d'accord, ça interroge.
01:15:43Mais après, tu ne dis pas au Barça.
01:15:49Tu crois que Rafinha, quand il est parti de Rennes,
01:15:51tu pensais qu'on aurait le Rafinha qu'on a vu cette saison ?
01:15:53Certainement.
01:15:54Eh bien, on est bien d'accord.
01:15:55Il n'est pas parti au Barça.
01:15:56Pardon ?
01:15:57Rafinha, quand il est parti de Rennes,
01:15:59il est parti à Leeds.
01:15:59Oui, d'accord, mais après...
01:16:01Le Rafinha qu'on a vu à Rennes...
01:16:03Moi, c'est pour ça que je dis 25 ans, David,
01:16:05je pense qu'on n'a pas encore vu le meilleur de David.
01:16:07Certainement.
01:16:07Mais je pense que ça, c'est très important.
01:16:09S'il va à Arsenal ou s'il va à l'Ordre,
01:16:10ça n'a rien à voir.
01:16:11L'actualité du Mercato a déjà commencé ce soir
01:16:14dans l'équipe du Soir.
01:16:15Le Mercato, officiellement, on vous supporte le 1er juin.
01:16:18Mais ce soir, on a quelques indiscrétions à vous communiquer.
01:16:20Eric Daier, signe à Monaco.
01:16:22Oui, l'annonce a été faite ce soir par le club.
01:16:26C'était lors d'une soirée réservée aux abonnés.
01:16:27Ils étaient 500 privilégiés.
01:16:29C'est le directeur sportif Scouraud.
01:16:31Il y avait Scouraud qui l'a annoncé.
01:16:32L'ex-défenseur du Bayern de 31 ans.
01:16:35Signe jusqu'en 2028.
01:16:36C'est une bonne recrue.
01:16:37Enfin, un défenseur à Monaco.
01:16:39Il y avait besoin de cette correction.
01:16:41Super cool.
01:16:41Pour moi, super cool.
01:16:42Libre.
01:16:43Il a l'expérience.
01:16:45Il peut jouer à plusieurs postes.
01:16:46Dans un milieu où ils sont sinistrés.
01:16:49Dans un domaine où ils sont sinistrés.
01:16:50La seule énigme, c'est pourquoi il vient à Monaco.
01:16:52Il faut espérer que ce ne soit pas pour des raisons et qu'ils ne passent pas de l'autre côté de la colline.
01:16:59Oui, mais sauf que tu peux penser quand même que l'influence de l'entraîneur a été positive là-dessus.
01:17:05Non ?
01:17:05Tu crois ?
01:17:05Moi, je l'imagine.
01:17:07Peut-être d'abord le rapport à l'argent.
01:17:11Ah, bah après, oui, non, mais rapport à l'argent, Seb, tu sais bien qui est.
01:17:15C'est un peu, on va être naïf.
01:17:16Oui, non, mais sinon, on le sait tout.
01:17:18Moi, je suis surpris.
01:17:19Mais agréablement surpris pour la Ligue 1, pour Monaco.
01:17:21Bah, c'est clair.
01:17:22Qui viennent ici, quoi.
01:17:24Il pouvait espérer beaucoup mieux.
01:17:25Il a fait une belle saison de manière inattendue.
01:17:28Et il a beaucoup joué.
01:17:29Oui, mais Monaco, c'est pas de la Dôme non plus.
01:17:31Ah, bah, pas bon, le Bayern de Monaco, tu descends plus de deux étages, quand même.
01:17:37Au moins d'un.
01:17:38Autre info, Emmanuel Omega.
01:17:39Ah bon, le Bayern de Monaco, c'est pareil.
01:17:41Bah, non, mais c'est...
01:17:42Moi, le Bayern m'impressionne moins ces dernières années.
01:17:47Il m'impressionne moins, le Bayern.
01:17:49Non, mais d'accord.
01:17:49Les Anglais appellent le Bayern de Monaco.
01:17:51D'accord, mais Monaco, c'est pas une Dôme quand même.
01:17:53Parce que, de la façon dont on n'entend pas, on a l'impression encore que...
01:17:56Mes amis, c'est une bonne équipe, Monaco.
01:17:57On est sur une comparaison Monaco-Bayern.
01:17:59C'est pas un tonner du Bayern non plus.
01:18:00Bernard Lyons, vous vouliez nous parler d'Emmanuel Omega, courtisé par les clubs anglais.
01:18:04The Sun City, Chelsea et Crystal Palace.
01:18:06Strasbourg souhaite 35 millions d'euros.
01:18:09Omega, ça vous intéresse, ça ?
01:18:11Oui, ça m'intéresse parce que c'est un joueur qui...
01:18:14Le Néerlandais, il est en pleine progression, il confirme.
01:18:17C'est carrière étonnant, il n'a que 22 ans, il a joué dans 4 championnats.
01:18:20Alors, il n'a pas tout réussi cette saison avec Strasbourg,
01:18:23mais il y a quand même une méga dépendance avec le Racing.
01:18:26Il a 14 buts en Ligue 1, 22 ans, c'est pas mal.
01:18:28Il aurait été un personnage de la Ligue 1.
01:18:30Il a quelque chose ce jeu.
01:18:31Oui, il a quelque chose aussi d'agaçant parce que des fois,
01:18:34déjà, il a une gueule, il a un look, il a un style,
01:18:37il peut être très adroit comme très maladroit.
01:18:40Donc, je pense que pour les supporters Strasbourgeois,
01:18:42des fois, ça sent un peu stressant.
01:18:44Mais oui, puis Chelsea, ça fait partie de la famille.
01:18:46Quel âge ?
01:18:47Strasbourg, 22.
01:18:48Ça me paraît pas beaucoup, 35.
01:18:5035 millions pour un joueur qui marque, un prospect.
01:18:53Oui, oui, qui va encore se développer.
01:18:56Il reste 3 ans de contrat.
01:18:57Ça me paraît pas beaucoup.
01:18:58C'est peut-être un évillé de 50 en général.
01:19:00Ce serait 35 pour Chelsea, puis 50 pour Crystal Palace peut-être.
01:19:04Un petit tarif d'amis.
01:19:06Chelsea Strasbourg, c'est la multipropriété.
01:19:08Oui, mais c'est la famille.
01:19:08A l'OM, transfert définitif pour Jonathan Rowe.
01:19:12C'est Norwich qui a officialisé la nouvelle.
01:19:15Pas cher.
01:19:15L'OM devra donc payer 16,5 millions d'euros.
01:19:18Deux-mix et braques ?
01:19:19Ça rejoint le premier débat.
01:19:21On parlait de est-ce que le vélo de Rome est attractif, attirant, tout ça.
01:19:24Mais pour moi, c'est pourquoi l'OM ne peut pas vibrer.
01:19:28Parce que 16,5 millions pour un joueur qui ne te fait rien, en fait, c'est combien de matchs ?
01:19:3229 matchs, 3 buts, 3 passes.
01:19:34En fait, c'est de l'eau, Jonathan Rowe.
01:19:36Il ne passe rien quand il rentre.
01:19:37Je ne me dis pas « Waouh, là, ils ont pris un truc, un joueur en plus, un joueur différent, un joueur qui t'apporte quelque chose. »
01:19:42L'image de sa saison, c'est son but à Lyon, non ?
01:19:44Mais on était déjà au mois d'octobre.
01:19:45D'accord, mais je n'achète pas un joueur pour un but.
01:19:47Non, non.
01:19:48Donc là, franchement, 16,5 millions, c'est de l'argent déjà mal dépensé.
01:19:51Ça rappelle comment fonctionne l'OM.
01:19:52C'est-à-dire qu'ils prennent des joueurs au début en prêt, des prêts avec options, des options qui ne sont pas.
01:19:57Et tu te prends à payer 17,5 millions, enfin 16,5 millions.
01:20:01Un joueur moyen.
01:20:02Un joueur très moyen, oui.
01:20:03Louis-Henriquet devrait quitter l'OM et rallier l'Inter Milan.
01:20:06Louis-Henriquet de Marseille.
01:20:07Louis-Henriquet de Marseille.
01:20:07Louis-Henriquet de Marseille, pas le…
01:20:11Oui, Louis-Henriquet de Marseille.
01:20:13Louis-Henriquet signe au Milan AC, elle est terminant maintenant, ce serait drôle.
01:20:17Wesley Fofana, un joueur que vous connaissez, Bernard, qui a fait ses classes à Saint-Etienne, n'ira pas à l'OM.
01:20:22C'est Sacha Tavoleri, notre correspondant en Belgique, qui nous annonce que le salaire du jour de Chelsea trouve pas important,
01:20:26c'est 800 000 euros par mois dans ce prochain problème.
01:20:28Louis-Henriquet de Marseille en plus, il a des problèmes de santé, il s'est fait opérer.
01:20:33Marseillais, c'est pour ça qu'il était des Marseillais de naissance.
01:20:36À la Timone, non ? C'est ça ?
01:20:37Comment ça, la Timone ?
01:20:38L'hôpital de la Timone, non ?
01:20:40C'est quoi le rapport avec le…
01:20:43Avec Wesley Fofana ?
01:20:44Oui, mais la Timone, c'est quoi le rapport avec…
01:20:47Il est marseillais, quoi ?
01:20:48Oui, il est marseillais.
01:20:49Oui, mais il n'est pas né à la Thibone.
01:20:51Non, pas du tout.
01:20:55Mais il n'y a pas né à la maternité de la Thibone.
01:20:58D'accord, ok, ok.
01:21:01Il est précis quand même.
01:21:03Et Wesley Fofana, c'est 800 000 euros.
01:21:04200 000 euros par mois.
01:21:06Oui, 800 000 euros par mois.
01:21:07C'était trop bien d'être là.
01:21:08Mais d'accord, mais c'est pas moi aussi.
01:21:12C'est pas moi aussi.
01:21:13Non, mais c'est un top joueur.
01:21:15Et malheureusement, il est très blessé.
01:21:18Et même sa carrière, pour l'instant, est vraiment gâchée par d'innombrables blessures.
01:21:21Il est de graves blessures, parce qu'il a vraiment eu de graves blessures.
01:21:24Mais ça reste un joueur extraordinaire.
01:21:26Mais par contre, il dit que l'OM ne l'achètera pas et ne paiera pas son salaire.
01:21:30Mais par contre, que l'OM puisse récupérer un joueur comme ça en presse,
01:21:32c'est pas complètement impossible.
01:21:35Dernière information, la KZ disputera son dernier match avec l'OM.
01:21:38Samedi à domicile contre Angers, c'est le progrès qu'il annonce.
01:21:40Et puis Nicolas Tagliafico en fin de contrat pour effiler direction la Liga.
01:21:43L'intérêt de la Real Sociedad.
01:21:45C'est le démarché qui nous l'annonce, ou qui annonce cette probabilité.
01:21:50On marque une petite pause, mes amis.
01:21:53Dans quelques minutes, le quiz de l'équipe du soir, pour conclure.
01:21:56Allez, à tout de suite.
01:21:56La dernière ligne droite de l'équipe du soir est empruntée.
01:22:10Et on va directement chez Virginie.
01:22:12Qu'est-ce qui se passe dans le journal d'équipe ?
01:22:14Ça parle d'Alexandre Lacazette.
01:22:16Le dernier round, le dernier tour d'honneur.
01:22:19La dernière danse au groupe Amas.
01:22:21Samedi contre Angers.
01:22:22Angers, le capitaine lyonnais, est en fin de contrat.
01:22:25Donc il va s'en aller.
01:22:26Et pourquoi pas marquer son 200ème but avant de partir ?
01:22:30C'est ce qu'on lui souhaite.
01:22:31Il est à 199.
01:22:32Allez, voilà.
01:22:34Marc Ignos fait ses 31 ans ce mercredi.
01:22:40482 matchs avec le PSG.
01:22:42Le thème suivant.
01:22:43J'ai joué plus de 500 matchs avec un club.
01:22:47500 matchs avec un club ?
01:22:48Plus de 500 matchs avec un club.
01:22:50Et j'en ai trouvé.
01:22:51J'ai de la star.
01:22:51Les jokers, Stéphane Guy.
01:22:53Je compte 584 matchs joués dans le même club.
01:22:57C'est le premier à 10.
01:22:58584, si vous avez une fulgurance, vous pouvez les dire.
01:23:01Girard ?
01:23:02Girard ? Non, c'est pas lui.
01:23:03À France, à l'étranger où ?
01:23:04À France, à l'étranger, partout.
01:23:06All over the world.
01:23:07Comment ?
01:23:08Lampard ?
01:23:08Non, c'est pas lui.
01:23:10Ce club compte 6 lignes des champions.
01:23:126 et 1.
01:23:12Je peux me requalifier.
01:23:16Paolo Maldini.
01:23:17Paolo Maldini, c'est une mauvaise réponse.
01:23:19Vous repartez dans le soupir.
01:23:22J'ai été président, puis président d'honneur durant 30 ans.
01:23:24J'ai été président de ce club, puis président d'honneur pendant 30 ans.
01:23:27Je sais.
01:23:29Ruminiguet ?
01:23:29Faketti.
01:23:30Alors, Ruminiguet, non.
01:23:32Faketti non plus.
01:23:33J'ai gagné deux ballons d'or France Football.
01:23:37Il n'y a plus que Sébastien.
01:23:38T'as dit Ruminiguet ?
01:23:40Oui, Ruminiguet, oui.
01:23:41Il a gagné deux ballons d'or France Football.
01:23:42C'est encore des bêtes.
01:23:44Non, il n'y en a pas.
01:23:45Un, trois, deux, un, zéro.
01:23:48L'Allemagne.
01:23:49France, Beckenbauer.
01:23:50Oui, oui.
01:23:51Oui, oui.
01:23:52Allez, mes petits, je compte.
01:23:53Olivier, quand même.
01:23:54Je compte.
01:23:55Le but d'Olivier contre l'Allemagne.
01:23:56Je compte.
01:23:56Oui, t'as raison.
01:23:57Je compte 592 matchs avec mon club.
01:24:01Le gars a joué 592 matchs avec son club.
01:24:05Steven Girard.
01:24:06Ce n'est pas lui.
01:24:07Je sens que ça va revenir.
01:24:08J'ai terminé ma carrière à l'OM.
01:24:10Vous voyez que ce n'est pas Steven.
01:24:11Marius Trezdo.
01:24:14Ce n'est pas lui.
01:24:15Mon club joue actuellement au National 2.
01:24:17Alain Girès.
01:24:18Alain Girès, mon surnom le petit prince de l'Escure.
01:24:20Alain Girès, 592 matchs avec les Girondins de Borde.
01:24:23Ami.
01:24:24Bravo, Alain.
01:24:24Ah oui.
01:24:26Attention, on monte d'un cran après les 500, les 600.
01:24:30J'ai joué 613 matchs dans ce club.
01:24:33Paul O'Maldini.
01:24:33Paul O'Maldini, c'est faux.
01:24:3614 ans au club entrecoupé d'une saison à Crystal Palace.
01:24:40Lampard.
01:24:41Non, ce n'est pas Lampard.
01:24:43Je suis au stade Rennais actuellement.
01:24:46Oh, Mandanda.
01:24:47Mandanda, Dominique Sevra, qui ne me serait d'ailleurs pas prolongé, Steve Mandanda.
01:24:52600 matchs, on continue.
01:24:53J'ai disputé 619 matchs dans ce club.
01:24:57619.
01:24:58Ah oui, oui.
01:24:59Girard.
01:25:00Ce n'est pas lui.
01:25:01Un jour, Florentino Perez m'a fait un chèque où je devais noter mon salaire.
01:25:05Tiens, vas-y, mets ton salaire là.
01:25:07Chèque en blanc, salaire.
01:25:09De qui s'agit-il ?
01:25:09C'est Girardos.
01:25:10Non, ce n'est pas lui.
01:25:11Mais j'ai refusé d'aller au Real, époque galactique.
01:25:14Il a refusé.
01:25:15Mon surnom ?
01:25:16Il Capitano.
01:25:19Euh...
01:25:19Romain.
01:25:20Non.
01:25:22Totti.
01:25:22Vous l'avez.
01:25:22Totti.
01:25:23Totti.
01:25:24Un point pour le président.
01:25:25Mais oui, un point.
01:25:27Attention, j'ai disputé 648 matchs avec mon équipe.
01:25:32648 matchs avec mon équipe.
01:25:35J'étais aussi le capitaine de cette équipe.
01:25:37Girard.
01:25:39J'ai gagné une seule ligue des champions.
01:25:41Voilà.
01:25:41C'est pas lui, non ?
01:25:42C'est pas lui, non ?
01:25:42C'est pas Girard.
01:25:42C'est pas Girard.
01:25:43C'est pas Girard.
01:25:43C'est pas Malini.
01:25:45Parézi.
01:25:46Non, c'est pas Parézi.
01:25:47Merci Drogba.
01:25:48Dernier à 10.
01:25:50Merci Drogba.
01:25:50Terry.
01:25:50Non, c'est pas lui.
01:25:52De toute façon, vous êtes éliminé.
01:25:53Donc silence.
01:25:53C'est l'autre.
01:25:54Il ne reste plus que...
01:25:55Merci Drogba.
01:25:56Il ne reste plus que vous.
01:25:56Il ne reste plus que vous.
01:25:58Il reste plus que...
01:25:58J'ai déjà...
01:25:59Donc Olivier Rouillet, 648 matchs, capitaine de la seule ligue des champions.
01:26:04Merci Drogba.
01:26:04Lampard.
01:26:05Franck Lampard.
01:26:07C'est un nouveau point pour Demain, c'est vrai.
01:26:08Il faut l'éliminer, là.
01:26:11Il dit Stephen Girard à chaque fois.
01:26:12J'ai disputé le dernier.
01:26:15665 matchs dans mon club.
01:26:17Stephen Girard.
01:26:18Non.
01:26:20Je n'ai jamais joué pour un club européen.
01:26:23Pelé.
01:26:25Je n'ai jamais joué pour un club européen.
01:26:26En 1961, j'ai failli signer au Paris Saint-Germain.
01:26:29Non, mais il avait déjà perdu.
01:26:30Pelé, oui.
01:26:31Pelé, oui.
01:26:31Mais il avait déjà perdu.
01:26:32C'est Dominique Sébran qui gagne.
01:26:34C'est finalement le défenseur brésilien.
01:26:35Joël Camargot qui m'a remplacé au PSG.
01:26:37C'était bien.
01:26:38Pelé, 2 points supplémentaires.
01:26:40Il y en a quelques-unes.
01:26:41Je crois qu'il jouait pour Dominique ce soir.
01:26:432 points supplémentaires.
01:26:44Au moins, il est à moitié pour lui.
01:26:45Pour l'ami Dominique Sébran.
01:26:47Qu'on vous embrasse.
01:26:47La maison est ouverte demain.
01:26:49Alors, à demain.
01:26:49Ciao.

Recommandations