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Art et designTranscription
00:00Maintenant que le problème est là, la première chose c'est envoyer des techniciens, des scientifiques sur le terrain avec l'alerte des paysans de suite
00:07et effectivement ce travail avec les agriculteurs doit être fait de suite.
00:11C'est ce qui s'est produit, sauf que la science n'avance pas très rapidement.
00:15Ils ont vu d'où ça arrivait, ils sont allés voir ce qui se passait.
00:18Alors il y a des gestes barrières physiques qui ne sont pas extraordinaires mais il faut s'en servir.
00:22Ceux-là on peut les mettre partout, les filets, les caolins, essayer de vite trouver des piégeages, déjà vite les piégeages ça me demande du temps.
00:31Le caolin et les filets c'est rapide.
00:34Après il faut qu'on les soutienne, ces agriculteurs c'est évident, les arbres ça ne pousse pas, on ne peut pas changer de culture l'année prochaine.
00:40Donc il faut qu'il y ait des choses prévues à l'avance et surtout qu'on agisse pour...
00:44Parce que des choses comme ça ça va nous arriver mais tous les jours.
00:47Donc on va remettre des poisons tous les jours parce qu'on n'y arrive pas.
00:49Les causes il faut les regarder et il faut travailler avec la science comme il faut.
00:54Et là ils sont en train effectivement de mettre au point les parasitoïdes qui vont tuer ces...
00:59Bon alors tout ça ça ne vient pas de jour dans le mai, il faut aller faire les études dans les pays qui sont concernés, effectivement.
01:04Mais bon il faut le faire.
01:06Donc il y a une graduation, il y a un soutien à faire avec ces agriculteurs.
01:10C'est pas remettre du poison parce que tout ça on va remettre du poison tous les jours.
01:14Combien on a fermé le captage d'eau ?
01:15Hier j'ai appris ça en suivant un peu les débats au niveau de l'Assemblée.
01:1814 000 captages d'eau depuis les années 80 essentiellement.
01:22Pourquoi ? Parce qu'il y a des pesticides dedans.
01:25Ça nous coûte 750 millions à 1,3 milliard par an pour dépolluer rien que les pesticides.