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#Football #UCL

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Transcription
00:00Les champions !
00:30C'est Hakimi, l'un des acteurs majeurs de ce match.
00:32C'est lui qui a marqué le deuxième but.
00:35Dont Paris a bien eu besoin pour souffrir un petit peu moins dans cette fin de partie qui a été un peu irrespirable.
00:44On va bien sûr débriefer ce match avec Laure, avec Samir, avec David.
00:48Mais pour l'instant, on est tout à la joie d'un Parc des Princes qui est en train de fêter ses héros.
00:54C'est l'enthousiasme le plus total sur la pelouse et dans les tribunes.
01:00La joie de Marquinhos, le plus ancien, lui qui était de toutes les campagnes, y compris celle qui s'était terminée par des grosses déceptions.
01:22Il a été énorme Marquinhos, notamment dans le domaine aérien où il a très souvent soulagé dans la surface de réparation.
01:30Et ce match n'était donc pas le plus important de la saison.
01:45Le plus important, ce serait le 31 mai sur Canal face à l'Inter de Milan.
01:49Quelles sont belles ces images avec les supporters.
01:59Les supporters ont d'ailleurs souffert aussi avec leurs joueurs ce soir.
02:04Ça a été irrespirable.
02:05Cette première mi-temps a été tellement difficile.
02:07Ils ont été là aussi pour soutenir leur équipe.
02:09Mais Cédric qui vient de s'offrir avec une heure d'avance, un joli cadeau d'anniversaire.
02:15Mais qui fêtera ses 55 ans demain.
02:18Vous avez souligné Marquinhos, mais celui que je retiens derrière, c'est Pacho, qui pour moi est devenu le véritable patron de cette défense.
02:28Il est impérial à chaque fois et c'est vraiment le baromètre de cette équipe.
02:33Lorsqu'il est bien, on sait que le BSG va pouvoir rassurer derrière.
02:38Ça n'a pas été le match qu'on imaginait, on va dire.
02:42Ça a été un match et une qualification dans la souffrance.
02:46Mais c'est vrai que quelque part, quand on songe à tous les déboires passés du Paris Saint-Germain,
02:53on a le sentiment que cette année, ça tourne toujours dans le bon sens.
02:56Je pense à ce pénalty, à être tombé du ciel, même s'ils l'ont raté finalement aux arrêts de Donnarumma.
03:02Tout se goupille bien, voilà.
03:04Alors, j'aurais tendance à vouloir vous répondre tout de suite.
03:07Mais là, quand je regarde ces moments de l'IS, je pense que c'est le résultat de toute une phase de travail,
03:19toute une phase d'apprentissage qu'il y a eu avec Louis-Saint-Germain, il y a eu cette équipe.
03:26On va les laisser vivre ces images et profiter, tout simplement.
03:37Sous-titrage Société Radio-Canada
04:07On est avec Ashraf Hakimi, Ashraf avec le trophée d'homme du match, magnifique ambiance.
04:12Qu'est-ce que vous ressentez là ? C'est incroyable, c'est une fête exceptionnelle et c'est fort ce que vous vivez.
04:17Oui, c'est incroyable.
04:19On voit l'ambiance, les supporters.
04:21On a travaillé beaucoup pour ce moment.
04:26On est très contents.
04:28Beaucoup de gens n'ont pas croit en nous qu'on va arriver.
04:32Nous, on a travaillé beaucoup.
04:33On a une équipe, on a une famille.
04:35On mérite ce moment.
04:36Tous les supporters, tous les Parisiens, notre famille, tout le monde qui l'a soutenu.
04:42Nous, c'est le moment difficile.
04:44On est très contents de la fin de ce match.
04:46Le papa de cette famille, c'est Luis Enrique.
04:48Vous lui devez beaucoup aussi.
04:49C'est incroyable ce qu'il a réalisé cette saison.
04:52Oui, il a fait un travail incroyable.
04:54Depuis qu'il est arrivé à Paris Saint-Germain la dernière année, il a créé une grande équipe.
05:01Il y a beaucoup de travail derrière tout ça.
05:04C'est un seigneur.
05:06Ce sera l'Inter.
05:07En finale, comme un symbole pour vous.
05:09Qu'est-ce que ça vous inspire ?
05:11Oui, ça inspire la motivation.
05:14On voulait aller là-bas.
05:16On sait qu'on a joué l'Inter.
05:17C'est une grande équipe.
05:18On a vu hier.
05:20C'est caractéristique.
05:22Maintenant, on a profité du moment.
05:23Et après, on va bien travailler.
05:25Et on va préparer bien les matchs à la finale qu'on voulait gagner.
05:28Vous allez faire la fête quand même, là, dans le vestiaire ?
05:30Oui, on va célébrer entre nous, entre la famille.
05:32On mérite tout ça.
05:33Merci, Achra.
05:34Félicitations.
05:34Et bravo pour votre but aussi.
05:36Un mot sur le but quand même.
05:37C'est un but d'attaquant.
05:38Oui.
05:38Non, je vis que le ballon, je ne me rappelle pas si c'était Cuara ou Bradley qui l'a donné derrière.
05:46Après, j'anticipais Thomas Parti.
05:48Je l'ai donné à Ousmane.
05:49Il m'a donné encore.
05:50Je vis que j'étais devant la porte.
05:53Je frappais, il a rentré.
05:54Merci.
05:55Magnifique.
05:55Bravo.
05:56Félicitations.
05:57Allez, fêtez ça.
05:57Vous le méritez.
05:58Merci.
05:59Magnifique.
06:00Comme ces images également de Donnarumma qui a été l'autre grand bonhomme du match.
06:05Parce qu'il a fait des arrêts absolument extraordinaires aussi bien en première période qu'en seconde période.
06:11Donnarumma, c'est l'homme pour moi de cette Ligue des Champions depuis la phase élimination directe.
06:17C'est lui qui a qualifié le PSG pour moi en quart et en demi.
06:24Même contre Liverpool, on peut remonter même avant.
06:27Donc, quelle chance de l'avoir au bon moment, au meilleur niveau, au bon moment.
06:32Aujourd'hui, il leur permet de ne pas douter en fait.
06:34Il leur permet de ne pas douter, de ne pas avoir à gérer une situation où le match, où les compteurs sont remis à zéro.
06:42Donc, il a une grosse, grosse, grosse partie à lui.
06:45Et bravo, bravo.
06:46Franchement bravo.
06:47On aura le temps de se projeter sur la finale contre l'Inter.
06:51Et ce soir et dans les semaines qui viennent, on rappelle la date, ce sera le 31 mai.
06:55Mais dans un premier temps, profitons de ce moment et on va revivre également les moments forts de ce match.
07:05Vous voyez, il y a la Tour Eiffel qui scintille.
07:08Elle scintille toujours à 23h, je crois.
07:10Non, toutes les cinq premières minutes de chaque heure.
07:12Voilà, donc c'est normal qu'elle scintille.
07:15Ce n'est pas pour la victoire du PSG qu'elle scintille, mais on va dire que le timing est bon.
07:20Ils auraient pu la mettre aux couleurs du PSG pour une finale de Ligue des Champions quand même.
07:26Et regardez le petit feu d'artifice sur la gauche.
07:28Ah oui, le petit feu d'artifice, tout à fait.
07:30La fête était belle ce soir et le parc a permis au PSG de tenir également.
07:35Le parc a été fabuleux.
07:37Le public a répondu présent.
07:38On savait que ça allait être un match important et que les joueurs allaient pouvoir compter sur eux.
07:43Ils ont pu compter sur eux.
07:44Je crois que voilà, c'est un moment de partage.
07:49Et le football a ces rares moments qui nous sont donnés de partage avec le public.
07:55On y prend goût.
07:57On a envie de les revoir tout le temps.
08:01Là, je suis super ému en fait.
08:03Il est sur un nuage, David.
08:05Non, je suis super ému parce que je pense que là, c'est un travail de longue haleine.
08:12Ça a été très compliqué pour en arriver là et je les félicite.
08:16Regardez, David, on est porte de Saint-Cloud avec les fontaines de la porte de Saint-Cloud avec tous les supporters qui n'avaient pas pu se rendre au stade, qui n'avaient pas de place et qui se sont rassemblés pour fêter ça.
08:28On rappelle que ce sera la quatrième finale européenne de l'histoire du Paris Saint-Germain.
08:33Il y a eu les deux finales de Coupe du Coupe, 96 vainqueurs contre le Rapide de Vienne, 97 la défaite toujours en Coupe des Coupes contre le Barça.
08:41La fameuse finale de 2020 contre le Bayern qui était une finale à part après un Final Four à Lisbonne dans un stade vide en plein confinement du Covid.
08:50Et puis, il y aura cette finale à Milan, à Munich contre un club milanais.
08:55Je refais ce petit clin d'œil quand même.
08:56Un club français qui joue sa finale à Munich contre un club milanais, même si c'est l'Inter.
09:02Voilà, ce sera cette finale très attendue et méritée sur l'ensemble du parcours des Parisiens.
09:10Qui le crut quand on se souvient qu'en face de saison régulière, Paris était à deux doigts, c'était à la trappe.
09:17À une journée de la fin, ils étaient sous la barre de survie.
09:20Oui, mais c'est surtout ce moment qui me revient où ils étaient menés 2-0 contre City ici.
09:27Donc c'était l'avant-dernière journée.
09:29Là, clairement, je pense qu'on était beaucoup à penser que c'était mort.
09:33Et c'est vrai que pour moi, c'est celui-là le gros déclic de la saison finalement.
09:36Parce que depuis cette remontée face à City, cette belle victoire ensemble, en remontant, en revenant au score,
09:44le PSG n'a cessé de briller finalement et de porter encore plus loin tout le travail qu'ils avaient fait.
09:52On a l'impression qu'ils ont eu le résultat de tout leur travail qui est arrivé un peu tardivement.
09:57Mais malgré tout, tout ce qu'ils ont aujourd'hui, ils le méritent.
09:59Même s'il n'y a pas de la réussite, mais ce soir, il y a un grand gardien, etc.
10:03Mais je pense qu'ils méritent tout ce qui leur arrive ce soir.
10:06Je remonterai même un peu plus loin.
10:07Je me rappelle du premier match contre Gironde.
10:10Le but sur la frappe de Mendes.
10:13L'erreur de gardien.
10:14Le gagnant, tu prends trois points alors que tu n'étais pas bien.
10:18Le match en Noven.
10:19Tu reviens à des choses où le PSG n'avait pas acquis cette facilité dans le jeu.
10:25Cet esprit d'équipe qu'on lui trouve aujourd'hui.
10:28Donc franchement, les progrès faits entre le premier match contre Gironde et ce match de deuxième tour de demi-finale face à Arsenal, il y a un monde d'écarts.
10:39Même si Paris n'a pas tout maîtrisé loin de là ce soir, on va revenir un petit peu sur le moment clé du match.
10:44J'ai commencé peut-être par le but de Ashraf Hakimi qui a donné les deux buts d'avance au PSG qui n'a jamais été, à part après ce but, en sécurité dans cette rencontre.
10:57Un but qu'on est en train de revoir avec Ashraf Hakimi qui est au départ de l'action, qui va profiter du travail de Gvara.
11:06Ils ont joué comme ça par un coup en fait les parisiens ce soir.
11:09Oui, ils ont joué par un coup, mais après ils ont été forcés aussi du fait du bon match d'Arsenal.
11:14Et on retrouve Ashraf Hakimi dans une position qu'on avait vue à l'échauffement.
11:18On le trouvait très axial, on le trouvait très haut.
11:21Et il s'est retrouvé dans cette position.
11:22Il a profité aussi du laxisme, je vais dire, de Thomas Partey pour Adjanti.
11:28Et après sa finition, elle est impeccable.
11:31On dirait un joueur offensif.
11:33C'est exceptionnel.
11:34Il a été attaqueur, non ? Je crois qu'il était élié.
11:37Il a commencé élié.
11:38Il est toujours élié aujourd'hui.
11:39Oui, il est toujours élié.
11:41Regardez cette trajectoire, ce ballon dans le petit filet.
11:45Un chipper à la fratésie hier.
11:47Oui, exactement.
11:48Mais d'avoir gardé cette ambition finalement de se projeter alors que tu subis quand même une grosse partie,
11:55c'est aussi ça qui a fait la force des parisiens ce soir.
11:57Parce qu'ils auraient pu rester acculés et se dire on joue à demi-coup pour éviter de s'en prendre un.
12:03Et finalement, je trouve qu'ils ont eu cette audace qui leur a souri par ce but d'Achraf Hakimi.
12:09Mais c'est aussi ça qui fait que le PSG a gagné ce soir.
12:11Ils ont poussé leur coup jusqu'au bout.
12:13Regardez les magnifiques images que nous propose Joachim Salem avec Laurent Lachan qui a réalisé le match ce soir.
12:19Le but d'Hakimi et le but de Ruiz en première période.
12:22Une première période qui a été particulièrement difficile pour Paris.
12:25qui a été submergée par le pressing des Gunners dans un premier temps et qui a su réagir avec cette frappe.
12:34Ce contrôle orienté de Ruiz qui s'ouvre le chemin du but.
12:37Là aussi, c'était techniquement exceptionnel.
12:39C'est un but qui vient un petit peu contre le cours du jeu.
12:43Parce que c'est vrai que le premier quart d'heure était pour les joueurs d'Arsenal.
12:46Là on voit ce ballon, c'est vrai que la position du corps est parfaite, l'équilibre, la frappe, on voit vraiment le coup de pied.
12:54La puissance de frappe est bon, légèrement déviée par Saliba.
12:57Mais c'est ce qui fait toute la différence, le réalisme du Paris Saint-Germain est résumé dans cette frappe de Luiz.
13:04Tout un symbole, que ce soit Ruiz qui marque.
13:08Le joueur qui a été souvent critiqué, souvent décrié, que tout le monde voulait voir sur le banc,
13:14qui a réalisé des progrès énormes sous Lucien Riquet, qui aujourd'hui a délivré le Paris des Princes sur le premier but.
13:20Et le seul joueur qui est venu nous voir en avant-match.
13:22Aussi, on lui a porté chance.
13:24Exactement.
13:25Je ne dirais pas, c'est un autre symbole, mais Thomas Partey c'est un peu le joueur qui était censé faire changer un peu le match retour.
13:33Et finalement, il est impliqué sur les deux buts.
13:36Je trouve qu'il n'a pas fait sa meilleure partie.
13:39Donc parfois, c'est sûr qu'on essaye de faire une montagne de quelque chose.
13:43Et finalement, ce soir, ce n'est pas celui qui a permis à Arsenal d'être le meilleur.
13:47On a souvent souligné aussi le travail de Nicolas Jovert,
13:50mais je trouve que le positionnement défensif d'Arsenal sur le coup de priorité est très mauvais.
13:55Parce qu'à la déviation de Partey, il n'y a personne au second ballon.
14:00Il y a seulement Martinelli qui arrive en retard, ce qui permet à Fabian Ruz de s'orienter sur son contrôle.
14:04Et c'est dommage.
14:06En tout cas, on a vécu un bon match.
14:08Je ne m'attendais pas à un match autant ouvert.
14:09Pour être honnête avec vous, au début du match, je ne pensais pas que le match allait être aussi ouvert.
14:14Et franchement, je me suis régalé.
14:15Vous êtes mal habitué maintenant.
14:17Oui, c'est vrai.
14:18Le match d'hier soir, c'est mal habitué.
14:20Exactement, mais de voir Samir, de s'être régalé en voyant le PSG aller en finale.
14:25Ah oui, c'est Arsenal qui a dominé, c'est pour ça.
14:27Déjà, je me suis régalé.
14:28Mais ça me fait quand même plaisir, mon Samir.
14:32On revoit ce but.
14:33Moi, ce que j'adore, c'est le contrôle.
14:35Le contrôle qui renvoie le ballon.
14:36Et de l'autre côté, derrière le défenseur, regardez.
14:39Et l'équilibre aussi.
14:41C'est l'enchaînement, tout simplement.
14:44Il marque souvent des jolis buts, Fabien Ruiz d'ailleurs.
14:46Il marque peu, mais quand il marque, c'est bon.
14:50Il y a eu une bataille férante au milieu de terrain, Sydney et Paul.
14:54Avec un vitignan qui a eu un peu de mal parfois.
14:57Même s'il a fait aussi des bonnes choses.
14:58Oui, au début du match.
15:00Et c'est vrai que Fabien Ruiz, il représente tout ce qui a bien marché au Paris Saint-Germain ce soir.
15:06Et puis sur ce but, je trouve que la symbolique, elle est énorme.
15:09D'une équipe qui a beaucoup subi et qui marque sur sa première occasion.
15:13C'était plutôt l'inverse pour le Paris Saint-Germain.
15:15Qui avait des occasions, qui ne les concrétisaient pas.
15:17Et qui se faisait avoir dans les dernières minutes.
15:19On se souvient du match contre l'Atletico de Madrid.
15:20Celui contre Liverpool.
15:22Ça aussi, ça marque la progression de Paris, Sydney.
15:24Ça marque la progression.
15:26Une équipe qui a mûri.
15:28Qui a mûri, qui sait, qui accepte de subir.
15:32Et qui là, pour lui, c'est un symbole.
15:34Mais pour autre chose, c'est un joueur qui frappe rarement finalement.
15:37Il n'aime pas trop frapper.
15:38Il n'aime plus se rentrer.
15:40Mais comme vous l'avez dit, sur son contrôle, il est déterminé.
15:43Il sait qu'il va aller à la frappe.
15:44Ce qui nous permet d'avoir une frappe puissante et relâchée.
15:47Après le brin de réussite, Saliba qui l'a dévié parfaitement.
15:51Ils ont marqué sur leur deuxième occasion, pour être précis.
15:53Parce qu'il y avait eu la barre de Guevara.
15:55Le poteau.
15:56Le poteau qui avait un peu remis le Paris Saint-Germain dans le donkou.
15:59Alors que les 20 minutes étaient assez suffocantes.
16:04Robert Pires.
16:04Il parie que vous venez de checker le président du Paris Saint-Germain.
16:08Vous l'avez dit quoi ?
16:09Good game ?
16:11Congratulations.
16:12On l'a perdu.
16:16Il n'avait pas son orillette.
16:17Vous m'entendez Robert ?
16:19Oui, je vous entends.
16:22Vous avez croisé Nasser Al-Renafi ?
16:25Je l'ai fait les cités.
16:29Ça a été dur, mais je l'ai fait les cités.
16:30Voilà, on a l'image.
16:31Voilà, on a l'image.
16:34Bravo !
16:35Il a l'air d'une dépression, Robert.
16:40Non, je ne suis pas en dépression.
16:42Après, sur les deux rencontres, je crois qu'il n'y a rien à dire.
16:44Parce que Paris mérite d'aller en finale.
16:46Parce que, surtout à l'Emeret, ils ont livré une très belle prestation.
16:48Aujourd'hui, ils se sont fait dominer.
16:49Ils ont fait le dos rond.
16:51Ils ont laissé passer l'orage sur les 15 premières minutes.
16:53Et puis après, ils ont la qualité devant.
16:55Techniquement, c'est fort.
16:57Vitinha, c'est très fort.
16:58Oui, je vous l'avais dit.
16:59Son but qu'il met, il est très beau.
17:02Donc voilà, dans l'ensemble, je crois que Paris mérite largement d'aller à Munich et d'affronter l'Inter.
17:08Mais en tout cas, je suis très content de la prestation d'Arsenal par rapport à ce qu'ils avaient fait au match allé.
17:14Aujourd'hui, ils ont montré un autre visage.
17:16On a vu qu'ils étaient capables de mettre en danger un peu cette défense parisienne.
17:21Et puis, vous l'avez dit et souligné, s'il n'y a pas un grand anormat, je ne suis pas sûr que Paris aille en finale.
17:27Mais c'est comme ça, quand on veut aller en finale et quand on veut gagner une compétition, il faut un grand attaquant et surtout un grand gardien.
17:33Le président qui s'offre un petit bain de foule.
17:35Il se fait plaisir.
17:36Oui, il se fait plaisir.
17:37Il va repasser derrière moi.
17:39Vous êtes prêts ou pas ?
17:40Attention.
17:41Attendez, on me dit que Marbeau est avec Joé Neves.
17:44Pardon, Robert.
17:46Il me demande dans quelle langue on le fait comme vous voulez.
17:49En français ou anglais ?
17:50Si c'est français, on va parler en cours.
17:53D'accord.
17:53Bon, on va le faire peut-être en anglais pour qu'il y ait un peu plus de contenu.
17:57Alors, merci.
17:58Quelle joie.
17:59Je suis à côté du vestiaire.
17:59La porte est juste là.
18:00J'entends les MVP, MVP.
18:02On est en finale.
18:03On est en finale.
18:03Racontez-nous ce que vous venez de vivre dans ce vestiaire.
18:06Non, on était à faire la fête, là dans le vestiaire.
18:11Et on est très contents pour être ici, aller à la finale.
18:15Ça, c'est plus important pour nous.
18:18C'est chercher la victoire.
18:21Et on est à la finale.
18:22On a de la possibilité de chercher la victoire.
18:25J'ai dit qu'on le fait en anglais.
18:26Finalement, on le fait en français.
18:27Vous en sortez très bien.
18:28Donc, c'est parfait.
18:29On va continuer comme ça.
18:30Il y a cette finale, effectivement.
18:32Mais il y a d'abord eu cette demi-finale.
18:33Comment est-ce que vous avez réussi à battre cette équipe d'Arsenal, à résister ?
18:38C'était vraiment un combat sur le terrain.
18:39Comment vous l'avez vécu ?
18:41L'Arsenal, c'est une équipe très forte.
18:44Beaucoup de qualités individuelles et collectives.
18:49Mais je pense qu'on était mieux là-bas, à chez nous et à chez lui.
18:57Là-bas.
18:57Et je pense qu'on est vraiment le meilleur team.
19:08Il y a cette finale maintenant à disputer contre l'Inter.
19:13Qu'est-ce que ça vous inspire d'affronter cette équipe de l'Inter ?
19:16Quand on a vu le match d'hier aussi, qui était complètement fou contre le Barça.
19:18On va continuer comme ça, faire notre travail, notre idée de jouer.
19:25Et je pense que c'est la meilleure manière de jouer.
19:30C'est notre football.
19:31Et pour chercher la victoire, on est en grande équipe.
19:34Collectivement, ça c'est le plus important.
19:38Alors je pense qu'on est bien, on est confiants.
19:43Et oui, je suis très content.
19:45Merci beaucoup, Joao.
19:47Et bravo pour votre français, merci.
19:49Merci, Margot.
19:50Merci à Mister Neves.
19:53Alors que je vois que Marquinhos va arriver avec le fiston.
19:58Ça, c'est trop mignon.
19:58Oui, c'est trop mignon.
20:00Ça fait partie aussi des beaux moments, je trouve, après les victoires,
20:04de pouvoir partager ça avec ses enfants.
20:07Maintenant que j'ai une fille, je m'émeuse à chaque fois que je vois un enfant à côté de ses parents.
20:13Allez, il arrive, le capitaine.
20:15Marquis, tu vas faire un énorme match.
20:20Félicitations.
20:21Bravo.
20:23Bravo, bravo à toi.
20:25Salut fiston.
20:27Bravo à toi aussi.
20:29Félicitations.
20:31Comment ça va ?
20:32Ça va, Hugo ?
20:32Comment on se sent, Marquis, quand on sait qu'on vient de décrocher ce billet pour la finale de la Ligue des Champions ?
20:40Eh bien, c'est une émotion très belle.
20:45Je pense que le club, il a fait pour mériter tout ça.
20:48On a fait de bon travail.
20:50Le chemin, il était dur, il était long.
20:52On a eu des matchs très difficiles, des computations très difficiles.
20:56Maintenant que l'émotion, elle est tombée, je pense qu'il faut profiter un maximum.
21:00Dès ici jusque-là, préparer de la meilleure façon.
21:05Le boulot, il l'a fait pour arriver jusqu'en finale, mais ce n'est pas fini.
21:07Ce n'est pas fini, on veut plus.
21:09On veut vraiment aller chercher ce titre.
21:11Profiter ce moment, cette qualification, parce qu'elle était très difficile.
21:15Et préparer bien pour cette finale.
21:16Vous avez été de toutes les batailles.
21:18Vous êtes l'ancien du club.
21:19Vous avez connu tellement d'espoir, de désillusion.
21:22Vous avez repensé à tout ça, à cette campagne où tout tourne dans le bon sens, enfin, pour Paris.
21:30Oui, on pense que c'est de l'expérience.
21:32C'est des cicatrices dans une carrière d'un joueur.
21:35L'expérience que tu passes, ça te fait grandir.
21:38Il faut toujours garder le côté positif.
21:42Moi, j'ai eu des expériences qui, maintenant, me font profiter un maximum quand je suis sur le terrain.
21:46Quand l'équipe est bien, quand l'équipe court, quand l'équipe défend, quand on a le score.
21:50Et voilà, j'essaie de toujours passer un bon message pour mes coéquipiers.
21:54Parce qu'il y en a, ils viennent d'arriver.
21:57Peut-être qu'ils ne savent pas comment c'est difficile d'arriver jusqu'à là.
22:01Nous, on a eu du boulot pour arriver, pour le club arriver jusqu'à ici, pour avoir cette mentalité, cet ADN.
22:07Et moi, je suis content d'être là.
22:09Il y en a, ils n'ont pas pu profiter de ce moment-là.
22:12Et moi, je suis content d'être là.
22:14Je profite un maximum.
22:15David ?
22:16Il y a déjà eu une finale en 2020 contre le Bayern.
22:19Bon, il y a beaucoup de joueurs qui n'étaient pas là.
22:22Là, cinq ans après, une autre finale à Munich.
22:26Est-ce qu'on va se servir, justement, de ce qui s'est passé ?
22:29Même si les conditions n'étaient pas les mêmes, puisque c'était pendant le Covid.
22:33On sait très bien qu'une finale, ça ne se joue pas.
22:36Ça se gagne.
22:37Est-ce que vous avez vraiment tous ensemble cette envie commune d'aller jusqu'au bout et cette voie de la soulever ?
22:46Ah oui, je pense que tous les joueurs, nous, on ne travaille pas à part.
22:51Nous, on a commencé la compétition.
22:53On avait l'ambition d'aller loin, mais on est allé pas à part jusqu'à là.
22:58Et maintenant, on est arrivé en finale.
23:00Comme je l'ai dit, il faut préparer de la meilleure façon.
23:03Moi, j'ai perdu une finale déjà.
23:05Je sais comment ça fait mal.
23:06Je vais essayer de transmettre cette émotion, cette expérience pour mes coéquipiers,
23:11pour qu'on puisse arriver à cette finale.
23:12Il n'y a rien qui change.
23:13Il n'y a rien qui change.
23:14Je pense qu'on va travailler de la même façon.
23:16On va continuer à travailler comme on travaille, pour arriver bien et confiant là-bas.
23:21On parlait tout à l'heure, tous ensemble, du premier match de Ligue des Champions contre Gironne
23:25et de l'énorme différence qu'il y a entre cette équipe-là du premier match de Ligue des Champions
23:29et l'équipe d'aujourd'hui.
23:31Qu'est-ce qui a fondamentalement changé dans le vestiaire, entre vous, sur le terrain,
23:35la méthode de travail, le message de Louis-Henriquet ?
23:38Qu'est-ce qui a fait qu'aujourd'hui, vous êtes, vous êtes méconnaissants,
23:41vous êtes une vraie équipe de football ?
23:43Je pense que le coach, il allait pas à part pour améliorer cette équipe.
23:47Lui, il est arrivé, il a vu qu'il y avait beaucoup de choses à améliorer.
23:50Il y avait un ADN à changer, il y avait une mentalité à mettre en place.
23:54Et je pense que c'est pas deux jours au lendemain.
23:56Lui, il a travaillé petit à petit, il a amélioré petit à petit ce qu'il fallait.
24:00Je pense qu'il y a eu des matchs qui nous ont déclenché une confiance en plus aussi pendant la saison.
24:05Lesquels, par exemple ?
24:06Ouais, je pense que City, je pense que Liverpool,
24:10c'est des matchs qui nous ont donné une confiance en plus.
24:12Ça a confirmé le travail parce que des fois, l'année dernière, on travaillait bien,
24:16on avait des occasions, mais le résultat peut-être, des fois, il n'arrivait pas.
24:20On n'arrivait pas à concrétiser les occasions.
24:22Et cette année, quand le résultat vient, je pense qu'il montre qu'il était dans le bon chemin,
24:26qu'il était dans le bon sens.
24:28Et ça a confirmé, je pense que le coach, il ne nous arrête pas d'améliorer.
24:32C'est ça qu'on travaille jour à jour.
24:34J'ai juste une petite question. Bravo, Marquis.
24:37Tu as connu beaucoup de choses, évidemment.
24:39C'est assez simple.
24:41Est-ce que tu penses que l'Inter, évidemment, ça paraît difficile, comme toutes les finales,
24:45mais maintenant que vous avez un esprit très collectif,
24:48on montre qu'à chaque match, vous avez des statistiques où tout le monde court,
24:53contrairement aux années d'avant, vous aviez des individualités.
24:55Mais est-ce que tu penses que tu as plus de chances de gagner aujourd'hui
24:57avec ce projet de jeu très collectif ?
25:01Je peux te dire que l'équipe, elle est prête.
25:04L'équipe, elle est prête pour ce qui va arriver dans le match.
25:09Je pense que la mentalité, l'ADN, on a travaillé pour arriver jusqu'à là.
25:13On a eu toutes les émotions possibles dans cette compétition.
25:16On a commencé avec le score.
25:18L'équipe, l'adversaire qui revenait, nous, on devait tenir le résultat.
25:21Contre City, on a été mené 2-0 ici.
25:25On est revenu dans le score.
25:26Je pense qu'on a eu toutes les émotions possibles dans cette compétition
25:29pour arriver dans cette finale près.
25:31Et là, de savoir que tout le monde va faire les efforts ensemble,
25:35est-ce que toi, ça te rassure ?
25:37Oui, ça nous rassure.
25:38Je pense que derrière, on voit comment Poira,
25:41il a beaucoup aidé Nuno sur les deux contre Saka.
25:44Les efforts qui est doués, Barcola, Gonzalo, il a rentré,
25:47il a fait les mêmes efforts.
25:48Je pense que c'est très difficile.
25:51Le coach, il insiste beaucoup.
25:52C'est très difficile de jouer attaquant dans mon équipe.
25:54J'ai joué défenseur dans mon équipe.
25:55Parce qu'il faut faire beaucoup d'efforts, beaucoup d'efforts.
25:58C'est ça qu'il demande.
26:00Quand tu joues au collectif comme ça,
26:01il y a toute une confiance qui vient avec.
26:04Après, c'est du travail et de la qualité des joueurs.
26:06Merci beaucoup, Marquis.
26:09Félicitations.
26:09Merci les Martignos.
26:10Merci.
26:11Merci, bravo.
26:12Et bonne finale à venir.
26:14On a des images, tiens, qu'on voulait vous montrer.
26:17Regardez la joie.
26:21Regardez, Samir, la joie à Marseille.
26:23Dans les rues de Marseille, c'est la folie, c'est la yes.
26:25Non, c'est à Londres.
26:26C'est à Londres.
26:26J'allais dire qu'on est contentes.
26:29Non, je n'y crois pas trop.
26:31C'était pour réveiller Samir.
26:33C'est sur la bonne mère ?
26:34Non, mais là, il dit des bêtises.
26:36La cannevière, c'est la cannevière ?
26:37Non, honnêtement.
26:40J'ai vu des maillots du Paris Saint-Germain dans le sud.
26:44On n'en voyait pas trop avant.
26:45Mais ils ne pourront jamais se permettre de faire ça, ce n'est pas possible.
26:47De faire quoi ?
26:47La fête qu'ils faisaient dans les rues, ce n'est pas possible.
26:50La fête avec le fichet.
26:51C'était quand même dans la ville d'Arsenal.
26:54Oui, oui, oui.
26:55C'est grand.
26:56Il y a beaucoup de Français.
26:57Il n'y en a pas beaucoup.
26:57Il y a beaucoup de Français.
26:59Et c'était un peu un derby, Paris-Londres.
27:01C'est assez à deux pas.
27:02J'aimerais qu'on revienne quand même sur le match de Donnarumma,
27:05parce qu'il a été absolument éblouissant.
27:08C'était monumental.
27:09Première période, deux arrêts en tout début de match.
27:12Troisième minute, huitième minute.
27:13Et puis un autre arrêt à 1-0 aussi,
27:16qui a été plus qu'important dans cette rencontre.
27:19Ça, c'est le premier.
27:20Et sur une touche, cet arrêt réflexe de Donnarumma.
27:26À bout, portons.
27:26Il fallait qu'il soit tout de suite dans son match, Donnarumma,
27:29parce que la première occasion et son premier arrêt
27:33arrivent très vite dans le match.
27:34Et ça va s'enchaîner,
27:35puisqu'il va y avoir une succession de coups de pierreté,
27:38qui est le point fort d'Arsenal.
27:40Et avec, évidemment, cet arrêt fantastique sur la frappe d'Odegarde.
27:44Oui, ça, c'est l'arrêt vraiment qui va vite au sol.
27:46Il est exceptionnel dans sa qualité.
27:49Il est présent.
27:50Il est présent.
27:51En fait, c'est ce qu'on demandait au Paris Saint-Germain depuis des années,
27:55d'avoir un gardien de but capable de faire ce genre d'arrêt dans ce genre de moment.
28:00Et voilà, Donnarumma, il est capable de les faire.
28:02On le voit sur cette frappe de Saka.
28:03Ça, c'est en seconde période.
28:04C'est un cas, il est incroyable.
28:05Du bout des doigts, il repousse.
28:07On aurait dit Zommer hier soir pour l'Inter.
28:12Donc oui, l'équipe du Paris Saint-Germain qui gagne est forcément avec un grand gardien de but.
28:16Et il a soulagé sa défense.
28:17Il est passé une fois à travers.
28:18Mais sinon, il est allé aussi sur les ballons aériens pour soulager sa défense plusieurs fois.
28:24Oui, c'est vrai, il a fait l'effort.
28:25Il y a juste sur une sortie où il est devancé par Timber,
28:28où il a été un petit peu hésitant.
28:29Mais sinon, il a toujours essayé de rassurer sa défense.
28:31Et comme vous l'avez dit, sur la double confrontation,
28:35c'est lui qui les qualifie en faisant les arrêts décisifs.
28:37On s'est beaucoup pleins de son niveau de performance aujourd'hui.
28:40Il n'y a absolument rien à dire sur lui.
28:42C'est lui qui les qualifie aujourd'hui en finale de la Ligue des Champions.
28:45Donc j'espère qu'il va pouvoir savourer
28:47et qu'il va mettre toutes les critiques derrière lui et continuer à avancer comme ça.
28:51Regardez ce niveau de confiance.
28:52Parce que franchement, en fait, on se rend compte que finalement, c'était forcément de la confiance.
28:56Parce qu'il n'a pas progressé en tant que gardien en quelques mois.
28:59Un petit peu.
29:00Je trouve qu'il a progressé un petit peu.
29:02Aujourd'hui, il est un peu plus alerte sur les sorties aériennes,
29:06même si ce n'est pas encore son domaine de prédilection,
29:09parce que ce n'est pas la formation italienne.
29:11Et au pied, je trouve qu'il prend beaucoup moins de risques.
29:13Il met moins en difficulté son équipe.
29:14Sur le pied, je suis d'accord.
29:15Après, sur les sorties aériennes,
29:17pour moi, ça fait vraiment partie de sa confiance,
29:19dans le sens où quand tu as confiance en toi,
29:21tu oses un petit peu plus aller dans les airs.
29:23Et c'était peut-être aussi pour ça.
29:24Et lui, le Rossonero, le Milanais,
29:26va jouer un petit dernier personnel contre l'Inter en finale.
29:30Ce sera une histoire importante pour lui également.
29:33On revoit ces scènes de joie de tout le groupe du Paris Saint-Germain.
29:38Il y avait certainement énormément de frustration côté Arsenal,
29:41parce qu'Arsenal a fait un bon match.
29:42Arsenal a tenté, a fait ce qu'il fallait faire pour renverser la situation,
29:47sauf marquer.
29:48En tout cas, ils ont marqué trop tard.
29:49Je vous propose d'écouter une réaction.
29:51C'est celle de Mikel Arteta au micro de Marco Dupont.
29:56Mikel Arteta, où est-ce que Paris a fait un meilleur match ?
30:02Est-ce qu'ils ont mérité cette victoire ?
30:04Tout d'abord, refélicitations, parce qu'ils s'étaient satisfaits.
30:08Ils étaient meilleurs que nous.
30:12Pour moi, ils étaient meilleurs que eux.
30:16Mais ils ont l'homme du match sur les deux matchs.
30:18C'était le même joueur à chaque fois, leur gardien de but.
30:23C'est ça l'histoire de ce qu'il s'est passé sur les deux matchs.
30:27Je suis fier de nos joueurs, de ce qu'on a fait.
30:31On a joué avec beaucoup de caractère, beaucoup de courage,
30:34beaucoup d'intelligence.
30:35Et la réalité, c'est le résultat, les différences.
30:40Et c'est comme ça, cette compétition.
30:41On ne peut pas être heureux de ce résultat.
30:43On a été meilleurs, on a été malchanceux.
30:48Il faut voir ce qu'on peut faire de mieux, parce qu'on est à un niveau.
30:52Même avec 7 joueurs qui sont blessés.
30:55On était ici, à la période la plus difficile de la saison, avec un équipe.
30:59On a été compétitif, je dois être positif.
31:01Mais je suis vraiment mécontent.
31:03Vous pensez que le PSG peut gagner la Ligue 1 ?
31:08J'espère, à cause de mon passé ici.
31:10Et j'espère que finalement, ils vont gagner.
31:14Je dis du profond de mon cœur.
31:17Ce n'est pas le moment de dire « Allez Paris ».
31:20Mais lorsqu'il y aura la finale, bien sûr, je pousserai pour eux.
31:24Merci beaucoup, Michael Arteta.
31:25Merci.
31:28Il ne faut pas exagérer.
31:29On va pas lui faire dire « Allez Paris » dès ce soir, quand même.
31:31Elle est audacieuse, Margot.
31:33Elle est dure.
31:34Le pauvre.
31:35C'est vrai qu'il souligne l'importance de la Rouma.
31:38Ce qu'on disait, c'était que franchement,
31:39il y a de quoi être frustré.
31:41Parce qu'ils ont fait un sacré bon match.
31:43Ils ont marqué, on va avoir vu, de Saka qui est arrivé trop tard.
31:47Et qui nous a fait un petit peu peur.
31:48Parce que Paris s'y est cru trop tôt qualifié, je crois.
31:51Moi, je trouve que ce qui est frustrant pour lui...
31:55Le match allé, non ?
31:55Non, même sur le match retour.
31:58En fait, son plan de jeu est parfait.
31:59Il tombe sur un grand Donnarumma.
32:01Mais en plus de ça, ils prennent deux buts, mais totalement évitables.
32:06Le premier, c'est un mauvais contrôle de Declan Rice,
32:08qui entraîne le coup franc, qui amène le premier but.
32:11Et le deuxième, c'est Thomas Partey, qui est un petit peu laxiste sur sa défense.
32:14Donc je peux comprendre sa frustration en Michael.
32:17Mais est-ce que ce n'est pas l'histoire de tous les buts ?
32:19Est-ce qu'il n'y a pas toujours un peu, quand même...
32:20Oui, mais je trouvais, en fait, qu'au vu de l'entame de match,
32:26l'agressivité mise, le pressing très haut,
32:29et l'intensité mise par les joueurs d'Arsenal,
32:33pas des erreurs comme ça.
32:34Pas un manque d'agressivité défensif, en fait, sur un but.
32:38Arsenal a manqué le coche dans le premier quart d'heure.
32:40Ils se sont créés, et ils ont attaqué le match de la meilleure des manières.
32:44En ayant perdu un zéro chez eux,
32:45ils ont le premier quart d'heure qui a leur avantage.
32:48Ils dominent, ils sont dans les 30 derniers mètres,
32:50ils se créent les occasions.
32:52Arteta mentionne Donnarumma,
32:54bien évidemment qu'il a fait des interventions qui étaient spectaculaires.
32:57Mais on a senti qu'Arsenal était capable de faire ça un quart d'heure.
33:01On s'est dit que ça allait être compliqué pour Paris.
33:03Et puis finalement, on a vu que le jeu s'est délayé un petit peu,
33:07et Paris a repris le cours.
33:09Et je pense qu'Arsenal aurait dû continuer,
33:12mais bon, après, il faut avoir les moyens de le faire sur 45, voire plus.
33:16Moi, la frustration que j'ai pour eux,
33:18forcément, je suis trop contente ce soir,
33:20mais si j'étais à leur place, c'est vraiment...
33:22Quand je vois ce qu'ils font ce soir, au-delà de Thomas Partey, etc.,
33:25c'est le match aller, quoi.
33:27Quand je vois comment ils les ont pris à la gorge,
33:29c'est ça qu'il fallait qu'ils fassent chez eux, en fait.
33:31Moi, je pense que c'est sur ce match-là qu'ils peuvent faire quelques cauchemars,
33:36dans le sens où quand t'es chez toi,
33:38avec ces qualités athlétiques qu'ils ont,
33:40cette intensité qu'ils arrivent à mettre,
33:42je trouve qu'ils n'ont pas mis les ingrédients qu'il fallait sur la première partie.
33:46Est-ce que, Sidney, vous diriez que Paris s'en sort bien sur ce match ?
33:52J'ai le sentiment que c'est un peu ce que vous pensiez, quand même.
33:55Je serais d'accord avec vous.
33:56Quand on fait la chronologie du match, oui.
33:58Quand on regarde le début de match d'Arsenal, le premier quart d'heure,
34:02Donnarumma permet à Paris de rester dans le match.
34:06Et on sait que ça peut jouer dans le début de match,
34:07mais ça fait partie du football.
34:08À un moment donné, il faut être efficace dans les deux surfaces.
34:11Je pense que lorsque Paris a été dominé,
34:14Donnarumma fait ce qu'il fallait pour que Paris puisse encore espérer.
34:18Et derrière, les Parisiens, offensivement, ont fait ce qu'il fallait,
34:21à l'inverse d'Arsenal, qui n'a pas été efficace
34:24et qui a fait des erreurs défensives.
34:25Là où je trouve que Mikel Arteta est un peu moins lucide,
34:28c'est que sur l'ensemble des deux confrontations,
34:31Paris au match allé a dominé la plus grande partie du match.
34:35Ils ont eu les occasions de la fin.
34:36Ils ont eu 40 premières minutes où on n'a pas vu Arsenal exister.
34:41Donc sur l'ensemble des deux matchs,
34:42c'est plutôt logique que Paris se qualifie.
34:45Pas tout à fait d'accord, Samir, c'est ça ?
34:46Non, pas tout à fait d'accord avec Paul.
34:48Je trouve que sur les 20-25 premières minutes à l'émirette,
34:52Arsenal n'a pas existé.
34:53Je pense qu'ils ont été pris par justement l'enjeu de ce match-là.
34:57Mais après, il y a encore un grand Donnarumma qui sort quelques occasions,
35:00notamment sur Trossard, il y en a une sur Martinelli.
35:03Au match allé, ils ont les occasions pour pouvoir les mettre au fond.
35:06Après, sur la fin du match, oui, on l'avait dit en plateau,
35:09Paris peut se mordre les doigts sur l'action de Barcola et celle de Gonzalo Ramos.
35:15C'est ce que dit Arteta quand il mentionne Donnarumma
35:18en disant que sur l'ensemble des deux matchs,
35:21c'est lui qui fait la décision pour Paris aussi.
35:25Raya en arrête deux aussi là-bas.
35:27Je pense que les gardiens ont le droit de faire des arrêts aussi.
35:29Il y a eu un moment lunaire dans ce match,
35:32c'est l'histoire du pénalty,
35:34venu de nulle part, enfin venu de l'avare pour le coup,
35:37parce que tellement lunaire qu'on a pris ce cru et compris Paul et Sidney
35:41que l'arbitre voulait revenir sur une situation de Saka,
35:45mais elle datait un peu quand même,
35:47un truc qui l'avait laissé trop longtemps.
35:49Voilà, c'est là, là.
35:51Et finalement, il est revenu pour aller voir une main.
35:56Est-ce que vous l'avez vu ? Moi, je ne l'ai pas vu.
35:57J'aimerais bien revoir la situation de Saka.
35:59Je voulais voir la situation de Saka,
36:01parce que quand il revient pour le pénalty d'Akimi,
36:03c'est dans le prolongement.
36:07C'est dans le prolongement.
36:09Mais il a attendu très très longtemps l'arbitre avant de couper le ring.
36:11Mais il aurait pu revenir sur l'action de Saka aussi.
36:14Mais franchement, vous trouvez que ça mérite un pénalty ?
36:17Non, non.
36:18Mais non, n'importe quoi.
36:19J'en ai jamais dit.
36:20Parce qu'il n'y a pas un joueur qui le réclame.
36:22Non, un joueur.
36:22Il faut revoir les lois alors.
36:24Non, non, mais arrêtez, on ne va pas.
36:25Non, non, mais ce n'est pas les lois, c'est à la part.
36:27Si vous trouvez ça normal, comme beaucoup d'entre nous,
36:31il y a quand même eu pénalty.
36:32Oui, mais c'est l'utilisation de l'Avar.
36:34C'est l'Avar qui va inventer.
36:35Oui, mais c'est l'arbitre qui va regarder aussi.
36:37Il se fait complètement manipuler par sa VAR.
36:42Cet arbitre, vous êtes d'accord avec nous ?
36:45Oui, je parle totalement de votre avis.
36:47À un moment donné, je ne sais pas pourquoi l'Avar vient demander à l'arbitre
36:50d'aller voir justement, il y a peut-être main.
36:53Mais moi, personnellement, dans mon moi intérieur,
36:55ce genre de main dans la chambre de réparation,
36:59je ne les siffle jamais.
37:00Ça ne va pas dans l'esprit du jeu.
37:01Exactement.
37:02Sidney, Paul, excusez-moi, parce que nous, on n'a pas pu rebord.
37:05Est-ce que sur la situation avec Saka,
37:06il y a un contact ou absolument rien du tout ?
37:08On ne l'a pas revu parce qu'on est resté sur la situation d'après
37:11et sur la main qui a entraîné le pénalty.
37:14Ah, on va revoir en direct.
37:16C'est avec Vara.
37:18C'est pareil.
37:19Il n'y a pas grand-chose.
37:20Il n'y a rien.
37:21Il y a le contact, mais il sait qu'il perd la balle
37:23et qu'il va avoir contre-attaque, donc il se jette.
37:25Non, il n'y a absolument pas pénalty.
37:26Finalement, comme ça se termine bien,
37:28on est presque satisfaits que Paris n'ait pas profité
37:32de ce pénalty imaginaire ou presque pour prendre l'avantage.
37:36Très bonne réaction de Laurent Lachon.
37:38C'est pas vite.
37:39On voit les images.
37:40On revient sur Saka direct.
37:42Regardez Raya, l'attitude de Raya.
37:44sur le tir, juste avant le tir de Vitinha.
37:48Il est allé un petit peu prendre des consignes
37:50dans un premier temps.
37:51Il sait que Vitinha est un joueur qui les tire un peu à la Neymar,
37:54qui attend toujours le dernier moment
37:55et le mouvement du gardien pour faire son choix.
37:58En fait, je pense qu'il a fait exactement ce qu'il faut faire
38:00face à un joueur qui...
38:02Balance la balle ?
38:03Non, non, c'est qu'il a attendu le maximum
38:06pour que Vitinha soit coincée.
38:09Oui, mais en fait, à chaque fois,
38:11à chaque fois, il attend que le gardien lui donne un indice,
38:15sauf que là, il n'en a pas donné
38:16et après, il n'a plus de force pour frapper.
38:17Je suis d'accord, mais il doit l'appuyer, sa pénalty.
38:19Ou alors, tu fermes ton pied.
38:20Oui, mais il doit appuyer.
38:23Mais après, tu n'as plus qu'un pas, tu vois.
38:24Après, tu n'as plus qu'un pas pour frapper.
38:25Oui, mais tu imagines,
38:27Arsenal se qualifie à ce pénalty raté.
38:29Ah ben, là, ce n'est pas la même.
38:30C'est sûr.
38:31Pour moi, comme l'a dit...
38:33Bon, je n'irai pas ce que...
38:34Comme l'a dit Sidney,
38:35Sidney, il a dit que je mets une sacoche.
38:37Une sacoche.
38:38C'est vrai, mais...
38:40Je vais mettre des sacoches.
38:41C'est vrai, mais quand même,
38:42Neymar, Hazard ont toujours tiré des pénalty comme ça.
38:44On a toujours dit que c'était les meilleurs tireurs de pénalty
38:46parce que, justement, ils ne prenaient pas de risques.
38:48Il y a un peu plus de force sur Neymar.
38:50Il y a un peu plus de force, Neymar.
38:51Mais rappelle-toi, il s'était fait avoir avec Laffont
38:53parce que les gardiens avaient vraiment attendu.
38:55Donc, en fait, ils ont une routine.
38:58Mais quand la routine, elle est perturbée,
39:00après, tu as l'impression qu'ils tirent forcément très mal leur pénalty.
39:02C'est comme quand on fait les séances de pénalty à l'entraînement
39:05et que tu vas et tu regardes le gardien jusqu'au bout.
39:07Et tu attends qu'il peut.
39:09Tu la places.
39:10Mais s'il te fait ça et tu me dis,
39:11quand il arrive sur le ballon,
39:12à un moment donné, tu es obligé de frapper.
39:15Bon, c'est une péripétie.
39:16C'est une péripétie dans ce match.
39:18Mais mettons une sacoche.
39:19On va dire ça comme ça.
39:20Il s'aurait fait couler.
39:22Parce que la finalité est heureuse.
39:24Il s'aurait fait couler de l'encre, effectivement.
39:27Et si Paris ne s'était pas qualifié en ayant raté le pénalty.
39:30Et si Paris s'était qualifié grâce à ce pénalty un petit peu étrange.
39:34Est-ce qu'on ne se regarderait pas la caméra isolée sur Luis Enrique
39:36qui a vécu intensément ce match sur le bord du terrain ?
39:44Regardez-moi ça.
39:52Il n'y a qu'un de très calme, en fait.
40:01On va regarder.
40:02Avec la réaction sur les buts.
40:05Cette joie explosive.
40:10Et à contrario, la déception de Michael Arteta.
40:13Il passe devant, l'image est terrible.
40:17Ils se mettent dans des états, les deux entraîneurs.
40:20Mais les deux côtes se ressemblent aussi un petit peu au niveau de la gestuelle.
40:23Il a beaucoup bougé Arteta.
40:24C'est tellement dur.
40:26C'est un match nerveux aussi.
40:27C'est tellement dur.
40:28Il y a tellement au bout.
40:30C'est incroyable.
40:31Il arrive juste.
40:33Il est en train d'arriver, Luis Enrique, en direct.
40:38Et on va l'équiper, comme tout à l'heure.
40:41Quelques applaudissements de quelques supporters qui sont restés dans les tribunes.
40:47C'est David qui a applaudi.
40:51Il y avait David, mais il y avait aussi des gens là-bas.
40:52J'ai le droit par le français ?
40:53Ah oui, plus que jamais, plus que jamais.
40:56Bravo, Luis.
40:57Bravo.
40:58Félicitations.
40:59On vient de voir une caméra sur vous.
41:03Que d'émotions, que d'émotions.
41:05Beaucoup, beaucoup.
41:07Trop d'émotions, trop d'énergie.
41:11Trop de souffrance de match.
41:13Arsenal a joué très bien.
41:15Ils sont capables de porter le match à son force.
41:20Et nous avons eu l'opportunité de défendre.
41:26De défendre tout le temps.
41:27Et chercher de faire quelqu'un contre-attaque.
41:33C'était très difficile.
41:34Ce n'est pas le match que nous voulons.
41:36Oui, c'est ça.
41:36Mais tu as été surpris du premier quart d'heure d'Arsenal ?
41:41Dans l'intensité ?
41:42Quand tu vois que tous les ballons, tous les ballons, coupe de pied arrêtée, tout le temps.
41:46C'est difficile de gestire ça.
41:50Je pense qu'on a fait un extra effort pour chercher des solutions.
42:02C'était difficile.
42:04Mais on a eu quelques sens très clairs.
42:08Les premières occasions, c'est pour nous.
42:12Sur le poteau.
42:14Et après, on a eu, je pense, deux mains.
42:19Mais les matchs, c'était les premiers mi-temps pour moi.
42:24En souffrance, beaucoup.
42:25Beaucoup de souffrance.
42:26Beaucoup de souffrance.
42:28Quel ajustement tactique vous avez fait pour sortir du pressing ?
42:32Parce qu'à un moment, vous avez mis le pied sur le ballon.
42:34Ça a calmé.
42:34Vous avez su garder pour pouvoir poser votre jeu.
42:36On a cherché de gagner de la confiance.
42:40Parce que quand tous les joueurs voient que les matchs, ce n'est pas les matchs habituels,
42:48c'est un moment que tu penses que pour défendre, tu dois aller derrière.
42:53Non, non, c'est à l'inverse.
42:54Tu dois pressionner le ballon.
42:56Mais la mobilité de l'Arsenal, les premiers mi-temps, c'était difficile.
43:03Et on a souffré.
43:05On a souffré.
43:05Souffert.
43:06Souffert.
43:07On a souffert.
43:08On va vous montrer votre réaction sur le premier but.
43:11Il faut regarder cet écran.
43:14Voilà.
43:16Vous allez voir, ça va arriver.
43:18Voilà.
43:19Vous êtes explosif.
43:20Vous êtes vraiment explosif sur le terrain.
43:22Oui.
43:24Hervé a dit que tu étais calme.
43:26Non.
43:27Avant match, tu étais calme avant match.
43:29C'est important pour les joueurs.
43:31Moi, c'est important.
43:32Si je fais quelque chose, mon sentiment, je serais expulsé tous les matchs.
43:39J'ai fait un analysis de calme et moi pour faire que mes joueurs comprennent que le plus important, c'est le sentiment, c'est la mentalité correcte.
43:55C'est le mystère.
43:57C'est un volcan.
43:58C'est catastrophique pour l'équipe.
44:01Et j'ai fait tout le temps.
44:02Je cherche de ne parler pas avec le référeur, avec l'arbitre.
44:07Parce que sinon, je pense que c'est une mauvaise chose pour mes joueurs.
44:13Vous êtes un peu surpris d'avoir amené le Paris Saint-Germain au final.
44:17Vous-même, impressionné et surpris ou pas ?
44:19Je pense que...
44:22Je ne me rappelle en quel moment j'ai fait une charla, une...
44:29Déclaration ?
44:30Une déclaration avec mes joueurs.
44:32La charla, c'est réunion avec mes joueurs.
44:34La réunion avec mes joueurs, quand les résultats de la Champions étaient catastrophiques.
44:39Mais c'est très, très injuste.
44:42Et j'ai fait une charla avec les joueurs et mon staff pour dire, nous sommes une des meilleures équipes d'Europe.
44:51L'efficacité, ce n'est pas la correcte.
44:55Mais tranquille, on va continuer.
44:58Et les joueurs ont été sensationnels.
45:02Et je pense que c'est un moment magnifique pour nos supporters.
45:06C'est incroyable l'énergie qu'ils ont.
45:09La question que tout le monde se pose, parce que les gens ne te connaissent pas.
45:13Ils t'ont vu à travers un documentaire qui a été une révélation pour beaucoup.
45:17Magnifique.
45:17Qui a été extraordinaire.
45:19OK.
45:19Non, mais vraiment, d'apprendre à découvrir quelqu'un.
45:22Tu es arrivé à Paris avec toutes les difficultés, toutes les critiques, tous les machins.
45:28Qu'est-ce que tu as fait dans le vestiaire pour changer cette équipe et de voir des joueurs devenir vraiment des joueurs différents ?
45:36Est-ce que c'est passé par la parole ?
45:38Par prendre les gens par l'épaule ?
45:40C'est quoi la réussite de Luis Enrique cette année ?
45:45C'est difficile de dire, parce que je ne sais pas, ce n'est pas seulement un chose, c'est le jour, trois jours.
45:54Après la première année, je pense qu'on a fait un très bien boulot, ou un bon boulot, je ne sais pas.
46:02Oui, oui.
46:02Mais, mais...
46:04L'insuffisant.
46:06Non, l'insuffisant.
46:07Et j'ai dit à mes stades, c'est les propres années, je ne considère, comment c'est dit considère ?
46:14Considérer ?
46:16Non.
46:16Non, consigo, continuer.
46:17To get.
46:18Obtenir.
46:19Si je ne obtenais un peu de...
46:27Je vais dire de manière positive.
46:30Si je vais obtenir, en différentes mentalités, chaque jour, en chaque entraînement, je vais aller, je vais.
46:39Je m'en vais, je m'en vais.
46:40Je démissionne.
46:41Si je n'arrive pas à obtenir ça, je...
46:42Parce que c'est la première chose.
46:44Et cette année a été, en ce moment, tous les entraînements à haut niveau, les joueurs sont exceptionnels.
46:52Tu as fait quelque chose pour le groupe ?
46:54Non, c'est facile, c'est facile de dire.
46:55Pour le groupe, c'est-à-dire les réunir entre...
46:57La même chose qu'on a fait l'année dernière, la même chose qu'on a fait tous les entraînements, ce n'est pas une chose différente.
47:07Comment on fait pour faire défendre toute son équipe ? Comment on fait courir tous ses attaquants ? Ce qui était un peu le problème, peut-être, aussi.
47:14C'est plus simple. C'est plus simple. Comment ? Si tu nous le fais, un autre le fera.
47:20C'est facile, il faut le faire.
47:21C'est la concurrence.
47:23C'est un bon cadeau d'universaire que vous êtes fait ce soir.
47:27Et demain ou non ? Encore, encore reste.
47:30Un quart d'heure, un quart d'heure.
47:31J'espère par un cadeau.
47:33Eh oui, vous vous l'avez fait déjà tout seul.
47:35Que quieres, que quieres.
47:36Bravo, Luis. Bravo.
47:37Luis, bravo, super.
47:38Bravo.
47:39Merci.
47:39C'est parti.
47:39C'est parti.
47:39C'est parti.
47:42C'est parti.
47:44Sous-titrage FR ?

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