Passer au playerPasser au contenu principalPasser au pied de page
  • hier
Retrouvez le replay de la chronique Pourquoi ? de l'Équipe de Greg du 07/05/2025.

Catégorie

🥇
Sport
Transcription
00:00Deux clubs historiques, un décor mythique, des joueurs légendaires, des vieux briscards,
00:19des jeunes pépites aussi, un club qui dégaine et l'autre qui répond dans la foulée.
00:24Inter-Barça, pourquoi c'était la confrontation du siècle ?
00:30Vous, Greg, moi, et tous ceux qui rigolent autour de ce plateau, 23h42 au moment où Marcignac siffle la fin de la rencontre, étaient tous estomaqués.
00:43J'ai vu tout ce qu'il y a de plus beau dans le sport que j'aime et que je pratique,
00:50depuis l'âge de 5 ans. Il y a tout eu dans ce match, tout ce qu'on aime, on l'a eu, là, comme ça, en Mondovision.
00:57A moi, le football me gusta, non m'importa le devenir des équipes.
01:04Alors, la presse aussi est assez beau, c'est exalté ce matin.
01:09Déhune magnifique, déhune collector a commencé, évidemment, par les pages roses de la Gazzetta.
01:14Il y a tout eu dans ce match, tout ce qu'on aime, on l'a eu, là, comme ça, en Mondovision.
01:19A moi, le football me gusta, non m'importa le devenir des équipes.
01:23Je ne griteriais un gol que non fuera de River, con esa vehemencia.
01:28Mais quand vas a ver une peli, t'émocionas, on va s'accrocher.
01:31Alors, la presse aussi est assez beau, c'est exalté ce matin.
01:34Déhune magnifique, déhune collector a commencé, évidemment, par les pages roses de la Gazzetta dello Sport.
01:40Oula, un titre. Inter, mythical, inter, mythique.
01:44Le Mundo Deportivo, c'est une une plus tragique, mais peut-être que ça la rend plus belle aussi,
01:47puisque c'est un quotidien catalan qui titre un adieu épique avec une belle photo de la Miniamale.
01:53Il restait deux minutes pour Asse et puis même direction artistique pour Marca,
01:56mais pas exactement le même chronomètre qui dit qu'il restait une minute.
01:59Magnifique, une également.
02:01Alors, le scénario était fou, c'est peut-être pour ça aussi qu'on a eu...
02:032-0, puis 2-3, puis derrière victoire 4-3.
02:06C'est vrai qu'il y avait eu 3-3 en plus au match allé.
02:08Même Hitchcock n'avait pas imaginé un tel scénario.
02:11Point de vue italien, lui déroulait cette rencontre.
02:14Encore Rafinha, 3-2.
02:19Puta fuori dalla Champions League, dopo che il primo tempo era finito al 0.
02:22Guarda, cosa fa Barella, ragazzi.
02:24Lufris dalla destra, cross, frantesi!
02:27Non ci credo!
02:29A Cervi!
02:30A Cervi!
02:32A Cervi!
02:34A Cervi!
02:36A Cervi!
02:38Ça c'est la version caliente, puis il y avait aussi la version climatisée.
03:07et direction la Catalogne.
03:10Non, non, también sin pasar, tranquillo.
03:12El ballon para Danfries.
03:15Mira, gol de l'Inter.
03:17No hay falta de Danfries.
03:20Gol de l'Inter.
03:23Empat de l'Inter de Milan.
03:27Empat de l'Inter de Milan à Cervi.
03:29Alors, même ceux qui n'étaient ni pour l'un ni pour l'autre, ont vibré.
03:33Moi aussi, j'ai crié devant ma télé.
03:35Je ne suis ni pour l'Inter, ni pour le Barça, mais j'étais comme un fou.
03:37Et c'était la même chose du côté de CBS aux Etats-Unis.
03:39La chaîne où travaille un certain Thierry Henry.
03:41Finalement, les seuls qui n'ont pas vraiment apprécié, qui n'ont pas goûté à ce scénario
04:05et qui se situent du côté de Milan, c'est les neuneus qui ont dit à 3-2, on s'en va.
04:10On quitte le stade et puis quand ils ont entendu la clameur, ils ont voulu revenir pour la prolongation.
04:13Mais non, malheureusement, le billet avait été composté.
04:15Ils ne peuvent plus rentrer dans le stade.
04:16C'est la bêtise.
04:17Il y a eu des records dans ce match.
04:18Des records collectifs.
04:20D'abord, deux battus, puisqu'il y a eu 13 buts de marquer.
04:23C'est un record dans une double confrontation en demi-finale de Ligue des Champions.
04:27Avec le match entre Liverpool et la Roma, les deux équipes qui ont inscrit 3 buts à l'aller
04:31comme au retour dans une demi-finale, c'est la première fois que ça arrive dans l'histoire
04:35de la Ligue des Champions.
04:35Des records individuels.
04:37Également, Dumfries qui est devenu le premier joueur non attaquant impliqué sur 5 buts
04:41en demi-finale de Ligue des Champions.
04:43Rafinha également impliqué sur 22 buts en Ligue des Champions cette saison.
04:46C'est le record de CR7 qui est égalé avec sa prestation.
04:49Et il y a même eu des records financiers, puisque 14 millions d'euros ont été générés
04:53par cette rencontre en Italie.
04:55Eh bien, jamais en Italie, évidemment, dans ce pays-là, autant d'argent avait été
04:59généré par un match de football.
05:00Alors, pour un grand match, il faut aussi, Adrien Koub, des héros.
05:04La politesse, vous savez qu'on commence par qui ? Par le plus jeune, évidemment,
05:06la Miniamal, qui a choqué tout le monde, y compris les pro-madrilènes d'El Chiringuito.
05:11Il n'a pas marqué, mais on peut encore une fois résumer son apport par certaines statistiques.
05:34Par exemple, il a disputé 39 duels.
05:36Sachez que depuis Copta, où l'outil statistique collecte les données, soit depuis 22 ans,
05:41il n'y avait que Ricardo Quaresma qui avait disputé plus de duels dans un match à élimination directe,
05:45un porto-chalqueux en 2008.
05:47Il a réussi 14 dribbles.
05:48Seul Lionel Messi et Neymar en ont réussi plus dans un match à élimination directe de Ligue des Champions.
05:55Il a été incroyable, ce qui vaudra à la Gazeta, qui pourtant, évidemment, couvre avec un prisme plus intérisque cette rencontre.
06:02Ces mots-là, après Pelé, Diego et Léo, nous assistons à la naissance du nouveau phénomène mondial.
06:09C'est beau.
06:09Et Yann Sommar aussi, il a été monstrueux.
06:12Nommé homme du match par l'UFA, petit tour des télés avec, encore une fois, un montage de l'excellent Corentin Roland,
06:17pour vous montrer à quel point il a convaincu.
06:19C'est neuf pour Sébastien.
06:45C'est neuf également.
06:47Neuf.
06:48Neuf.
06:49Il a réalisé 14 arrêts sur la double confrontation, Yann Sommar.
06:54Sept à l'aller, sept heures au tour, histoire de ne pas faire de jaloux.
06:57Noté 9 sur 10 dans l'équipe, quand même, pour un gardien qui a encaissé trois buts, c'est extraordinaire.
07:01Eh bien, c'est 14 arrêts au total.
07:02C'est le deuxième plus haut total lors d'une double confrontation en demi de Champions depuis.
07:06Copta collecte ces données.
07:07Bref, il y a des records partout.
07:09Et puis encore un héros, le buteur du quatrième but, Fratézy.
07:11C'est parfait pour clore cette chronique.
07:14La déclaration qu'il a fait, évidemment, après sa joie extatique sur le grillage de San Siro,
07:18de Guizé Péméadza, pardon.
07:20J'ai tellement crié après le but que ma tête tournait et que je voyais tout en noir.
07:24J'ai eu de la chance de terminer le match parce que ma tête tournait.
07:27Moi, ma tête, elle tourne encore ce matin parce que j'ai conscience qu'on a assisté au match du siècle.
07:31Merci Adrien Courouble pour ce pourquoi.
07:34Amil, vous ne voulez pas applaudir Adrien ?
07:37Vous avez un doute sur le match du siècle ?
07:39Oui, mais je vous le dirai après.
07:40Non, maintenant.
07:41Non, je préfère garder le silence.
07:43Benoît, tu ne voulais pas préciser un truc sur l'arbitre ?
07:46Il n'en a pas parlé, c'est pour ça.
07:48Non, mais ça permet d'argumenter que c'est le match du siècle parce qu'il y a tout.
07:52Il y a eu des buts.
07:53On a vu clore aussi, sans doute en ce moment, le meilleur joueur du monde qui est l'Amin Yamal,
07:57qui, je pense, aura le ballon d'or.
07:59À moins que Poussmane Dembélé soit décisif avec le Paris Saint-Germain.
08:02Encore, parce qu'il a été à l'aller.
08:04C'est un peu le match, à mon avis, pour le ballon d'or.
08:07Et puis, effectivement, il y a eu l'arbitre qui était en dedans hier soir et qui n'a pas s'y fait.
08:11Pourquoi en dedans ?
08:12Vous aimez le Barça, hein ?
08:14Non, juste objectif, Greg.
08:16Mais pourquoi en dedans ?
08:16Sur Dumfries, il y avait faute.
08:18Sur Martine, il y avait faute.
08:20En même temps, il pouvait expulser aussi Inigo Martinez qui a dessoudé Dumfries, qui partait.
08:26Aussi, mais en tout cas, il n'y avait pas besoin.
08:30Il y a eu beaucoup de décisions litigieuses.
08:34contre le Barça hier soir.
08:36C'est mon avis.
08:37Effectivement, des décisions de l'arbitre polonais Simone Martignac qui ont du mal à passer parmi les rangs barcelonais.
08:43Flick ne s'est pas privé de donner son ressenti en conférence de presse après le match.
08:49Quand c'était du 50-50, les décisions étaient toujours en faveur de l'Inter.
08:54Mais c'est comme ça.
08:55C'est le football, on doit l'accepter.
08:58Le milieu de terrain barcelonais, Pedri, lui, s'est montré un peu plus offensif.
09:02Très en colère, Pedri.
09:03Ce n'est pas la première fois que ça se produit avec cet arbitre.
09:06Et je pense que l'UEFA devrait se pencher sur la question.
09:09Il y a des choses que je ne comprends pas et qui sont difficiles à expliquer.
09:13Pedri qui estime notamment que l'Inter n'aurait pas dû finir la rencontre à 11 après une faute de M. Kitarian sur la mine Yamal.
09:19Autre ressenti, les propos de Arsène Wenger, l'ancien entraîneur d'Arsenal, qui a estimé que Paokou Barci n'avait pas fait de faute sur l'attaquant de l'Inter, Lautaro Martinez.
09:29Je suis totalement opposé à ce genre de pénalty et je suis contre l'utilisation de ralentis à vitesse normale.
09:35C'est un excellent tacle et il est le premier sur le ballon.
09:38Pourquoi le touche-t-il ?
09:39Regardez ce que Lautaro Martinez a fait, il se penche vers lui, il cherche le pénalty, il sait qu'il ne va pas marquer là.
09:45Pour Wenger, il n'y a pas pénalty.
09:47Absolument, ça me paraît ouf de dire ça.
09:49L'objectif, il y a absolument...
09:51Il y a pénalty.
09:52À la vitesse réelle, ils disent ça, c'est vrai.
09:54Quand on regarde le ralenti, le ballon est bougé parce qu'il lui tape le pied.
09:57Puis après, c'est le jeu.
09:57Non mais c'est marrant parce que...
09:58Parce que Barcelone, à la remontée, il ne ralait pas après l'arbitre.
10:01C'est la première fois qu'Arsen tout d'un coup redevient entraîneur.
10:05Parce que d'habitude, il était toujours...
10:06Non mais il était toujours tout pour l'UFA et la...
10:09Non mais je comprends la déception.
10:12Ce n'est pas l'équipe qui a été la plus malheureuse sur les 25 dernières années, le Barça.
10:15Je comprends la déception.
10:16Comme le ré à l'avant.
10:17À un moment, ça suffit.
10:18Mais bien sûr que je peux le dire.
10:20D'abord, je peux le dire.
10:22Franchement, je vais vous le dire.
10:23Franchement, des matchs qu'ils ont gagné avec de l'arbitrage favorable, j'en ai vu mille.
10:27Mais je ne dis pas qu'une erreur compense une erreur.
10:29Je dis qu'hier, il n'y a pas vol.
10:31J'ai le droit quand il y a des débats, ce n'est pas un vol.
10:34Il dit juste qu'il y a eu des situations litigeuses qui ont été contre le Barça.
10:38Dites-moi, expliquez-moi comment Di Marco sort du match, il a mis des brins.
10:43Tout le match à l'ami Yamal, il sort, il n'a pas eu un carton jaune.
10:47Mais c'est des faits, Greg.
10:49Non mais Bastoni, il le prend à la 80e.
10:52Non mais attendez les gars, il y a une équipe qui défend forcément.
10:54Elle met un peu plus d'impact atlétique qu'une autre.
10:56Après, je pense qu'ils sortent grandit de ce match-là.
10:58Franchement, ce n'est pas l'arbitre qui nous fait 4-3.
11:01Je suis d'accord avec vous.
11:02Je vous dis juste qu'il y a eu des situations litigeuses contre le Barça, c'est tout.
11:05Après, l'Inter mérite largement sa victoire.
11:08Il n'y a aucun souci sur ça.
11:09Même s'ils sont éliminés concrètement, ils sortent grandit de ce match-là, le FC Barcelone.
11:14Je pense qu'ils resteront grands en restant fair-play.
11:19On a eu récemment leur adversaire de toujours, le Real, qui a été absolument ignoble dans son comportement.
11:25Et je pense qu'eux, à ce moment-là, également, ils en sont sortis grandis parce qu'ils ont joué au football, ils ont gagné.
11:31Là, ils ont joué au football, ils ont perdu.
11:33Pour moi, en tout cas, l'arbitrage, après, je peux entendre ce qu'il y a dit, il n'a pas impacté, clairement.
11:39Pour moi, ce n'est pas le fait.
11:40Je veux bien parce que je vous signale quand même que M. Marcignac, il avait quand même empêché une relance en finale de Coupe du Monde.
11:45Quand Kingsley Coman part, ils sont trois, on peut aller gagner la Coupe du Monde.
11:49Pardon, je dis on.
11:50On peut aller gagner la Coupe du Monde.
11:51Et là, hier, mais là, personne ne m'en parle.
11:53Hier, Barrella, il part.
11:55Il peut aller marquer, ça siffle à mi-temps.
11:58Pardon, ça, vous ne m'en parlez pas.
12:00Ça n'amène pas un but derrière, Greg.
12:03Mais on ne le sait pas.
12:05L'action dont vous parlez, l'arbitre, il ne regarde pas le jeu.
12:09Il a déjà tourné son dos.
12:11Parce qu'il est déjà en train de siffler, il annonce le match-là.
12:13C'est une erreur sur erreur.
12:15Franchement, il y a eu un 4-3, on fait 10 minutes sur l'arbitre, là.
12:19Oui, mais oui, non, mais bon, il n'a pas été bon.
12:23Ni pour, ni contre, mais je trouve qu'il n'a pas été bon.
12:26Je trouve qu'il n'a pas été tranquille dans ce match-là.
12:29Il n'a pas été serein, l'arbitre, c'est tout.
12:31Moi, je ne l'ai pas trouvé.
12:32Mais sur le jeu.
12:33Je vous ai entendu, on a un peu joué le jeu, là, tout ça, super.
12:35Mais à côté de ça.
12:36Mais le jeu, là, le match.
12:37Mais voilà, c'est ça qui est le plus beau.
12:39C'est ça qui nous a fait amener des sensations extraordinaires.
12:41Vous êtes levé hier quand il y a eu des bêtises.
12:42Ah, mais complet, mais complet.
12:43Je me suis levé, j'ai été triste parce que, là, j'avoue que je suis pro Barça, pardon.
12:49Pro Barça.
12:50Non, non, ça, c'est compliqué.
12:52Mais là, j'étais triste à l'égalisation.
12:54J'étais triste.
12:55Je ne comprenais pas.
12:56J'en voulais à toute la défense parce que, pour moi, ils ont mal défendu.
12:59Mais on a vécu un match, mais absolument grandissime, suffisant.
13:02Un aller-retour.
13:03C'était génial.
13:05Mais même, tu te rends compte, il y a des moments, même toi, tu es au plus bas du plus bas.
13:09Alors, quand tu es supporter du Barça, quand ils sont menés 2 à 0, ils reviennent en 9 minutes.
13:14C'est génial.
13:16Ils y mènent.
13:16Mais comme tu l'as dit, on a vécu un truc que tu te rends compte.
13:20C'est pour ça qu'on se retrouve tous les soirs, qu'on parle foot, qu'on s'engueule un peu, mais ce n'est pas bien grave.
13:24Depuis le début d'année 2025, franchement, en Coupe d'Europe, on est gâtés.
13:27Parce que, vous savez, dans l'équipe, on note les matchs avec les étoiles.
13:315 étoiles, 6 étoiles.
13:33Alors, le match hier, il a reçu la note de 5 étoiles.
13:36Très radin, hier.
13:37Il y a eu 2 6 étoiles, finalement, en 2025.
13:40Le PSG City et le Manchester United de Lyon.
13:42On peut prendre cela de manière très positive en se disant, mais on est gâtés en Coupe d'Europe cette saison.
13:47On a des matchs de l'équipe.
13:47On a toutes les séries.
13:48Mais les meilleurs, ça vaut 7 étoiles.
13:50Facile, tranquille.
13:52Hier, les copains du journal, on en a plein qui viennent.
13:54On les adore.
13:54Ce n'est pas une question de faire une guerre intra-équipe.
13:56Mais là, 5 étoiles, vous êtes des énormes radins.
13:59Là, vous êtes des énormes radins.
14:01Des radinos, quoi.
14:02Là, vous êtes des radinis, même.
14:04Là, vraiment, non.
14:05C'est non, ça.
14:07On est passé par tous les états.
14:09Le scénario, il était exceptionnel.
14:12Même des gens qui ne supportaient pas ni le Barça ni le Inter.
14:15Tout le monde s'est régalé.
14:16Mais moi, j'étais totalement neutre.
14:17J'étais comme un fou devant ma télé.
14:18Parce qu'en fait, on a vu du vrai football.
14:21On a vu des buts.
14:22On a vu Yamal qui nous a...
14:24Enchanté.
14:25Qui nous a enchanté.
14:26Enchanté.
14:26Il n'y a pas d'autre mot.
14:27Yamal, on voit quelque chose qu'on voit nulle part ailleurs.
14:30On voit...
14:31Alors, moi, j'étais fou.
14:32Mais à Serbie, qui marque...
14:34Qu'est-ce qu'il fait devant ?
14:35Qu'est-ce qu'il fait là ?
14:36Le truc le plus incroyable.
14:38Il n'y a pas le droit.
14:38Non, mais qu'est-ce qu'il fait là ?
14:39Et même Simone Inzaghi, tiens, je vais vous voir en tant que coach là-dessus.
14:42Hier, quand même, à un moment, ils sont morts.
14:44Il y a une domination folle du Barça.
14:46On se dit, c'est sûr, il va en prendre un.
14:47Il fait des changements qui réoxygènent l'équipe.
14:49C'est mon sentiment.
14:50Vous allez me dire s'il vous validez ou pas ça.
14:52Et derrière, ces gars-là lui rendent.
14:54Et lui, ils étaient 12 avec lui tellement il bougeait devant ce terrain.
14:57Ah ben ça, il bouge.
14:58Il va au poteau de corner.
14:59Il rentre sur le terrain.
15:00Il est même rentré sur le terrain.
15:02Il n'a pas de carton d'ailleurs.
15:03Les Italiens font toujours le droit.
15:05Non, mais c'est extraordinaire.
15:07Il sort de la zone.
15:07Il va n'importe où.
15:08Mais est-ce qu'il donne du souffle là ?
15:10C'est lui qui a pris un carton, c'est flic.
15:12Vous allez commencer sans Marcinien.
15:14Moi, j'allais vous...
15:15Mais je ne sais pas ce qu'il me prend d'aller demander à Raymond De Menem
15:18de glorifier un entraîneur italien.
15:20Mais je vis dans le monde des bisounours.
15:22Il aurait pu être argentin.
15:23C'était pareil.
15:24Le mec qui sort de la zone, qui rentre sur le terrain.
15:25Ah, c'est pas grave.
15:27Et il s'en sort.
15:28Moi, je dis bravo.
15:28Ils ont raison.
15:29Et pourtant, quand tu te souviens, il faut un...
15:31Je suis d'accord.
15:33Ah, merci.
15:33Il a ramené quelque chose.
15:34Il a changé l'équipe.
15:35Merci.
15:35Il a enlevé deux joueurs au milieu qui commençaient à...
15:38Qu'on fait 70 minutes et qu'il n'y avait plus de piles.
15:40Mais oui, mais il a un effectif pour ça.
15:41Et c'est son boulot, quand même.
15:42Ah, je trouvais que la profondeur de banc n'était pas folle.
15:45Et que les gars sont bien rentrés.
15:47Et surtout, il y a des joueurs, quand même, qui ont joué diminué.
15:49Parce que quand on entend ce que dit Lotharo Martinez,
15:51bon, il a un peu donné son corps à la science, quoi.
15:53Concrètement, dans un monde normal...
15:54Un but, un pénalité provoqué.
15:56Oui.
15:57Dans un monde normal, il ne joue pas, en fait.
15:59Non.
15:59Non, mais par contre, parce qu'on parlait du ballon d'or,
16:01Lotharo Martinez, dans la série très sous-estimée.
16:03Je sais bien que Yamal mérite, tout ce que vous voulez,
16:05Dembélé a marqué en demi-finale.
16:07Mais attendez, si l'Inter gagne,
16:09il faut qu'il soit.
16:10À son niveau, par exemple, parce que c'est vrai que...
16:12Moi, je refuse de l'éliminer, en tout cas.
16:13Yamal, il a mis une claque, en fait, globalement.
16:15Mais à son niveau, Lotharo Martinez,
16:17pour clairement espérer gagner le ballon d'or,
16:20c'est comme...
16:21Il doit en faire un peu plus.
16:22C'est-à-dire qu'il doit coller un doublé ou un triplé en finale.
16:24Ce que n'a pas besoin de faire.
16:26Par exemple, il a mis Yamal.
16:27Puisque, de toute façon, il n'y en a que pour lui, là.
16:29C'est quand même marrant que chaque fois qu'on parle du ballon d'or,
16:32il faut systématiquement mettre en avant un attaquant.
16:35Pourquoi ?
16:36Pourquoi ?
16:37Expliquez-moi.
16:38Pourquoi Sommer ne pourrait pas avoir le ballon d'or ?
16:40Parce qu'il n'a pas 40 matchs références.
16:42Il n'y a pas le ballon d'or sur un match.
16:44Il n'a pas 40 matchs références.
16:45Mais il a été génial.
16:46Ce qu'il a fait, c'est génial.
16:48On est tous d'accord.
16:49Non, mais attends.
16:49On peut être sérieux deux ans.
16:50Pourquoi on peut être sérieux ?
16:52Mais vous êtes d'un ou quoi ?
16:53Qu'est-ce qu'il a fait, le tarot ?
16:54Parce qu'il a marqué 12 nuls.
16:55Non, tu ne peux pas dire ça.
16:56Arrêtez un peu.
16:57Tu ne peux pas dire ça.
16:58Mais non, mais...
16:59Je vais vous faire un bisou.
17:00Non, non, mais non, je n'en veux pas.
17:01Mais non, je n'en veux pas.
17:03Non, non, non.
17:03Moi, je suis désolé.
17:05Là, moi, je retrouve ma vieille place.
17:08Je suis bien.
17:08Oh, t'es bien.
17:09Là, vous m'avez fatigué.
17:11Oui, t'es bien.
17:11Là, vous m'avez fatigué.
17:13Non, mais me dire dans cette émission
17:14pourquoi il y a un sommet, pardon,
17:17je pourrais avoir le ballon d'or et pas le temps.
17:23C'est un truc de fou.
17:24Il y en a un qu'on oublie un petit peu
17:26et que moi, j'aimerais souligner.
17:28C'est ce que fait Pedri.
17:29Je trouve que c'est un joueur extraordinaire.
17:31Il était dans la discussion.
17:33Tout ce qu'il fait est juge.
17:34Il ne perd jamais un ballon.
17:35Il sait défendre.
17:37Pour moi, il est au milieu de terrain.
17:39Je ne connais pas beaucoup de joueurs de ce talent-là.
17:41Et ta liste qui est irréprochable aussi.
17:44Quand t'as son poste, il faut tout gagner.
17:46Oui, c'est ça.
17:47Et en tout cas, on s'est régalé.
17:48Un dernier mot ?
17:48Un dernier mot, Greg.
17:49Il faut le souligner parce qu'il fait partie
17:52de l'équipe de France.
17:54Marcus Hiram a fait un énorme match hier soir
17:56et je pense que ça lui a fait du bien.
17:57Et on a pu voir aussi à quel niveau
17:59il pouvait être.
18:01Il faut le souligner.
18:02Un dernier mot aussi.
18:03Je voulais parler de l'arbitrage, moi.
18:05Merci Adrien Corot pour ce pourquoi.
18:08Cette Inter-Barça de légende.
18:10Double confrontation avec tout.
18:12Évidemment, on a un chouïa surjoué.
18:15Mais il y avait tout.
18:15Il y avait du foot.
18:16Il y avait de l'arbitrage.
18:17Il y avait de l'émotion.
18:18Il y avait peut-être de l'injustice.
18:20Il y avait des retournements de situation.
18:21C'est le foot qu'on aime.
18:23Ce pourquoi on se retrouve chaque soir
18:25de 18h20 à 21h.
18:27Bon, il est 19h21.
18:29On joue ?
18:29On joue ?
18:30Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations