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00:00On a plein de choses à faire, on va reparler du sondage des présidentielles et puis il y a Bruno Rotaillot, vous avez vu, vous avez vu qu'il souhaite un référendum sur l'immigration et tout d'accord, on va peut-être en parler, voilà on verra avant la fin de l'émission, pour le moment, place, bien sûr, à la chronique de Fabien Lecœur.
00:18C'est merveilleux ! Et le voilà, il est terminé.
00:22Pour une fois que tu l'as annoncé, il nous parlera, bien entendu, il nous parlera dans un instant, il nous parlera de Maïbrante.
00:28Merci d'être avec nous sur Europe 1, allez, on va revenir sur ce sondage, choc, sondage choc, parce que c'est vrai qu'il y a énormément de gens qui ont parlé de ce sondage, alors et ce sondage apparemment, Olivier d'Artigol, vous allez nous le redire dans un instant, voilà, il a été un petit peu mis à mal, mais bon, voilà, mais ça c'est toujours comme ça, vous savez, dès que vous faites quelque chose, vous êtes décrié, quand vous faites rien, c'est sûr que vous n'êtes pas décrié, ça c'est bien sûr, c'est toujours ceux qui font rien, qui prennent le moindre risque d'être décrié.
00:55Le boxon au RN, ce sondage.
01:25Vraiment, l'entourage de Marine Le Pen n'a pas du tout aimé cette manière de procéder, et ils ont s'y fait la fin de la récréation, plus personne ne doit parler de tout ça.
01:34Oui, mais sauf que, pardon Gauthier, toi qui observes la vie politique française, on a parlé le 1er mai des échauffourés des manifestants, mais on n'a pas parlé du gros Barnum qu'il y avait eu aussi avec...
01:43A Narbonne.
01:43A Narbonne, exactement, et tu as pu le constater, Marine Le Pen est arrivée en tribune, enfin sur la tribune comme ça, en parlant vraiment des juges, du deux poids deux mesures, de l'injustice et tout.
01:53Qui vous a volé l'élection.
01:54Voilà, exactement, un peu sous des airs un peu trumpistes, alors que Bardella, lui, il était sur le programme, il s'est fait applaudir dix fois plus que Marine Le Pen, sur l'économie, sur le pouvoir d'achat.
02:04Donc lui, il était déjà, il se projetait déjà, et elle, elle était beaucoup plus tendue, un peu amère et un peu aigrie, et je pense qu'effectivement, Jordan Bardella est en train de la jouer solo.
02:13Oui, il est en train de jouer sa carte, exactement, très clairement.
02:15Alors, ce n'est pas lui qui a commandé le sondage, déjà, il est en train de la jouer solo, il n'est pas responsable de ce sondage.
02:21Il n'est pas responsable de ce qui est arrivé à Marine Le Pen.
02:23Il faut que ça reste quand même un institut de sondage sérieux de Frédéric Dhabi.
02:26Mais à la plus dix mètres, il a emporté largement sur Marine Le Pen.
02:27Et après, il est vrai que ce sondage est plus favorable à Jordan Bardella, mais c'est le résultat 50-50 face à Édouard Philippe, alors que Marine Le Pen perdrait une nouvelle fois face au candidat centriste.
02:36Donc, on sent effectivement un peu d'énervement du côté du clan Le Pen.
02:40Et je rappelle que la semaine dernière, à l'Assemblée nationale, alors que Jordan Bardella a dit « je serai le candidat de Marine Le Pen si elle est empêchée »,
02:47Marine Le Pen a répondu « je peux aussi passer sous un bus ».
02:50Et effectivement, Jordan Bardella sera, dans ce cas-là, le candidat du RN.
02:53L'air de dire « il y a quand même peu de chances que je sois inéligible », alors qu'il y a énormément de chances, malheureusement pour elle.
02:58On a dit ce qu'on en pensait ici, et moi j'ai dit qu'à mon avis, il ne fallait pas choisir à la place des Français.
03:02Mais c'est ainsi fait, elle a quand même une grande probabilité de ne pas être sur la ligne de départ en 2027.
03:08Donc forcément, vous avez un Jordan Bardella...
03:09Qui s'y prépare.
03:10Qui s'y prépare, c'est logique.
03:11Il doit être empêchée le plus vite possible.
03:13Ce qu'elle demande, c'est que personne ne puisse envisager qu'elle ne puisse pas être candidate.
03:20Procès en appel avant l'été prochain.
03:23Sauf que tout le monde l'envisage.
03:24Et si jamais elle s'est confirmée, un congrès du RN à l'automne qui suivra.
03:31Donc pour elle, c'est ce calendrier, il ne faut pas en bouger.
03:33Oui, sauf que tout le monde l'envisage.
03:34Je sais bien.
03:35Bah oui, c'est humain, c'est logique.
03:37La politique dans ces moments-là.
03:37Bah oui, vous avez vu que ce que me disait un pote hier, c'est que la sortie de Marine Le Pen, dont l'échiquier politique, franchement, vous avez vu que ça n'a pas, mine de rien, c'est passé.
03:49Parce qu'elle a un héritier putatif.
03:51C'est vrai.
03:51Donc à partir du moment où elle a un héritier...
03:53Bah, secouer plus que ça, je suis désolé.
03:55Non, les gens se font, il y a une forme de résignation.
03:57C'est comme la fin de C8.
03:59C'est exactement ce que j'allais dire.
04:00C'est vrai, c'est fou.
04:02Vous voyez, les gens se font à tout.
04:03Il y a une résignation.
04:04C'est comme les règles du Covid qui ne s'arrêtaient jamais.
04:08Alors que tout le monde...
04:09Le premier, je ne parle pas du premier confinement, ni du premier couvre-feu.
04:12Je parle de quand on était au quatrième couvre-feu et qu'on a été reconfiné deux ou trois fois.
04:17Au bout d'un moment, il faut quand même se dire les choses.
04:18Tout le monde en avait ras-le-bol en se disant qu'il faut se faire une auto-attestation.
04:20Il y avait une forme de résignation, là aussi.
04:22Au-delà de la résignation, j'ai une interrogation que je partage avec vous à voix haute.
04:25Est-ce que, tout simplement, ce n'est pas aussi le fait qu'elle avait cet héritier qui est là ?
04:29Ça n'aurait peut-être pas été la même si, effectivement, il n'y avait pas un héritier aussi évident en seconde.
04:35C'est pour ça que moi, quand j'entends sur les plateaux télé parfois nous dire
04:38« Si Marine Le Pen n'est pas candidate parce qu'elle est inéligible, il y aura beaucoup de remous en interne. »
04:42Rien du tout.
04:43Vous pensez que quelqu'un d'autre va aller prendre la place de Marine Le Pen que Jordan Bardella,
04:46alors qu'il a des sondages pareils, ça va être réglé en 48 heures, lors de ce fameux congrès.
04:51Il y aura un candidat de paille à côté pour qu'il fasse 80% et pas 100%.
04:56Ça me rappelle un petit peu ce qui était passé avec Gaspard de Fort-Bain.
05:03Cet homme politique français.
05:05C'est exactement pareil.
05:07On s'appelle-t-il ?
05:08Gaspard de Fort-Bain.
05:09Gaspard de Fort-Bain.
05:09Il a monté un groupe après les...
05:10Les Fort-Bain ?
05:11Oui.
05:13Chantez, danse, c'est mettez basket.
05:15Merci, c'est sympa, tu verras.
05:17Viens, surtout, n'oublie pas.
05:18Merci.
05:19On va en parler dans un instant avec nos auditeurs.
05:2201, 80, 20, 39, 21.
05:26Europe 1, 16h, 18h.
05:28On marche sur la tête.
05:29Cyril Hanouna.
05:3117h11 sur Europe 1.
05:32On est en direct, bien entendu.
05:34Est-ce qu'on peut...
05:35Je peux demander aux équipes ?
05:36Parce que je vais noter un petit peu les pronostics de chacun.
05:38d'avoir un crayon à papier.
05:39Comme ça, je pourrais quand même effacer, bien entendu, un crayon à mine, s'il vous plaît.
05:44Et d'ailleurs, parlant du crayon à mine, je voudrais avoir une pensée,
05:47aujourd'hui, à 17h00 sur Europe 1, pour Nicolas-Jacques-Comté,
05:50qui est l'inventeur du crayon à mine moderne pendant la Révolution.
05:54C'est un peu scientifique.
05:54Lui, voilà, merci.
05:57Effacer d'un trait de gomme.
05:59Voilà, exactement.
06:01J'embrasse aussi, tiens, Charrette de la Comterie.
06:04Voilà, j'embrasse aussi.
06:05Qui a inventé quoi ?
06:06Ce célèbre royaliste vendéen, chef carismatique des guerres de Vendée.
06:09Ah oui, Charrette.
06:10Ah oui, Charrette.
06:10Bien sûr, Charrette.
06:11Bien sûr.
06:12Il faut voir le film Vaincre ou Mourir, produit par Philippe de Villiers.
06:16Exactement.
06:18Alors, il y a pas mal de gens qui me disent, Nicolas-Jacques-Comté,
06:20est-ce qu'il a à voir avec le fromage pas dur ?
06:23La pas dur.
06:25Bien entendu que non.
06:27Et les gens me demandent.
06:29C'est important de préciser.
06:30C'est non.
06:30C'est pas le plus un de M. Roblochon.
06:32C'est un grand nom.
06:33C'est un grand nom.
06:33Je connais sa cousine Belle Deschamps que j'embrasse.
06:35Mais voilà, c'est tout.
06:37On ne va pas non plus en faire tout un fromage.
06:39Merci.
06:41Géraldine Maillet.
06:41Et dans un instant, vous nous donnerez votre pronostic.
06:45Deuxième tour, plus le gagnant.
06:46Pour le moment, on va regarder un petit peu le paysage.
06:52Avec plaisir.
06:53Le paysage.
06:55On va démarrer par Védérée Bédéine.
06:57Après, j'aurai des auditeurs en ligne.
06:59Vous voyez pas ?
06:5901, 80, 20, 39, 21, sur Europe 1.
07:02Il y a le standard, il y a Shannon qui est là.
07:03Shannon qui est le nom du nom de la célèbre boîte de nuit.
07:07Il y a une boîte de nuit qui s'appelle Shannon ?
07:08J'y pontoise, le Shannon.
07:09C'est fou parce que vous êtes tellement écliptique dans vos savoirs.
07:13Et il y a le lac en Irlande.
07:14Le lac, le Shannon en Irlande.
07:15C'est un lac, bien sûr.
07:16Ça vous a été soufflé, ça ?
07:19J'ai eu la chance d'aller en Irlande.
07:22Ah oui ?
07:22Sur du Shannon ?
07:24Exactement.
07:24C'est fou, ça.
07:25Vous avez fait de la pêche dans le...
07:26Mon père est un côté irlandais.
07:28Ah oui ?
07:28Oui, il s'appelait Mahmoud Shetland.
07:33Merci.
07:34Oui.
07:35Valérie Bédéine.
07:35Alors, mon pronostic à l'instant T, bien évidemment.
07:38J'imagine un duel Edouard-Philippe, Jordan-Bardella.
07:42Et contrairement au sondage, je donne gagnant Edouard-Philippe.
07:46Très bien.
07:47Sur cette configuration-là.
07:48Très bien.
07:48Et voilà.
07:49Alors, c'est le choix de Valérie.
07:51Vous l'avez pas noté, c'est mon pronostic.
07:53Valérie Bédéine, je le note.
07:54Bien entendu, j'ai mon crayon HB.
07:56Merci.
07:58Monsieur.
07:59Ah.
08:00Monsieur d'Artigol.
08:01Mélenchon, Edouard-Philippe, victoire d'Edouard-Philippe.
08:04Ah, tu penses que Mélenchon va arriver au second tour ?
08:07Je pense que...
08:08Alors, vraiment, écrit...
08:09Non, c'est pour ne pas...
08:10Si, non, c'est bravo.
08:11Parce que j'aime bien, je prenais un risque.
08:12Mais c'est audacieux.
08:13J'aime bien.
08:14Je préfère ça.
08:15Et tout ça est appuyé.
08:17Même si c'est n'importe quoi.
08:18Sur une réflexion qui s'interroge sur la solidité politique
08:23d'une campagne présidentielle qui est une véritable lessiveuse
08:27pour Jordan Bardella.
08:28Mais ça arrive un peu tôt.
08:29Je théorise donc.
08:31Je me trompe très certainement qu'il peut se déliter.
08:33Si ce que vous dites là arrive, écoutez-moi bien ce que je fais.
08:37Encore une là-haut.
08:39Écoutez-moi.
08:40Je me coupe tout.
08:43Et je vous les mets à la place de vos lunettes.
08:44Non, non, non.
08:47Parce que pour qu'ils y voient...
08:47Je peux reformuler alors ?
08:49Ah non, non, non.
08:49Vraiment, non.
08:50Tu penses que le peuple de gauche, dans son ensemble, va porter Jean-Luc Mélenchon au second tour ?
08:56Mélenchon, on en a...
08:57Y compris avec aujourd'hui les uns et les autres que tu entends.
08:59Il connaît la mécanique de la présidentielle.
09:01Il connaît son timing.
09:02C'est une horlogerie.
09:04Il peut être à touche-touche et sur la dernière ligne droite prendre 5-6 points rapidement.
09:08Je sais ça.
09:09Je l'ai vécu.
09:10Je suis d'accord avec Olivier.
09:12C'est à qui ? C'est à Géraldine ou c'est à moi ?
09:13Il n'y avait pas eu 7 octobre.
09:14Je pense qu'il garde le meilleur pour la fin.
09:15Donc du coup, ce sera à moi.
09:16Bien sûr.
09:17C'est vous Géraldine.
09:18Alors donc, malgré un bilan que tout le monde estime médiocre d'Emmanuel Macron,
09:25il garde quand même, je crois, 26% d'opinion favorable.
09:28Donc 26% d'opinion favorable, c'est quand même, pour moi, un niveau de ticket d'entrée
09:32pour aller au deuxième tour.
09:34Donc je pense que dans ce cadre-là, ce sera donc Édouard Philippe qui sera au deuxième tour.
09:39Je pense que ça ne peut pas être Retailleau parce qu'il reste quand même ministre de Bayrou,
09:43qui reste très très impopulaire.
09:44Il reste en poste tout en étant plutôt inefficace.
09:49Et on ne l'entend absolument pas sur les choses comme le pouvoir d'achat.
09:52On n'entend que sur la sécurité.
09:53Parce que pour l'instant, il joue au parti.
09:55Oui, mais il n'est pas connu.
09:57Certes, mais il n'est pas connu d'autre chose.
10:01Pour l'instant, il joue au parti de la présidence du parti.
10:03Oui, très bien, mais je pense qu'il sera donc disqualifié.
10:08Ensuite, je pense que Jean-Luc Mélenchon n'y arrivera pas parce qu'il y a des livres
10:10qui sortent en ce moment, dont l'excellent livre La Meute, qui est un peloton d'exécution.
10:16Ça ne touche rien.
10:16Même le service public en parle, même les France Inter, France Info et tout ça.
10:21Mais alors, ça ne touche rien.
10:22Je pense que les gens de gauche, même si les jeunes un peu excités vont voter pour lui,
10:29je pense que les gens de gauche laïcs, républicains, respectueux de certaines valeurs régaliennes
10:33n'iront pas malgré tout participer à cette sorte de mascarade de Jean-Luc Mélenchon.
10:38Ça, c'est mon avis.
10:39Donc, je donne Édouard Philippe et Bardella,
10:41parce que je pense que Bardella est trop haut tout de suite dans les sondages.
10:47Et je pense qu'à la fin, ce sera Édouard Philippe.
10:50Ok, ça se tient.
10:51Édouard Philippe.
10:53Très bien, merci.
10:54Ah, Gauthier Lebré.
10:56Moi aussi, je vais faire un peu d'originalité, comme Olivier.
10:59Moi, je vois la polarisation de la société française.
11:03Je crois que vous allez dire la même chose que moi.
11:04Bah voilà, peut-être.
11:06Est-ce que vous allez dire la même chose que moi ?
11:08Bah, c'est possible.
11:08Alors, je vais le dire dans l'oreille de Valérie Benahim.
11:10Alors, on abonne, s'il vous plaît, parce que j'ai l'air.
11:13Il faut qu'on l'a dit dans la même oreille de Valérie Benahim.
11:16Non, c'est pas vrai, ça aurait pas arrivé.
11:17On a pris la mauvaise personne.
11:18Voilà, alors, tiens.
11:20Écrivez-le.
11:20Non, je vais lui écrire, je vais lui écrire ce que je vais dire.
11:22Oh là là, j'espère qu'il va dire la même chose.
11:26Vous êtes complètement visionnel.
11:27On ne s'est pas du tout concerté, en plus.
11:29C'est vraiment de l'improvisation et du direct.
11:32Tiens, venez là, tiens, venez là, Benahim.
11:34Venez là, Benahim.
11:35Bien sûr.
11:36Là, c'est un petit peu les amours en direct.
11:38D'accord.
11:39Alors, Cotier, je vous écoute.
11:40Donc, moi, je vois cette polarisation de la société française.
11:43Je vois ce risque de division qui va morceler le bloc central et le bloc post-présidentiel,
11:50d'Emmanuel Macron.
11:51Donc, les fameux 26% qui pourraient se répartir entre Attal, Édouard Philippe, pourquoi
11:56pas Gérald Darmanin, puisqu'il semble y avoir un désamour entre Darmanin et Édouard Philippe,
12:00alors qu'il y avait un ticket.
12:01Donc, tout ça affaiblit la qualification au second tour et morcelle les voix du centre.
12:07Je vois une candidature commune des écologistes et du PS sans LFI, mais donc, je pense
12:12que comme Olivier, à la fin, Jean-Luc Mélenchon est beaucoup plus fort que tous les autres.
12:17Jordan Bardella, pour moi, il y a un boulevard, que ce soit Marine Le Pen ou Jordan Bardella,
12:20il y a un boulevard pour le RN.
12:22Donc, je vois un second tour RN-LFI.
12:26Jordan Bardella, Jean-Luc Mélenchon.
12:28Et je ne vois pas une victoire écrasante de Jordan Bardella, parce qu'il y aura le
12:32même cirque antifasciste qu'on a eu la dernière fois, il faut faire barrage, etc.
12:36Sauf que ça marchera quand même, à mon avis, moins bien.
12:38Donc, à la fin, je vois une courte victoire de Jordan Bardella.
12:41Voilà.
12:42S'il faut être un peu original.
12:44Pas mal.
12:45Puis-je dire ce que j'ai lu, moi, sur votre...
12:47Bien entendu.
12:48Bien, Gauthier, tu as eu exactement la même idée que Cyril Hanouna.
12:52Voilà.
12:53C'est émouvant.
12:54Et même pour l'issue ?
12:55C'est émouvant.
12:55Non, je n'ai pas donné l'issue.
12:56Il n'a pas donné l'issue, vous avez donné le deuxième tour.
12:58Il n'a pas donné l'issue.
12:59Je n'ai pas donné l'issue, non, mais c'est vrai que c'est...
13:01Voilà, donc, vous avez vu, c'est assez...
13:03À part d'Artigol, je ne sais pas où il...
13:06Qui a pris un risque, bravo à lui, d'ailleurs, Olivier, j'aime bien.
13:08On en a un sur deux en commun, au second tour.
13:10Bien sûr.
13:11Non, non, mais c'est vrai que, bravo...
13:12Donc, ça veut dire que pour vous, le scénario d'un Mélenchon au second tour est probable ?
13:17Possible.
13:18Possible.
13:18Dans un climat de crise politique, de choses qui s'enflamment, d'un débat détestable, oui, bien sûr.
13:25De violences ?
13:26Oui.
13:27Écoute, personne n'avait vu le NFP terminer en tête des élections législatives.
13:31Je suis d'accord.
13:31Ils n'ont pas eu la majorité absolue, ils n'ont pas eu Matignon.
13:34La différence entre une présidentielle et une législative, c'est qu'une législative, t'es sur des listes, etc.
13:38Non, non, je ne suis pas d'accord.
13:39Présidentielle, c'est un homme.
13:39Non, t'es pas sur des listes, aux législatives.
13:41C'est les européennes, t'es sur des listes.
13:42Pardonne-moi.
13:43C'était des seconds tours quand il y a rien des RFC.
13:45C'était exactement la même configuration.
13:47Non, mais là, c'est la rencontre d'un homme avec un peuple, la présidentielle.
13:50Là, c'est exactement pareil.
13:51Mélenchon, je ne suis pas sûr qu'il rencontre le peuple de France.
13:53Et c'est ça qui a fait que...
13:54Donc Jean-Luc Mélenchon arriverait sur le perron de l'Elysée, on y croit, ça ?
13:57Ah non, je t'ai dit, il se fait battre par Bardella.
13:59Ok.
14:00Il se fait battre par Bardella.
14:01Mais pas 68 pour Bardella, tu vois, ou pas 70 pour Bardella.
14:06Avec Jordan Bardella, qui aura donc quel âge ?
14:08Il n'aura pas encore 30 ans ?
14:09Il aura 30 ans.
14:10Il aura 30 ans.
14:11Un peu plus, puisqu'il est né en 95.
14:12Il aura 31.
14:13Il n'ira sur ses 31, il est né en...
14:14Donc Emmanuel Macron serra la main à Jordan Bardella, qui aura à peu près 10 ans, 12 ans de moins que lui.
14:20Et qui battra son record.
14:2120 ans.
14:2120 ans ? Il a déjà 50 ans, Emmanuel Macron ?
14:23Il va avoir 50 ans.
14:24Ah ouais ?
14:24Il quittera l'Elysée, il aura 49 ans.
14:26Ah oui, il a été élu à 79.
14:27A force d'être jeune, en fait, il est presque 15 ans.
14:30Il a fait 2 mandats.
14:31Oui, bien sûr.
14:32Eh bien, écoutez, très bien.
14:34J'y crois pas non plus.
14:35Voilà.
14:36Mais après, c'est de la croyance.
14:37Alors, il y a justement, il y a Lionel qui est avec nous, Lionel de Bretagne.
14:40Quel bonheur d'avoir des bretons à l'antenne.
14:43Ah oui.
14:43Merci, Lionel.
14:44Comment va-t-il, Lionel ?
14:46Ça va bien, merci.
14:47Écoute, vraiment, félicitations à tous, là, pour l'émission.
14:52Merci, Lionel.
14:52Non, non, non, je parlais de Géraldine et Valérie.
14:55Ah oui, très bien, merci.
14:57Merci, Lionel.
14:58Merci, non, mais c'est bien.
14:59C'est vrai qu'elle sait bien qu'elle soit là.
15:01C'est important qu'il y ait des gens qui...
15:03Non, mais je suis complètement d'accord avec vous, Lionel.
15:05Moi, et d'ailleurs, je vais les augmenter.
15:09Grâce à vous, Lionel.
15:10Si je peux prendre un petit pourcentage.
15:12Avec grand plaisir, Lionel.
15:13Avec grand plaisir, vous le méritez.
15:14Et Lionel, tu peux venir au déjeuner ?
15:16Il sera.
15:17Il sera au déjeuner.
15:18Ah ben, j'espère.
15:19Si je suis invité, ça serait avec grand, grand plaisir de venir.
15:24Mais en tout cas, bravo à tous.
15:28Même Olivier d'Artigol, qui est un ex-PC, quoi.
15:32Donc, bon, pauvre.
15:33C'est sûr.
15:34Je pense qu'il va pleurer, mais bon.
15:35Mais bon, voilà.
15:38Désolé.
15:40Il n'y avait pas été détonné, Lionel.
15:41Lionel, qu'est-ce que vous pensez de tout ça ?
15:43Oui, pardon.
15:44Oui, pardon, vous disiez ?
15:45Vous pouvez parler de ce que vous voulez, Lionel.
15:47Même de vous, avec un grand V, ça ne me dérange pas.
15:49On aimerait bien ça.
15:50Vous voulez parler de quoi ?
15:50Vous voulez parler de...
15:51C'était mieux avant ou du sondage ?
15:54Moi, j'avais parlé de...
15:55C'était mieux avant, mais bon, après, on peut parler d'autre chose.
15:58Pour le parti C'était mieux avant,
16:01c'est ce que je disais à votre collaboratrice,
16:02c'est qu'en fait, ça va dépendre vraiment du regard qu'on a,
16:06de son regard, de son histoire.
16:08Moi, j'ai 65 ans.
16:10Donc, voilà, je suis assez vieux.
16:12Et je me souviens qu'on parlait de...
16:15C'est vrai, c'est une réalité, mais c'est bien, je suis content.
16:19Moi, j'avais des gens qui me disaient
16:20« Oh, j'ai 60 ans, ça m'emmerde »,
16:21je leur disais « Mais vous savez, j'ai des copains qui ne sont pas arrivés à cet âge-là ».
16:23Et donc, ça les calmait un peu.
16:25Donc, ils leur disaient « Tant mieux que vous ayez 60 ans. »
16:29Voilà.
16:29Donc, je n'ai pas de problème sur mon âge.
16:31Mais ce que je veux dire, c'est que moi, quand j'étais plus jeune,
16:34j'allais à l'école primaire.
16:35J'avais peut-être 7 ans.
16:36J'y allais tout seul.
16:37J'habitais à Nantes.
16:38Alors, ce n'était pas terrible, mais à l'époque, c'était super bien.
16:42Et franchement, j'allais à l'école tout seul en primaire.
16:44Et j'avais, je pense, j'étais peut-être à 800 mètres ou 900 mètres ou un kilomètre.
16:49Et je retrouvais les copains, etc.
16:50Il n'y avait zéro problème.
16:51Donc, toutes ces choses-là, c'est vrai.
16:53En plus, moi, je suis un passionné de la conquête face américaine.
16:56J'avais des regards complètement dingues.
16:58J'ai vu les premiers passes d'Amstrong, etc.
17:00Donc, ce côté-là, oui, c'était mieux avant, mais c'était mon histoire.
17:04Et c'est mon regard sur mon histoire.
17:05Donc, effectivement, j'entends bien les...
17:08Effectivement, au niveau médecine, on a bien amélioré, etc.
17:11Au niveau réseaux sociaux, je ne suis pas si sûr que ça soit mieux maintenant.
17:15Au point de vue des accidents de la route, moi, je me souviens qu'on faisait des kilomètres avec mon père, etc.
17:19Enfin, c'est lui qui conduisait tout le temps.
17:21Il faisait 10 heures, 15 heures de route.
17:23Ce n'était pas prudent.
17:24On roulait comme des lingues, etc.
17:26Donc, il y avait beaucoup plus de morts.
17:27On ne peut pas dire que c'était mieux avant.
17:29Mais c'est vrai qu'on avait une liberté.
17:31Moi, après le primaire, j'allais au collège, etc.
17:34J'avais une mobilette, je vais aller voir mes potes, etc.
17:36Et on avait cette espèce de liberté, d'insouciance, de tranquillité.
17:41Et mes parents ne se sont jamais inquiétés de se dire...
17:43Ah, c'est ça.
17:44Bon, qu'est-ce qui va se passer ?
17:46Et j'ai deux sœurs.
17:47Mais c'était pareil, quoi.
17:48Il n'y avait pas d'inquiétude par rapport à elle.
17:51Et ce que disait Géraldine tout à l'heure, qu'elle traversait le bois de Boulogne, etc.
17:53Effectivement, moi, j'ai habité un peu en Paris il y a un temps.
17:59Mais voilà.
18:00Oui, non, c'est bon, ok.
18:03Enfin, elle ne nous fait que traverser.
18:06Parce que les gens vont la chercher ce soir.
18:10N'allez pas au bois de Boulogne chercher Géraldine Maillet.
18:12Il n'est pas souvent du tout.
18:14Non, mais c'est vrai, voilà.
18:15Je vous le dis, elle n'est pas quand même.
18:18C'était vraiment pour aller d'un point à un point, voilà.
18:22Donc, il y avait le bois de Boulogne entre les deux.
18:24Elle faisait ce qu'elle voulait aussi.
18:25Non, je n'ai pas dit qu'elle s'est arrêtée au bois de Boulogne.
18:28Je vous ai très bien compris.
18:30Ils ont juste mauvais esprit.
18:31Exactement.
18:32C'est clair.
18:33Exactement.
18:34Mais je comprends, Lionel, c'est très intéressant ce qu'il dit.
18:37Non, mais c'est vrai.
18:39Ben, c'est cool.
18:40J'écoute.
18:41Merci.
18:41Non, mais c'est vrai.
18:42Mais en tout cas, voilà.
18:45Vous avez un peu la même vision que Valérie Benahim.
18:48Non, Valérie Benahim ?
18:49Non, mais vous avez dit quand même des choses.
18:51Enroulé à tombeau ouvert, les accidents, ça n'allait pas.
18:56Mais sur Nantes, il ne dit pas comme Valérie.
18:58Sur Nantes, il disait, moi, je pouvais aller à l'école tout seul quand j'étais petit.
19:00Il était le contraire de ce que dit Valérie Benahim.
19:02À Nantes, maintenant, votre enfant, vous ne l'envoyez pas à l'école tout seul.
19:07Non, il y a une constance.
19:10Il était le contraire de ce que dit Valérie Benahim.
19:13Il m'a fait Valérie Benahim.
19:14Merci Lionel, heureusement que vous êtes là.
19:16Merci Lionel.
19:18Vraiment, merci Lionel.
19:19Vous dites tout le contraire de ce qu'elle dit.
19:20Je suis bien d'accord avec vous.
19:23Merci.
19:24Oui, oui, je ne pense pas qu'elle...
19:26Non, mais Lionel est nuancé.
19:27J'aime sa nuance.
19:29Vous allez vous attaquer.
19:30Non, non, s'il vous plaît.
19:30Oui, Lionel.
19:32Non, non, non, mais je dirais...
19:33Oui, oui.
19:34Je pense qu'il y a du plus et du moins, etc.
19:36Bon, alors après, quand on dit ça, on commence à dire que je suis macroniste.
19:39Alors, c'est sûrement pas macroniste.
19:41Je vous félicite, en tout cas.
19:43Merci Lionel d'avoir été avec nous sur Europe 1.
19:47Je vous fais un immense bisou Lionel.
19:48Vous pouvez être là pour le déjeuner ?
19:50Ah ben oui, c'est quand ?
19:51Ça va être, je ne sais pas, fin juin, un truc comme ça.
19:54Ouais, ça fera plaisir.
19:55On vous invite.
19:57Allez.
19:57Comme ça, il y aura Lionel avec nous.
19:59Vous pourrez échanger avec Valérie Benahim.
20:01Merci Lionel d'avoir été avec nous.
20:03Je vous embrasse fort Lionel.
20:04Merci d'avoir été avec nous sur Europe 1.
20:04Merci, bonjour.
20:05Et puis à très bientôt.
20:06Et continuez comme ça.
20:07On est là, on ne bouge pas et on vous voit bientôt.
20:10Tiens, il y en a qui veulent réagir.
20:11Ah, c'était mieux avant encore.
20:12Il y en a qui veulent réagir au sondage choc des présidentielles.
20:14Il y a beaucoup de gens qui disent aussi Retailleau, Retailleau, Bardella.
20:17Retailleau, Bardella.
20:18A tout de suite sur Europe.
20:20Non mais, alors moi, j'appelais surtout pour les élections.
20:23Ah, merci.
20:24Pour le deuxième tour.
20:25Oui.
20:26Et moi, c'est vrai que je vois Bardella, Mélenchon.
20:31Et je pense que Mélenchon risque de gagner.
20:34On parle bien l'émission.
20:38Non mais, non mais.
20:39Je vais vous flamper l'émission, excusez-moi.
20:41Non mais, Chantal, Chantal.
20:46Qu'est-ce que j'ai...
20:47Je leur ai parlé en off hier.
20:48Hier.
20:49À l'équipe.
20:50Je leur ai dit...
20:51À la fin de l'émission.
20:52Voilà, il peut y avoir des grosses surprises.
20:53Je leur ai dit, moi, les...
20:54Il peut y avoir des surprises.
20:55Bon, je pense qu'Edouard Philippe n'a pas...
20:57Enfin, il a trop un bilan négatif.
20:59Les gilets jaunes, le Covid.
21:01Moi, je l'ai adoré dans Fanfon la Tulipe.
21:02Et puis après...
21:04Voilà.
21:05Exactement.
21:05Voilà, merci.
21:06Mais par contre, Mélenchon est très très bon au débat.
21:11Oui.
21:12C'est quelqu'un qui a des...
21:13Enfin, je veux dire, il percute.
21:15Oui, c'est un très bon.
21:16Il a des sacrés arguments.
21:17Après, on l'aime, on ne l'aime pas.
21:19Il connaît cette élection.
21:20C'est sûr.
21:21Et il connaît bien.
21:22Il ne fait pas 22% si tu n'as pas de qualité.
21:24Il connaît bien l'élection présidentielle.
21:26Et ça m'étonnerait que la gauche dise,
21:29allez hop, on fait des castors contre Mélenchon.
21:32Oui.
21:32Les Verts suivront Mélenchon.
21:35Le LR...
21:36Ils ne suivront personne.
21:38Ils ne suivront personne.
21:39Non, je ne sais pas si l'LR, à mon avis, là...
21:41Je ne suis pas sûr.
21:42Je ne sais pas.
21:45Moi, je suis d'accord.
21:47Chantal, elle ne dit pas des bêtises, je trouve.
21:49Les électeurs risquent de s'abstenir du LR
21:53parce qu'on leur a tellement gonflé le mou en disant
21:55« Ouh là là, c'est l'extrait de droite, les pas chauds, les machins... »
21:58Qu'après, si on les appelle à voter Barbella,
22:02ils vont dire « Attendez, un coup, ils disent que c'est le diable en personne. »
22:06Et après, on va dire « Voter pour lui. »
22:09Donc, je ne sais pas.
22:10Par contre, voilà.
22:11Moi, Mélenchon, je l'avais vu en meeting en 2012.
22:14C'est quelqu'un...
22:14Bon, je me suis bien fait chier à son meeting
22:16parce que j'étais curieuse et que...
22:19Ah, il y était en 2012.
22:20Mais il y était d'Artigolle.
22:21Moi, j'étais allé le voir à Bastien.
22:23D'Artigolle, il y était.
22:24Je crois qu'il était directeur de...
22:25Co-directeur de la campagne.
22:25De campagne, hein.
22:26Mais il était directeur de la...
22:27Mais pas de la campagne aujourd'hui, Mélenchon.
22:29De la campagne.
22:29Peut-être de campagne.
22:30Non, d'une campagne.
22:31Il était à côté d'une campagne, voilà.
22:32Oui, je me souviens de cette année.
22:34Mais...
22:34Enfin, moi, je me trouve...
22:35Et oui.
22:35Mais ce n'était pas le même Mélenchon.
22:37Voilà.
22:37Ce n'était pas le même d'Artigolle.
22:38Non, le même.
22:39Non, c'est sûr.
22:40Honnêtement, Géraldine,
22:41ce n'était peut-être pas le même Mélenchon.
22:43Moi, je suis rentrée dans le meeting.
22:44Je ne connaissais pas son programme.
22:45Je suis sortie.
22:45Je ne le connaissais toujours pas.
22:47Donc, si vous voulez,
22:48à part me parler de Marine Le Pen,
22:51moi, j'attends d'un candidat
22:53qui me fasse des propositions
22:54et pas de me dire
22:55« Ouais, elle, c'est le diable. »
22:57Enfin bon, je me suis bien fait chier.
22:59Et du coup, j'ai dit
23:00« Bon, bah lui, déjà,
23:01ça ne sera pas ma tasse de thé. »
23:03Mais malheureusement,
23:05j'ai peur que s'il y a
23:06Bardella-Mélenchon,
23:09Mélenchon est redoutable en débat.
23:12Ah oui.
23:12Et ça,
23:13ça, oui.
23:15Ça, je pense que ça peut jouer pour lui.
23:17Parce que je me rappelle
23:18quand Bardella avait parlé
23:20soit de la retraite
23:22ou quand il a posé certaines questions,
23:23il est quand même hésitant.
23:24Bon, il est jeune.
23:25Et même, il y a beaucoup de...
23:27Oui, mais il va avoir le temps de travailler
23:29quand même tous.
23:30Oui, oui, bien sûr.
23:31Il a encore deux ans.
23:32Je lui souhaite.
23:33Mais c'est surtout un communicant.
23:36Mélenchon, il a quand même...
23:38D'abord, c'est quelqu'un
23:40qui a énormément de culture,
23:42qui a énormément de mémoire,
23:44qui sait beaucoup de choses
23:45et il risque vraiment
23:48de l'éclater en débat.
23:50Bon, bah écoutez, on verra ça.
23:50C'est ça qui me fait peur.
23:52Merci en tout cas, Chantal.
23:53Mais attention, ce n'est pas mes idées.
23:55Je sais, non, mais c'est un pronostic
23:56qu'on vous demande.
23:57C'est important.
23:58Là, la personne a donné ses idées,
23:59tout le monde donne un pronostic.
24:00Voilà, moi, j'ai donné
24:02certainement un pronostic.
24:03Chantal, vous êtes là,
24:05vous voulez participer au déjeuner ?
24:07Alors, volontiers.
24:10Après, alors, je ne vous ai pas tout dit,
24:12mais il faudrait que je vous le dise,
24:13je vous rappelle,
24:14parce que moi, c'est pour me déplacer,
24:15prendre l'avion,
24:16mais je suis en décapé.
24:17J'ai un handicap qui m'accompagne.
24:20Bon, bah très bien, Chantal.
24:21Bon, on verra ça.
24:22On va essayer d'organiser ça avec les équipes.
24:24On vous embrasse très fort, Chantal.
24:25Et merci d'être avec nous.
24:26Et Chantal, merci d'être avec nous sur Europe 1.
24:29Et à chaque fois que vous intervenez,
24:30c'est toujours extrêmement intelligent.
24:32Voilà, je voulais vous le dire.
24:33Donc, merci, Chantal.
24:33Je vous remercie beaucoup.
24:34Merci, Chantal.
24:35Et à très bientôt.
24:36Merci beaucoup.
24:37Merci, Chantal.