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Cavalière de haut niveau, Marina Hands rêvait d’en faire sa carrière. Les accidents de la vie en ont décidé autrement.
Alors qu’elle vient d’être récompensée du Molière de la comédienne dans un théâtre public, l’actrice est revenue pour Lou sur son goût de l’échec. Une leçon de résilience. ❤️‍

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Transcription
00:00Mon premier rêve, c'était le sport de haut niveau.
00:02De là m'est venu le goût de la chute, le goût du ratage, le goût de l'échec.
00:07C'est tous les petits ratages amoureux, professionnels,
00:10d'avoir l'impression que tout foire, que tout est foireux,
00:13et qu'on n'est rien dans la société, qu'on est hors normes.
00:17Ça, ça donne de la force en fait.
00:19C'est difficile à dire parce que je souhaite la souffrance à personne,
00:21c'est pas ça que je veux dire, et sur le moment en tout cas, je ne me la souhaitais pas à moi.
00:25Mais il y a des vertus à traverser les tempêtes, à les accueillir, à les accepter.
00:30Il y a des belles prairies vertes derrière, et j'en suis une preuve vivante vraiment.
00:34Il y a un exercice qui est très très bien chaque jour à faire,
00:37c'est se demander de quoi on a envie, tous les jours.
00:40Mais ça peut être une toute petite chose, ça peut être un pain au chocolat,
00:42ça peut être, je ne sais pas, une médaille d'or.
00:45Et ça, ça aide à trouver un peu de force, de se dire, voilà, j'aime ça, j'ai envie de ça, voilà qui je suis.

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