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MusiqueTranscription
00:00Le dance floor, évidemment, c'est un lieu, c'est un space space, c'est un espace d'expression et de se rencontrer une minute.
00:12La musique, c'est une passion que j'ai depuis très très jeune en fait.
00:15Aujourd'hui, je veux dire que je fais un retour aux sources.
00:17J'ai toujours voulu faire de la musique et en fait, l'art, tout ce qui est cheveux, make-up et perruques, c'est venu après.
00:24Donc en fait, j'ai juste fait converger les deux.
00:26J'avais un poster d'Alia, j'avais Christina Aguilera, j'avais Beyoncé aussi déjà.
00:32Enfin, Disney Shies plutôt.
00:33Oui, j'avais des icônes, je dirais pop, R&B aussi, que j'écoutais beaucoup.
00:38Brandy en l'occurrence, des gens tous comme ça.
00:41Donc c'est des personnes qui m'ont donné envie de faire de la musique.
00:44Alors c'est pas forcément de faire la même chose qu'elle, mais du coup, ce qu'elles représentaient, comment elles étaient vues et perçues, moi j'aimais bien.
00:49Oui, elle avait cette envie d'exister et de créer un personnage féminin.
00:52Donc moi, j'ai pu le créer dans la ballroom, c'est pour ça que je l'ai inventé, j'ai envie qu'il y en a dans la ballroom.
00:56Et en participant en fait au ball et avec tous les différents thèmes qu'on a,
00:59Kana l'a pu tester plein de choses différentes très très vite.
01:04C'est une ode à la Bad Bitch.
01:15Alors la chanson, elle est née il y a quelques mois en vrai.
01:20Donc oui, on a mis du temps à trouver ce qu'on voulait faire.
01:23Je travaillais avec Suitsus sur le morceau et Liam, mon directeur d'image.
01:27Donc lui, on a travaillé sur le morceau pendant presque 4-5 mois, je pense, pour arriver là, mais je suis assez contente d'arriver là.
01:33Je pense que déjà, moi, d'aller dans l'émission sur TF1, c'était un challenge et en même temps, c'était nécessaire.
01:40Il fallait que je sois vu là et que j'existe là aussi, parce que pour montrer qu'on peut être partout avec tout le monde et montrer que j'avais autant de talent que…
01:49Voir plus que les autres.
01:52Le choix de toucher le genre de musique que je fais, c'était vraiment très personnel parce que je me dis aussi que c'est quelque chose que je veux faire sur le long terme.
02:00Donc je veux être authentique et fidèle à moi-même dans mes choix musicaux.
02:04Je dois pouvoir écouter et écouter mon morceau, me dire OK, j'ai vraiment fait ce que je voulais faire.
02:08Effectivement, oui, on peut faire des choses qui vont forcément marcher et être aimées par un plus grand, grand, grand nombre.
02:13Mais au-delà du grand nombre, moi, je préfère largement 1 500, 1 500 personnes qui vont me suivre fidèlement et m'encourager dans tout ce que je fais que 4 000 autres personnes qui vont être là pendant 3 mois.
02:26Moi, quand j'écrivais le morceau, je voulais aussi trouver, il faut riner, il faut que ce soit chantant, dansant, mais il y a plein de choses où on peut créer des doubles sens.
02:35En tant qu'artiste, on a ce pouvoir de faire ce truc de je vais écrire un truc qui va être trop cool, mais à la cinquième écoute, tu vois,
02:42tu vois, ah, et c'est un peu ça, le délire de Watch Me, c'est qu'il y a ce truc à la première écoute, on s'ambiance et puis on écoute, on se dit en fait, ah, mais à grave raison.
02:50Parce que quand je dis, when I'm working, I do it very well, moi, je me place en exemple de faire les choses et c'est aussi une façon d'appeler les gens à venir se rallier à moi.
02:59Beaucoup de gens me disent, par exemple, ah là là, quand je suis à la salle de sport et que j'écoute, là, ça me donne une spêche, là, ça me relance dans les séries.
03:06Et moi, ça fait hyper plaisir parce que si c'est un morceau qui peut créer de l'envie, de la motivation, voire même de la discipline chez les gens, bah, c'est top, quoi.
03:13C'est un moyen d'expression, c'est un lieu de rencontre pour beaucoup de gens.
03:18En fait, c'est juste de se retrouver, en fait, entre nous et de se rencontrer.
03:22Donc, pour plein de gens, ce n'est pas possible.
03:25Donc, le dance floor, évidemment, c'est un lieu, c'est un space, c'est un espace d'expression.
03:29Alors, les inspirations sont rétro-futuristes, genre ce qu'on voit au niveau du styling, quand la vidéo commence, tous les gens qui s'attellent, les scientifiques qui s'attellent à travailler sur le projet qu'il y en a.
03:42Même dans les couleurs, dans la palette de couleurs de la vidéo, c'est très, c'est assez neutre.
03:47Il y a un peu d'orange, il y a beaucoup de pastel.
03:50Là, dans l'immédiat, oui, il y a un prochain singlet qui arrive très bientôt.
03:57Et pour la suite, on verra.
04:02Oh my god.
04:03On peut rêver.
04:04Moi, je sais quand même de rêver grand.
04:06Pourquoi pas un zenith ?
04:07Allez, pourquoi pas un bercy ?
04:08Moi, j'ai la vision déjà.
04:09J'arrive du plafond.