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00:00Tiens, vous feriez quoi vous d'Artigolle ?
00:02Mettre faire la smicardisation de la France.
00:04Il y a aujourd'hui...
00:05Lui, il est vraiment candidat, par contre.
00:10Lui, il attendait ça depuis...
00:14A mon avis, la prochaine une de valeur de l'actuel, c'est d'Artigolle.
00:17Alors, est-ce que ça fera le même buzz ?
00:18Je peux m'en expliquer, Cyril.
00:20Mettre faire la smicardisation de la France.
00:22Pourquoi ? Nous avons aujourd'hui à peu près 17% des salariés français qui sont au SMIC.
00:26C'est plus de 3 millions de personnes.
00:28Il y a encore 3 ans, il n'était que 12%.
00:30Il y a donc une trappe à bas salaire.
00:32Aujourd'hui, on a un SMIC net à 1 400 euros.
00:35Vous ne pouvez pas vivre en France à 1 400 euros.
00:38Et d'autant plus que cela crée une concurrence avec les gens qui sont au minima sociaux.
00:43Donc, 2 000 euros en début de quinquennat.
00:45Pour prendre une trajectoire de 2 200, 2 400 euros pour la fin du quinquennat,
00:50on peut le financer avec une volonté politique.
00:52Ça serait quelque chose qui transformerait la vie de beaucoup de personnes.
00:55Bravo !
00:56Président d'Artigol, qui est d'accord avec ce qu'il vient de dire ?
01:01Je suis d'accord, mais je pense qu'on n'y arrivera pas tout de suite.
01:05Enfin non plus, visiblement.
01:08Calmez-moi le numéro d'un orthophoniste pour Géraldine Ballet.
01:11Parce que là, ça part d'être président.
01:16Déjà qu'on arrive à aligner deux mots sur l'émission, mais ce sera beaucoup.
01:18Géraldine Ballet, elle a dévissé, là.
01:25Cherchez Georges Choucroune, orthophoniste à Melun.
01:29Merci.
01:30Je vais essayer de voir ce que je peux faire.
01:31Ne t'inquiétez pas, Géraldine Ballet.
01:33C'est mon sujet, d'ailleurs.
01:34Je vous laisse vous reposer, Géraldine Ballet.
01:35C'est le handicap, vous voyez.
01:36Et Edouard, la volée de Valeurs Actuelles, il en pense quoi de la proposition de...
01:39Bah oui, c'est très bien.
01:40Il faut la chiffrer.
01:41Oui, il faut en détailler.
01:42Il faut voir les exonérations sociales et patronales.
01:44Lui, chiffrer, ce n'est pas son truc.
01:47Non, mais c'est vrai.
01:48Ça, c'est sûr, ce n'est pas son truc, chiffrer.
01:49Lui, il propose, il dépense.
01:51Et après, c'est un rêveur.
01:53Voilà, c'est un rêveur.
01:54Et la raison de rêver, il faut rêver.
01:55Exactement, il faut rêver, arrêter, il faut rêver, il faut rêver.
01:57Il faut des lendemains qui chantent, il faut imaginer.
02:00Si vous rêviez, vous ne seriez pas avec pas tant que fin, donc il faut arrêter de petites secondes.
02:04Merci.
02:05Oui, je vais demander à Valérie Benahim, ce qu'elle va nous dire.
02:09Non, mais une baisse de la TVA sur les séchoirs.
02:12Non, je pense qu'il y a un sujet qui est extrêmement important, qui est majeur pour moi, c'est l'éducation nationale.
02:18Et donc, je pense qu'il faut augmenter le budget de l'éducation nationale.
02:20C'est la première chose que vous feriez, Benahim.
02:22Oui, première chose que je ferai, en augmentant le salaire des enseignants dès leur premier poste.
02:26Très bien, très bien.
02:28Il faut revaloriser le salaire des enseignants, parce qu'il n'a pas fait.
02:31Oui, je vais dire la même chose, il faut valoriser les profs.
02:33C'est ça que vous avez dit.
02:34Voilà Valérie Benahim et Edouard.
02:36Je suis 100% pour.
02:38Moi, je suis 100% pour.
02:40On est tous pour, on rappelle votre femme, son épouse et professeur.
02:43Je rappelle qu'elle est prof d'EPS.
02:47Ce serait magnifique.
02:50C'est madame Roumieux, on l'embrasse.
02:52Je sais qu'elle a eu des quatrièmes données l'an dernier.
02:54Josiane.
02:55Josiane Roumieux.
02:56Je sais que ce n'est pas très bien passé avec les quatrièmes 2B.
02:59On embrasse Josiane, bien entendu.
03:00Notamment avec le réservoir en conduisant.
03:02Elle est en cyclathlétisme en ce moment-là.
03:05Apparemment, ils font le cross.
03:08Géraldine Meillet, vous avez eu le temps de reposer votre...
03:09Ça va mieux.
03:10Oui, ça va mieux.
03:10J'ai tout reconnecté.
03:11Merci.
03:11Moi, je ferais plutôt un truc sur les aînés, la dépendance et les anciens.
03:15Les aînés ?
03:16Parce que je sais que vous êtes très sensibles à ce sujet-là.
03:18Et je trouve qu'aujourd'hui, nos aînés sont...
03:20Regardez avec qui je travaille.
03:21Et encore, il n'y a pas Fabien Lecavre aujourd'hui.
03:23Pour vous dire.
03:24Et en fait, ils sont laissés pour compte.
03:25Les EHPAD sont dans des situations très, très, très difficiles financièrement.
03:29Évidemment, les brancardiers, les aides-soignants, ils sont sous-payés.
03:32Et je pense que c'est une bombe à retardement.
03:33Et qu'il va y avoir de plus en plus de personnes très âgées en France.
03:36Et on va de plus en plus les délaisser.
03:38Moi, vraiment, je mettrai le paquet sur le très grand âge.
03:41Ce n'est pas glamour, mais je pense qu'on en a vraiment besoin.
03:43Et comme on n'aime pas nos vieux, on n'aime pas notre pays.
03:46C'est vrai que le patron de la radio me faisait remarquer quelque chose depuis tout à l'heure.
03:50Il n'y a que des dépenses autour de cette table.
03:51De toute façon, je vous le dis, il ne pense qu'à dépenser.
03:53Justement.
03:54Non, mais c'est ça.
03:55C'est insupportable.
03:57Ah, Gauthier Lebré, tiens.
03:57L'économe de l'Éraclo.
04:00Alors déjà, moi, je pense qu'il faut baisser les impôts.
04:03C'est insupportable.
04:04On est l'un des pays les plus prélevés au monde.
04:06Et ce n'est pas pour ça qu'on s'en sort le mieux.
04:08Exactement.
04:08Et alors, pour pouvoir baisser les impôts et moins dépenser,
04:12il faut taper dans le fonctionnement de l'État,
04:15dans toutes ces agences qui nous coûtent beaucoup trop cher.
04:17Et dans ce qu'on appelle le millefeuille territorial.
04:21C'est-à-dire qu'entre l'Elysée et la petite mairie,
04:24il y a beaucoup trop de strats.
04:26Les départements, les régions, les communes, les intercommunalités.
04:29Tu mets tout le monde au chômage alors ?
04:31Je ne mets pas tout le monde au chômage.
04:33Je dis que tu trouveras d'autres emplois pour ces gens.
04:37Le sujet...
04:38Non mais arrête.
04:39Ce n'est pas comme ça.
04:40Le sujet, c'est que l'État coûte beaucoup trop cher.
04:43Le fonctionnement de l'État coûte beaucoup trop cher.
04:45Mais à chaque fois que je parle, j'ai l'habitude avec Géraldine.
04:47Il n'y a aucun problème.
04:49Mais non.
04:50Il y a d'attention.
04:50Mais tu ne peux pas nier qu'il y a beaucoup trop de strats
04:54entre l'Elysée et la petite mairie.
04:58On n'a pas besoin de tous ces départements.
05:00Pourquoi est-ce qu'on a des intercommunalités ?
05:02Je pense qu'en donnant plus de pouvoir aux maires,
05:05en refaisant des députés maires aussi,
05:08qui représentent leurs communes à l'Assemblée nationale
05:12et qui ont les deux pieds dans leur territoire,
05:14tu déjà portes mieux les préoccupations et la voix des Français.
05:19Moi, j'adore Gauthier.
05:21Mais là, j'ai décroché sur le programme.
05:23Vous trouvez chiant ?
05:24Non, pas du tout.
05:24Là, je suis passé sur France 3.
05:27Donc, baisser les impôts déjà.
05:28Je suis parti sur un meurtra.
05:29Et baisser les dépenses.