« Vous ne pouvez pas dire que je n’ai rien fait » : mis en cause par la gauche, Bruno Retailleau s’est défendu d’avoir une indignation à géométrie variable
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00:00Vous ne pouvez pas dire que je n'ai rien fait, c'est faux.
00:19Il aura fallu attendre deux jours, deux jours pour réagir, deux jours pour vous déplacer.
00:24Si un tel crime avait été commis dans une église ou une synagogue,
00:27votre ministre aurait été sur place dans l'heure et il aurait eu raison de le faire.
00:33Que me reprochez-vous de ne pas avoir réagi ?
00:36J'ai été ici sans doute un des premiers à réagir, avec une déclaration très très ferme,
00:41bien avant un certain nombre d'entre vous.
00:45Et dès que j'ai pu, je me suis déplacé.
00:47Pourquoi ce bruit ? Pourquoi ces attaques ?
00:57J'ai d'ailleurs entendu que je n'avais pas voulu recevoir cette famille.
01:13Vous savez que c'est absolument faux.
01:15Dès dimanche, dès dimanche, je m'en suis enquis vis-à-vis du préfet
01:19qu'il puisse rechercher s'il avait effectivement des parents.
01:25Et je lui ai d'ailleurs demandé qu'il entre en contact avec ses parents,
01:29notamment pour régler avec eux la question, s'il le souhaitait,
01:32si la famille le souhaitait, du rapatriement du corps.
01:35Vous ne pouvez pas dire que je n'ai rien fait, c'est faux.