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Les obsèques du pape François, mort à l'âge de 88 ans, sont organisées ce samedi 26 avril sur le parvis de la basilique Saint-Pierre. Plus de 50 chefs d'État, des centaines de délégations et près de 200.000 fidèles sont attendus.

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Transcription
00:00Alors, on attend l'image, effectivement, ça va être très intéressant, mais en théorie, vous avez raison, c'est par ordre alphabétique.
00:05Français.
00:06Ah, ordre alphabétique français.
00:07Voilà, c'est ça. Donc Trump, c'est la fin de l'alphabet.
00:10Au premier rang, il y aura le président argentin, Javier Millet. C'est important de le signaler parce que...
00:15Pays d'origine du pape, oui.
00:16Oui, mais comme le disait Jean-Marie tout à l'heure, si on compare avec les obsèques de Jean-Paul II,
00:21c'est pas le peuple polonais qui descend ou le peuple argentin qui arrive, c'est trop loin.
00:25Et donc, il y a effectivement, sans doute, quelques milliers d'argentins, mais très peu par rapport à ce qu'il y aurait pu y avoir
00:31si les obsèques avaient eu lieu, par exemple, en Amérique latine.
00:33Donc, c'est le peuple de Rome, le peuple d'Europe, et malheureusement, ce n'est pas le peuple du Sud,
00:38parce que c'était le pape du Sud, le premier pape d'Argentine, et ce peuple-là n'est pas vraiment physiquement présent.
00:45Alors, vous savez, ici, on entend à la fois les chants de la place Saint-Pierre, mais aussi les sirènes des délégations qui arrivent.
00:51Et donc, au premier rang, le président argentin, et derrière, effectivement, les monarques.
00:56Alors, des monarques qui viennent de partout, le roi des Belges, le roi d'Espagne.
01:00– Le prince de Monaco.
01:01– Le prince de Monaco, le prince William, qui représente évidemment le roi Charles,
01:06qui ne vient pas pour des raisons évidentes médicales.
01:09des monarques qui viennent du monde entier.
01:15Mais, en fait, surtout, si vous voulez, ce qu'on va voir, c'est qu'il y a une affluence remarquable
01:20qui représente toute la planète.
01:22Pas simplement l'Europe ou l'Amérique, mais aussi Vanuatu, par exemple.
01:27Vous savez que c'était le pape de l'ouverture, le pape qui voulait nommer des cardinaux qui venaient d'ailleurs.
01:31Et c'est ça qu'on retiendra de cette immense délégation mondiale.
01:35C'est finalement la diversité de d'où les grands de ce monde.
01:39Alors, est-ce qu'après la cérémonie, est-ce que ça va être l'occasion dans les coulisses d'organiser ces rencontres ?
01:46C'est la grande question que tout le monde se pose.
01:47Et puis, je dirais une dernière chose, il y a un grand absent quand même
01:50qui s'est fait représenter par sa ministre de la Culture, c'est Vladimir Poutine.
01:54Or, le pape François avait, j'irais, organisé non pas une réconciliation,
01:59mais il avait favorisé le dialogue avec l'Église orthodoxe.
02:02Non seulement le tsar de toutes les Russies, Vladimir Poutine, n'est pas là,
02:05mais le patriarche de toutes les Russies, Kirill, n'est pas venu non plus.
02:09Donc, vous voyez que malgré sa volonté d'ouverture, il y a toujours des limites
02:12et cela exprime la difficulté du dialogue entre les religions.
02:15Et puis, il y a aussi les représentants de l'islam, notamment de la mosquée d'Al-Aqsar
02:19qui est vraiment un petit peu le rhum des musulmans.
02:22Et puis, il y a aussi Jésus-Christ,ANTE, R cũ.

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