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00:00J'aurais aimé qu'il y ait un nul de l'autre côté pour pouvoir avoir un troisième trophée d'affilée.
00:10Ça me fait plaisir évidemment, même si j'aurais aimé qu'il y ait un nul de l'autre côté pour pouvoir avoir un troisième trophée d'affilée.
00:18Mais le plus important c'était de réussir à gagner ici et de faire monter ce club en première division.
00:26Et je suis super content pour la RAL, c'est un club qui mérite amplement d'aller dans l'élite.
00:34Sur la gestion ils sont incroyables et je suis encore plus content pour les supporters.
00:40Parce qu'ils auront la chance à la rentrée de pouvoir voir le nouveau stade être inauguré en première division.
00:46Ce sera avec vous ?
00:47Ah ça j'en sais rien. Moi j'ai toujours dit que je voulais jouer en première division.
00:52Donc on verra ce qui va se passer cet été mais en tout cas c'est une fierté d'avoir fait partie de cette aventure sur la deuxième partie de la saison.
01:00Franchement quand on a pris le but, je ne sais pas ce qui se passe.
01:06Comment vous avez réussi à passer ?
01:08Je pense qu'en fait on a réussi à aborder, on a travaillé cette semaine le match, on n'a pas pris l'homel à la légère.
01:16Quand tu vas battre le premier, quand tu vas battre le deuxième chez eux, on ne peut pas arriver ici et se dire même si on est sur une bonne série, ça va se faire normal.
01:25On savait que ça allait être compliqué et le match n'a pas été facile, ils ne nous ont rien donné.
01:31Et je pense que la victoire on allait la chercher au bout du bout.
01:35Mais c'est tout, c'est le résultat du travail qu'on a fourni.
01:40Franchement toutes les semaines depuis que je suis arrivé ici, c'est de la souffrance mais de la bonne souffrance.
01:45Franchement on travaille énormément et je savais que l'équipe avait les ressources pour aller jusqu'à la fin de ce match et essayer de gagner.
01:56Et les planètes s'alignent et Dieu a fait en sorte que ça marche et j'en suis fier.
02:00Oh, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu, Dieu