Alpexpo complète son offre de salles avec l'Auditorium - Une classe chantante grâce à Isère Collégiens - Le président du Musée du Quai Branly en visite à l'exposition "Pays Bassari".
L'Auditorium, c'est un nouvel espace à Alpexpo qui peut accueillir entre 1500 et 2200 personnes pour le spectacle vivant ou les congrès. Une offre complémentaire au Summum.
50 collégiens de 6ème et 5ème répètent toutes les semaines au conservatoire de St-Egrève. Un exemple parmi des centaines d'autres des actions éducatives financés chaque année par le département.
C'est aussi un peu grâce à lui qu'on peut voir en ce moment l'exposition Pays Bassari au Musée Dauphinois. Emmanuel Kasarhérou, Président du Musée du Quai Branly-Jacques Chirac est l'invité de ce JT
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L'Auditorium, c'est un nouvel espace à Alpexpo qui peut accueillir entre 1500 et 2200 personnes pour le spectacle vivant ou les congrès. Une offre complémentaire au Summum.
50 collégiens de 6ème et 5ème répètent toutes les semaines au conservatoire de St-Egrève. Un exemple parmi des centaines d'autres des actions éducatives financés chaque année par le département.
C'est aussi un peu grâce à lui qu'on peut voir en ce moment l'exposition Pays Bassari au Musée Dauphinois. Emmanuel Kasarhérou, Président du Musée du Quai Branly-Jacques Chirac est l'invité de ce JT
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00:00L'auditorium, c'est un nouvel espace à Alpexpo qui peut accueillir entre 1500 et 2200 personnes pour le spectacle vivant ou les congrès, une offre complémentaire au summum.
00:1950 collégiens de 6e et 5e répètent toutes les semaines au conservatoire de Saint-Egrève, un exemple parmi des centaines d'autres, des actions éducatives financées chaque année par le département.
00:30Et puis c'est aussi un peu grâce à lui qu'on peut voir en ce moment l'exposition Pays-Bassari au musée dauphinois.
00:37Emmanuel Casarer, président du musée du Quai Branly, Jacques Chirac, est l'invité de ce JT.
00:41Bonsoir à toutes et à tous, bienvenue dans ce JT du vendredi 18 avril 2025, du lundi au vendredi à partir de 18h, l'essentiel de l'actualité du Grand Grenoble.
00:54La victime d'une coulée de neige admise mercredi en arrêt cardio-respiratoire au CHU de Grenoble est finalement décédée.
01:01Il s'agit d'un Britannique de 27 ans, il se trouvait sur la route à l'entrée de la station de ski Savoyarde lorsqu'il a été emporté par l'avalanche sur une quinzaine de mètres
01:10par endroit des cumuls de neige d'un mètre ont été observés au-dessus de 1800 mètres dans les Alpes.
01:16Il convient encore d'être très prudent ce week-end.
01:19L'auditorium donne le la, même si les concerts ne sont pas forcément les événements visés.
01:25Le confort d'écoute promet d'être optimum dans cette nouvelle salle de l'agglo qui jouxte le sommum Alpe Expo.
01:32Et que dire de la lumière avec une vingtaine de projecteurs installés.
01:35Une salle qui a accueilli ses premiers visiteurs lors du congrès de la FNSEA il y a quelques jours, mais qui a été officiellement présentée jeudi matin.
01:44Quand on a une billetterie de 1500 spectateurs, c'est bien de les avoir ici dans cet auditorium.
01:51Le sommum est trop grand pour ça.
01:53Les spectateurs sont un peu perdus.
01:56Et puis après c'est une histoire de coût aussi pour le producteur.
01:58C'est important de louer l'auditorium et non pas le sommum quand il y a 1500 spectateurs.
02:06Donc c'est vraiment la jauge intermédiaire et elle était utile.
02:09Puis la couleur aussi, vous voyez les sièges rouges tranchent par rapport au siège bleu du sommum.
02:16Donc voilà, il fallait vraiment qu'il y ait un contraste entre les deux, entre les deux salles.
02:20La salle elle est quasiment toute équipée.
02:23Quand on arrive, on a le parking, on a le bar, on a les toilettes, on a les loges.
02:29Donc ça c'est ce que peut offrir classiquement une salle.
02:32Mais on va venir offrir également le son.
02:35Et la dernière chose qui était importante ici pour nous, c'est de venir avec une nouvelle manière de travailler notre tarif.
02:43On ne va plus louer, en tout cas en mode spectacle, la salle avec un tarif classique.
02:48On va mettre un tarif par personne payante.
02:50Et ça c'est quand même une assurance pour les productions, c'est une assurance pour les diffuseurs,
02:56de savoir qu'elles vont avoir un prix dynamique en fonction du remplissage de la salle.
03:01Et le cinéma Le Méliès à Grenoble annonce également l'ouverture d'une quatrième salle le mercredi 23 avril.
03:09Des acquis pour toujours, accompagner les collégiens dans l'acquis des savoirs lors du temps scolaire, c'est évidemment important.
03:15Mais pour leur permettre de développer d'autres aptitudes et d'autres attitudes, le département s'engage aussi, avec l'aide des enseignants, sur des temps différents.
03:24Avec le dispositif Isère Collégien, des centaines d'activités sont ainsi proposées, musicales par exemple.
03:30Gaëtan Loiseau.
03:31Si ces jeunes collégiens ont pu construire ce spectacle musical, c'est grâce à Isère Collégien, un dispositif qui leur permet de multiplier les heures d'éducation musicale.
03:45Une fierté pour les professeurs de musique qui portent le projet.
03:49Ça vient en complément de la fameuse heure unique d'éducation musicale au collège pour des élèves collégiens.
03:53Ça fait que là, ça démultiplie leurs pratiques vocales et leurs pratiques collectives essentiellement.
03:59Mais certains des clâches chantantes là, s'engagent et dans la clâche chantante et dans la chorale.
04:03Donc certains peuvent faire jusqu'à 4 heures de chant par semaine au collège Chartreuse de Saint-Martin-de-Ville.
04:07C'est-à-dire l'équivalent du temps de français ou de mathématiques.
04:10Le dispositif permet aux élèves de travailler avec une professionnelle.
04:14Ici, c'est Victoria Voskoboy-Nikova qui travaille au conservatoire de Saint-Egrève.
04:18Donc même si au début, ce n'était pas évident à quel moment on va arriver.
04:23Est-ce qu'on est capable de chanter plusieurs voix ?
04:25Est-ce qu'on est capable de faire un grand cœur entre les deux classes différentes ?
04:29Parce que quand même, 5e, il y a plus d'expérience.
04:326e, il est juste commencé.
04:33Ce projet ira jusqu'à un spectacle en fin d'année.
04:36Et les élèves de 6e et 5e qui y participent voient dans ce projet une manière de se dépasser et de créer de la solidarité.
04:42J'ai bien aimé chanter en public parce que c'était la première fois.
04:49Du coup, j'ai bien aimé.
04:51Moi, je trouve que c'est vraiment super bien le chant.
04:54Parce que des fois, ça détend et on peut libérer nos émotions.
04:58Et moi, je trouve que c'est très bien d'avoir une classe mélangée de différents groupes.
05:03De 6e et 5e parce que les 5e nous guident beaucoup pour les chansons.
05:08Et je trouve ça très chouette aussi parce que ça nous gagne de confiance en nous.
05:11C'est vraiment très impressionnant de voir que quand on chante, il y a beaucoup de gens avec nous,
05:17qu'on peut chanter à plusieurs voix et tout ça.
05:20Ça donne vraiment de la puissance et de l'espoir pour le spectacle aussi.
05:25Le dispositif ISER Collégien permet d'accompagner les équipes éducatives des collèges dans la construction de projets.
05:31Ils peuvent être musicaux, mais pas seulement.
05:33C'est un dispositif qui est mis en place par le département de l'ISER
05:36pour accompagner des actions culturelles, sportives, autour du devoir de mémoire, autour de l'éco-citoyenneté.
05:43Le budget annuel est de 2 millions d'euros, ce qui permet de soutenir 700 projets chaque année.
05:47Et bien évidemment, les deux professeurs de musique du collège Chartreuse
05:51continueront de faire appel à ce dispositif pour inscrire dans la durée ces classes chantantes.
05:56Et pour l'année prochaine, c'est déjà un peu tard.
06:02Les inscriptions pour participer au dispositif en 2025-2026 ont été clôturées ce vendredi soir.
06:09C'est l'événement du week-end pour tous les amateurs de Skyrunning,
06:13la dixième Skyrace des Matheysins organisée par l'Athletic Club Matheysin.
06:17Les épreuves commencent samedi, mais vous pourrez suivre la grande course
06:20qui compte pour la Coupe du Monde en direct sur Télé Grenoble.
06:24Dimanche matin, 25 km et 1950 mètres de dénivelé.
06:27Suisse, italien, français, encore un plateau très relevé cette année
06:31et des images à couper le souffle en raison des récentes chutes de neige.
06:35L'horaire de départ devrait être repoussé d'une heure.
06:39Ce sera à partir de 9h15.
06:42Ou alors en petite foulée, il y a aussi l'Eversteel,
06:45un challenge organisé pour la cinquième année par l'association Trio pour l'Everest et le BDS Felma.
06:50L'objectif, c'est de gravir le plus de fois la montée de la Bastille
06:53et si possible 33 fois, soit 8 848 mètres, l'équivalent du dénivelé de l'Everest.
06:59Un peu moins engagé sportivement, quoique, mais un peu plus écologiquement
07:02puisque les fonds récoltés intégreront un plan de gestion des déchets plastiques
07:06dans la région de Kumbu au Népal.
07:10L'Asie, l'Océanie, les Amériques, le Moyen-Orient et l'Afrique
07:14faire le tour du monde des cultures.
07:16C'est ce que nous offre depuis 2006 le musée du Quai Branly Jacques Chirac à Paris.
07:21Et en cette saison culturelle, un très beau partenariat avec le musée dauphinois
07:24pour l'exposition Pays Bassari en place depuis décembre.
07:28On en parle avec vous, Emmanuel Casarerou.
07:31Bonsoir.
07:32Bonsoir.
07:33Vous êtes le président du musée du Quai Branly Jacques Chirac.
07:37Merci beaucoup d'avoir accepté notre invitation.
07:39On est très contentes de vous recevoir.
07:41Vous êtes à Grenoble pour participer à un entretien avec Lazare Elundou,
07:46directeur du patrimoine mondial de l'UNESCO.
07:49Alors cette exposition Pays Bassari, elle est née d'une coopération
07:52entre le département de l'Isère et ce territoire qui se trouve
07:56entre le sud du Sénégal et le nord de la Guinée.
07:59Mais comment est-ce que le musée du Quai Branly est-il entré en scène ?
08:03Après, une fois que cette première rencontre ait été opérée
08:07entre le département de l'Isère et le pays Bassari
08:11et que le musée dauphinois en ait été l'opérateur.
08:15Ensuite, il se trouve qu'on avait aussi des collections Bassari
08:18et tout naturellement, on a accepté de les prêter pour cette très belle collaboration.
08:24Donc 68 œuvres ont été prêtées au musée dauphinois.
08:27Est-ce que ce sont des collections qui se trouvent déjà dans le musée
08:31dans une thématique Pays Bassari ou elles sont disséminées ?
08:35Non, ce Pays Bassari est relativement méconnu.
08:39C'est vrai que c'est tout à l'honneur du musée dauphinois et du département
08:44que d'avoir donné un peu de lumière à ces cultures
08:48qui sont en général dans un deuxième plan.
08:50On pense à l'Afrique au travers de cultures qui produisent des sculptures,
08:53qui produisent des masques, qui produisent des choses en matériaux durables.
08:56Et là, on a plutôt une culture qui s'exprime dans des matériaux
09:00qui ne sont pas destinés à durer, dans des formes de prestations,
09:04de spectacles, enfin spectacles du point de vue de celui qui regarde,
09:10mais disons de rituels qui n'ont une vocation qu'éphémère.
09:15Et c'est intéressant de pouvoir montrer que ce type de culture existe aussi
09:20à côté des autres et ça élargit finalement la perception
09:23qu'on peut avoir des cultures africaines.
09:25– Il y a même une œuvre qui n'est pas présente, une armoire vide,
09:29puisque c'est un masque qui ne peut pas quitter…
09:32– Oui, c'est cela, il y a toute cette question aussi des rituels
09:35et de la notion de sacré qui peut changer d'une culture à une autre.
09:40Et là, en l'occurrence, je crois qu'il a été conseillé au musée
09:43de ne pas montrer cette œuvre.
09:45– Voilà, comme il y a des œuvres aussi où les conservatrices ne pouvaient pas travailler
09:50sur certaines œuvres puisque les femmes n'étaient pas autorisées à travailler sur certaines œuvres.
09:55Donc il y a ces œuvres, il y a aussi des œuvres du musée du Quai Branly
09:59et puis des œuvres qui viennent du Sénégal.
10:01– Du musée Théodore Monod de Dakar, qui a une collection assez ancienne,
10:06qui date des années 30 et dans laquelle les objets bassari sont bien représentés.
10:13Et je trouve que c'est une belle rencontre entre des collections qui viennent du pays d'origine,
10:17des collections qui viennent de Paris, des collections qui sont également constituées
10:22à Grenoble pour cet événement et une manière de collaboration
10:28qui s'affranchit des frontières et des passeports pour mettre en valeur une culture peu connue,
10:34je le dirais même au Sénégal, puisque c'est une… il faut y aller au pays,
10:40mais ça arrive, c'est relativement loin.
10:43– On n'arrive pas de l'aéroport comme ça ?
10:45– Non, pas du tout, non.
10:47– Il y a un peu de voiture, un peu de marche.
10:50Ces œuvres qui viennent du Sénégal, elles vont évidemment y retourner.
10:53– Oui, bien sûr, puisqu'elles appartiennent au musée Théodore Monod de Dakar,
10:57qui est un musée qui dépend de l'université Cheikh Anta Diop de Dakar.
11:01Et c'est d'ailleurs le directeur de ce musée qui est un des commissaires de cette exposition,
11:09Malik Ndiaye, qui permet aussi cette relation.
11:13Alors c'est aussi quelqu'un avec qui on travaille, nous, au musée du Quai Branly,
11:15sur d'autres projets.
11:17Donc c'est un maillage très heureux entre des temporalités et des expositions différentes
11:24faites par nous à Paris ou faites ici à Grenoble par le musée de Finouin.
11:29– Il y a une problématique qui se pose depuis quelques années,
11:31c'est celle des œuvres qui ont été enlevées à leur pays pendant tout le temps de la colonisation.
11:38Est-ce qu'elles doivent y retourner ?
11:41– Ah bah oui, en tout cas, c'est la question qui est en partie réglée
11:45par des dispositions qui ont déjà été prises par l'État,
11:50puisqu'on a procédé au musée du Quai Branly,
11:54à la restitution de 26 œuvres à la République du Bénin,
11:59car il s'agissait d'œuvres qui avaient été prises par la contrainte.
12:02Donc tout le travail qui est mené depuis maintenant 5-6 ans,
12:05c'est de faire ce travail sur les provenances,
12:08c'est-à-dire revenir sur l'histoire de ces objets.
12:11Comment sont-ils parvenus en France ?
12:12Par quelles mains sont-elles passées ?
12:15Et quels ont été les processus d'acquisition ?
12:18Et c'est pour s'interroger sur cette question et l'illustrer avec un cas concret et pratique
12:22qu'on a ouvert à Paris récemment, au musée du Quai Branly, lundi dernier,
12:26une exposition qui s'appelle « Mission Dakar Djibouti contre enquête »
12:30et qui revient justement sur cette question de l'appropriation de ces objets.
12:35– Entre 1931 et 1933 ?
12:38– Voilà.
12:38– On va voir l'affiche de l'expo.
12:40Au démarrage de…
12:42Enfin, concomitamment avec l'exposition internationale coloniale de 1931 à Paris
12:48où on avait reconstruit en carton pâte le temple d'Anne Corvette, etc.
12:52Donc une sorte d'apogée, d'apothéose de la colonisation
12:57et en même temps un moment où la colonisation est remise en question
13:02par un certain nombre de groupes politiques et des artistes comme les surréalistes
13:05qui avaient à poser des affiches partout en disant
13:07« Ne visitez pas l'exposition coloniale ».
13:10– Vous, vous êtes né à Nouméa, vous êtes le premier canaque
13:13à prendre la tête d'un grand musée de l'Hexagone
13:15face à ces questions des pays du Sud.
13:18Est-ce que vous êtes particulièrement concerné, c'est un plus ?
13:21– Particulièrement sensible, oui, pour avoir été de l'autre côté de la barrière
13:25pendant assez longtemps.
13:26Et puis avoir essayé de trouver aussi des modes de collaboration
13:30parce qu'au-delà des objets qui ont été pris par la force
13:34et qui doivent retenir et revenir à leur pays d'origine,
13:36il y a aussi cette question de la collaboration,
13:40comment établir une relation de type nouvelle avec les territoires d'outre-mer
13:45en ce qui me concerne ou avec des pays qui sont devenus indépendants
13:48il y a plus de 60 ans, mais qui partagent avec la France une histoire coloniale
13:51qu'il convient d'examiner, de réexaminer ensemble,
13:56d'en faire une contre-enquête finalement ensemble,
13:58avec des points de vue qui peuvent être divergents.
14:00Mais je crois que c'est ça l'intérêt des histoires humaines,
14:03c'est d'être à la fois, sembler simple vu de loin
14:08et extrêmement complexe dès qu'on s'y attache.
14:10– Le musée du Quai Branly accueille 1 200 000 visiteurs par an,
14:15c'est un réel succès.
14:16Qu'est-ce qui vous rend le plus fier ?
14:18– Ce qui me rend le plus fier finalement dans ce musée,
14:21c'est d'abord cette collection très ancienne,
14:22mais c'est les gens qui y travaillent, qui sont vraiment dévoués,
14:27et également le public.
14:29C'est un musée parisien, contrairement aux autres musées parisiens,
14:32c'est un musée parisien où l'essentiel de son public,
14:3580% de son public, sont des gens qui vivent en France.
14:38Donc c'est une forme d'obligation pour nous d'être en phase
14:42avec les questionnements du pays,
14:43et d'être en capacité de renouveler également nos présentations
14:48en ayant en perspective que les visiteurs qui viennent
14:54sont des visiteurs qui viennent et reviennent.
14:56– Merci beaucoup Emmanuel Cazarrerou d'être passé sur ce plateau.
14:59– Merci à vous.
15:00– Je rappelle que vous êtes le président du musée du Quai Branly, Jacques Chirac.
15:03– Dans Si on parlait aujourd'hui, le champion des 12 coups de midi
15:08et autiste Asperger, Paul Elcara, fait sauter les verrous de l'ignorance
15:12autour de son syndrome depuis 6 ans,
15:14et il le fait aujourd'hui en famille avec sa maman.
15:17Des enfants au volant d'une Formule 1 ou sur le bitume des 24 heures du Mans,
15:20c'est un rêve un peu fou que réalise le Team Galapia depuis plus de 50 ans.
15:24Le président Vincent Bourg-Chanin nous raconte cette histoire.
15:28Et en pleine chasse aux œufs, on va vous donner un bon plan
15:31pour en trouver tout plein, car les œufs viennent de la poule,
15:34ça sera peut-être la vôtre, surtout à Volnavé,
15:36où on peut adopter une poule pour réduire ses déchets.
15:40Des idées de sortie comme s'il en pleuvait,
15:42mine de rien et terre promise par la compagnie Les Indisciplinés de la Pardap.
15:48Une tragique comédie à découvrir samedi soir à l'avant-scène de Saint-Egrève,
15:52une troupe de théâtre de migrants,
15:54dont l'un d'eux a choisi de raconter son histoire de réfugié,
15:56des raisons pour lesquelles il a quitté la Guinée
15:58après avoir dénoncé les risques écologiques d'un projet de mine dans son village,
16:02son voyage et sa vie en France.
16:05Une pièce construite à partir d'improvisations des 18 comédiens,
16:08tous des exilés.
16:10Jérémy Charbonnel vient, lui, nous raconter ses histoires de papas célibataires
16:15en cette fin de semaine à la basse-cour à Grenoble.
16:17Un spectacle authentique et sincère,
16:20avec un humour caustique et une touche de tendresse.
16:22Jérémy Charbonnel transforme ses échecs en leçons de vie,
16:25nous montrant qu'il faut parfois tout perdre pour mieux se retrouver.
16:28C'est complet pour ce vendredi soir,
16:30mais il reste quelques places pour samedi.
16:33Des textes bien tournés, issus d'esprits, mal tournés.
16:36Retrouvez le groupe Cache-Misère samedi soir à l'épicentre à Tulin
16:39pour une formule en duo.
16:41Les deux musiciens joueront en acoustique et avec insolence
16:44leurs verves interminables, des réparties congénitales,
16:48ainsi qu'une belle paire de tessitures sur une musique plurielle
16:51qui va du swing au flamenco, en passant par le zigane.
16:55Retournez avec tu dans une heure et en replay sur telegrenoble.net
16:58à suivre la météo de ce week-end de Pâques
17:01avec quelques belles éclaircies en ski-t'en musique
17:03avec Samy Descosters et Digital Blue
17:05à l'affiche du Printemps des Carmes,
17:07un festival pour fêter la réouverture du Printemps des Carmes
17:10à Beauvoir-en-Royon, près de Saint-Marcelin,
17:12avec aussi des visites, notamment du Jardin.
17:14Belle soirée à tous et très beau week-end.
17:16On se retrouve pour un nouveau JT, mardi.
17:18Sous-titrage Société Radio-Canada
17:25Sous-titrage Société Radio-Canada
17:32Sous-titrage Société Radio-Canada
17:34Sous-titrage Société Radio-Canada
17:35Sous-titrage Société Radio-Canada