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00:00Vous voulez dire, moi, c'est en fait que M. Barrault, M. Rotaillot et les autres ministres ne peuvent rien faire.
00:08Le gros problème en France, c'est M. Macron, tant qu'il sera président, vous ne pourrez rien avoir.
00:13M. Rotaillot nous fait des promesses. Moi, j'en ai ras-le-bol de longtemps, je vais vous le dire.
00:17Pourtant, je suis de droite, mais j'en ai marre de l'entendre vers ces promesses parce qu'il n'y a rien qui fonctionne.
00:23Avec l'Algérie, il n'y a rien qui fonctionne.
00:25Vous regardez les écoles, on est obligé de délocaliser les écoles et on pourrait laisser des points de deal.
00:32C'est quand même énorme. Vous avez là à Marseille, j'ai vu ce week-end, des gens qui font de la moto, du quad, etc.,
00:40qui ont piquiné les gens depuis des mois et des mois. La police ne fait rien.
00:45M. Rotaillot, il est gentil, mais il ne fait pas beaucoup de choses.
00:49Et pourtant, je suis de droite. J'avais grand espoir en lui, mais là, il me déçoit.
00:56S'il ne peut rien faire, qu'il parte. C'est tout ce que j'ai envie de dire parce que là, il déçoit la droite.
01:01De toutes les façons, vous avez dit quelque chose. C'est qu'au tout début, le pays n'est pas tenu.
01:06Ça, c'est sûr.
01:07On est d'accord.
01:08Le pays n'est pas tenu. C'est clair, c'est net.
01:11Et Emmanuel Macron, qu'on l'aime ou qu'on ne l'aime pas, il ne tient pas le pays. Je suis désolé.
01:17Ce n'est pas ça. Il ne tient pas. Et puis, excusez-moi, mais on va droit dans le mur partout.
01:21Bien sûr, partout. Dans tous les domaines.
01:24Oui, j'entends le ministre de l'économie nous dire que l'année prochaine, il prévoit une augmentation.
01:29On va en parler demain de ça. Une économie de 40 milliards.
01:32Une économie de 40 milliards.
01:34Oui, mais j'hallucine. Tout le monde va droit. Toutes les sociétés vont mal.
01:38Bien sûr.
01:39Il continue. Et eux, ils continuent.
01:43Mais c'est pour ça, donc, je vais vous dire, le gros problème en France, ce ne sont pas les ministres.
01:48C'est Macron.
01:49Non, mais surtout qu'en ce moment, les ministres, ils ont une marge de manœuvre qui est très, très infime.
01:53À part Jean-Noël Barron.
01:54Oui, mais Cyril Amunat.
01:56À part Jean-Noël Barron.
01:58Cyril, la marge de manœuvre de M. Rotaillot, s'il n'en a pas, il faut qu'il parte.
02:04Je pense qu'il pose la question.