“Un parti politique existe pour la conquête du pouvoir. Et aujourd’hui, c’est notre existence qu’on veut enterrer vivant.”
Face aux menaces qui pèsent sur l’avenir du multipartisme au Mali, plus de 100 partis politiques, membres du FPMP et de l’IPAC, se sont réunis pour une concertation décisive au CICB.
🎥 Dans ce résumé exclusif, revivez les déclarations les plus fortes, les cris d’alerte, les appels à la mobilisation... et la vérité sur les tentatives de marginalisation des forces politiques dans le processus de refondation nationale.
🗣️ Paroles fortes issues de la rencontre :
“Nous avons été convoqués pour mourir debout.”
“On veut nous enterrer vivants.”
“Le multipartisme est un sanctuaire constitutionnel.”
“Les consultations régionales sont un leurre pour affaiblir les partis.”
🇲🇱 Mali Buzz TV vous propose ce résumé essentiel pour comprendre les enjeux d’une démocratie malienne menacée.
🧠 Qu’en pensez-vous ?
👉 Le pluralisme politique est-il en danger au Mali ?
👉 Faut-il boycotter les consultations ?
👉 Peut-on réécrire la démocratie sans les partis ?
💬 Réagissez dans les commentaires
📌 Abonne-toi à la chaîne et partage cette vidéo pour faire entendre la voix du dialogue démocratique !
🔗 https://www.youtube.com/@MaliBuzzTVOfficiel
#Mali #CICB #FPMP #IPAC #TransitionMali #CharteDesPartis #Refondation #PolitiqueMali #MaliBuzzTV #BoubakarSidibé #Démocratie #DialogueNational
Face aux menaces qui pèsent sur l’avenir du multipartisme au Mali, plus de 100 partis politiques, membres du FPMP et de l’IPAC, se sont réunis pour une concertation décisive au CICB.
🎥 Dans ce résumé exclusif, revivez les déclarations les plus fortes, les cris d’alerte, les appels à la mobilisation... et la vérité sur les tentatives de marginalisation des forces politiques dans le processus de refondation nationale.
🗣️ Paroles fortes issues de la rencontre :
“Nous avons été convoqués pour mourir debout.”
“On veut nous enterrer vivants.”
“Le multipartisme est un sanctuaire constitutionnel.”
“Les consultations régionales sont un leurre pour affaiblir les partis.”
🇲🇱 Mali Buzz TV vous propose ce résumé essentiel pour comprendre les enjeux d’une démocratie malienne menacée.
🧠 Qu’en pensez-vous ?
👉 Le pluralisme politique est-il en danger au Mali ?
👉 Faut-il boycotter les consultations ?
👉 Peut-on réécrire la démocratie sans les partis ?
💬 Réagissez dans les commentaires
📌 Abonne-toi à la chaîne et partage cette vidéo pour faire entendre la voix du dialogue démocratique !
🔗 https://www.youtube.com/@MaliBuzzTVOfficiel
#Mali #CICB #FPMP #IPAC #TransitionMali #CharteDesPartis #Refondation #PolitiqueMali #MaliBuzzTV #BoubakarSidibé #Démocratie #DialogueNational
Catégorie
🛠️
Style de vieTranscription
00:00On a besoin de stabilité aujourd'hui, on a besoin de cohésion, on a besoin d'entente.
00:11Ce pays-là nous appartient à tous.
00:16Aujourd'hui, il est temps que les partis s'unissent en un seul homme.
00:23Je pense que si on continue à agir,
00:29et qu'on continue à avoir peur de montrer à ces jeunes que nous sommes des humains comme eux,
00:36et que nous sommes prêts à mourir, ils ne vont jamais lâcher prise et continueront à faire ce qu'ils veulent.
00:45Dès la constitution 92, 2023, il a quand même mentionné multipartisme intégral.
00:59Vous vous rappellerez que à la suite d'une lettre que nous a adressée
01:05M. le ministre délégué auprès du Premier ministre,
01:10chargé des réformes politiques et du soutien au processus électoral,
01:16nos formations politiques se sont concertées dans différents cadres.
01:27Il y a eu celui du forum des partis et mouvements politiques,
01:31il y a eu celui de l'initiative pour la charte,
01:38mais il y a eu aussi d'autres cadres, plus ou moins formels ou informels.
01:46A la suite de ces concertations,
01:48le forum et l'IPAC ont réussi à formuler des propositions communes
02:00sur la réacteur de la charte
02:04qui ont été transmises à M. le ministre délégué.
02:10Nous nous attendions tous, sans doute, à un retour.
02:17Mais par l'ORTM, nous avons appris que des consultations
02:31des forces vives au niveau régional puis national seront organisées
02:41et dès ce mardi.
02:47A l'écoute de cette nouvelle, on s'est demandé qu'est-ce qu'il fallait faire.
02:52Les minimums dus étaient de rappeler les partis qui s'étaient concertés,
02:59qui avaient travaillé pour demander ensemble,
03:03décider ensemble de la conduite à tenir.
03:08Au moment où je me permets de m'adresser à vous,
03:13il n'y a aucune décision.
03:16Mais pour gagner du temps,
03:19il y a le draft d'un document qui a été distribué
03:23qui, après discussion, pourrait être déchiré,
03:31amendé, adopté en l'État, tout dépend de vous.
03:37Et pour rester dans la logique que nous avions salué,
03:42saillissant du gouvernement,
03:44on avait dit que le processus engagé était à saluer
03:47parce que c'était un processus de dialogue salvateur pour notre pays.
03:51L'objectif, c'est d'éviter toutes sortes de frictions et de nouveaux fronts.
03:55On a besoin de stabilité aujourd'hui.
03:58On a besoin de cohésion.
04:00On a besoin d'entente.
04:01Compte tenu de la situation que notre pays traverse,
04:04il s'agit de ce qui se passe aujourd'hui entre nous,
04:09entre notre pays et l'Algérie.
04:12Nous avons pensé qu'avant tout,
04:15avant tout propos, avant toute chose,
04:17il est bon qu'en tant que parti politique,
04:21nous puissions faire une déclaration
04:23condamnant ce qui est fait
04:26et réaffirmer notre soutien aux forces armées.
04:29Je salue l'initiative de la présente rencontre
04:34qui vient vraiment à point nommé
04:37compte tenu de tout ce qui a été souligné
04:41par les deux présidents de séance.
04:45J'aurais proposé que l'avant-dernier paragraphe
04:50de la première page soit biffé
04:53compte tenu de la posture que nous avons adoptée majoritairement.
05:03Je sais que malgré l'adversité,
05:07nous sommes ici des partis responsables pour l'essentiel
05:11qui soutiennent la réussite de la transition.
05:13Maintenant, concernant la lettre,
05:16j'adhère parfaitement à l'idée,
05:21les principes d'envoyer une lettre au premier ministre,
05:25ça c'est vraiment, nous adhérons à cela.
05:28Par rapport à ce qu'on est à tenir,
05:30moi je pense, monsieur le président, aujourd'hui,
05:32qu'il faut vraiment s'élever,
05:34qu'il faut vraiment s'élever comme un seul homme
05:38face à ces problèmes,
05:39parce qu'il s'agit de notre survie.
05:43Dans la forme, j'ai trouvé vraiment que c'est parfait
05:46parce que jusque-là encore, on n'a pas fait de faux pas.
05:49Même si on nous a invités au CNT pour nous insulter,
05:54on ne va pas répondre.
05:57On ne va pas répondre à cela
05:59et qu'on fasse une lettre vraiment en bonne et due forme
06:02dans le plus grand respect.
06:05et je trouve vraiment que le document est parfait.
06:10Dans ce pays, on a compris que ceux qui ne parlent pas
06:14ne sont pas écoutés.
06:17Seuls ceux qui sont en train de raconter,
06:20vous m'excusez, leur vie sont écoutés.
06:23Parce qu'on a l'impression que ceux qui sont écoutés,
06:25c'est eux le peuple.
06:27Ceux qui ne sont pas en train de parler,
06:29ils ne sont pas le peuple.
06:30Je pense quand même que la conduite à tenir
06:33est que les partis politiques doivent finir
06:36en un seul homme et faire le combat.
06:39Il n'y a pas de tournée par rapport à ça.
06:41Une conférence de presse pour informer l'opinion
06:45nationale et internationale sur ce qui se passe.
06:51avant-hier, nous avons vu un communiqué du gouverneur
06:59de la région de Kuchala pour inviter les partis politiques,
07:04chaque parti politique, de donner le nom de deux personnes.
07:08Et hier, les avis ont changé.
07:10Ils disent que tous les partis politiques doivent se mettre ensemble
07:16pour donner le nom de deux personnes.
07:21Donc, je pense que ça serait du copier-coller dans toutes les régions.
07:26Donc, chers camarades présidents et présidentes,
07:30restons unis.
07:33Parce que je ne pense pas, après l'envoi de la lettre,
07:38que nous serons reçus.
07:40Désolée.
07:42Je n'en ai pas d'ici.
07:43Je n'en ai pas d'ici.
07:45Il y a des deux jours.
07:47Le patient est normal.
07:49Je n'en ai pas d'ici.
07:51Je n'ai pas d'ici.
07:53Je n'ai pas d'ici.
07:55Mais, finalement, il n'y a pas d'ici.
07:57Il n'y a pas d'ici.
07:59Il y a des choses.
08:01Le président de la République,
08:03c'est un homme de la République,
08:06c'est un homme de la République.
08:08Ainsi, que vous avez accès à votre argent,
08:11ou que vous ne pouvez pas vouloir la naissance de votre argent.
08:17Et ce qui a été dit,
08:19toutefois c'est d'un problème que je n'ai pas fait.
08:23Je ne mettais pas.
08:25Je n'ai pas fait du mal.
08:27Je ne suis pas fait du mal, parce qu'il devait pas voter.
08:30Mais au sein du problème est que les partis politiques étaient notés.
08:33Mais il y a beaucoup de choses qui sont en politique.
08:37C'est comme les femmes qui ne sont pas plus militaires parce qu'elles étaient militaires.
08:47C'est comme une politique.
08:51Donc si on a fait une influence en ce film, on a dit qu'on a un politique.
09:01Il y a un parti politique qui a dit, attention, il y a des gens qui ont été alertés, il y a des gens qui ont été alertés.
09:11Mais ce n'est qu'il n'y a pas de sonnerie au Parti Politique, il n'y a pas de problème, mais il n'y a pas de problème.
09:19Il n'y a pas de conférence de presse pour qu'il n'y ait pas de témoignage.
09:25Il n'y a pas de témoignage.
09:27Il n'y a pas de raison.
09:29Le Parti Politique n'est que personne qui une BEG, mais il n'y a donc pas de même pas de Stephanie.
09:35Il n'y a pas de problème entre ni les gens qui peuvent faire oure être efficace qui sont geographicales,
09:40vous n'y encombrissez-vous plus de hallege source,
09:44vous avez utilisé pour ne pas maintenant.
09:48Mais leur famille m'a tiens à Johi au wspól d'autres models pour ceux quivent rising
09:52Parce que dans le temps des personnes, ils n'ont pas l'impression de se donner de même à l'autre.
10:00Je sais qu'il n'y a pas de soucis, mais je ne sais pas de soucis.
10:03Il n'y a pas d'embaix, vous ne l'étude pas.
10:08Vous ne l'étude pas, mais il ne l'étude pas.
10:12Il ne l'étude pas, mais vous ne l'étude pas.
10:14Vous ne l'étude pas.
10:16J'ai pas dit, je ne l'étude pas.
10:20Il y a des questions, je n'ai pas d'abordé une salle d'élóction.
10:22Je ne suis pas d'abordé que l'Etat et de la politique.
10:25Je n'ai pas d'abordé l'appointement.
10:27Mais quand j'ai des questions, je devais s'être d'accord.
10:32Et je ne suis pas d'abordé au mouvement démocratique et je suis avec vous.
10:41Sur une situation où j'ai reçu mon vie de l'élève, je ne avais pas d'abordé son travail.
10:46Mais en effet, ce n'est pas la même chose.
10:50En effet, si tu as le soutien, tu n'as pas le soutien.
10:53La remise, selon le dépôt de cette réponse, ce n'est pas environ une centaine de partis,
10:58c'est plus qu'une centaine parce que j'ai vu la déclaration, c'est sans un parti.
11:02C'est une première quand même depuis quelques années.
11:05Donc moi, je pense que le problème, il est politique.
11:09La solution ne peut être que politique.
11:12Ça, je le dis très sincèrement.
11:13J'arrive à la conclusion que des CDI, je l'ai dit il y a deux ans,
11:20des CDD, nous sommes à un CDI.
11:22Maintenant, on veut empêcher à ceux qui ne souhaitent pas que ces CDI continuent.
11:27Bon, comment les neutraliser ?
11:29Quand je dis CDD, la transition de 18, on était à 24.
11:33De 24, on était à un report léger.
11:35D'un report léger, on a un report maintenant synédier.
11:38Parce que nul ne sait où on va.
11:39On dit celui qui ne sait pas où il va, tous les chemins, mais nulle part.
11:43Dès la constitution de 92, 2023, il a quand même mentionné multipartisme intégral.
11:54C'est clair.
11:56Multipartisme intégral.
11:57Et il a également mentionné que la soigneté n'appartient qu'au peuple.
12:00Quelqu'un l'a dit, qui est ce peuple ? C'est nous tous là.
12:02C'est vous, c'est nous.
12:02Bon sang, pourquoi on veut remettre tout ça en cause ?
12:07C'est parce que nous nous dérangeons.
12:09Nous nous sommes tus.
12:11Certains ont accompagné, certains ont observé.
12:13Certains se sont opposés comme nous.
12:15Mais par rapport au Malais, nous avons toujours été ensemble.
12:17Et il s'agit aujourd'hui de l'existence du pays.
12:19On est nul du pays réunissant à exister.
12:22Donc on veut nous empêcher parce qu'un parti politique, on le craint pour la conquête et l'exercice du pouvoir.
12:27Maintenant, c'est notre existence qui veut le remettre en jour.
12:30Moi, je me reconnais dans la déclaration.
12:32Maintenant, on sait beaucoup, on a beaucoup accompagné.
12:35On a vraiment beaucoup accompagné.
12:36Il est temps maintenant, si on ne se lève pas, si on ne se donne pas la main,
12:40si on ne mène pas le combat politique,
12:42soyez sûr d'une chose, je ne le souhaite pas, je ne souhaite pas qu'il soit en même temps de raison.
12:45Ou bien ce que j'ai dit, il met en raison.
12:47C'est concertation initiée, proposée.
12:51On rend comme aboutissement qu'on a demandé la dissolution des partis politiques.
12:56C'est clair, ce n'est que ça.
12:59C'est vu, c'est sûr, c'est connu.
13:00On nous dit maintenant, on veut vous enterrer vivants,
13:02craisez-vous, montez-vous, tombe.
13:04Contrairement à d'autres pays, parce qu'on veut imiter.
13:07Quand l'histoire se répète, la copie est toujours moins réussante que l'original.
13:11Le code du Mali est différent des autres.
13:13Nous, nous sommes bâtis jusqu'au sang.
13:14Maître Tal est là, même du mouvement démocratique, comme beaucoup d'autres.
13:17Nous avons donné le sang pour être dans la démocratie.
13:20Allons-nous accepter comme ça, qu'on perte le profit ?
13:23Je pense que non.
13:24Nous battons-nous dans la légalité, avec la parole, avec la loi, avec le droit,
13:30pour empêcher que, je ne sais pas comment dire,
13:34qu'on nous amène à des situations que Dieu nous en prédève.
13:40Il faut dire que l'article 37 est clair là-dessus, la Constitution.
13:44Nous sommes derrière la Constitution, l'article 37 dit, je lis,
13:46l'article 37, la souveraineté nationale appartient au peuple qui l'exerce par ses représentants élus,
13:52au suffrage universel direct ou indirect, ou par voie de référendum.
13:55Aucune fraction du peuple, ni aucun individu ne peut s'en attribuer à l'exercice.
13:59Donc ça, c'est clair.
14:01Je pense que si on continue à jouer ce jeu,
14:05et qu'on continue à avoir peur de montrer à ces jeunes que nous sommes des humains comme eux,
14:10et que nous sommes prêts à mourir,
14:12ils ne vont jamais lâcher prise, ils continueront à faire ce qu'ils veulent.
14:14Donc si vous ne voulez pas sortir, vous voulez continuer dans cette démarche là,
14:20dites-vous que les partis seront dissous, que le voulez ou pas.
14:22Ces concertations, il faut qu'on les empêche par tous les moyens.
14:25Vraiment moi ce que je voulais dire quoi,
14:27et il y a la Constitution qui est là,
14:29au biais d'une heure qui est au biais d'une heure qui est au biais d'une heure,
14:32et je ne sais pas si on s'est passé dans la dizaine de nos jours,
14:35et on ne sait pas qu'ils ne sont plus pauvres,
14:36ils ne sont plus pauvres, ils ne sont pas pauvres, ils ne sont plus pauvres.
14:38Tu dis clairement que les lettres, ils donnent la lettre qui est,
14:41« Antela, Antela, Chine, Abana, vraiment.
14:44Parce qu'il n'y a pas de solution.
14:46J'ai une solution partout.
14:48Merci.
14:49J'ai respecté.
14:51J'ai fait un meeting organisé.
14:53J'ai fait un meeting.
14:55C'est ça.
14:57Peplou, Peplou, Peplou.
14:59Peplou est amperé.
15:01Amperé, Peplou est amperé.
15:03Maintenant, force vive là.
15:05Djaloc Inter-Maliens,
15:07il faut choisir.
15:09Djaloc Inter-Maliens,
15:11onSON,
15:15il faut choisir.
15:17Djaloc Inter-Maliens.
15:19Djaloc Inter-Maliens.
15:20Avec cela,
15:21on est alors dans sa force vive là.
15:23C'est comme je dis,
15:25je pense que je dis que j'ai besoin de force vive là.
15:27Vous dites,
15:29j'en ai dit qu'il n'y a pas d'aider.
15:31Il ne va pas se faire où il reste,
15:33il ne va pas se faire comme ça.
15:35Je ne vais pas se faire comment on a fait des forces vive.
15:37La force vive là.
15:39un homme qui a mis en musclé, il va raconter ça.
15:41Il est temps.
15:42Pour ces pays,
15:45nous devrons faire violence nous-mêmes sur nous.
15:49De se voir au quotidien
15:51pour que
15:52on discute et voir
15:54quelles sont les solutions
15:56à prendre le plus tôt possible
15:59pour quand même freiner cela.
16:01Dans un pays agro-civaux pastoral,
16:04il ne faut pas le parti politique
16:06qui a boité
16:06et nous demander...
16:08Quelqu'un m'a dit hier
16:09pour avoir ce débat, je ne suis pas au courant,
16:11je ne veux même pas rentrer dans ce débat
16:13parce que je n'y crois pas.
16:15Parce que c'est que moi je crois
16:17comme non-politique parti
16:19à la tour de dos.
16:20Il ne faut pas le parti politique.
16:22Il ne faut pas le parti,
16:24il ne faut pas le parti,
16:24il ne faut pas le faire.
16:26Il ne faut pas le faire.
16:27Il ne faut pas le faire.
16:29Il ne faut pas le faire.
16:30Il ne faut pas le faire.
16:32Je vous demande
16:33que les lettres sont
16:34qui sont les lettres
16:35et qui sont les prêts
16:37pour dire qu'on n'est pas d'accord
16:47parce qu'on n'a pas le droit
16:48sans base juridique.
16:50Première proposition d'amendement.
16:54Biffer l'avant-dernier paragraphe
16:57de la première page.
17:01On va demander
17:03à Sidiq Al-Mami
17:05d'accepter le maintien
17:08si on s'en tient
17:10à ce qui a été dit
17:12dans la salle.
17:13Donc, voici les amendements
17:34et les réponses apportées
17:36aux amendements.
17:37Deuxième point,
17:41c'est la rencontre
17:42avec la presse.
17:45Nous n'avons entendu ici
17:46aucune objection.
17:48Alors,
17:49à côté de la conférence des presse,
17:51on a parlé de meeting.
17:54Est-ce qu'il faut aller
17:56vers le meeting dans l'urgence ?
17:58Il faut entendre
17:59ce que les consultations régionales
18:00vont dire.
18:01Et en ce moment,
18:03on se réunira
18:03pour tenir,
18:05pour décider
18:06de la conduite
18:07à tenir
18:08pour la suite.
18:10Alors,
18:10j'en arrive maintenant
18:11aux observations
18:13et aux analyses
18:14sur une éventuelle
18:16dissolution
18:17ou suspension.
18:20Notre patrimoine culturel
18:22est riche,
18:23extrêmement riche.
18:25Il y a deux sagesses ici
18:26qu'on peut évoquer.
18:28La première,
18:28amène à bas
18:31d'un état
18:31et amène à bas
18:32de l'éventuelle.
18:34Mais la seconde dit,
18:36il y a des boulot-jala.
18:41Donc,
18:42le...
18:44Le...
18:45Le...
18:46Le...
18:48Le...
18:50Alors,
18:51maintenant,
18:52on a parlé
18:53d'éléments de langage.
18:54Nous devons tous
18:55être dans la sagesse
18:57tout faire pour éviter
19:01les confrontations
19:03et rester dans la logique
19:07de travailler
19:09pour la réussite
19:10de la transition.
19:12Cela veut dire quoi ?
19:14Que nous avons tous
19:16des référentiels
19:17que nous devons respecter.
19:20Le premier
19:21de ces référentiels,
19:22c'est notre Constitution.
19:27La Constitution,
19:28on l'a mis
19:29brièvement.
19:31Mais non seulement
19:32elle reconnaît
19:33l'existence
19:34des partis politiques,
19:36mais en plus
19:37elle les protège.
19:40La Constitution
19:40en 1992
19:41le fait,
19:45celle adoptée
19:45sous la transition
19:46en 2023,
19:48le fait
19:49mot
19:50pour mot.
19:52Et parmi
19:53les sanctuaires
19:56protégés
19:56par la Constitution,
19:59il y a
20:00la forme républicaine
20:01de l'État,
20:02la laïcité,
20:04le nombre
20:04de mandats
20:05du président
20:06de la République
20:06et le multipartisme.
20:09Ce sont
20:09les sanctuaires
20:10constitutionnels
20:12de notre pays,
20:13il n'y en a pas d'autres.
20:15Donc,
20:16inviter chacun
20:17à respecter
20:19la Constitution
20:21et la protection
20:23des partis
20:24par la Constitution
20:25est importante.
20:28Deuxième chose,
20:30on l'a dit,
20:31nous évoluons,
20:32nous,
20:32dans un cadre
20:33qui est celui
20:33de l'AIS
20:34aujourd'hui.
20:36On peut
20:37essayer
20:38de voir
20:38ce qui s'est passé
20:39dans d'autres pays
20:39de l'AIS
20:40et dire
20:40est-ce qu'on va
20:41dupliquer ça
20:42chez nous
20:42comme certains
20:43l'ont demandé.
20:43Il faut juste
20:46se remémorer
20:47deux choses.
20:49La première,
20:51c'est qu'au Burkina Faso
20:52et au Niger,
20:53il n'y a pas
20:54de constitution
20:54aujourd'hui.
20:57Les constitutions
20:58sont suspendues.
21:00Le Mali
21:01a fait le choix
21:02d'écrire
21:04une nouvelle constitution,
21:06de la soumettre
21:07à un référendum
21:08et de l'adopter
21:10à près
21:10de 90%.
21:11Donc,
21:13c'est ce qui
21:14nous engage
21:14tous.
21:16Les pays
21:16qui n'ont pas
21:17de constitution
21:17peuvent se permettre
21:18un certain nombre
21:19de choses,
21:20mais nous,
21:21ils sont difficiles.
21:23Deuxièmement,
21:25nous avons tenu
21:26les assises nationales
21:27de la Réflation.
21:28Certains n'y ont pas
21:29participé,
21:30c'est vrai,
21:31et on salue
21:31d'ailleurs
21:32leur ouverture
21:32d'esprit
21:33par rapport
21:34à ce qui se passe
21:34aujourd'hui.
21:37Mais c'est
21:38les résolutions
21:40ont été
21:42traduites
21:43en programmes
21:44d'action
21:44gouvernementale
21:46validées
21:48par le CNT.
21:51Et c'est
21:51cette base
21:52qu'il y a
21:52un gouvernement
21:53aujourd'hui
21:53et c'est ce gouvernement
21:54qui nous a écrit.
21:55Donc,
21:56on peut opposer
21:57à ce gouvernement
21:58les ANR
21:59pour les dire
22:01que les ANR
22:02ont reconnu
22:03et acté
22:05l'existence
22:05des partis politiques
22:06et ont émis
22:09des résolutions
22:10sur le fonctionnement
22:11et la vie
22:12des partis politiques.
22:15C'est sur cette base
22:16que le ministre délégué
22:17nous a écrit
22:18et nous avons
22:20suivi
22:21en tout point
22:22ce que les ANR
22:24ont demandé.
22:26On est allé
22:27plus loin
22:28en termes
22:29d'exigence
22:29sur les partis
22:31politiques
22:31que les ANR.
22:33C'est pourquoi
22:33on se pose
22:34une question.
22:36Pourquoi défoncer
22:36une porte ouverte ?
22:39Pourquoi ?
22:41On a statué
22:42sur tous ces points.
22:43On est d'accord
22:44sur tous ces points.
22:47Et au Mali
22:48aujourd'hui,
22:49si on veut
22:50une légitimité
22:51plus forte
22:51que les ANR,
22:52c'est possible.
22:53Il faut aller
22:53à un référendum.
22:56Il n'y a rien
22:57qu'on puisse faire
22:57en dessous des ANR
22:59pour contredire
23:00les ANR.
23:02Donc,
23:02vraiment,
23:03il n'y a rien
23:05à dire.
23:05Il n'y a rien
23:05à dire.
23:07Il n'y a rien
23:07à dire.
23:08Il n'y a rien
23:09à dire.
23:10Il n'y a rien
23:11à dire.
23:14Il n'y a rien
23:15à dire.
23:16Il n'y a rien
23:16à dire.
23:19C'est pourquoi
23:19on fait cette lettre.
23:21C'est pourquoi
23:22on fait cette proposition.
23:24Et c'est pour ça
23:25qu'on arrive
23:26peut-être
23:27au dernier point.
23:29Quel élément
23:30du langage ?
23:32Les éléments
23:32du langage
23:33doivent suivre
23:34une décision
23:35d'abord.
23:37Koulibaly
23:38de Néma
23:38a dit
23:39après avoir
23:40convié
23:41tous les partis,
23:41on a dit
23:42deux partis
23:42par région.
23:45Maintenant,
23:46la question
23:51est de savoir
23:51si on va partir
23:54participer
23:55dans ces conditions
23:56avec nos éléments
23:56du langage
23:57ou si on va se dire
23:59à deux
24:00contre deux cents.
24:02Qu'est-ce qu'on va
24:03faire ?
24:04Est-ce que
24:05on reste à l'écart
24:07de ce processus ?
24:10Nous devons
24:10en convenir
24:11mais de façon
24:13unanime
24:14avec un plan
24:15de question
24:15qu'est-ce qu'il y a ?
24:17Si on va
24:17ou bien
24:18on va
24:19tout
24:19dans les lettres
24:20d'initi,
24:21souhaitez
24:22ardemment
24:23que les premiers
24:23ne reçoivent
24:24et que ce soit
24:25le processus
24:26ou si le processus
24:27continue,
24:28est-ce que ça va
24:28continuer avec
24:29ou sans nous ?
24:31On doit
24:32en parler
24:33ici.
24:34On a participé
24:35où ?
24:36On a participé
24:37où ?
24:37C'est le mouvement
24:37au parti politique
24:39du Mali.
24:39Vraiment,
24:40on a capacité
24:41de mobilisation
24:41et de la réalité.
24:42Si nous adoptons
24:43cette lettre
24:44et je crois
24:45qu'elle est déjà
24:46pratiquement adoptée,
24:48nous ne pouvons pas
24:48demander
24:49de renoncer
24:50aux concertations
24:55et aller participer
24:57à ces concertations.
24:59Donc je dis
24:59qu'il faut
25:00tout simplement
25:01ne pas participer
25:03à ces concertations.
25:05Ce qui se passe
25:06aujourd'hui au Niger,
25:07c'est ce qu'on veut
25:07faire dupliquer
25:08ici au Mali.
25:09ou du moins
25:10par un format
25:11réduit.
25:13Donc il faut
25:13qu'on fasse
25:14attention.
25:15Moi je crois
25:16qu'un victoire
25:17ne fait pas
25:18qu'on a fait
25:18parce qu'on a fait
25:19ce qu'on a fait.
25:22Donc aujourd'hui,
25:23on a décision
25:25taille.
25:25Parce que tant
25:26que tu n'as pas
25:26oublié
25:27qu'à la famille
25:27de la France
25:27nous n'avons
25:28qu'on a fait
25:28ou qu'on a fait.
25:30On a décision
25:30dans la lettre
25:31et on a fait
25:32les bois.
25:33Donc on a fait
25:34la conférence
25:35de presse
25:36et on a fait
25:36la conférence.
25:36Et puis le document
25:37est vraiment
25:38féliciter
25:39le document.
25:40Il faut qu'il y ait
25:41le bonheur.
25:42Il faut qu'il y ait
25:43un document.
25:44Il faut qu'il y ait
25:44un document.
25:45Donc il faut qu'il y ait
25:46déposé.
25:47Il faut qu'il n'y ait
25:48pas de participer.
25:51Il faut qu'il n'y ait
25:51pas de participer.
25:53dans le fond,
25:55nous ne devons pas
25:56participer.
25:57Dans le fond,
25:58il ne doit pas
25:58nous sauter
25:59pour aller
25:59demander
26:00nos représentants.
26:01Donc vraiment,
26:02c'est un moyen
26:02dilatoire
26:02pour nous amener
26:04à l'abattoir.
26:04Moussa,
26:05je crois que c'est
26:06bon,
26:07la déclaration
26:08a adopté.
26:11Chers camarades,
26:12chers amis,
26:14bon,
26:15je crois qu'il y en a
26:16qui sont des camarades
26:17à la ville,
26:18je suis le chef de papier.
26:21Alors nous sommes
26:22à la fin
26:24de nos échanges
26:25de cet après-midi.
26:27Ça a été
26:28une excellente réunion.
26:29donc merci beaucoup
26:32au nom du président
26:33de la CACD.