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00:00Vous étiez complètement dans le match et puis il y a eu ce trou noir de 5 minutes.
00:06Oui, je pense que durant 60 minutes c'était plutôt cohérent, c'était après-midi.
00:11Après voilà, c'est la différence avec les équipes du tableau, quand on nous donne quelques-unes, ça paye cash.
00:17Donc, un peu déçu forcément, après il faut quand même retenir le positif d'un côté, mais rien à être au-dessus.
00:26Quels ont été les ingrédients, notamment de l'entame de match, un petit peu comme contre Laval sur le dernier match ici et à Dunkerque aussi lundi ?
00:32Comment en ce moment vous arrivez à bien commencer les matchs et à mettre un rythme infernal tout de suite ?
00:37On a envie de rentrer directement dans le match avec un bloc compact, tendance aussi à aller chercher homme à homme sur les 5,50 m.
00:46On essaye d'imposer notre rythme, de mettre de l'impact aussi et ça nous réussit jusqu'à la 60e et après on a sombré.
00:52À quel point c'est frustrant de perdre ce match en deux minutes en fait ?
00:56Ouais, on est dégoûté parce que quand on marque franchement dans notre tête, je pense qu'on se dit bon, vas-y, il nous reste 30 minutes, on donne tout.
01:02Et puis gagner face aux leaders chez nous avec le public, je trouve que ça aurait été une imprime qui est incroyable.
01:09Ça ne l'a pas été, donc on est un peu d'issue.
01:11Et inversement, ça vous met un coup de massue de voir qu'en deux minutes, ils arrivent à vous reverser le match ?
01:18Est-ce que ça met un coup d'arrêt à votre envie d'aller les titiller un peu ?
01:25Peut-être un peu inconsciemment, après on sait qu'il reste du temps, donc pourquoi s'arrêter ?
01:30Mais je pense que dans les têtes inconsciemment, on prend un petit coup de marteau, mais c'est à nous aussi de faire preuve de caractère et de se relever.
01:37Et puis la dernière demi-heure, techniquement, elle a été quand même plus poussive aussi pour aller chercher l'égalisation, ça semblait vraiment compliqué.
01:44Ouais, on a un peu, comme je l'ai dit, un peu lâché aussi, quand tu prends un coup d'arrêt, forcément après ça suit un peu moins bien avec les pieds.
01:52Donc un peu poussive, et puis voilà, la zip-taille n'est pas là.
01:55Qu'est-ce qui vous sépare d'une équipe comme Lorient, après ?
01:57Je pense faire un match sur le long terme, sur 90 minutes, un match sympa à l'heure de jeu, donc c'est ce qui peut nous pêcher aujourd'hui.
02:07On le voit sur, comme le match de l'interf aussi, on pêche en 25-10 minutes, on donne tout, donc ça se répète, mais bon, on est encore dans la course, on est cinquième,
02:18donc à nous de faire ce qu'il faut, il nous reste quatre matchs, et ça le fera.
02:22C'est une façon de se préparer au barrage aussi ?
02:24Oui, forcément, on y pense, parce qu'on fait les calculs, on est encore dans la course, et il va falloir prendre tous les points possibles.
02:30Il nous reste quatre matchs, on est déterminés, on est tous dans le même bateau, donc on peut croire en moi.
02:35Est-ce qu'on ressort avec des points positifs ? Le fait d'avoir été devant Lorient, d'avoir mené au score, de vraiment les avoir inquiétés,
02:43est-ce que ça, c'est un point positif, même si ce n'est pas suffisant ?
02:47Oui, comme je l'ai dit, sur une heure, franchement, on rivalise avec ce genre d'équipe, c'est plutôt cohérent, c'est plutôt positif.
02:52Après, comme je l'ai dit aussi, les 30 dernières, on n'existe pas, donc c'est ce qui fait que Lorient est au-dessus de nous à l'heure d'aujourd'hui.
02:59Toi qui approche de tes 100 matchs à Guingamp, joués dans ce genre d'atmosphère, qu'est-ce que ça fait ?
03:05Oui, franchement, c'est exceptionnel.
03:07J'ai clairement dû remplir le stade, là, à 14h, François-Lorient, je savais qu'il était le meilleur hors du monde.
03:13Quand je rentre sur le terrain, c'est quelque chose, ça fait plaisir de voir qu'il y a des supporters musiciens,
03:19donc Lorient est très content de ça.
03:22Merci.
03:22Merci beaucoup.
03:23Merci beaucoup.
03:23Merci beaucoup.
03:23Merci beaucoup.
03:24Au revoir.
03:24Au revoir.
03:24Au revoir.
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