Astrid Thompson parvient enfin à réaliser le rêve de son père: réunir quatre Stradivarius pour un concert unique attendu par les mélomanes du monde entier. Mais Lise, George, Peter et Apolline, les quatre virtuoses recrutés pour l’occasion, sont incapables de jouer ensemble. Les crises d’égo se succèdent au rythme des répétitions. Sans solution, Astrid se résout à aller chercher le seul qui, à ses yeux, peut encore sauver l’événement: Charlie Beaumont, le compositeur de la partition.
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Court métrageTranscription
00:00Sous-titrage Société Radio-Canada
00:30Alors on n'hésite pas à sourire
00:31En deux jours, ils n'ont pas été capables de régler un seul mouvement
00:36Samedi, ils sont censés en enchaîner quatre
00:37On reprend un 11
00:38Pourquoi on reprend un 11 ?
00:39Parce qu'avant, ils ne jouent pas
00:40Ça va ?
00:43Bon, bon, si elle a bien un qui sait comment ce truc se joue, c'est bien lui
00:45Un, deux, trois
00:47Enfin, qu'un bon musicien, ça n'a jamais suffi à faire un bon poitoueur
00:51Ça se saurait
00:52Je crois qu'on n'est pas pareil, en fait
00:54Ça veut dire quoi, ça ?
00:55La Pauline ?
00:56Mais c'est moi, je vous dis !
00:57Toujours cette manie de te cacher pour travailler
00:59Vous vous entendez bien avec Peter ?
01:01Vous êtes observateur ?
01:03On est fâchés à mort
01:04Pensez à ces nuées des tourneaux
01:12Qu'est-ce qui se passe avec ces centaines, ces milliers des tourneaux
01:16Qui font des rondes comme ça dans le ciel ?
01:19Il n'y a pas de chef, il n'y a pas de règle
01:20J'ai tout fait pour que ce concert soit magnifique
01:24Et vous, vous faites tout pour que ce soit un désastre
01:26Alors, merde
01:27Ça vous a plu ?
01:36Pas simple, je vais le dire, pas simple