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Alors que le PSG accueille Aston Villa ce mercredi en quart de finale aller de Ligue des champions, Daniel Riolo se veut confiant pour les Parisiens. Il met en avant un changement dans l'approche mentale par rapport aux années précédentes.

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Transcription
00:00Demain soir Manu, tu seras là aussi pour le match allé entre Paris et Aston Villa.
00:06Parfois, il y a des infos à partager concernant ce match.
00:10On va le faire tout de suite.
00:12Par exemple, la compo de départ de Paris ?
00:15Oui.
00:15Vous la voulez ?
00:16Je pense que c'est presque du classique.
00:19En fait, aujourd'hui, il n'y a plus, on a complètement changé au PSG.
00:22Les fameux concours de compo, c'est fini, on la connaît.
00:25C'est la force depuis trois mois de cette équipe.
00:28Il y a un doute peut-être sur un positionnement devant.
00:30Écoute, aujourd'hui...
00:31Et peut-être l'absence de Marquinhos en défense centrale.
00:34C'est Béraldo.
00:34Donc Béraldo, évidemment.
00:36Béraldo avec Paco.
00:37Et devant, maintenant...
00:39Acni Mendes de la Rouba, bien sûr.
00:40C'est Doué ou Barcola ?
00:42Pour moi, c'est Doué.
00:42Alors là, c'est Doué.
00:44Et je pense que Doué l'a démarré.
00:45Nos reporters annoncent Neves Vitigni à Ruiz au milieu.
00:47Et Doué, Dembélé, Gerard Skellia.
00:50Bah oui, oui, oui.
00:51Mais maintenant, il n'y a plus de surprise, c'est fini.
00:53Je ne sais pas si c'est si évident que ça, parce que Barcola a toujours été titulaire.
00:58Non mais à un joueur prêt, un truc comme ça, ok.
01:00Mais on est là, quoi.
01:01On est là, la compo.
01:02Ah oui, oui, oui.
01:02On n'est plus dans les choses.
01:05On ne savait pas qui jouerait.
01:06Pourquoi il a fait ci ?
01:07Pourquoi il a fait ça ?
01:07Il n'y a pas de petit lapin qui sort du chapeau.
01:10Exactement.
01:11Voilà, c'est fini.
01:15L'hyper-favorite de ce match.
01:18Louis-Henriquet tenait à répondre à Daniel.
01:22Je crois que c'était équivalent face à Liverpool.
01:29Sur les paris, tout le monde disait qu'on n'avait aucune chance, ou en tout cas moins de chance que Liverpool.
01:34Donc pour moi, les favoris dans le football, ça n'existe pas.
01:37Il y a huit équipes qui, si elles sont arrivées à cette phase-là, l'ont mérité.
01:40Donc ce sont huit équipes qui peuvent passer à l'étape suivante.
01:43Et sur la route, il y a beaucoup de favoris éliminés.
01:45Donc il va falloir qu'on fasse ce qu'il faut et que l'on mérite de gagner sur le terrain.
01:49Et c'est ça qui est réellement difficile.
01:54Bon, toi tu penses que le PSG est largement au-dessus ?
01:58Non, mais je comprends ce que dit Louis-Henriquet.
02:00C'est une façon aussi d'envoyer un message à ses propres joueurs, pour ne pas prendre à légère justement l'Aston Villa.
02:06Qui est une équipe qui peut te faire mal, mais qui est quand même, pour moi,
02:11qui n'a pas le même niveau que le Paris Saint-Germain.
02:13Ça, c'est une certitude.
02:14Mais si tu prends à la légère certaines phases de jeu, notamment dans la perte de balles,
02:20où ils ont des transitions extrêmement rapides avec des joueurs qui sont capables de percuter,
02:24et ils sont relativement efficaces dans la finition, ça peut faire mal.
02:28Et aussi sur les coups de pied arrêtés, un domaine où Marquinhos manquera à l'appel,
02:34et sur lequel les joueurs d'Aston Villa peuvent être performants également.
02:38Mais hormis ça, je pense que si le Paris Saint-Germain fait tout le match qu'on les voit faire depuis pas mal de mois,
02:45je ne vois pas comment Aston Villa pourrait rivaliser dans le jeu.
02:51Je crois qu'on est tous d'accord là-dessus.
02:52C'est aujourd'hui ce qu'ont fait les équipes tout au long de la saison,
02:58c'est ce qu'a fait Aston Villa dans son championnat.
03:01C'est surtout au retour, je pense qu'avec l'ambiance, elle est quand même différente.
03:05Est-ce que le PSG sait faire ça ?
03:06Oui, je sais, mais Aston Villa, ce n'est pas non plus, je ne sais pas,
03:13un stade de la boule, je ne suis pas d'accord avec vous.
03:16Non, mais c'est bien.
03:17Villa Park dans les grandes soirées, c'est électrique.
03:19Après, si le PSG arrive à faire ce qu'ils ont fait à handfield, à éteindre justement,
03:24ils ont éteint handfield à un moment donné, ils peuvent très bien le faire.
03:27Mais dans le passé, il l'avait fait à Chelsea aussi et tout.
03:30Mais j'ai vu Aston Villa bousculer pas mal de grandes équipes à domicile.
03:34Écoute, s'il n'y avait pas eu les deux matchs contre Liverpool qui avaient officiellement montré la force du PSG,
03:40qu'à mon sens, on n'avait pas encore vu d'abord parce que la première partie de saison n'est pas bonne,
03:43de mon point de vue, et qu'ensuite, il y avait toujours la fameuse théorie de la Ligue 1 faible
03:47et de la démonstration en Coupe d'Europe d'une force.
03:50Si on n'avait pas eu Liverpool, je resterais dans mon attitude habituelle quand viennent les gros matchs du PSG.
03:57Et je dis, montrez-moi. Montrez-moi parce que je ne sais pas.
04:03Même l'année dernière...
04:03Tu es en train de dire qu'il y a la jurisprudence Liverpool, en fait.
04:05Même l'année dernière, je disais, le match contre le Barça ne m'avait pas convaincu à 100%
04:12parce que d'abord, à l'aller, tu avais été inférieur et qu'au retour, les faits de match ont fait que tu as gagné la rencontre.
04:17La Real Sociedad n'étant pas un adversaire que j'estimais assez fort,
04:22et même contre la Real Sociedad, ça n'avait pas été si simple que ça.
04:25Et Dortmund, on a vu que même une équipe, même quand tu es un peu favori et tout,
04:29tactiquement, ils t'avaient parfaitement emmerdé, tu ne t'en étais pas sorti.
04:32Là, l'évolution que je vois, c'est cette double confrontation contre Liverpool.
04:36Est-ce que ça donne automatiquement qualification, les yeux fermés ?
04:38Non, parce qu'Aston Villa a les moyens de jouer autrement,
04:40parce qu'Emery est capable tactiquement d'emmerder le genre de jeu que veut pratiquer Luis Enrique.
04:46Mais il y a une approche mentale qui a changé au PSG.
04:50Le PSG, même de l'année dernière, même de l'année d'avant, encore plus de l'année d'avant,
04:54mentalement, c'était toujours un peu fiable.
04:57Là, le travail qui a été fait...
04:58Il y a autre chose que le mental qui a changé.
05:00Bien sûr, mais c'était l'ajout.
05:02C'est le collectif.
05:04Oui, mais ça leur est arrivé de bien jouer dans le passé.
05:06Oui, mais là, vraiment, je trouve qu'il y a une maîtrise, une sérénité qui est incroyable.
05:10Pardon Manu, évidemment, on peut répéter ça, tout le monde répète ça.
05:13Il y a trois ans, puisqu'on parlait du Real ce soir,
05:17quand tu joues le Real, qu'il ne dépasse pas la moitié de terrain pendant une mi-temps.
05:22Une mi-temps !
05:23Même pas une mi-temps, qu'est-ce que je raconte ?
05:2480 minutes, le Real.
05:26Mais même tout le match, il ne passe pas la moitié de terrain une fois.
05:30Ils font un béton, une équipe comme le Real.
05:33Et que ça se débloque parce que Mbappé fait un exploit à la fin.
05:36Le PSG avait fait un très bon match.
05:37Le retour, tu démarres, il y a 1-0.
05:40Tu es au-dessus.
05:40Ton jeu est meilleur.
05:41Tu t'écroules mentalement, comme tu t'es écroulé tout le temps.
05:45Vila va s'appuyer aussi sur un grand gardien demain ?
05:48Attends, je termine.
05:49Que le jeu et le collectif aient progressé, je veux bien l'entendre ça.
05:55Mais la Ligue des Champions, ce n'est pas que ça.
05:57Et je vais même te dire, c'est presque, surtout pas ça.
06:00C'est qu'est-ce que tu es capable de faire dans l'adversité ?
06:02Et comment tu peux, grâce à ce que tu travailles à l'entraînement,
06:06le reproduire en match sans avoir peur de le faire ?
06:09Si tu prends le match de ce soir, Réal-Arsenal,
06:12à partir du moment où ils mettent le premier coup franc,
06:15Arsenal devient encore plus fort.
06:16C'est comme si pendant une mi-temps, ils avaient regardé Réal en se disant
06:19on est peut-être plus fort qu'eux,
06:22mais ils nous inquiètent un peu parce qu'on ne sait jamais de quoi ils sont capables
06:24et parce qu'ils ont des mecs devant qui sont capables.
06:26Et quand ils ont intégré l'état de confiance,
06:31le Réal a disparu.
06:32A été renvoyé à son insuffisance collective,
06:34à son manque de volume de course.
06:36Donc, la confiance que tu as en ce que tu fais,
06:39le PSG l'a en ce moment.
06:41Même dans les autres périodes des années récentes,
06:43quand ils jouaient bien,
06:44ils leur manquaient ça.
06:45Ils leur manquaient toujours ce truc-là.
06:47Là, ils l'ont.
06:48Est-ce que ça va leur permettre de gagner et d'aller au bout ?
06:50J'en sais rien parce que le Marseille est une très bonne équipe,
06:52l'Inter est une très bonne équipe,
06:53l'Arsenal est une très bonne équipe,
06:55mais Aston Villa, ça ne devrait pas suffire.
06:57Ils l'ont grâce aux jeux collectifs qu'ils ont.
06:58Tu me dis, avant, ils jouaient bien aussi,
07:00ils alternaient le bon et le moins bon souvent dans les matchs.
07:03Là, dans la maîtrise collective...
07:07Il y a plein de périodes où on a oublié,
07:09mais il y a plein de périodes où ils n'étaient pas mal.
07:10Oui, je suis d'accord.
07:11Ça jouait différemment,
07:12parce que peut-être que tu te reposais sur une individuelle...
07:14Mais il y a eu des très bons matchs en Coupe d'Europe.
07:17On veut oublier ça.
07:18Le contraire, je n'ai jamais dit le contraire.
07:20Et je ne dis pas ça pour réduire...
07:21On me dit, tu dis ça pour réduire.
07:22Non, j'essaie d'avoir une vision d'ensemble lucide.
07:24Que ça plaise plus !
07:26Tu as analysé le match contre Liverpool,
07:27quand ils ont été ultra-dominés,
07:29Liverpool ou Alisson a fait un nombre de...
07:32On va t'y aller.
07:34Est-ce que tu penses que demain,
07:36il peut y avoir le même scénario ?
07:37Est-ce que quand même, on a en face de nous un gardien
07:42qui a laissé de très très mauvais souvenirs
07:44dans l'imaginaire des collectifs français ?
07:47Est-ce qu'il est capable de reproduire
07:49justement ce qu'Alisson a fait ?
07:51Paris arrive à faire le même match.
07:53C'est-à-dire qu'il te bousille une équipe
07:55sans qu'elle puisse mettre le nez à la fenêtre
07:57une seule fois.
07:59Paris va gagner.
08:01Cette fois-ci, ils vont les mettre, les buts.
08:03Et ce sera fini dès le match aller.
08:04Parlons justement un peu d'Aston Villa.
08:06Déjà, il y a une histoire d'amour
08:07entre Asensio et Aston Villa.
08:10Tout le monde l'adore.
08:11Depuis qu'il est arrivé...
08:12Ça marche.
08:13Je rappelle qu'il est prêté par Paris.
08:14Que c'est Aston Villa qui le paye.
08:16Je vous ferai le préciser.
08:17Parce que des fois, il y a des prêts comme ça
08:18qui se font.
08:18C'est le club qui prête, qui paye.
08:21Et en fait, dans les règles de l'UFA,
08:22Jimmy Brown nous signale ça.
08:24Tu ne peux pas interdire un joueur prêté
08:26de jouer contre toi.
08:27Vous voyez, en Ligue 1, ça se fait souvent.
08:29Le gars, pour des raisons un peu éthiques et tout.
08:32Là, donc Asensio, demain,
08:33ce serait quand même effectivement...
08:35Pour des raisons éthiques ?
08:37Non, en France.
08:38Oui, mais même, je ne comprends pas
08:39les raisons éthiques.
08:40Si tu ne veux pas de ton joueur
08:40et que tu le prêtes à un autre club,
08:41pourquoi tu refuses qu'il joue contre toi ?
08:43Je ne comprends pas.
08:43Demain, par exemple, Asensio pourrait
08:46permettre à Aston Villa de gagner contre Paris
08:48alors qu'Asenio, concrètement, appartient à Paris
08:51et c'est au contraire avec Paris.
08:52On est d'accord, mais à partir du moment
08:53où Paris le laisse partir,
08:54il a le droit d'exercer son métier, quand même, non ?
08:56OK.
08:57Mais en Ligue 1, il y a des clubs
08:58qui mettent des clauses,
08:59qui interdisent de jouer contre le club
09:02à qui il appartient.
09:03Ça devrait être interdit.
09:03À partir du moment où tu ne veux plus de joueur,
09:04il a le droit d'exercer son métier.
09:06Bon, on aurait que besoin de refaire ce débat
09:08une autre fois, si tu veux.
09:09Alors, on n'a pas le temps.
09:09Bon, je voudrais parler, donc,
09:12tu parlais de Dibout Martinez.
09:13Alors, Dibout Martinez,
09:15il est fidèle à lui-même, il chambre.
09:17Moi, j'aime bien le chambrage.
09:18Là, il est arrivé avec une casquette.
09:19T'as vu la casquette ?
09:20Le champion du monde.
09:20Alors, en fait, il avait une casquette
09:21avec tous les titres gagnés par l'Argentine
09:23qui masquaient un coq.
09:26Tu vois, en mode...
09:27Mais il l'a fait exprès.
09:27On a compris.
09:28Bien sûr.
09:29C'est du chambrage.
09:30Moi, j'aime bien, moi.
09:30Mais moi, j'ai vu, en fait,
09:31l'interview qu'il a faite en Argentine
09:33où il répondait à une journaliste
09:35qui lui disait à la réception
09:36que vous avez vue à Lille
09:37lorsque vous vous êtes placé
09:38à Castanvilla.
09:39Il a dit, je me suis fait insulter
09:40début jusqu'à la fin.
09:42Et il lui a posé la question.
09:43Il lui a posé la question suivante
09:44en lui demandant
09:44est-ce que vous pensez que demain,
09:46ça sera du même acabit
09:48ou ça sera pire ?
09:49Il dit, je pense que ça sera pire.
09:51Et en fait, il le fait véritablement
09:53pour attirer tous les regards vers lui
09:55et pour enlever la pression
09:57à ses coéquipiers, en fait.
09:58Il adore ça, en fait.
09:59Il se nourrit de la plaisir.
10:01Non, mais il se nourrit de ça.
10:03Il fait partie de ces joueurs
10:05qui ont besoin d'être dans l'adversité
10:07pour pouvoir être bon
10:08et être performant sur le terrain.
10:10Alors, René Emery l'a défendu
10:11en conférence de presse.
10:12Il a dit, respectez-le,
10:13d'autant qu'il est devenu
10:14mature et responsable.
10:16On ne s'était pas rendu compte
10:16qu'il ne l'était pas avant, en fait.
10:18Maintenant, tu sais, avec lui,
10:19tout est possible demain sur le terrain.
10:21Il peut très, très bien
10:22partir en vrille.
10:24Maintenant, c'est un gardien.
10:26Ça n'est qu'un gardien.
10:27Il faut qu'il y ait dix autres mecs,
10:28quand même.
10:28Il ne va pas...
10:29Ce n'est pas lui tout seul qui va...
10:30Regarde Alisson, le match allé.
10:32Oui, oui.
10:32Ça arrive une fois de temps en temps.
10:34Tu vois, ça n'a pas...
10:35Imagine, ça arrive demain.
10:37Et puis Bernard Lala,
10:38qui a fait partie, comme tu le sais,
10:39Manu, des plus grands gardiens du monde
10:40à son époque.
10:42Peut-être même le meilleur.
10:43C'est ce qu'il disait lui.
10:44À une époque, il était
10:45le meilleur gardien du monde.
10:46Bernard, ouais.
10:47Bernard, 94, 15, par là.
10:50Il y a Perruzzi en Italie
10:52pour lui contester ça.
10:53Bernard arrive.
10:54Moi, je l'adore.
10:54Et je lui dis, bonsoir Bernard.
10:56Et je le présente.
10:56Je lui dis, voilà, Bernard,
10:57qui, à son époque,
10:57a fait partie des meilleurs gardiens du monde.
10:59Et là, Bernard dit,
10:59mais pourquoi tu ne dis pas le meilleur ?
11:03Il avait atteint un niveau d'excellence.
11:06Lui, il n'aime pas Dibout Martinez.
11:08Il dit, il m'exaspère.
11:10Je n'aime pas ça.
11:11Ce n'est pas un grand gardien.
11:12Ce n'est pas vrai.
11:13Il n'est pas objectif.
11:14Moi, je pense que c'est un vrai grand gardien.
11:16Il n'aime pas son caractère,
11:17son attitude.
11:18C'est encore autre chose.
11:18Ça n'a rien à voir.
11:20Mais bon, ce n'est pas le premier
11:22ni le dernier gardien
11:23qui joue dans la provocation aussi
11:24pour déstabiliser ses adversaires.
11:25Il l'a dit, d'ailleurs,
11:28je crois, dans une séance de pénalty.
11:30C'est contre qui, là ?
11:31Il y a eu une séance de pénalty
11:34où il a vu un tireur arriver.
11:36Il a senti qu'il n'était pas costaud
11:38dans le regard,
11:39dans son attitude.
11:40Il en a joué.
11:41Il en a profité.
11:42Et le mec a arrêté le pénault.
11:44Donc, il sait très, très bien
11:45comment user, justement,
11:46de ces ressorts-là
11:47pour te déstabiliser sur un terrain.
11:49Il ne faut surtout pas
11:49rentrer dans le piège.

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