Depuis l'été dernier et la venue de Roberto De Zerbi sur le banc de l'Olympique de Marseille, l'objectif fixé par les dirigeants olympiens est clair : terminer la saison sur le podium. Une mission obligatoire pour participer l'année prochaine à la ligue des champions.
Si la première partie de saison avait donné l'impression que cet objectif serait facile à atteindre, la réalité est tout autre aujourd'hui. Après avoir amplement dominé Lens mais avoir connu une défaite cruelle en fin de match (0-1) au Vélodrome, perdu sans surprise au Parc des Princes dans le Clasico (3-1), les hommes de Roberto De Zerbi ont touché le fond samedi dernier sur la pelouse d'Auguste-Delaune en s'inclinant face à Reims (3-1). Trois défaites consécutives qui ont entraîné la perte de l'avance (mathématique) détenue par l'OM sur ses poursuivants : Monaco et Nice.
Et forcément, face à pareil situation la "grande famille" olympienne a commencé à imploser cette semaine à l'entraînement, où le coach transalpin a haussé le ton face à son groupe. "J'ai très mal vécu cette semaine, je vais parler très clairement : après Paris le match j'ai dit que j'étais fier de mes joueurs, à Lens j'ai dit qu'on avait fait un gros match, à Nice, j'ai embrassé et serré dans mes bras tous les joueurs. Après, quand on a perdu certains matchs sans donner le maximum, là je m'énerve, mais toujours pour le bien du club et des joueurs, et dans le respect", s'est d'ailleurs exprimé le principal concerné vendredi en conférence de presse. Sous les yeux de Franck Mcourt, le propriétaire du club, qui sera présent au stade Vélodrome, ses troupes n'auront autre choix que de l'emporter face au "Téfécé". Une victoire qui permettrait de se relancer pour la course à la ligue des Champions et surtout de ne pas déclencher une crise dont seule Marseille a le secret.
Si la première partie de saison avait donné l'impression que cet objectif serait facile à atteindre, la réalité est tout autre aujourd'hui. Après avoir amplement dominé Lens mais avoir connu une défaite cruelle en fin de match (0-1) au Vélodrome, perdu sans surprise au Parc des Princes dans le Clasico (3-1), les hommes de Roberto De Zerbi ont touché le fond samedi dernier sur la pelouse d'Auguste-Delaune en s'inclinant face à Reims (3-1). Trois défaites consécutives qui ont entraîné la perte de l'avance (mathématique) détenue par l'OM sur ses poursuivants : Monaco et Nice.
Et forcément, face à pareil situation la "grande famille" olympienne a commencé à imploser cette semaine à l'entraînement, où le coach transalpin a haussé le ton face à son groupe. "J'ai très mal vécu cette semaine, je vais parler très clairement : après Paris le match j'ai dit que j'étais fier de mes joueurs, à Lens j'ai dit qu'on avait fait un gros match, à Nice, j'ai embrassé et serré dans mes bras tous les joueurs. Après, quand on a perdu certains matchs sans donner le maximum, là je m'énerve, mais toujours pour le bien du club et des joueurs, et dans le respect", s'est d'ailleurs exprimé le principal concerné vendredi en conférence de presse. Sous les yeux de Franck Mcourt, le propriétaire du club, qui sera présent au stade Vélodrome, ses troupes n'auront autre choix que de l'emporter face au "Téfécé". Une victoire qui permettrait de se relancer pour la course à la ligue des Champions et surtout de ne pas déclencher une crise dont seule Marseille a le secret.
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00:00Tous les vélodromes reprennent comme un solennel la chanson du virage qui résonne.
00:15C'est le virage !
00:17L'un seul est le chassé !
00:19C'est le virage qui va s'affronter !
00:23Allez, allez !
00:24Allez, allez !
00:26Allez !
00:27Allez, allez !
00:28Il faut s'arguer ! Il faut s'arguer !
00:32Et l'équipe va gagner !
00:35Allez, allez !
00:37Trois, quatre, cinq !
00:38Allez, allez, allez !
00:40Allez, allez, allez !
00:41Allez, allez, allez !