Ce samedi 5 avril, des célébrations avaient lieu à Troyes pour fêter les 125 ans du football troyen et les 100 ans du Stade de l'Aube. Karim Azamoum était présent. Il a accepté de revenir sur ses années troyennes au micro de L'Est éclair. Interview & Images : Mattéo Clochard & Alan Mangin
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00:00Oui, très bel événement, ça permet de revoir un peu tout le monde et c'est un plaisir
00:06de partager ce moment avec les supporters et les amoureux du club, tous les anciens
00:11joueurs et les anciens acteurs du club.
00:16Le temps passe vite et on voit qu'on a vu des joueurs qui se sont retrouvés 10 ans,
00:22voire 15 ans après leur dernier match et c'est vrai que le temps passe très vite
00:26et c'est pour ça que ces moments-là, ça permet de se retrouver et de vivre un petit
00:30moment tous ensemble passionnant.
00:32Il y a aussi des souvenirs qui reviennent vite à la surface.
00:35Oui, on est tous un peu nostalgiques de ce temps passé à jouer pour le club.
00:40Forcément, on parle de nos souvenirs, de nos bons moments, des fois des mauvais, des
00:44plus rigolos, des plus sympas.
00:46C'est vraiment sympa.
00:48Tu deviens quoi maintenant ? Tu fais quoi aujourd'hui ?
00:51J'ai repris du coup les études en gestion patrimoine et je suis redescendu dans le
00:55sud auprès de mes proches.
00:57J'ai une vie de famille épanouie avec trois enfants, une femme adorable.
01:02Et c'est où maintenant ? Pas loin d'Aix-en-Provence.
01:05Et le foot, ça te manque forcément ? Tu regardes encore, j'imagine ?
01:09Oui, je regarde toujours.
01:10Je suis toujours au Cilestac et c'est toujours un manque.
01:15C'est quelque chose qui, quand ça s'arrête, c'est quelque chose de triste au départ.
01:22Après, on avance, il y a d'autres choses magnifiques dans la vie et on essaie d'en profiter.