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Sport
Transcription
00:00Dans les bobos, Dylan, il n'y a rien de nouveau, on est sur une blessure musculaire plutôt longue durée, on verra jusqu'où ça nous amène.
00:08Brighton, les examens qui ont été faits ont été plutôt rassurants par rapport à ce qu'on pouvait craindre.
00:14On verra la semaine prochaine où on se trouve, mais l'Orient, un petit peu avant, un petit peu après, on ne sait pas trop, on verra bien ce que ça nous donne.
00:26Et Alpha, pareil, les examens ont été plutôt rassurants.
00:32Un match intéressant, ils le sont tous maintenant.
00:36Forcément, on se rapproche de la fin, il y a les positions des uns et des autres qui font qu'il est très intéressant.
00:45On sait qu'on a affaire à une très bonne équipe qui réussit une remarquable saison, parce qu'il y a le parcours en coupe, le championnat, tout ça.
00:53Mais on n'est pas très loin, voire même...
00:57Oui, je commence à regarder un petit peu, forcément.
01:02On les connaît bien collectivement, individuellement, c'est une très belle équipe, mais on est là pour poser des problèmes aussi.
01:13Est-ce que c'est un palier un peu plus haut que Laval ?
01:16Ou est-ce que les équipes ne sont pas comparables ?
01:18Non, les équipes ne sont pas comparables, parce qu'elles ne proposent pas tous la même chose, chacun ses idées de jeu, etc.
01:23Laval, dans ce cas, l'Orient vous propose trois équipes de haut tableau, trois styles très différents.
01:28Oui, et puis après, mais du haut tableau quand même, du haut tableau.
01:32Rappelons, moi je ne veux pas minimiser les choses, mais quand on a joué Laval, ils venaient de gagner à l'Orient et de battre le PFC quand même.
01:39Donc voilà, les choses se sont passées comme elles se sont passées, c'est le mérite des joueurs.
01:44Mais là, ça tombe bien en termes de régularité.
01:49On a deux échéances qui arrivent, qui sont aussi dans cette lignée-là et sur lesquelles on attend notre groupe sur la régularité.
01:58Avec trois matchs différents, on va discuter quoi ?
02:01Trois matchs différents, trois styles différents, mais les styles des adversaires ne nous empêchent pas, nous, de vouloir mettre les mêmes ingrédients.
02:07Après, les adversaires vont poser des problèmes.
02:10Mais dans nos intentions de jeu, dans nos attitudes, dans ce qu'on propose, j'attends à ce qu'on garde le curseur là-haut.
02:18On sait que ça va très vite, il y a eu neuf points d'équivalent il y a trois journées, la dernière cassure, trois défaites, en Ligue 1 en tout cas.
02:24C'est bon moment ?
02:26Je crois aussi qu'il y a des bons moments.
02:28Après, on peut penser que la vigilance va être accrue et forcément, il y a une nécessité de réaction comme pour toutes les autres équipes.
02:34Donc je ne sais pas s'il y a des bons moments, je ne crois pas trop à ces thèses-là.
02:37Ce sont des trucs qui nourrissent les débats avant, mais toujours est-il qu'après, dans la réalité,
02:45il y a Dunkerque avec toutes les qualités qu'ils ont affichées, et puis nous avec celles qu'on propose aussi,
02:50et celles qu'on est capable de mettre sur le terrain.
02:52Et c'est là que le débat va se jouer.
02:55Vous avez regardé la coupe ?
02:56Oui, bien sûr.
02:57Après, je ne tire aucun enseignement de ce match-là, parce qu'il est tellement particulier,
03:03de par Paris, de par ce que Paris a imposé à Dunkerque,
03:07de par le fait que Dunkerque a marqué vite et forcément s'est retrouvé peut-être à vouloir préserver son avantage,
03:14ce qu'il se comprend d'ailleurs.
03:16Mais non, pas d'enseignement de ce match-là.
03:19On y va avec l'idée de poser un maximum de problèmes,
03:25avec l'idée d'être audacieux, d'être ambitieux,
03:28avec ce que le contexte du match va nous permettre forcément,
03:31parce qu'après, c'est un rapport de force.
03:33Mais en tout cas, l'idée de départ, c'est de jouer cradement notre chance,
03:38en faisant ce qu'on sait faire, en ayant cette idée-là.
03:44Et puis après, on verra comment les débats vont s'équilibrer.
03:46Mais non, on y va avec la confiance qu'ont pu nous apporter aussi les derniers matchs,
03:53mais avec beaucoup d'humilité.
03:55Parce qu'on le voit, ça va très très vite en fait.
03:57Ça va très très vite.
03:59Qui aurait pu penser il y a trois journées encore qu'on aurait pu rattraper Dunkerque ?
04:03Mais on est à l'abri dans l'autre sens, ça peut fonctionner aussi.
04:06C'est pour ça que de relâchement, le mot d'ordre c'est aucun,
04:10et une grande vigilance sur tous les facteurs qui font que ça marche ou ça marche pas.
04:18Le but c'est de profiter de cette fin de saison, de croquer dedans.
04:21Oui, c'est ça, complètement.
04:24Notre objectif de début de saison, vous nous aviez posé la question,
04:27moi franchement, c'était de faire la meilleure saison possible.
04:31Après, une fois qu'on a dit la meilleure saison possible,
04:33ça dépend de tout ce qui se passe à l'intérieur de tout ça.
04:35On savait que des équipes étaient bien plus programmées que nous pour être là-haut.
04:39Bien plus programmées dans les ambitions et dans les objectifs de départ.
04:43Qui aurait pu penser que Caen et Clermont seraient dans cette position-là aujourd'hui ?
04:47Et les choses se sont passées comme elles se sont passées.
04:50Moi j'ai tendance à penser que les classements à 5-6 journées de la fin
04:53sont à peu près ceux qu'on mérite d'avoir.
04:57Donc nous on est là, peut-être pas si programmés que ça spécialement au départ.
05:03Maintenant on est là, on a bien l'intention, la ferme intention de s'y accrocher.
05:06Est-ce qu'on y parviendra ? Je sais pas, on verra.
05:10Et en tout cas, l'objectif de la fin de saison, au-delà de place dont on peut parler,
05:14l'objectif de la fin de saison c'est de faire du mieux possible.

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