Le président du cercle de réflexion Etienne Marcel, Bernard Cohen-Hadad analyse : «On ne peut pas accepter qu'une minorité perturbe la vie du monde étudiant», à propos du cours interrompu à l'université de Lyon II, dans l'émission Midi News Week-End sur CNEWS.
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00:00Oui, il y a le courage, mais c'est quelque chose qui devrait être normal de se plaindre de ne pas pouvoir faire cours et de ne pas être un professeur qui enseigne à ses élèves.
00:09Mais cher Thierry Cabane, c'est quand même pas nouveau que le monde étudiant subit un enthrysme d'un certain nombre de mouvements radicaux, islamistes, gauchistes, LFIZ.
00:20Toutes les grandes universités ont été bloquées ces derniers mois par des conférences politiques d'ultra-gauche en leur sein.
00:31Elles ont été à un moment bloquées parce que certains refusaient que des chercheurs aient des relations avec d'autres universités israéliennes.
00:42On a eu Sciences Po qui a été complètement bunkérisé par les islamo-gauchistes, avec Mme Pannot qui était là pour nous donner la leçon sur l'histoire de France.
00:54Donc vous voyez bien qu'aujourd'hui, tout cela est malheureusement quotidien.
00:59Ce qu'on attend d'une université, c'est tout simplement de donner et de transmettre le savoir aux étudiants et aux enseignants de pouvoir travailler tranquillement.
01:10C'est ce qu'on attend de l'État, c'est ce qu'on attend du ministère de l'Éducation nationale et surtout du ministère de l'Enseignement supérieur.
01:15On ne peut pas accepter aujourd'hui qu'une minorité perturbe la vie du monde étudiant qui a besoin de travailler tranquillement parce que, vous le savez très bien mon cher Thierry,
01:26les résultats de nos universités ne sont pas parmi les premiers du tableau des universités les plus réputées et c'est un peu dommage maintenant.